Durant de nombreuses semaines, Sophie et moi passions l’un à côté de l’autre, hochant la tête et arborant ce sourire amical que l’on met autour d’un inconnu. Bien sûr, j’avais remarqué que c’était une femme très attirante, mais ayant vite pris note de l’alliance à son annulaire, je ne la considérais pas encore comme une possible camarade de jeu.
Proposée le 29/08/2021 par TheBigBeard
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Aaaaahhhhh Sophie, un prénom qui me rappel aux bons de souvenirs d’une époque pas si lointaine faite de passion et de romance illicite.
Sophie et son mari, un homme stoïque et stupide dont j’ai délibérément choisi d’oublier l’imprononçable prénom, vivaient dans la même résidence que moi.
Durant de nombreuses semaines, Sophie et moi passions l’un à côté de l’autre, hochant la tête et arborant ce sourire amical que l’on met autour d’un inconnu.
Je ne lui portais pas vraiment attention au début, sinon le fait qu’elle se rendait toujours à la laverie à la même heure que moi.
Bien sûr, j’avais remarqué que c’était une femme très attirante, mais ayant vite pris note de l’alliance à son annulaire, je ne la considérais pas à ce moment comme une possible camarade de jeu.
À vrai dire, c’était davantage à cause de la proximité réelle de son mari que d’une véritable éthique personnelle contre l’adultère car pour être tout à fait honnête, si je l’avais rencontré dans un endroit plus éloigné de chez moi, je n’aurais peut-être pas été aussi réticent à devenir plus que ce simple type qu’elle croise à la laverie.
Comme pour toute nouvelle amitié, vient le jour où ces sourires impersonnels devinrent quelque chose de plus. Ce jour-là j’étais assis à la laverie en train de lire la saison 3 de la trilogie « After » d’Anna Todd.
Cela faisait environ 20 minutes que j’avais lancé ma première machine quand Sophie arriva, son panier à linge sous les bras. Nous nous sommes donné ce sourire amical et plastique comme d’habitude puis quelques secondes plus tard elle remarqua mon livre :
« Oh mon Dieu, j’adore cette série ! Je viens à peine de terminer la saison 2… je crois bien que c’était la semaine dernière… Vous devez absolument me prêter celui-la quand vous l’aurez terminé ».
Elle bouillonnait de joie et je ne pouvais m’empêcher de rire devant son excitation. Enfin voyons, cette série de livres était certes plutôt bonne, mais je n’aurais jamais imaginé rencontrer quelqu’un qui deviendrait réellement étourdi à la perspective de lire un autre drame écrit à la hâte mettant en vedette la sexy et mystérieuse Tessa.
Enfin, qui d’autre que moi bien sur…
« Avec plaisir » répondis-je en feuilletant les pages restantes. « Je dois en être aux trois quarts et d’ici demain je devrais avoir fini. Si vous voulez je peux passer chez vous pour vous l’apporter ».
Son front se plissa légèrement à l’écoute de mon offre et pendant un bref instant, l’étincelle enchanteresse dans ses yeux sembla s’estomper. Cela ne dura que le temps d’un battement de cœur, mais pendant ce court laps de temps, je pouvais voir l’hésitation et l’incertitude qu’elle ressentit face à ma tentative un peu trop osée d’être un gentleman.
« Hmmm c’est vraiment gentil de votre part et j’aimerais vraiment croyez-moi, mais mon mari risquerait de ne pas comprendre et d’interpréter les choses négativement… »
Réalisant que j’avais dépassé ses limites, j’ai levé la main tout en souriant en signe de défaite amicale.
« Je comprends parfaitement » ajoutais-je, espérant que je pourrais éviter que le moment ne devienne encore plus gênant qu’il ne l’était déjà. Je fermai ensuite le livre en annotant bien la page que je venais de terminer et le lui tendis.
« Pourquoi ne le prenez-vous pas maintenant ? J’ai une copie de « Dark romance » que j’attendais avec impatience et j’ai hâte de le commencer »
Sophie rigola vivement en prenant le livre dans sa main ? « Sérieusement ? vous lisez aussi Penelope Douglas ? nooon vous plaisantez ! »
La gêne précédente avait désormais disparu laissant place à une complicité naissante.
« Comment ne pas la lire ? Elle écrit vraiment des lignes très torride vous savez. »
Sophie rougit légèrement puis répondit « je sais » tout en riant en accord, avant d’ajouter :
« Vous savez je trouve cela vraiment intéressant qu’un homme puisse s’intéresser à ce genre de lecture ».
« Dans le bon sens du terme, rassurez-moi » lui répondis-je presque en lui coupant la parole ».
« Bien sûr, c’est une très bonne chose. Une bonne chose à laquelle mon mari ne s’intéresse pas du tout. D’ailleurs s’il le faisait, il ne m’aurait pas laissé les lire. Il serait vraiment scandalisé s’il savait de quoi parlaient vraiment ces livres ! » répondait-elle.
Son rire étant aussi agréablement lyrique que coquin, je ne pouvais pas résister de rire avec elle.
« Scandalisé ? Vraiment ? » répondis-je en haussant les sourcils en guise de surprise. « C’est dommage, votre mari ne sait pas ce qu’il rate ».
Je souriais avec espièglerie le temps que Sophie démêle le double sens à peine voilé de ce que je venais de dire et une fois qu’elle les avait compris ses yeux se sont illuminé.
Au moment où elle essaya de réprimer son sourire grandissant en se mordant la lèvre inférieure, je compris que je ne serais plus que le simple type de la laverie pour elle.
Au cours des mois qui ont suivi, Sophie et moi avions noué une amitié que je n’aurais jamais crue possible avant ce jour.
Nous avions partagé nos livres et notre amour pour la littérature de manière fusionnel et avant la fin de l’été, nous étions même devenus plus que des bons amis, chose que je n’aurais jamais cru possible du fait de l’attraction sexuelle à peine déguisé qui existait entre nous.
Je dis à peine déguisé car le sexe était un sujet omniprésent dans nos conversations. Nous le cachions derrière le mince voile de fiction des romans érotiques que nous partagions, mais grâce à eux, nous pouvions partager nos pensées et nos désirs les plus illicites sans avoir à admettre que nous nous désirions mutuellement.
Au fil du temps, je m’étais retrouvé à avoir constamment envie de sa compagnie et des échanges torrides que je partageais avec elle.
Alors que l’hiver apparaissait et que les pluies de saison commençaient à rendre la laverie de la résidence moins confortable, j’ai proposé à Sophie de déplacer notre journée lessive dans la petite cuisine de mon appartement, chose qui me semblait aussi raisonnable que peu menaçante pour elle.
