Une femme ayant la quarantaine et sortant de rupture est enfin prête et disponible dans sa tête et son corps pour conquérir le collègue qui lui sert de chef et qu’elle rejoint lors d’un rendez-vous d’affaire aux USA. Mais avant cela il reste encore à tuer le temps dans l’avion en maintenant l’excitation à son paroxysme entre fantasmes et réalité.
Proposée le 31/12/2020 par Muscalin
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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme
Elle attendait ce moment depuis longtemps, celui où elle allait pouvoir rejoindre aux USA son collègue qu’elle côtoyait depuis 10 ans pour un voyage d’affaire exceptionnel.
C’était sa récompense pour des mois d’efforts et de privations concernant ses objectifs personnels et professionnels de se sentir à nouveau bien dans sa peau et désirable après sa rupture. Elle avait perdu 6 kg et était fière de pouvoir enfin porter cette petite robe d’été légère qu’elle avait acheté en sachant pertinemment l’effet qu’elle ferait sur son collègue.
10 ans qu’elle lui faisait passer des messages plus ou moins subtils mais toujours ambigus dès qu’une opportunité se présentait. Alors ce voyage était pour elle une perche tendue qu’elle espérait pouvoir saisir à pleine bouche...
Sa petite robe bleue à bretelles fines et décolletée dans le dos mettait en valeur sa jolie nuque lorsqu’elle se coiffait en faisant un de ces chignon improvisé qui révélait la beauté de sa chevelure.
La robe tenait par un tour de cou qui s’accrochait à un anneau placé sur son sternum et le tissus suivait le contour des flancs de sorte que ces épaules soient nues. Elle avait mis un soutien gorge spécial qui permettait de ne pas voir de fermeture dans le dos ni de bretelles.
Une échancrure ouvrait latéralement la robe de sorte que sa jambe nue puisse sortir jusqu’à mi-cuisse.
Elle se sentait bien ainsi et elle souriait à l’idée de l’excitation que cette vision sensuelle produirait sur cet homme qu’elle connaissait bien. Elle avait à chaque fois senti son regard se poser sur elle comme si elle représentait le fruit défendu dans lequel il aurait aimé croquer dans d’autres circonstances de la vie.
Mais pour le moment elle était là, assise dans son siège à attendre l’embarquement. Elle constata rapidement que son charme semblait déjà avoir au moins un adepte en surprenant par hasard le regard assumé et insistant d’un grand black américain bien sappé qui reluquait ses nouvelles formes retrouvées.
Elle n’était pas vraiment une fille de ces magasines, mais elle avait du charme et du chien que l’assurance de la femme mûre que sa quarantaine lui permettait d’assumer.
Elle connaissait son corps et ses atours. Sa rupture récente avait instauré une abstinence sexuelle aiguisant son appétit et cela se sentait. Elle donnait clairement le sentiment d’être de celles de son âge qui étaient ouvertes à la débauche sans freins particuliers tout en attendant de leurs amants plus d’imagination qu’un missionnaire ou une levrette même si elle appréciait toujours autant sentir ces classiques coups de butoirs puissants.
Une bouffe de chaleur l’envahit et elle se senti légèrement rougir. Elle lui sourit de toutes ses dents blanches. Tout deux se sentirent comme deux ados pris la main dans le sac du jeu de la séduction involontaire.
Vu sa stature, elle imagina qu’il devait être basketteur. Ses grandes mains et ses avant-bras étaient impressionnants.
Elle repris sa lecture d’un texte coquin qu’elle avait écrit sur son collègue. Elle avait trouvé ce stratagème pour faire monter au plus haut le désir de corps en fusion pour leurs retrouvailles en imaginant divers scénarios du plus simple au plus complexe.
Pour pimenter le tout, lors d’une conversation au bureau la semaine d’avant elle lui avait dévoilé qu’elle s’était donnée pour défi personnel de vivre une fois le fait de ne pas porter de culotte sous sa robe durant un vol. Cela l’excitait beaucoup car elle savait bien que tous les hommes fantasment là-dessus lorsqu’ils voient une femme en petite robe d’été.
Cela ne l’aida pas a retrouver ses esprits tout en étant perturbée par les coups d’œil de plus fréquents et marqués du basketteur.
Au moment de l’embarquement, elle eu l’agréable surprise de voir son billet upgradé pour des raisons que les explications données furent à peines entendues tant elle était contente.
Elle s’installa donc à l’arrière de la classe buisness côté hublot dans une espèce de demi-coque dont là parois verticale montait au niveau du visage de façon à juste la cacher du siège voisin.
Chaque rangée était constituée de 4 sièges qui se faisaient dos 2 par 2 orientés légèrement vers les hublots.
