Histoire Erotique

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Ma toute première sodomie

Il est beau. Pas trop membré. Le candidat idéal pour ma première sodomie. Je fantasme depuis longtemps et je me suis promis de le faire dès que j'aurai 18 ans. Quand Lisa, ma meilleure amie, m'accompagne chez le beau toubib, elle ignore qu'elle va elle aussi "passer à la casserole".

Proposée le 9/03/2024 par la catin

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Ça y est ! je suis majeure depuis deux jours. Je vais pouvoir enfin m’éclater vraiment ! Sexuellement, je veux dire puisque maintenant je suis une adulte.
Oh, bien sûr, j’ai déjà sucé pas mal de mecs et mon petit copain du moment me saute tous les jours. Mais, voyez-vous, y’a un truc que j’ai jamais fait. Une sorte de fantasme qui parfois me vrille les tripes et que je me suis promis de réaliser sans tarder dès que j’aurai dix huit ans.
Mais bon. Je fanfaronne beaucoup mais en vrai, j’ai la trouille. J’ai peur d’avoir trop mal même si Lisa, ma meilleure amie m’assure que c’est top au niveau sensations. Quand je lui demande des détails elle change de conversation si bien que je me demande si elle l’a vraiment fait.

Depuis plus d’un mois on ne parle que de ça. Et elle veut être présente quand je le ferai. Au début je trouve ça glauque puis je me dis que si elle l’a vraiment fait, elle pourra me rassurer.
Si elle l’a fait !
Bon, on va dire qu’elle l’a fait, c’est plus simple. Alors je lui demande comment on procède.
— Faut pas un mec trop jeune qui pensera qu’à tirer son coup. Faut un type qui connait les femmes. Qui sait s’y prendre, m’assure t-elle
— Et t’as ça en stock ?
— Ben… Ça doit pouvoir se trouver. On a qu’à passer une annonce.
— Ah ouais et on met quoi ?
— Je sais pas, on pourrait mettre par exemple : « belle nana bien roulée, 18 ans cherche homme expérimenté pour première sodomie ».
— Mouais !
— Ou alors y’a mon cousin.
— Edgar, le British ?
— Ouais. Il arrive la semaine prochaine.
— Il a quel âge ?
— Trente ans.
— Mais c’est un vioc ! Je fais écoeurée.
— Ouais mais il baise bien.
— Comment tu sais ça, toi ?
— Ben…
— Non ?
Elle fait si de la tête, puis explique :
— C’était à Noel on avait grave picolé et on s’est retrouvés à poil dans la baignoire. Me demande pas comment, j’en sais rien, mais… enfin bon, on l’a fait et j’ai joui grave.
— Tu veux dire dans les… Heu…
— Ouais, dans les fesses. Et tu sais quoi ? Il a pas une grosse teub. Idéal pour une première.
J’hésite mais je réfléchis quand même. C’est vrai qu’il à l'air bien foutu Edgar. Enfin pour ce qu’il me semble. Mais finalement, je décline l’offre :
— Je préfère un inconnu.
— Anonymat total ?
— Ouais.
On passe l’annonce le jour même et moins de deux heures plus tard on a déjà plus de cent candidats. Ils ont tous joint une photo à leur réponse. Certains sont carrément à poil mais ils ressemblent trop à des pervers. Enfin c’est ce qu’affirme Lisa.
— Comment tu vois ça, je lui demande ?
— Ben des mecs qu’envoient ce genre de photo sans qu’on leur demande, ça craint.