En janvier, notre confort et notre confiance l’un en l’autre avaient grandi au point que nous ne partagions plus que de temps en temps les passages érotiques fantasques trouvés dans les pages de roman de seconde zone.
Sophie m’avait confié ses désirs les plus secrets et je lui ai, à mon tour, révélé mes propres aventures sexuelles passées. C’était vraiment satisfaisant de pouvoir partager des pensées aussi intimes avec quelqu’un et au plus profond de mon cœur, je ne pouvais plus nier à quel point j’avais fini par la désirer.
Au début, il était douloureusement évident que Sophie était heureuse dans son mariage et j’en étais venu à désespérer silencieusement que nos conversations ne restent rien de plus que de la pure fantaisie. Mais la vérité est que cela me hantait.
Il était évident que, aussi doux et attentionné que soit son mari, il y avait un feu en elle qu’il ne pouvait comprendre. Il était là cependant, chaud et vivant dans sa poitrine, et à chaque fois qu’elle parlait de passion brute, je pouvais voir ce désir, ce vide, qui la rongeait lentement.
Ce fut une période aussi merveilleuse pour moi que frustrante. Je pensais constamment à elle, pas par amour, parce que je n’en ressentais pas pour elle. Elle non plus, j’en étais certain.
Non, c’était la chimie que nous partagions à laquelle j’étais accro. Trois fois par semaine, je m’asseyais en face d’elle, buvant du café et fumant une cigarette pendant que je me perdais dans ma douleur de ne jamais être comblé d’une femme heureuse en mariage. C’était aussi glorifiant qu’exaspérant.
C’est par une matinée de février froide mais ensoleillée que tout a changé. Ce jour-là, j’ai pu m’apercevoir à partir de l’instant où elle m’est apparue qu’il y avait quelque chose qui la travaillait.
La légèreté qu’elle partageait d’habitude avec moi avait été remplacée par une anxiété que je ne pouvais pas tout à fait expliquer. Je savais que quelque chose n’allait pas, et c’est avec une légère appréhension que je lui ai versé une première tasse de café.
En la regardant silencieusement faire tourbillonner son bâton de cannelle dans la tasse fumante, j’ai finalement trouvé le courage de prendre sa main dans la mienne.
« Sophie, quelque chose te tracasse ? Si c’est le cas, tu sais que tu peux tout me dire. Je suis ton ami et s’il y a quelque chose que je peux faire … »
Sophie souriait tristement en secouant la tête.
« Non Ronald, je suis désolé mais tu ne peux rien faire. Mon mari et moi déménageons à la fin du mois. Je … j’aurais dû te le dire plus tôt, mais je ne pouvais tout simplement pas me résoudre à le faire jusqu’à ce que j’en sois sûr. «
» … Déménagement ? …Oh mon Dieu, je suis vraiment désolé d’entendre ça. »
Je me rasseyais sur ma chaise et passais mes mains au-dessus de ma tête, essayant de garder mes pensées concentrées sur elle pour ne pas laisser le moment se transformer en ma propre perte.
Finalement, j’avais ravalé ma surprise et j’ai enfin réussi à dire quelque chose qui ne pourrait pas être considéré comme égoïste. « Eh bien, je ne peux pas vous blâmer de vouloir sortir de ce dépotoir. Mais, qu’est ce qui s’est passé ? Où allez-vous ? »
Sophie souriait tristement.
« Au Luxembourg. Mon mari a obtenu une promotion dans son entreprise, mais cela implique de déménager là-bas. »
Que pouvais-je faire à cet instant… j’étais perdu… alors je me suis contenté de rester assis, agrippant ma tasse alors que je luttais pour contenir ma tristesse. Finalement, après un long moment d’un silence pesant, j’ai forcé un sourire qui devait paraître aussi triste que celui qu’elle portait.
« Je suppose que les félicitations sont de mise, Sophie, je suis vraiment heureux pour vous deux. Bien que… nos moments vont beaucoup me manquer. »
Les mots me semblaient creux et boiteux alors même que je les prononçais. S’asseoir là et lui dire à quel point j’étais heureux que les choses se passent si bien pour eux était peut-être la bonne chose à faire, mais au fond de mon cœur, je sentais mon aversion pour son mari se transformer en une haine bouillonnante.
C’était une réaction superficielle et égoïste, mais je l’ai quand même ressentie.
Ce qui me faisait encore plus mal, c’était de voir à quel point elle était désolée de devoir me le dire. Cette pensée, la prise de conscience qu’elle tenait tant à notre amitié, m’a profondément touchée.
Je savais que j’aurais dû être honoré par ses sentiments, mais ils ne faisaient que rendre la perte de son amitié encore plus difficile à supporter.
Oh, j’ai essayé de le nier, vraiment, mais ce qui a suivi ont été de vagues tentatives optimistes pour lui montrer avec quelle bravoure je pouvais soutenir leur décision. Mais à travers mon sourire de crocodile, je maudissais le sort qui l’avait enlevé de ma vie.
Le temps passé ensemble ce matin-là fut court, et rapidement après m’avoir annoncé son départ, Sophie me fit ses adieux, promettant qu’elle reviendrait dans quelques jours. Avant de partir, elle sortit un livre épais et en lambeaux de son sac à main et le posa presqu’à contrecœur sur la table. « C’est mon livre préféré, tu devrais le lire tout de suite. C’est … eh bien, tu verras. »
La regarder sortir ce matin-là m’avait laissé un sentiment de vide et de solitude. Lorsque la porte se referma et que le silence remplit à nouveau la pièce, je baissai les yeux sur l’exemplaire de « Sweet Savage Love » qu’elle avait laissé derrière elle.
Cette nuit-là, je me suis versé mon verre de cognac habituel et je me suis installé sur mon canapé pendant que j’étudiais la couverture usée du livre. C’était une romance typique d’Arlequin, enfin du moins.
Il avait été écrit par Rosemary Rodgers dans les années 1970 et honnêtement, je n’en attendais pas grand-chose. Ooooohhhhh, que j’avais tort.
C’était l’histoire d’une jeune femme nommée Virginia Brandon qui, après avoir grandi à Paris, avait été rappelé aux États-Unis par son père durant la guerre civile. Une fois sur place, elle se retrouva rapidement forcée d’accompagner un espion de l’armée du nom de Steve Morgan.
Étant moi-même caribéen, je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir une connexion immédiate avec cet homme et j’ai vite commencé à me rendre compte que j’étais profondément attirée par l’histoire. Ce n’était cependant que le début de ce qui s’est avéré être une surprise encore plus grande.
