Comme beaucoup de frères, j’ai toujours rêvé de voir ma sœur, de trois ans plus âgée, nue mais à Vingt ans, l’étudiant que j’étais n’avait toujours pas eu cette chance, non pas qu’elle fut particulièrement pudique, car je la croyais, au moins dans son discours, assez libérée.
Proposée le 12/11/2024 par Furet
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Comme beaucoup de frères, j’ai toujours rêvé de voir ma sœur, de trois ans plus âgée, nue mais à Vingt ans, l’étudiant que j’étais n’avait toujours pas eu cette chance, non pas qu’elle fut particulièrement pudique, car je la croyais, au moins dans son discours, assez libérée, mais l’occasion ne s’était jamais présenté jusqu’à un week-end de Pentecôte.
Il m’arrivait quelquefois de recevoir des amies étudiantes ou d’anciennes élèves de mon lycée qui, en tout bien tout honneur restaient parfois passer la nuit dans mon home d’étudiant. Si elles gardaient leur culotte pour enfiler le pantalon de pyjama que je leur prêtais, elles ne se cachaient pas pour dégrafer leur soutien – gorge et je pouvais furtivement voir leurs seins de jeunes filles.
Bien entendu, je faisais comme si je n’avais pas vu et elles faisaient comme si je ne les avais pas vues, nos regards se croisaient seulement après l’opération. Il m’est arrivé une fois où,dans un rêve, j’ai glissé la main sous le haut de pyjama d’une ex camarade de classe qui m’a réveillée pour me demander si je dormais. La tige qui s’appuyait sur la cuisse lui avait donné des indications et elle a brutalement écarté ma main.
Pour ma sœur, plus compliqué, elle allait se changer dans les toilettes du palier, à mon grand désespoir, mais ce week-end là, je me suis juré de la voir entièrement nue.
Le stratagème était simple et un brin machiavélique. Elle aimait se baigner et par un bel après -midi je l’ai amenée dans la plage du midi proche d’une abbaye, mais ce qu’elle ne savait pas c’est que cette plage était naturiste. Quelle ne fut pas sa surprise !
- Mais ils sont tous à poil !
- Ah oui, mais c’est une super plage, du beau sable et des dunes. J’aime bien ce coin.
- Tu aurais pu me prévenir….Tu viens là souvent ? Moi je ne fais pas de naturisme.
- Comme tu veux, mais tu vas te faire regarder comme une extra terrestre.
Cinq minute plus tard, moi en tenue d’Adam et elle en maillot avons pris notre premier bain.
- C’est dingue d’être gênée habillée au milieu de gens à poil
- Ben t’as qu’à faire comme eux.
On a passé un moment à écouter la mer, le bruit du vague et des gens, et je suis reparti pour un plouf car je déteste lézarder, et, à mon retour, ma sœur avait ôté son haut de maillot et était sur le ventre. Joli progrès. Ses seins débordaient par le coté de ses bras.
- Ben tu vois, c’est pas difficile
- Oui, mais c’est quand même gênant, tu es mon frère et je vais devoir passer l’apres-midi sur le ventre.
- Ben voyons, tu veux pas que je chope un torticolis pour regarder de l’autre coté le petit minou de la voisine qui éclot au soleil.
- T’es un sacré voyeur toi en fait !
- Allez vas, tu peux te tourner, je regarderai pas, il y a plein de monde à voir ici.
Elle s’est mise sur le dos en cachant ses seins dans ses mains.
- Tu mates pas s’il te plaît !
- Mais non, je vois rien …. On est tellement mieux à poil, tu devrais essayer…
Je suis reparti piquer une tête, et au retour, surprise, elle avait retiré le bas de son maillot, les jambes serrées comme un ciseau.
- Que c’est joli tout ça, dis je en attardant mon regard sur son ventre
- Regardes pas, ça me gène…
- Je suis bien obligé, allez, on est entre adultes et je rêve depuis des années de ce moment…
Elle a a rougi
- C’est vrai ?
- Oui, combien de temps j’ai passé à fouiller tes sous-vêtements dans la corbeille…
- Oh, t’es gonflé !
- Je peux te demander quelque chose ? Quand je vais à l’au, je reviens et tes jambes sont ouvertes.
- T’es un sale voyeur, je suis ta sœur.
Je suis allé me rafraîchir, et à mon retour, les jambes de ma sœur étaient ouvertes et j’ai contemplé ce dont je rêvais depuis des années, sa petite fente d’amour. Elle m’a laissé regarder, un long moment avant de se mettre à nouveau sur le ventre. J’ai fait de même pour cacher mon érection , ce qui l’a fait beaucoup rire.
Nous n’en avons pas reparlé, mais le soir, avant de se coucher, elle a mis son haut de pyjama à ma vue, et on s’est couché, on a parlé de ce moment, elle m’a parlé d’une parenthèse secrète qui ne se renouvellerait pas et dont personne ne saurait rien.
Pour sceller ce moment, je lui au demandé une dernière faveur, celle de me masturber torse nu sur le lavabo de la chambre ; elle l’a fait et je n’ai jamais joui aussi fort dans la main d’une femme.
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