Donc on écarte ceux là d’office et on passe une bonne heure à en sélectionner cinq qu’ont l’air bien foutus. Manque de bol ceux là n’ont envoyé qu’une photo banale. Je vois Lisa qui commence à sortir la langue et à l’agiter. Elle fait toujours ça quand elle réfléchit fort.
— Qu’est-ce qu’il y a je lui demande ?
Elle me regarde puis tape sur ses cuisses
— Bon, on a pas assez d’éléments pour choisir. Faut qu’on demande une photos de leur teub, précise t-elle. L’en faut pas une trop grosse pour commencer.
Je suis d’accord avec elle.
Vingt minutes plus tard nous recevons les photos demandées et il ne reste plus alors que deux candidats. Mon choix balance encore car y’en a un troisième qui me conviendrait peut-être encore mieux. Lisa n’est pas du tout de cet avis :
— Il a un micro pénis, argumente-t-elle
— Justement
— Justement quoi ? D’accord tu sentiras peut-être rien quand il entrera mais quand il bougera non plus. Non ! Faut un juste milieu.
Nous nous arrêtons donc sur un blond de 25 ans et un type super class de 35.
— Bon faut qu’on en choisisse un, fait Lisa et dans la foulée elle commence une discussion, alternativement, avec les deux et il ne nous faut pas longtemps pour comprendre que le blond est un gros fanfaron.
— Pas assez mature, me fait Lisa. Il penserait qu’à sa pomme.
On le zape ! Et Lisa continue avec le type super class. Il se prénomme Marc et il est toubib. Lisa s’emballe un peu en lui parlant de moi. Elle me décrit d’une façon qui me fait rougir et le type demande si on peut se voir en cam. Je fais non à Lisa, qui répercute et il nous dit qu’il peut allumer quand même la sienne si on veut le voir, même si on fait pas pareil. Lisa me regarde et je hausse les épaules, persuadée qu’elle va décliner l’offre. Mais cette gourdasse pianote « ok » sur le clavier et quelques secondes plus tard on le voit. Il est en t-shirt et en bas on voit pas. Mais du coup ça nous déstabilise un peu. Surtout Lisa qui sait plus quoi écrire. Alors le type nous demande s’il convient et comme Lisa ne lui envoie pas de réponse il écrit : « Je peux enlever le t-shirt si vous voulez ». Lisa répond « Ok » sans me consulter et je trouve qu’elle va un peu loin. Mais je grogne pas parce que le type est super beau. Super musclé et je vois Lisa qui continue son délire « Lève-toi, on te voit pas en entier ». Il s’exécute dans la seconde. Il est en caleçon. Je l’aurais plutôt pensé du genre slip super moulant. Cette pensée s’évapore à peine lorsque je vois Lisa taper : « Tu veux bien enlever le reste ? » et je rougis avant qu’elle clique pour envoyer.
Le type ne répond rien mais il s’exécute.
La vache, il bande ferme ! Une bite un peu longue mais fine. C’est ça qui compte, non ? Il nous la fait voir de profil et Lisa me regarde. Je lève le pouce et elle tape aussitôt : « OK. Tu peux quand et où ? ». Un long silence suit puis je lis : « Demain soir 19 h00 à mon cabinet, ça irait ? » Lisa acquiesce sans me consulter. Il nous donne l’adresse et Lisa raccroche.