Jusqu’à très tard dans la nuit, j’ai parcouru les pages de ce livre en me demandant pourquoi Sophie me l’avait donné …quel message essayait-elle de m’envoyer ?
Devant ce qui me paraît être plus qu’évident aujourd’hui, je n’arrivais pas à me convaincre de la possibilité qu’elle veuille que je la prenne avec passion comme l’héroïne de ce roman.
J’avais depuis longtemps senti que Sophie possédait un besoin sexuel bien plus sauvage que son mari ne pouvait satisfaire mais le désir effréné dépeint dans ce livre dépassait toutes mes limites de gentlemen.
Je sentis une faim dévorante monter en moi alors que je terminais ce livre. À ce moment-là, je pouvais à peine respirer alors que je pensais au jour où j’allais revoir Sophie.
La pluie tombait en drap le lendemain matin, emmenant avec elle mes pensées alors qu’une tempête s’installait dans le sud du pays provoquant une fureur rarement vue dans la région.
Je savais que ce matin-là, il n’y aurait pas de rendez-vous pour notre journée lessive habituelle. Je me retrouvais donc à arpenter mon petit appartement comme un animal en cage, maudissant la tempête qui avait osé me priver du temps précieux qui me restait dans mon amitié avec Sophie quand j’entendis frapper doucement à ma porte.
Je ne me souviens pas avoir couru, mais je suis certain de l’avoir fait.
Sophie était debout sur le pallier, trempée par la rosée de pluie qui coulait sur son visage, et alors que la porte se refermait, nous nous retrouvions à quelques centimètres l’un de l’autre sans dire un mot.
« Sophie, » commençai-je, mais le regard fiévreux sur son visage me fit serrer et sécher la gorge.
Elle me regardait droit dans les yeux, un émerveillement terrifié au visage comme si elle attendait à la fois quelque chose de terrible et de sublime. Dans tous les cas, d’une manière ou d’une autre, dans ce dialogue muet nous savions tous les deux ce qu’aucun de nous ne pourrait jamais dire.
Puis, dans un essoufflement presque effrayant, elle a demandé, » Est-ce-que tu l’as lu ? »
« Oui » dis-je, alors que ma main se posait sur sa joue. Elle se blottit dedans avec un douloureux sourire.
Alors que je luttais entre mon désir d’Homme et mon attitude de gentleman, Sophie murmura :
« S’il te plaît, ne me demande pas de choisir. Ne me donne pas l’occasion de te dire non. «
À cet instant et sans réfléchir, je me dirigeai alors vers elle, la pressant contre le mur et écrasant mes lèvres contre les siennes.
Sophie me résista le temps d’une seconde. J’entends encore les impactes sourds et faibles de ses poings sur ma poitrine alors que nos corps se rassemblaient. Elle attrapa fermement le coton de ma chemise, pressant ses mains en boule contre moi comme pour me repousser alors même que ses lèvres s’entrouvraient, acceptant mon baiser dans ce qui ne pouvait être décrit que comme une reddition angoissante.
Son doux parfum et le goût persistant de la cannelle sur ses lèvres envahissaient mes sens, les marquant d’un souvenir magnifique et indélébile. C’était un souvenir qui deviendrait une source de désir dont je serais maudit d’envier à jamais, mais j’étais à ce moment submergé par la torride passion que je lui portais et qui était réprimée depuis trop longtemps.
Je savais aussi à quel point cela avait dû être difficile pour elle de venir me voir ce matin-là. Elle avait peur et j’en étais bien conscient. Peur de ce que je pourrais lui faire mais plus effrayée encore par son besoin que je le fasse.
Nous partagions un désir interdit qui se construisait depuis plusieurs mois. Pendant trop longtemps, nous nous tenions au bord d’un feu dangereux et maintenant qu’il était allumé, il brûlait avec une chaleur à laquelle aucun de nous ne voulait résister.
Dans une montée d’excitation, je saisis le poignet de Sophie et plaquai ses bras contre le mur. Mon corps se pressa alors contre le sien et ma bouche descendit jusqu’à sa gorge, suçant et mordant sa peau tendre et souple.
Son souffle devint irrégulier alors qu’elle se tortillait contre moi, ne se débattant pas tout à fait mais n’acceptant toujours pas totalement mon intime présence.
Les souvenirs de nos conversations passées me traversèrent subitement l’esprit et les images du dernier livre que nous avions partagé repassèrent devant moi. Elle m’avait, par ces manières pseudo innocentes, parlé de son désir caché d’être prise bestialement et maintenant nous savions tous les deux qu’elle le serait.
Nos corps se sont emmêlés dans une course effrénée pour se débarrasser des vêtements qui nous retenaient encore. Son manteau, ma chemise, sa jupe, mon pantalon, ils étaient bientôt tous dispersés autour de nous tandis que Sophie se tenait là devant moi, avec seulement son soutien-gorge en dentelle noire et sa culotte en forme de bavoir couvrant sa modestie.
Ses cheveux noirs, ébouriffés par mon excitation, tombaient en cascade sur ses épaules alors que ses yeux sombres brillaient comme une braise dans la nuit.
Timidement, ses bras se croisèrent sur ses seins parfaitement formés, puis elle chercha mon regard avec un air de soumission timide alors qu’elle attendait ce qui allait suivre.
« Sophie, tu es si parfaite. » Ma santé mentale était soudainement revenue et je commençais à caresser son visage quand elle secoua la tête.
» Ronald, non ! » Sa voix tremblait et ses yeux étaient écarquillés par une anxiété évidente, mais elle ne fit aucun effort pour me casser la main ou même éviter mon contact.
Mon esprit bouillonnait d’émotions conflictuelles. L’excitation et la convoitise s’enflammaient et se battaient dans mon ventre avec une retenue raisonnée alors que je ne savais pas si je devais l’embrasser ou crier de frustration.
J’hésitais un instant, essayant de m’empêcher de faire quelque chose que nous regretterions tous les deux quand elle déglutit durement et parla à nouveau.
« S’il te plaît, Ronald, ne sois pas gentil. Ne sois pas gentil avec moi je t’en supplie. » Cela avait dû être incroyablement difficile pour elle de prononcer ces mots.
Sa voix était à peine au-dessus du murmure et à ce moment-là, elle refusait encore de croiser mon regard.
« J’ai besoin de toi … J’ai besoin que tu sois un homme. Ne me demande pas de te céder. S’il te plaît, j’ai besoin que tu prennes ce que tu désires. J’ai besoin que tu me prennes. »
Ma peau me picotait et devenait chaude au fur et à mesure que ses mots pénétraient mon esprit. Je ne pense pas un jour avoir ressenti une tension sexuelle aussi puissante que celle que j’éprouvais à ce moment-là. Mon cœur battait la chamade et ma respiration refusait presque de venir.