Elle fut guidée par un beau stewart blond à la mâchoire carrée qui lui fit immédiatement penser à son collègue et chef. Cela l’excita immédiatement car elle rêvait de le voir un jour en uniforme de pilote car il avait acquis sa licence professionnelle et rêvait de pouvoir le surprendre un jour au travail en allant travailler habillée en hôtesse de l’air et de s’envoyer en l’air dans le local matériel insonorisé. Un autre de ses fantasmes dont elle avait écrit le récit.
Pour le moment ce stewart était le cliché attendu du beau ricain dont l’uniforme mettait en valeur ses fesses fermes. Elle surpris d’ailleurs son regard furtif dans son décolleté de dos ainsi que sur sa poitrine généreuse dont le tissu de la dentelle épousait délicatement les contours. C’est ce qui avait attiré l’œil du beau blond et elle aimait ce moment précis où le cerveau masculin était allumé comme une mèche par un stimuli visuel de cet ordre.
Elle s’installa et se senti soudainement confuse quand le basketteur s’installa tout sourire juste à côté d’elle. Elle sourit et fit un petit rire nerveux au contact de ses yeux tout en se mordillant suavement la lèvre inférieure. Elle se sentait belle et délicieusement bien dans son corps et retrouva ses sensations de féminité naturelle qui se dégageait d’elle.
C’était comme dans ses plus jeunes années d’émois où elle avait goûté d’une part à la liberté de s’abandonner à des corps d’hommes sans lendemain et d’autre part à la variété de leurs membres dressés ce qui lui légitimait une expertise dont ils devaient encore se souvenir...
Le sommeil était un problème pour elle en avion. Elle prit donc à regret une pilule rapidement afin de s’endormir sans subir le voyage. Elle jeta un dernier regard lascif à son voisin tout en se caressant la nuque en ballotant seins seins lourds.
Elle perçu à peine le décollage quand Morphée l’attrapa. Elle répondit a peine à la sollicitation du steward au moment du repas et sombra à nouveau.
Il faisait nuit quand soudain elle émergea, les volets des hublots étaient tirés et elle parcouru du regard son environnement.
C’est là qu’elle constata que l’avant-bras de son voisin endormi s’était installé sur l’accoudoir central pour laisser le dos de sa main choir sur la moitié supérieure de sa cuisse. Tout était silencieux à par quelques petites toux lointaines à l’arrière.
Fascinée par cette belle main, elle choisi de la saisir délicatement pour la remettre en place mais se figea dans son mouvement, puis, replaça cette main à plat plus haut sur sa cuisse. La sensation de cette douce chaleur sur une si grande surface la fit frissonner. Elle mit sa main par dessus celle de l’homme et celui-ci tressailli doucement. Elle entendait leur respiration s’accélérer.
C’était le moment clef, celui où désir et opportunisme se rencontraient. Comment allait-il réagir ?
La main se décrispa, resta immobile puis lentement commença à glisser, millimètres par millimètres le long de la fente de sa robe d’été pour s’arrêter sous le début du tissu. Elle s’arrêta et à ce moment-là, c’est elle qui poursuivi l’ascension en l’invitant vers l’intérieur de sa cuisse en direction de son sexe libre de toute culotte.
Ils ne se voyaient pas à cause de la cloison et le bras noir gigantesque du basketteur allait pouvoir mettre la main au panier facilement.
Il progressa à son tour jusqu’au contact d’un sexe dont les lèvres étaient douces et déjà bien trempées en leur centre. Elle pris à deux doigts ce long majeur et l’invita à l’insérer doucement. La sensation d’être prise etait comblée par la longueur du doigt tandis que l’annulaire et l’index écartaient ses lèvres chaudes.
De sa main droite elle commença à se carresser gentiment puis plus vigoureusement le clitoris tandis qu’elle glissait sa main gauche mouillé par son intimité sous sa robe pour malmener ses seins. Cela décupla rapidement son plaisir et elle se mit à jouir en silence en se spasmant sur son siège.
Essoufflée par l’orgasme, la main retourna doucement dans sa coque. Encore haletante, elle suivi la main du regard et la vit doucement descendre la fermeture éclair du pantalon comme si ce petit bruit pouvait réveiller tout le monde.
La main farfouilla l’ouverture et en sorti un magnifique membre noir qui se déploya comme un ressort. Cette verge semblait lourde tant elle était grande et parcourue de belles veines gonflées.
A son tour, la main droite du black alla chercher sa main encore trempée de mouille et l’appliqua fermement autour de son fabuleux chibre dressé. La main gauche de l’homme recouvrit complètement la sienne pour qu’elle le branle doucement. Toujours pas de contacts visuels.