A dix huit heures cinquante cinq, exactement, on sonne et la porte s’ouvre électriquement. Je serre la main de Lisa avant d’entrer.
— Tu restes avec moi !
— Mais oui, t’inquiète.
J’ai le coeur qui tambourine. Des sueurs froides dans le dos. Et un choc dès que je le vois. Même si je l’avais déjà vu en cam. Il est vraiment super, super beau. Il nous reçoit en blouse et je vois ses jambes nues. Je murmure à Lisa :
— Tu crois qu’il est à poil dessous ?
— Ben ouais. T’es pas venue faire une belote. Si ?
J’ai un frison dans le dos.
— Entrez les filles mettez vous à l’aise.
— Qu’est-ce qu’il veut dire par « mettez-vous à l’aise » fais-je discrètement à Lisa. Tu crois qu’il veux qu’on se mette à poil ?
— Toi oui.
— Pourquoi juste moi ?
— Hé ! C’est pour toi qu’on est là ! Moi je me dessape pas.
— Alors j’y vais pas. Je fais en grognant.
— Merde tu fais chier.
— Un problème les filles ?
On tourne la tête et on le voit jeter sa blouse sur une chaise. Il trique déjà et j’en ai la chatte qui frissonne. Alors j’hésite plus et je retire mes fringues.
Lisa reste en retrait, habillée, et le toubib s’adresse à elle :
— Si tu veux rester tu fais comme nous.
Elle grogne puis elle enlève tout. Elle a une vachement chouette poitrine.
Elle va s’asseoir sur un tabouret dans un coin. Le temps de la regarder, je sens les mains du doc sur mes épaules. Il est contre moi. Derrière. Mince, il va pas me la mettre tout de suite, quand même ! J’ai la trouille en sentant sa bite frotter contre mes fesses. Mais il me caresse le dos. Il glisse les mains sous mes bras et empaume mes seins. Putain, c’est bon ! Il me pelote copieusement. J’adore ! Mes tétons sont durs. Il les pince et je pousse un cri. De surprise seulement parce que j’aime bien. Il me glisse des trucs salaces à l’oreille. Et j’aime bien aussi. Ça m’excite grave. Lui aussi je crois car je sens les contractions de sa queue contre mes fesses.
Il lâche mes seins et descend les mains dans mon dos. Puis d’un geste brusque il me bascule en avant sur la table de consultation. Je sens qu’il m’écarte les fesses. Mince ça y est. Il va me la mettre ! Mais non. Je sens juste des baisers sur mes globes. Puis sa langue dans ma raie. Wahou ! Il me lèche mon petit trou. Putain, ce que c’est bon. On me l’a jamais fait. Je suis excitée grave ! J’ai la chatte qui n’arrête pas de couler. J’ai envie de lui toucher la bite mais il est à genoux et je ne peux pas. Alors je le laisse faire. Il continue avec sa langue. Oh oui, vas-y…Vas-y t’arrête surtout pas ! Il glisse la main entre mes cuisses… Cherche mon clito… J’ai comme des coups de poignards dans le ventre quand il le touche. Et il le touche bien. Je mets pas cinq minutes pour jouir. Il pourrait me prendre dans le cul maintenant. J’ai plus d’appréhension. Je flotte.
Mais il arrête tout et lance :
— Taille-moi une pipe !
Sa voix est ferme. Impérieuse.
J’aime !
Il s’assied sur la table et je glisse à ses genoux. Je décalotte son gland. Il est un peu violacé tellement il est gonflé. Je le touche. Je le lèche. Je le tète. Puis le le fais disparaitre dans ma bouche.
Putain, c’est bon ! J’ai toujours aimé ça.
J’ai taillé ma première pipe à 15 ans. J’ai tout de suite aimé. Tout de suite avalé le sperme. Je kiffe ça ! Cherchez pas pourquoi, j’en sais rien.
Autant dire que je m’applique. Je pompe en lui tripotant les couilles. Il aime ça. Je les lèche. Je les prends dans la bouche l’une après l’autre. Ça aussi je kiffe ! Lui aussi visiblement. J’ai envie de le faire gicler mais si je fais ça il pourra plus…
Il me déconcentre en lançant soudain :
— Et ta copine, elle suce aussi bien que toi ?
Je jette un oeil à Lisa. Elle a la main sur sa chatte. Les cuisses ouvertes.
Le toubib ajoute :
— Elle s’appelle comment ?
— Lisa.

Il gémit encore puis il me repousse doucement et lance d’une voix forte. A nouveau impérieuse :
— Approche Lisa !
Mais elle ne bouge pas alors il lance sur un ton qui me fait frissonner :
— Ne m’oblige pas à venir te chercher Lisa !
C’est un ordre qui vient de claquer. Et Lisa n’aime pas qu’on lui donne des ordres. Alors je suis étonnée lorsque je la vois approcher et s’agenouiller à côté de moi. Le toubib lui attrape aussitôt les cheveux et enfonce sa queue dans sa bouche. Elle aussi à l’air de kiffer. Je l’avais jamais vu sucer, mais je peux vous dire qu’elle non plus n’en est pas à sa première pipe ! Elle lèche… elle pompe… tandis que je m’occupe des couilles du beau toubib. Puis on se relaie régulièrement et lorsqu’il gicle, il se retire pour diriger le jet alternativement dans nos bouches. La vache, il gicle fort ! On avale puis on se relève tandis qu’il se dirige vers une table.
— Champagne ?
On boit une gorgée. Il nous regarde intensément, l’oeil brillant, avant de lancer :
— Les filles, je vais vous faire un ramonage total. A toutes les deux.