J’avais toujours été un amant doux et sensuel et je n’avais pas du tout l’habitude d’être sexuellement dominant, mais alors que mon esprit luttait contre l’indécision, mon corps lui, se devait de donner tous les signes montrant qu’il savait ce qu’elle voulait.
Sophie restait figée contre le mur alors que mes doigts parcouraient lentement sa joue, mais quand mes caresses atteignirent son cou, elle se mit à trembler légèrement et sa tête se cambra en arrière, s’exposant à moi de la manière la plus vulnérable.
Sentant son désir monter, ma main se referma, agrippant sa gorge juste ce qu’il faut pour lui permettre de sentir ma virilité.
La sensation de puissance que cela me procurait était incroyable. Ma bite s’allongeait d’excitation alors que je la regardais se battre pour contrôler sa propre peur, son visage rougi par la tension.
À ce moment-là, je pouvais sentir que je la possédais et même si je suis totalement certain que je ne me serais jamais permis de lui faire aucun mal, je ne sais vraiment pas ce que j’aurais ensuite fait si elle n’avait pas choisi ce moment pour saisir mon sexe avec ses deux mains.
Sophie tira toute ma longueur hors de mon boxer et se mit à le caresser avec une urgence frénétique. Ses yeux se fermaient sur les bords mais s’enfonçaient toujours dans les miens alors qu’elle tirait de plus en plus fort sur mon gland.
C’était comme si elle me suppliait de céder, de la libérer et de lui permettre de me satisfaire. J’ai relâché ma prise, récompensant son abandon, puis j’ai amené ma bouche si près de la sienne que je pouvais goûter son souffle.
Nos lèvres se sont touchées puis nous nous sommes embrassés avec une passion qui brûlait mon corps d’un feu charnel. Ses lèvres étaient humides et sa petite langue était si douce et chaude alors qu’elle dansait contre la mienne.
J’ai mordillé et sucé sa lèvre inférieure jusqu’à ce que ses caresses sur ma queue se transforment en une pression de compression correspondant au serrage de ma main sur son cou.
Ma main gauche restait sur sa gorge alors que nous nous séparions, me permettant de sentir la chaleur lancinante de son sang qui palpitait sous ma prise pendant qu’elle ravalait nerveusement son excitation.
Sophie continuait pendant ce temps de serrer et tirer lentement sur mon sexe alors que je me rapprochais de nouveau. Pendant un long moment, nous nous sommes tenus à quelques centimètres l’un de l’autre, se regardant droit dans les yeux.
Ma main droite se posa ensuite sur sa hanche, lui chuchotant à l’oreille :
» Tu veux que je te fasse l’amour ? «
Sophie secoua légèrement la tête.
« Nnnnnnon. »
Sa voix était calme et tendue alors qu’elle luttait contre ma prise sur sa gorge.
« Non ? » Dis-je, chuchotant toujours à son oreille. « Mais tu es venue ici avec ça ? »
Je commençais alors à jouer avec la ficelle de sa culotte de mon autre main, glissant à peine mes doigts sous le tissu fin.
Sophie tremblait de plus en plus, son corps tout entier remuant sur ses pieds. Je pouvais entendre son souffle venir du plus profond de sa poitrine quand elle a dit « Oui ».
« Tu voulais que je te voie dedans hein ? »
« Oui. »
« Je vais te baiser, tu le sais, n’est-ce pas ? » Ce n’était pas vraiment une question et alors que je le disais, j’ai glissé ma main plus profondément dans sa culotte jusqu’à ce que je sente mon doigt sur sa fente.
OMG, elle était trempée !!!
Quand mon doigt rentra en elle, les mains de Sophie se levèrent sur mon buste.
« Ouiiiiiiiiii, » dit-elle finalement avant d’écarter les cuisses, me permettant d’enfoncer mon doigt plus profondément en elle. Cette soudaine pénétration la fit gémir nerveusement, ses yeux morts d’un mélange de faim et de peur.
Mon corps la dominait et la pressait contre le mur alors que je dessinais de rapides cercles autour de son clitoris. Bientôt, elle se retrouvait quasiment appuyée contre moi, ses bras tenant les miens alors que je maintenais ma prise sur son cou.
Avec une main entre ses cuisses et l’autre la maintenant pressée contre le mur, Sophie était prise entre la pression de la retenue et le précipice plongeant de l’orgasme. Elle roula ses hanches, s’appuyant sur mes doigts et son corps se crispa à mesure que le tempo de mes caresses intimes augmentait.
Je n’avais jamais rien vu ni fait de tel. La vitesse à laquelle son corps répondait à mon toucher m’étonnait, et bientôt son bassin commença à fléchir.
Les yeux de Sophie roulèrent ensuite en arrière et elle se remit à trembler. Un gémissement s’échappa de ses lèvres malgré la pression sur sa gorge et là, contre le mur, l’orgasme de Sophie s’écrasa en elle.
Quand finalement je relâchais ma prise sur elle, Sophie jeta ses bras autour de mes épaules et à bout de souffle, se laissa lentement tomber à genoux devant moi. Ses yeux rencontrèrent brièvement les miens, puis son regard tomba jusqu’à ce qu’il se fixe sur ma queue en érection.
Sans un mot, elle se saisit à nouveau de ma bite, m’obligeant à poser mes mains sur le mur et me courber alors qu’elle prenait ma turgescente longueur dans sa bouche.
Sophie suçait ma tige palpitante de plaisir avec un abandon brut, se régalant de mon fluide avec une passion animale qui me faisait tourner la tête. Ma main conduisait sa bouche de haut en bas le long de mon outil, suçant et tirant sur ma queue avec une intensité à laquelle j’étais certain de ne pas pouvoir résister longtemps.
La sensation de sa langue chaude et humide glissant sur mon gland me fit grogner d’un plaisir sauvage.
« Oh putain, Sophie. Ça fait du bien ! » lui ai-je chuchoté alors qu’elle retirait mon sexe de sa bouche assez longtemps pour sourire à bout de souffle avant de répondre :
« Mmmmmmm, Ronald, j’aime le goût de ta queue dans ma bouche. » Puis elle serra mon membre et se remit à le caresser de plus belle. « Ta bite est si bonne. Elle est juste parfaite à sucer … »
Le visage de Sophie brillait d’excitation alors qu’elle retirait mon boxer et me léchait doucement les bourses. L’humidité soudaine et chaude de ses lèvres sur cette partie de mon intimité me projeta dans une délicate étreinte qui m’emmenait doucement vers l’extase.