Il fixait le rythme et les variations, laissant quelques espaces pour qu’elle puisse jouer à son tour. Elle exerça tout son art et dû résister à une forte tentation de fellation. Elle l’aurait pleinement avalée et sa langue aurait su rapidement atteindre l’objectif. Mais faire durer ce moment était bien plus intense et elle ne pourrait pas assumer cet acte plus engageant sans préservatif.
Il joui en longues saccades dans le sac en papier qu’il avait rapidement trouvé. Les mains se séparèrent doucement et chacune retourna sagement à sa place. L’homme s’endormit rapidement mais elle avait retrouvé une énergie folle qui lui revenait chaque fois après l’orgasme.
Son corps était encore prêt à en déclencher un autre. Elle se leva doucement et passa en pas chassé devant l’homme endormi. Elle le contempla quelques instants et se dirigea vers les wc.
Assise sur le couvercle des wc propres de la classe business, elle se regarda dans le miroir et sorti son téléphone de son petit sac. Elle le plaça verticalement sur le lavabo en le coinçant avec le sac. Elle mis la caméra en route, fixa l’objectif et commença à relever doucement sa robe.
Elle écarta doucement ses cuisses révélant son sexe glabre, rouge et brillant de mouille. Elle posa un pied de chaque côté du téléphone en appui sur le lavabo. Elle se pencha en avant pour saisir dans son sac le petit vibro qu’elle utilisait au bureau chaque fois qu’une tension sexuelle non assouvie s’était présentée entre elle et son chef.
Elle l’enclencha et posa la petite forme rebondie sur son clitoris tout en pénétrant rapidement son sexe déjà chaud et humide avec son majeur qui disparu devant l’objectif voyeur de son smartphone.
Elle allait encore jouir pour lui, mais son scénario resterait secret dans sa tête.
Elle imagina d’abord qu’elle fermerait le bureau à clef de son chef en rentrant, attacherait ses cheveux en arrière avec un crayon, déboutonnerait son chemisier devant lui pour laisser apparaître la lingerie et s’approcherait de lui tout en lenteur pour s’agenouiller sous le bureau.
Elle lui descendrait sa braguette. Surtout, elle rêvait qu’il se laisse enfin faire sans résistance.
Elle se voyait extraire son manche de pilote doucement pour commencer à le lécher sur toute sa longueur. Elle goberait ensuite cette magnifique queue de tout son long tout en alternant l’enveloppement de son gland en l’aspirant bruyamment du bout des lèvres. Puis elle ferait glisser sa bouche entrouverte en salivant le long de la verge jusqu’à gober une boule après l’autre.
Elle se vit ensuite se mette debout, relever sa robe et se tourner en se plaquant sur le bureau, pour offrir sa croupe béante en s’empalant progressivement sur ce sceptre indécent et le sentir graduellement la posséder profondément tandis que ses mains pétrirait ses seins.
Elle imaginait ensuite qu’elle poserait sa tête en arrière sur son épaule lui assis sur la chaise de bureau et elle qui jouerait avec la vitesse de son cul sur ce sexe qui était enfin à elle depuis toutes ces années de résistance.
Le vibro était irrésistible et la combinaison de ce scénario rendait difficile la retenue de vagues de plaisir qui allaient bientôt déferler dans son bassin. Elle s’autorisa encore de faire reculer une dernier limite dans son imaginaire.
Elle se vit se relever et saisir à pleine main cette bite somptueuse pour l’offrir à son cul inondé par l’entremise de la main dans laquelle il avait posé un filet de salive. Il tournait consciencieusement son annulaire sur le petit rond qui se dilatait gentiment pour accueillir millimètre par millimètre cette dernière possession.
Elle connaissait cette sensation car elle laissait seulement les hommes calmes et habituellement ayant beaucoup de self-control la bourrer comme cela. Elle aimait les voir soudainement et rapidement empruntés face à cette nouvelle option inattendue qu’elle leur offrait.
Sa manière à elle de dominer avant de ressentir cette sensation de plénitude en peu trash que la domination volontairement subie créait. Dans ce scénario elle l’imagina profonde, chaude et sans douleur tandis qu’elle jouissait puissamment assise la vulve offerte en offrande au regard de son futur collègue spectateur qui découvrirait sa vidéo surprise au moment opportun sur sol américain.
Elle l’enverrait probablement juste avant le sauna qu’ils avaient l’habitude de prendre ensemble à la fin de leur journée de boulot... ou pas !
Quelque chose lui disait tout de même que cette fois ce moment ne sera très probablement plus platonique du tout et que la chaleur sera bien plus intense...
Elle retourna sur son siège épuisée et satisfaite des effets de sa nouvelle ligne dans cet avion de ligne avant de rejoindre son pilote de ligne de collègue.
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