On se regarde avec Lisa. On dit rien. Il a déjà marqué son emprise sur nous. Je crois que pour Lisa comme pour moi, c’est la première fois qu’on rencontre un homme comme lui. Jusqu’alors on s’est tapé des jeunes comme nous. Ou à peine plus âgés. Des types sans charisme, sans réelle expérience. Alors je sens que Lisa est troublée comme moi, face au désir si nettement affiché de cet homme et que nous ne pourrons pas nous soustraire à sa volonté. Le plus étrange est de se retrouver dans cette situation, ensemble. C’est la première fois. C’est ma meilleure amie mais ça me gène quand même. Ça me gène et en même temps ça m’a excitée de la voir sucer le toubib tout à l’heure.
Je souris en repensant à certains moments de notre adolescence quand nous nous sommes livrées à quelques expériences sensuelles. Un petit baiser sur la bouche… une main dans la culotte… pour voir ce que ça fait. On n’est jamais allée plus loin.
On préfère les garçons.

Le toubib nous ressert. On en est à la troisième coupe. J’ai la tête qui chauffe un peu. Lisa aussi sans doute. Je le vois dans ses yeux. Il pose son verre et nous pelote les seins. Surtout ceux de Lisa. Je le comprends. Ils sont super chouettes.
— T’as de grosses mamelles, j’adore, déclare-t-il.
Le mot fait rougir Lisa. Moi aussi ! Il baisse la tête et lui suce les tétons. Elle kiffe en poussant de petits cris. Il suce les miens et je fais pareil. Aucun garçon ne m’a tété les seins comme ça. Je mouille.
Puis il se retire, sourit et lance :
— Vous vous êtes déjà gouiné, les filles ?
On se regarde avec Lisa mais on ne répond pas. Alors il poursuit d’une voix ferme et péremptoire :
— Embrassez-vous ! On le regarde. On se regarde avec Lisa et il ajoute : Dépêchez-vous, j'aime pas attendre !
Lisa frissonne en même temps que moi. Elle n’a pas plus envie que moi de faire ça mais lorsqu’il nous agrippe le cou et rapproche nos têtes je sais dans la seconde que nous allons lui obéir. Les lèvres de Lisa sont sucrées. Sans que nous en ayons réellement conscience, je crois, nos bouches s’entrouvrent. Nos langues se cherchent. Ma chatte coule. Du coin de l’oeil je vois le toubib toucher celle de Lisa… Puis la mienne.
Il éclate de rire.
— Vous n’oserez pas dire que vous n’aimez pas !
Je me sens rougir jusqu’à la racine des cheveux mais je continue d’embrasser Lisa. Soudain je la sens sursauter. J’ouvre les yeux et je vois le toubib derrière elle. Qu’est-ce qu’il fait ? Sûrement un truc qui lui plait parce qu’elle suce ma langue avec plus avidité. Je la sens excitée puis je l’entends gémir sur mes lèvres. Qu’est-ce qu’il lui fait nom de non ! Un instant j’ai cru qu’il l’avait pénétrée. Mais non. Impossible. Il est sur le côté. Je comprends quand vient mon tour et que je sens son doigt glisser dans ma raie. Je me raidis et je reçois une claque sur la fesse. Ça m’excite et c’est à mon tour de manger la langue de Lisa. Puis un cri étouffé par ses lèvres m’échappe quand il entre un doigt… Puis deux… Je crois. Je suis surprise. Il est entré facilement. Je trouve cela d’autant plus étrange qu’auparavant je n’ai jamais rien glissé dans mes fesses. A part peut être des suppositoires. Mais j’étais gamine. J’abandonne ces pensées parce que je trouve ça bon. Ça promet ! Je suis grave excitée. J’embrasse Lisa encore plus fougueusement. Elle me rend la pareille. Je crois qu’on est toutes les deux dans le même état.
Je descends la main.
Je cherche la queue du toubib. Elle est déjà dans la main de Lisa. Alors je descends un peu plus et je la referme sur ses couilles pendantes. Je les trouve lourdes.
Pleines ?
Je les lui viderai bien avec ma bouche mais je ne veux pas que ça l’oblige à retirer ses doigts.
J’ai l’impression qu’il les a enfoncés à fond dans mon cul.
Zut il les retire.
Dommage !
Mais…. Oh qu’est-ce que c’est ? C’est un peu froid et dur. Oh mon dieu il me l’enfonce. Juste un peu. Et il le tourne dans tous les sens à l’entrée de mon anus. Je comprends qu’il veut le détendre. L’assouplir… Alors c’est pour maintenant ?
Mais non.
Il le retire, le jette au sol et d’un geste ferme il bascule Lisa sur la table de consultation.