» Oh merde, ça fait du bien ! Tu vas me faire jouir si tu continues ! » disais-je tout haletant d’excitation tandis qu’un frisson parcourut mon corps, provoquant un gémissement rauque.
L’image érotique de Sophie travaillant avec passion sur ma bite me brûlait l’esprit et je ne pouvais que m’émerveiller devant cette vision. Son petit corps se balançait d’avant en arrière avec une grâce érotique et son dos souple se cambrait de manière séduisante à chaque fois qu’elle avançait.
Plus que tout, c’est la vue de ses cheveux épais et sombres tombant sur ses épaules et traînant sur sa peau olive qui m’éveillait, presque au-delà de la simple sensation physique de son toucher.
« Enlève ton soutif», lui ordonnai-je de toute urgence en poussant mon sexe hors de sa bouche afin d’éviter que je ne perde tout contrôle.
Sophie quant à elle était à bout de souffle, aspirant la salive de ses lèvres pulpeuses. Ses yeux me fixaient docilement alors qu’elle tendait la main dans son dos afin de libérer les crochets qui maintenaient son soutien-gorge fermement fixé sur ses seins.
Le faisant glisser le long de ses bras, elle se rassit sur ses hanches et caressa sensuellement ses seins.
« Pince-les, Sophie. Rends-les durs pour moi. » Ai-je chuchoté.
« D’accord, » murmura-t-elle, puis elle se mit à gémir doucement alors qu’elle commençait à faire délicatement rouler ses bourgeons couleur caramel entre ses doigts.
» Tu les aimes ? » demanda-t-elle sexuellement en tirant sur ses tétons désormais distendus.
» oui ! je les adore. »
Je pouvais voir à quel point elle aimait le simple fait de se toucher alors qu’une nouvelle vague de désir m’envahissait. Je tendis la main et pris son menton en coupe, levant ses yeux vers les miens :
» Garde tes bras dans le dos. Montre-moi ton corps. Montre-moi à quel point tu me veux. »
Silencieusement, Sophie s’agenouilla et verrouilla ses petites mains dans son dos.
Mon Dieu, woaw, c’était comme-ci j’admirais une œuvre d’art. Elle était là, agenouillée sur le sol, cambrant son corps dans un affichage intime uniquement destiné à mon plaisir.
Pendant un long moment, elle soutint silencieusement mon regard pendant que je lui offrais ce sulfureux plaisir, puis, mes mains se sont déplacées et mes doigts ont balayé son épaisse chevelure.
J’ai alors poussé mes hanches vers l’avant, portant à nouveau ma queue à sa bouche.
» Garde tes mains en arrière, utilise juste ta bouche ! » Lui ordonnais-je. « Ouais, c’est ça, comme ça. Je meurs d’envie de baiser ton joli visage Sophie. »
Sophie marmonna quelque chose mais ce n’était qu’un gémissement confus à mes oreilles.
Je tenais fermement sa tête, la contrôlant, alors que sa bouche me prenait entièrement. Je pouvais la sentir convulser, mais elle gardait consciencieusement ses bras verrouillés derrière elle alors que je forçais de toute ma longueur vers le fond de sa gorge, allant à chaque coup plus profondément.
Je voulais voir ce qu’elle pouvait supporter et Sophie prenait chaque coup avec une obéissance nostalgique dans les yeux. Son visage rougissait et sa salive coulait de sa bouche, mais jamais, elle n’essaya de m’arrêter.
Je pouvais presque deviner ses pensées. Elle se demandait ce que j’allais faire, si je continuerais à lui baiser la bouche et lui offrir mon sperme, ou si je ferais durer le moment en comblant ses orifices.
Je dois bien admettre que j’étais cruellement indécis. La pensée de voir mon sperme blanc nacré éclabousser les délicates courbes de ses seins couleur olive ne faisait qu’accélérer ma circulation sanguine, mais autant que je le désirais, je ne pouvais pas laisser cela se produire.
En effet, je craignais que durant la pause post-sexe, Sophie ne se rappelle à quel point ce que nous faisions était mal. Je savais qu’elle était toujours en conflit avec elle-même, et je ne pouvais pas prendre le risque que ces pensées ressurgissent et nous privent de ce moment dont nous avions tous les deux tant besoin.
» Ça suffit ! » Grognais-je alors avec frustration en poussant ma tige hors d’elle.
Sophie se rassit alors sur ses hanches en me regardant avec surprise.
« Quoi ? Qu’est qu’il y a ? Je veux que tu … Je ne veux pas, je ne veux pas m’arrêter ! » Me lançait plaintivement Sophie, pleurnichant presque alors que ma queue tremblait devant elle.
Avant qu’elle ne puisse saisir mon sexe, je pris sa main dans la mienne :
» Oh, ce n’est pas terminé ma belle, je ne veux juste pas finir ici dans l’entrée, » dis-je en l’embrassant.
Puis je l’ai soulevée et je l’ai prise dans mes bras
» Le parquet froid n’est pas une place pour nous. Je te veux dans mon lit. «
Sophie me sourit et gémit en signe d’accord alors que je l’embrassais doucement, la rassurant du mieux que je pouvais. Elle m’a rendu mon baiser puis s’est blottie dans mes bras pendant que je me dirigeais vers le couloir.
Son petit corps était en apesanteur dans mes bras, ce qui la fit joyeusement rire au moment où je la jetai sur le lit.
Une fois posée, elle rampa sur ses genoux, m’invitant à m’installer derrière elle. J’ai baissé sa culotte, pouvant à peine me contenir alors que je tirais le tissu transparent le long de ses cuisses.
Sophie poussa un cri de joie en me sentant tirer le petit morceau de lingerie et elle se tortilla pour m’aider à le dégager plus rapidement.
Puis, dans un mouvement souple, elle souleva ses fesses et enfouit sa tête dans l’oreiller, offrant clairement son corps pour mon plaisir et exposant son intimité à mon regard.
» Tu es tellement sexy comme ça, » murmurai-je en la caressant doucement, appréciant simplement la chaleur de sa peau.
Son petit cul était si lisse et ferme sous mon toucher que je ne pouvais résister à l’envie de me pencher et de le mordiller légèrement. Sophie roucoula et secoua les fesses, me contemplant avidement pendant que je la savonnais de baisers.
Je me suis ensuite relevé et avec un sourire diabolique en coin, je lui ai mis une tape sur le cul.
Les yeux de Sophie s’écarquillèrent.
« Oh, tu un mauvais garçon ! » dit-elle en cambrant un peu plus les fesses.
« Je t’ai toujours dit que j’étais un gentleman, pas que j’étais un gentil garçon ! » lui répondais-je alors que je giflais à nouveau son cul, la faisant sursauter.
« Oh putain, je savais que tu allais aimer mon cul. Tu veux me faire mal c’est ça ? alors fais-le ! Fesse-moi, Ronald ! tape mon cul ! «
Il y avait une faim lubrique dans sa voix qui résonnait profondément en moi alors que je la claquais à nouveau, me délectant du frémissement qui la traversait de manière incontrôlable.
Sophie serrait les dents et se tortillait à chaque coup, ses mains agrippants les draps alors qu’elle luttait contre l’envie de ramper. Ce n’est que lorsque la couleur de sa peau tourna en une nuance de rouge vif que j’ai cédé et massé doucement la piqûre.
Les cris de Sophie se transformèrent alors en gémissements sous l’effet de mes caresses, soupirant même parfois alors que j’embrassais légèrement chaque joue rougeoyante.
Alors que je m’affairais sur ses flancs, Sophie roula ses hanches vers le haut, m’invitant à la pénétrer par-derrière.
» Mmm, arrête de me taquiner, Ronald. Je veux ta bite en moi. «
Mon cœur battait la chamade en voyant sa cambrure et mon souffle se coinça dans ma gorge. Il y avait encore tellement de choses que je voulais faire avec elle avant de la pénétrer, mais le désir dans sa voix était impossible à résister.
» Alors ma camarade de lecture est une petite salope, hein ? «
« Mmmmmm aujourd’hui oui, traite-moi comme tel. » Me lança-t-elle d’un ton solennel.
Ma queue était chaude et rigide entre mes doigts alors que je me plaçais derrière Sophie, mouillant subtilement mon gland à l’aide de ma salive pour faciliter notre union. Une fois mon sexe arrivé à l’entrée de sa fente humide de plaisir, Sophie l’agrippa et le guida en elle.
Je ne saurais décrire précisément ce que j’ai ressenti la première fois que j’ai pénétré sa délicieuse enveloppe charnelle. Elle était très mouillée, mais je pouvais quand même sentir sa petite chatte forcer face à ce premier assaut, me laissant à peine insérer 10 cm de ma longueur avant de devoir reculer.
Les parois lisses et saisissantes de son vagin moulaient autour de ma tige et tiraient délicieusement sur mon gland alors que je commençais de petits vas et viens.
La sensation de douce pression humide sur ma queue me fit siffler de plaisir quand d’un coup sec je pus enfin me plonger complètement en elle.
À ce moment-là, la douce étreinte de son vagin s’était conformée à la forme de ma queue et celle-ci la caressait au plus profond de ses entrailles. Je tenais alors fermement ses hanches, la ramenant sur toute la longueur de mon sexe au rythme de mes énergiques ondulations.
La sensation viscérale de ma tige étroitement caressée et la vue de son corps se tordant à chaque coup de queue enflammaient mon excitation déjà brûlante et quand bientôt, ses gémissements commencèrent à correspondre au rythme fervent de mes poussées dans un concerto érotique, mon sang ne fit qu’un tour.
Ses miaulements créaient une mélodie excitante qui fusionnait parfaitement avec le grincement subtil du lit et le métronome de plus en plus rapide de ce dernier cognant contre le mur, signe d’une luxure débridée.
À ce moment-là, je voulais seulement la prendre aussi fort que possible, voir son corps se tordre et entendre les sons loufoques et torrides de son imminente libération orgasmique.
« Ohhh ouais, Ronald, c’est ça ! Juste comme ça ! Juste là, bébé. Oh ouais, juste là ! Baise-moi, baise-moi plus fort ! » La voix de Sophie se tendit contre le stress de son corps qui secouait violemment pendant que je martelais mon outil dans sa chatte torturée.
L’humide brillant de son jus recouvrait ma bite et bavait le long de ses cuisses, lubrifiant mes frénétiques assauts.
Je n’ai aucune idée de comment j’ai réussi à durer aussi longtemps devant un tel spectacle, mais quelques instants plus tard, un gémissement sourd et puissant s’échappa de ses lèvres et un frisson palpable passa sur son corps.
Je me suis alors profondément enfoui en elle pendant qu’elle venait, savourant les contractions humides et palpitantes qui ondulaient sur ma queue. Après avoir relâché ses bras, Sophie se mit à trembler de façon incontrôlable alors que son orgasme frissonnait à travers elle.
Quelques instants plus tard, elle s’effondra dans l’étreinte satinée des draps, mais la puissance brute de son orgasme avait enflammé mon excitation au-delà de tout contrôle. J’ai alors ramené ses jambes autour des miennes, son corps plaqué en dessous du mien, puis je l’ai baisée sauvagement jusqu’à ce que je sente la décharge tonitruante de ma propre libération.
La chaude pression qui s’accumulait à l’intérieur de moi explosait enfin et des vagues de plaisir brut coulait le long de mon sexe.
« Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu … » J’entendis Sophie répéter alors que le rugissement de mon orgasme passait.
Je glissai ensuite de son corps et la serrai dans mes bras, espérant la réconforter dans ce moment chargé d’émotion.
Sophie roula sur le côté puis se jeta contre moi en enfonçant sa tête contre mon épaule.
» C’était incroyable ! » dit-elle enfin. » Je pense que je vais avoir mal pendant une semaine. «
Nous avons tous les deux ri, puis, j’ai glissé ma main entre ses cuisses, jouant légèrement avec sa chatte.
» Tu es toujours aussi trempé quand tu fais l’amour » Demandais-je alors que je plongeais mon majeur en elle, la faisant tortiller délicieusement. Puis j’ai brandi mon doigt mouillé devant ses yeux pour qu’elle puisse voir sa rosée luisante.
» Ce n’est pas uniquement ma mouille, tu sais. » dit-elle avec espièglerie, se blottissant contre moi.
J’ai alors porté mon doigt enduit de fluide à ma bouche et l’ai aspiré. » Mmmmmm, c’est vrai, ce n’est pas uniquement la tienne ! «
Les yeux de Sophie s’écarquillèrent alors qu’elle me regardait apprécier la délicieuse saveur de notre plaisir.
» Mon mari n’aurait jamais fait ça, il est trop coincé » Sa voix s’éteignit comme si elle regrettait instantanément de l’avoir dit.
» Tu sais, je ne serais pas étonné d’apprendre que l’idée de goûter son sperme lui ai déjà traversé l’esprit ».
Sophie se retourna pour me faire face et mit ses mains sous son menton. » Moi, Je te dis que non, il ne me lèche même pas, alors goûter son sperme… non jamais. «
J’étais vraiment abasourdi par ce que je venais d’entendre.