Etendue sur le dos il lui remonte les jambes et la pénètre d’un seul coup de reins. Aussitôt elle gémit. Puis elle couine… Elle crie.
— Embrasse-la ! m’ordonne t-il.
Voir ma meilleur copine se faire baiser m’excite trop pour que je décline l’ordre. J’approche la tête et d’un mouvement brutal elle s’empare de mes lèvres. Ça plait au toubib qui se déchaine. Lisa s’arrache à ma bouche pour pouvoir hurler.
Il se calme et la tension s’apaise un peu.
Il me dit :
— Grimpe sur la table et mets ta chatte sur sa bouche. Je le regarde, incrédule et il poursuit plus fermement : Obéis ! Je veux qu’elle te lèche pendant que je la baise. OBEIS !
L’injonction me frappe mieux qu’une gifle. M’ôte tout loisir de m’y soustraire. Je monte sur la table à genoux et j’enjambe la tête de Lisa.
— Baisse un peu ton cul, précise le doc.
J’obéis.
Ma chatte est au dessus des lèvres de Lisa. A portée de langue.
J’attends.
Le toubib donne un violent coup de reins. J’entends presque ses couilles battre les fesses de Lisa. Il crie :
— Lèche-la ! Obéis !
L’ordre a les même effets que sur moi alors je sens bientôt la langue de Lisa sur ma vulve. Elle me lèche doucement puis s’active à mesure que le toubib accélère la cadence dans sa chatte. Je pose les mains sur la table. Je me penche légèrement en arrière et je ferme les yeux. La langue de Lisa court sur mon clitoris.
Je gémis… Je couine… je hurle. C’est bon. C’est trop bon !
Lisa, ma meilleure copine me lèche la chatte. Je n’aurais jamais cru qu’une telle chose puisse arriver un jour ! Je n’y aurais d’ailleurs jamais pensé. Nous deux c’est les garçons.
Juste les garçons.
Mais ce toubib c’est le diable et il est capable de nous faire faire n’importe quoi.
La preuve !
C’est bon. C’est trop bon.
Je jouis puis je pense soudain qu’il va peut être vouloir que je fasse la même chose à Lisa. Je ne crois pas que je pourrai.
Oh mon dieu ! Elle ne s’arrête pas et je jouis encore. Puis je la vois trembler. Je soulève un peu les fesses et elle peut libérer ses cris de jouissance.
Je vois le toubib se retirer. Il n’a pas l’air d’avoir joui.
Il prend une gélule dans une boite, l’avale, puis ordonne :
— On change, les filles ! Il me claque les fesses et ordonne : Prends la place de Lisa, dépêche-toi.
Je m’exécute sans rechigner parce que je suis excitée un max et que j’ai envie de me faire baiser. Je crois que ça ne m’est jamais arrivé d’en avoir envie à ce point. Je m’allonge, réalisant dans la seconde que je vais devoir…
Quand Lisa s’installe sur ma tête je sens les odeurs de la queue et de sa chatte mêlées. Ça exacerbe mes sens et je commence à la lécher avant d’en avoir reçu l’ordre. Le docteur est ravi. Il me pénètre et lance :
— Oui ma salope lèche-la bien.
Le mot me vrille le ventre. Attise le feu… Déchaine ma langue.
J’aime entendre Lisa gémir. Je veux lui offrir deux orgasmes. Comme elle l’a fait pour moi.
J’aime ce que je fais. Et j’aime ce qu’il me fait.
Le doc me baise bien. Il prend son temps. Cherche mon plaisir. Il ne cherche pas juste à tirer son coup comme tous ceux que j’ai connus. Je me dis que Lisa a bien fait de le choisir. Je me dis ça au moment où elle jouit. Je n’arrête pas de lécher son clito. Je veux qu’elle jouisse encore. Je la sens trembler. Ça arrive ! Puis un troisième dans la foulée.
Puis je me sens partir à mon tour.
Putain, je vais avoir un orgasme XXL !
Je sens le toubib se retirer mais ça n’arrête rien. Je soulève le bassin et je hurle dans la chatte de Lisa.
Puis je retombe.
Je me sens molle comme de la guimauve.
J’ouvre les yeux. Le doc trique toujours. Merde ! Il s’est chouté à quoi ? Viagra ? Coke ? Héro ?
En fait je m’en fous parce que je me dis qu’on va encore pouvoir profiter de sa bite. J’ai envie de la sucer et la phrase m’échappe :
— Une petite pipe doc ? Faut pas gâcher
Il sourit à son tour et répond :
— Vous inquiétez pas mes salopes je vais rien gâcher du tout.
J’échange un regard avec Lisa. Elle me sourit alors je sais que ce grade lui convient, à elle aussi. On pensait qu’on était trop jeunes. Trop inexpérimentées pour qu’un homme puisse nous appeler ainsi. Mais lui il l’a fait. Alors ça nous va.
Très bien même !