» Tu plaisantes ! Il ne te fait jamais de cunni ? «
Sophie secoua légèrement la tête.
« Non. Il dit que c’est impur. Je pense que ça vient de son éducation, ses parents étaient très pratiquants et la religion était au centre de leur foyer… Nous ne pratiquons pas nous même, mais il a toujours une vision très pieuse du monde qui l’entoure. »
» Donc ses parents lui ont interdit de bouffer des chattes ? » J’essayais de paraître sérieux en disant cela, mais je ne pouvais tout simplement pas rester impassible, alors Sophie me donna une tape sur l’épaule de manière ludique.
« Oh, arrête ça t’es bête hein ! La religion est une croyance parfaitement morale, il se trouve juste qu’il a certaines restrictions sur la propreté qui je pense lui ont donné une sorte de complexe ou quelque chose dans le genre. »
» Mais attend… ça veut dire que tu ne t’es pas fait lécher depuis … »
» Oui, depuis que je suis avec lui ». Finissait-elle par avouer.
Je ne pouvais simplement pas y croire. Mais quel crétin, pensais-je. Il avait l’amour de cette magnifique créature mais il refusait de lui offrir ce délicieux plaisir. Quel con !
« Bah moi je ne suis pas lui ! » Disais-je en la retournant rapidement sur le dos.
Sophie hurla de surprise alors que je la tirais plus près de moi en lui écartant les cuisses.
L’expression sur son visage était un délicieux mélange d’excitation et de surprise alors que je souriais malicieusement en me glissant entre ses cuisses.
C’était la première fois que je voyais son intimité d’aussi prêt. Ses lèvres, épaisses et gonflées, brillaient par la combinaison de nos fluides mélangés.
Tout en remontant ses cuisses contre ses seins, je me léchai les lèvres en prévision de ce que je prévoyais pour elle.
Sophie sentit mon souffle se répandre sur sa peau et son regard de surprise se transforma en un regard de respect.
» Tu es sérieux, mais tu viens juste de, enfin nous… «
Je grognai un rire et lui jeta un regard de défi : » Je pense que tu oublies à qui tu parles. «
« Ahah si ça ne te dérange pas le goût de ton … Ohh, putain c’est bon ça ! »
À ce moment, ma langue sortit et glissa profondément à travers ses lèvres. Le souffle de Sophie se fit entendre avec un sifflement aigu, la coupant au milieu de sa phrase et faisant taire les dernières réserves qu’elle aurait pu ressentir.
Ma langue tourbillonna autour de son clitoris avec une intention diabolique, puis m’éloignant légèrement, je traînais une ligne de baisers humides sur sa cuisse.
« Mmmmmmmm, ne t’ai-je pas dit que je m’en foutais de la crème sur le cookie »
Sophie me regarda avec une intensité brûlante alors que j’embrassais et mordillais doucement l’intérieur de ses cuisses. Pendant ce temps, sa poitrine montait et descendait au rythme de son souffle et de la tension qui montait crescendo à l’intérieur de ses cuisses.
Pendant un long moment, j’ai soigneusement évité sa chatte, m’attardant sur les contours de sa vulve. Ensuite, glissant mes mains le long de ses cuisses, j’ai doucement écarté ses lèvres provoquant l’apparition de sa chair rose vif.
Elle était trempée et se tortillait sous mes baisers. Quand mes lèvres effleurèrent son clitoris, ses hanches se roulèrent, essayant de rapprocher son sexe de ma bouche.
Son goût était doux et épais et je léchais son jus avidement pendant qu’elle se tordait dans mes bras.
L’odeur de son excitation monta autour de moi comme un brouillard, enveloppant mes sens alors que je me dirigeais vers son clitoris, la faisant gémir dans l’urgence de son désir.
Bientôt, ma bouche se referma sur son sexe tremblant et ma langue commença à tourbillonner avec une lenteur délibérée qui je savais, allait bientôt la conduire au bord du gouffre.
Mon cœur battait dans ma poitrine alors que je sentais son corps s’étirer et se narguer dans mes bras. Mon estomac se retournait d’excitation alors que je regardais son moment se rapprocher.
Quelques instants plus tard je la vis mordre sa lèvre inférieure et sa tête se cambra érotiquement dans l’oreiller. Elle se tordit durement dans mes bras, griffant le lit, puis tout son corps convulsa alors que l’orgasme que j’avais si soigneusement conçu explosa soudainement en elle.
» Ronald, arrête ! S’il te plaît, arrête ! Oh mon Dieu, je n’en peux plus ! » me suppliait-elle en riant fort.
Après un dernier baiser sur sa chatte, elle replia fermement ses jambes avec ses mains entre elles et roula son corps en position latéral de sécurité.
« C’était incroyable, j’ai tellement joui ! »
Le corps de Sophie semblait briller alors qu’elle commençait à peine à se détendre. Elle me regardait avec un air d’adoration que je ne pourrais jamais oublier alors que j’embrassais sa jambe et caressais sa cuisse, me prélassant dans ce moment spécial, sachant bien évidemment que je lui avais offert une expérience dont elle avait désespérément envie.
Tout était parfait sur le moment… sauf que je continuais à bander comme un fou. De toute manière, je savais bien que je ne verrais plus jamais Sophie après ça, alors j’étais bien décidé à faire durer l’instant présent
Je me suis déplacé sur son corps chaud, embrassant son ventre puis pris son téton dans ma bouche. Jusque-là, je n’avais pas eu la chance de prêter une attention appropriée à ses magnifiques seins. Juste assez grandes pour remplir ma main, elles étaient parfaitement proportionnées à sa minuscule silhouette.
Sophie tourna son corps vers moi, m’offrant sa poitrine dans un joyeux abandon. Je me souviens avoir embrassé et sucé chaque téton jusqu’à ce qu’ils soient tous les deux des bourgeons distendus, durs et assez longs pour rouler sous mes paumes.
Quelques instants plus tard, nous nous sommes embrassés langoureusement et au moment où nous décollions enfin nos bouches l’une de l’autre, j’avais déjà décidé que je prendrais encore du plaisir avec ma merveilleuse camarade de lecture.
La faisant rouler sur son ventre, je l’installais sur ses genoux. Sophie souleva ses hanches de manière accueillante alors que je me déplaçais derrière elle, lui gloussant un petit
» Mmmmm, déjà prête pour le deuxième round ? »
Oui, mais promets-moi que tu iras doucement avec moi cette fois, je ne sais pas si mon petit minou tiendra le choc cette fois. «
» Ne t’inquiète pas pour ta chatte, ce n’est pas elle que je veux ! » lui répondais- je en lui écartant les fesses et en lui donnant un grand coup de langue depuis sa chatte jusqu’à son petit trou.