Le doc se ressert une coupe de champagne.
On attend la nôtre mais il éclate de rire et lance :
— Mes chéries vous allez boire à la paille.
Avec Lisa nous nous regardons perplexes. Il rit encore puis nous le voyons tremper sa queue dans sa coupe.
Il la ressort et demande :
— Qui en veux ? en approchant sa bite de nos visages.
Je suce aussitôt le liquide ambré qui perle. Le mélange champagne sécrétion masculine est étrange. Pas désagréable. Il replonge sa queue dans la coupe, la ressort et la tend à Lisa qui lèche à son tour. Lorsqu’elle a terminé, le doc, sous nos yeux ébahis, se branle au dessus de sa coupe dans laquelle il éjacule. Puis il nous la tend et nous buvons à tour de rôle. Tout en regardant Lisa boire, je remarque qu’il bande toujours.
Incroyable !
Je donnerai cher, pour mes aventure futures, afin de connaitre son secret.

"Allez mes cochonnes, assez rigolé. Je vous ai promis un ramonage complet. Et je tiens toujours mes promesses", lance t-il soudain.
Aie ! On y est.
J’angoisse un peu. Mais moins que je l’aurais cru. Il baisse la table d’examen, attrape Lisa et la bascule dessus. Elle a le cul en l’air. Il frotte sa queue sur sa chatte puis il écarte ses fesses, positionne son gland… et pousse. Je vois sa bite disparaitre. Elle n’a pas poussé le moindre cri alors je me dis qu’effectivement ça ne doit pas être une première pour elle. Il commence à la limer et la scène m’embrase le ventre. D’autant plus que Lisa commence à couiner. Puis je l’entends dire :
— C’est bon doc. Plus fort.
Je suis ébahie. Est-ce qu’elle va finir par jouir ? Et d’ailleurs peut-on jouir ainsi ? Je n’aurai pas ma réponse car le doc se retire. Il me prend le bras.
— A toi. Mets-toi comme elle.
Je me positionne timidement en tentant une esquive :
— Heu… Je n’ai jamais…
Il me serre le bras davantage et me force à me courber en ordonnant :
— Obéis !
Je crois que s’il n’avait pas été aussi ferme, je me serais dégonflée.
Me voilà maintenant le cul en l’air. Je le sens frotter sa queue sur ma chatte. Dans deux secondes il va… je n’ai pas le temps d’appréhender davantage et je pousse un cri lorsqu’il force ma rondelle. Pourtant je n’ai pas mal. Je suis juste surprise par la sensation.
C’est fantastique.
Sa queue est tellement serrée dans mon fourreau que je sens chacun de ses frémissements.
C’est bon.
Tellement bon !
Et quand il lance :
— Alors ma cochonne tu aimes te faire ramoner le cul ?
C’est encore meilleur.
Je sens qu’il n’est pas encore entré à fond.
Qu’il hésite.
Et je ne veux pas qu’il hésite. Alors je murmure :
— Allez-y, allez-y, c’est bon.
Il me prend au mot et je sens sa queue s’enfoncer… Puis ressortir complètement pour s’enfoncer à nouveau ce qui m’arrache un nouveau cri… De plaisir.
Ça y est, il commence à me ramoner sérieusement.
Mon dieu que c’est bon ! Je ne l’aurais jamais cru.
Et il parait qu’il y a des filles qui n’aiment pas ça ! J’ai envie qu’il accélère encore. Qu’il me défonce. Mais je n’ose pas lui dire.
Soudain il se retire pour aller se planter dans le cul de Lisa. Il la ramone un peu et revient dans le mien.
C’est encore meilleur. De mieux en mieux.
J’entends Lisa lui dire :
— Allez-y, doc, défoncez-la.
Je suis déçue lorsqu’il répond :
— Pas cette fois. C’est pas une chose à faire la première fois. En revanche toi, ma salope, il n’y a aucune contre indication pour que je te défonce. Garde la position.
Je suis déçue. Mais finalement je comprends. Il a sans doute raison et je me dis que c’était déjà bien.
Et puis « défoncer » je sais pas vraiment ce que ça veut dire. Alors je suis impatiente de voir.
Avec Lisa.
Je ferme les yeux. Il me lime toujours en cherchant à me donner un max de sensations. Chouette toubib ! Puis hélas il se retire.
Il claque les fesses de Lisa et éclate de rire.
— Aller cambre toi bien. Ça va être ta fête.
Il la pénètre lentement.
A fond.
Puis il accélère progressivement.
Lisa couine. Souffle… gémit… crie.
— Oh mon dieu… mon dieu… Plus fort doc, plus fort.
Je me redresse et j’observe la scène en me disant que si salope il y a c’est bien elle.
Puis soudain j’écarquille les yeux en la voyant trembler.
C’est pas possible on dirait qu’elle va…
Et elle jouit puissamment.
Le doc se retire et excitée comme une puce, je saisis aussitôt sa bite et je la branle vigoureusement.
Il jouit sur les fesses de Lisa.

Lorsque la tension érotique est retombée, je sens que mon anus me brûle un peu.
— C’est normal, me dit le toubib. Mais si tu le fais régulièrement tu ne sentiras plus rien. Il n’y aura que du plaisir. Parce que plus tu le feras plus tu auras de sensations.

Une demi heure plus tard nous quittons le cabinet et je lance à Lisa :
— Va falloir que tu te confesses ma vieille !
— Qu’est ce que tu veux dire ?
— Que c’est pas la première fois que tu te fais enculer
— Ben non. En fait je préfère ça à la chatte.
— Salope !
— Non. C’est toi la salope !
Et nous éclatons de rire.

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Commentaires de l'histoire :

SydBarrett
Joli récit, très excitant, et très bien écrit !
Posté le 13/03/2024


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