» Putain c’était quoi ça ? tu me lèche le cul ? » Bafouillait-elle dans un long gémissement
En réponse, je crachais une boule de salive directement sur son petit trou, puis je le sondais avec ma langue, la faisant tourner et tourbillonner en elle.
» Ronald, t’es un petit cochon toi … tu t’occupes si bien de moi… merciiiiiiiiiii » La voix de Sophie se transforma en un soupir prolongé alors que les sensations insidieuses de ma langue glissant sur son bouton de rose grandissaient.
Lentement, elle commença à se détendre et son corps s’enfonça plus profondément dans les draps. Ses jambes, écartées de manière séduisante, s’ouvraient, alors que ses hanches se recroquevillaient, ouvrant son cul aussi largement qu’elle le pouvait.
Ses muscles se détendirent lentement alors que mon massage humide continuait à l’exciter.
Sophie se mit à gémir doucement, me poussant à continuer avec des gémissements aigus.
« Je ne peux pas croire à quel point ça fait du bien. Ne t’arrête pas, bébé. Ne t’arrête pas ! Oh ouais, juste là ! Oh putain, putain, c’est boooooon. »
Sophie dérivait totalement alors que son troufignon se dilatait de plus en plus sous mes coups de langue. Elle ne tenait plus en place et de là, j’ai pu entendre sa petite voix prononcer les mots je mourais d’envie d’entendre :
« Ronald, baise mon cul ! »
J’ai immédiatement arrêté de la lécher et je l’ai doucement pénétré avec mon pouce.
» Sophie, tu l’as déjà fait ? » lui demandais-je avant de continuer quoi que ce soit.
Sophie me regarda et secoua légèrement la tête.
» Non et toi ? «
» Oui » répondis-je doucement, essayant d’être aussi rassurant que possible.
« J’aimerais essayer avec toi. Juste une fois, une seule fois avec toi. Je n’aurai plus jamais l’occasion d’essayer. »
Je l’embrassais doucement sur le haut des fesses.
« Je serai aussi doux que possible. Fait moi confiance. »
« Je sais, je suis prête. »
J’étais dur comme une poutre quand j’ai finalement commencé à m’enfoncer en elle. À ce moment-là, j’avais enduit mon sexe de lubrifiant mais je passais un temps angoissant à essayer de la pénétrer, ne voulant en aucun cas la blesser. Malgré toute ma préparation, je devais de m’assurer qu’elle soit totalement détendue et prête, c’était la seule chose qui comptait à ce moment-là.
Sophie n’avait jamais pratiqué la sodomie auparavant et le fait de n’avoir jamais pratiqué signifiait qu’elle ne comprenait pas encore comment lâcher prise et accepter mon intrusion intime.
Je me suis alors installé en cuillère derrière elle, avec mon bras soutenant sa tête. Nous nous sommes embrassés et caressés, nous rassurant que c’était ce que nous voulions tous les deux. Puis, presque sans prévenir, son corps a soudainement abandonné sa résistance et s’est ouvert pour m’accueillir.
Je la sentis grimacer et un léger cri aigu sortit de sa gorge alors que ma taille commençait à se déplacer dans ses ténèbres.
» Aïe, bébé ça fait mal. Vas-y doucement, lentement, comme ça, oui voilà. »
Sophie se tendait et se tordait alors que je me tenais aussi immobile que possible, la faisant taire doucement.
» T’inquiète ça va aller détends-toi ma muse »
Je m’enfonçais aussi lentement que possible en elle, poussant à peine alors que je lui murmurais des mots pour la rassurer. Bientôt, je sentis ses gémissements se transformer en soupir, relâchant suffisamment la prise de son corps sur ma queue pour que je glisse plus loin.
Sophie haleta chaudement quand toute ma longueur glissa profondément dans son cul, libérant notre plaisir de sa prise. Je sentis l’anneau serré et restrictif de ses muscles saisir ma tige alors que je glissais dans les recoins les plus doux de son corps et que ma maîtrise de soi se brisait.
La faisant rouler sur le ventre, j’ai pressé le corps de Sophie contre le matelas et agrippé ses cheveux alors que je commençais à la baiser sérieusement.
J’utilisais toute ma force pour enfoncer ma bite aussi profondément en elle que je le pouvais. Mon excitation était totale et j’étais sur la bonne voie pour atteindre un incroyable orgasme.
À travers le grincement du lit et les sons humides de ma queue entrant et sortant de son cul, je pouvais entendre Sophie m’inciter à jouir. Je sentais une pression bouillonnante monter dans mon ventre alors que mon sperme commençait à jaillir.
Je me suis alors enfoui en elle aussi loin que ma longueur me le permettait et j’ai pulvérisé mon fluide dans son corps tremblant.
Quand j’ai enfin ressorti ma bite, Sophie s’est tournée vers moi, enfouissant son visage dans ma poitrine.
« Wow, Ronald. C’était incroyable. »
Sentant la pression redescendre, je l’embrassai tendrement.
« ah oui c’était super, » lui dis-je. » Mais tu mérites tellement plus, tu sais «
Après cela, nous nous sommes douchés et nous avons refait l’amour cette après-midi-là. Du sexe doux et sensuel qui convenait mieux à ma nature.
Je me rappelle encore lui avoir demandé si elle avait mal avant qu’elle ne parte.
« Ouais, ça fait mal mais ça va, c’est ce que je voulais, je suis venu pour ça ». » me répondit-elle en me souriant et caressant mon visage.
Quand elle vît ma confusion, elle m’embrassa et me regarda dans les yeux avec ce que je ne pouvais qu’appeler de la tristesse.
« Tu es tellement gentil Ronald. Tu aimes te considérer comme un mauvais garçon mais en fin de compte, tu es un homme tout ce qu’il y a d’attentionné et à l’écoute. Merci pour ce merveilleux moment, je ne t’oublierai jamais. «
Et voilà c’était fini, Sophie s’en est allé sans jamais se retourner. Trois jours après, son appartement était vide et je ne l’ai plus jamais revu.
Érotiquement, The Big Beard.
Ps: Si vous avez appréciés cette histoire, faites le moi savoir en commentaire ou en privée, j'ai hâte de lire vos retours ;)
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Hummmmm j'ai adorée
Posté le 4/09/2022
Philippe
Superbe histoire, semble réelle. Merci !
Posté le 3/04/2022
Marcofr66
Super récit ! très agréable à lire !
Posté le 18/09/2021
Anonyme
Super histoire ! Très érotique ! La profondeur de la passion y est très bien décrite.
Posté le 6/09/2021
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