C’était censé être un simple week-end de retrouvailles automnales entre anciens collègues. Le vin et les désirs enfouis l’ont transformé en bacchanales.
Proposée le 23/11/2020 par Malavita
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
C’était censé être un simple week-end de retrouvailles entre anciens collègues. L’automne entamait lentement les forêts et les vignes, dans ces dégradés de couleurs vives et pâles, les oranges brunis et les rouge écarlates. J’avais hâte de les retrouver, leur faire visiter ma région, et découvrir avec eux mon paysage familier d’une autre manière. Mais au fond de moi j’espérais quelque chose de moins banale, de plus approprié à la saison ; légèrement bacchanale…
Cela faisait presque deux ans que je ne les avais pas revus. Nous nous étions rencontrés dans les bureaux de cette start-up un peu merdique située à Budapest. Eux y étaient stagiaire, moi c’était mon premier taff sérieux après les études. Malgré l’ambiance jeune et internationale qui régnait dans le bureau, nous avons fait ce que les français savent faire de mieux, nous avons sympathisé et sommes restés entre nous : deux nanas, Émilie et Alissa, et deux mecs, Marco et moi,
À cette époque, j’avais une copine. Alors je m’efforçais de faire comme si la tension sexuelle entre Alissa et moi n’existait pas. Je me suis surpris plus d’une fois à l’imaginer nue. D’habitude les femmes un peu grande profite d’un amincissement naturel. Mais sous les vêtements amples de Alissa on pouvait deviner quelques bourrelets succulent. Non point qu’elle fut grosse, mais ses petits excès d’étudiante l’avait légèrement arrondi, laissant deviner un corps qu’on aurait plaisir à empoigner avec force, et à en sentir la texture souple et généreuse. Comme une belle pâte qu’on pétrit, quand on sent autour des doigts qui se referment, cet excédent qui vient couvrir les maint d’une chaleur hypnotique. J’aimais m’imaginer différemment cette nuit que j’avais passer sur un matelas gonflable au pied de son lit, alors que je n’avais pas encore trouvé d’appart’ . Et si il n’y avait pas eu de matelas gonflable ? Mais j’avais une copine ! Et bien heureusement, elle a fini par fricoter avec Marco ; me laissant libre du poids du désir, qu’elle jetait quelques fois sur moi.
Quant à Émilie, derrière une apparence banale se cachait une chaleur qui m’a fait réfléchir à deux fois avant de prendre un dernier verre en sa présence. J’ai pu sentir son aura fougueuse lors d’un week-end que nous avions passé à trois avec Alissa à Vienne, quand dans l’intimité du Air B’n’B que nous avions loué, elle se laissait voir dans des débardeurs qui me laissaient apprécier sa chaire et l’extrême sensualité qui se cachait derrière cette brune discrète. Pas de formes arrogantes, mais une belle harmonie verticale conjuguée à une peau lisse et ferme qui invitait aux caresses. Je me représentais bien sa petite poitrine tendues, des petits seins qui occupent parfaitement tout l’espace de la bouche quand on veut bien les sucer. En parlant de sucer, peut-être que ce qui m’excitait chez elle, c’était cet air dans le regard semblable à celui d’une amante passée, qui avait comme particularité d’engloutir mon sexe jusqu'à sa base, me fixant droit dans les yeux avec vice et malice pour me dire « Elle est toute rentrée, tu peux me jouir dans l’oesophage maintenant ». Malgré tout, j’ai su rester fidèle, et c’est peut être ainsi qu’on a pu permettre à notre amitié de grandir sans entraves ; les interactions sexuelles sont bien souvent cause d’éclatement des petits groupes d’amis. C’est donc avec un pincement au coeur que j’ai quitté cette joyeuse troupe, et nous voilà 18 mois plus tard.
Maintenant, je suis célibataire, et j’ai proposé à Alissa de me rendre visite… En imaginant bien plus que des simples retrouvailles amicales : je la baiserais dans tout mon studio avec toute la force qui m’avait servi à contenir mon ardeur pour elle à Budapest. Elle me sucerait avec un plaisir terriblement humide, ses petites lunettes rondes toujours posées sur le bout de son nez fin. Puis je verrais ce même visage, à une distance où les haleines chaudes se touchent, ma main gauche remonter délicatement la monture de ses lunettes sur son front pour maintenir ses cheveux, et ses yeux d’azur profond se révulsant à chacun des coups de ma bite que j’enfoncerais avec vigueur dans sa chatte généreuse. J’adorais cette vision, ces lunettes relevées façon jeune secrétaire sérieuse qui prend plaisir à commettre une bêtise. Une bêtise dont on ressort en se disant «On dira rien, hein ? ». Mais je ravisais mes fantasmes, et j’imaginais plutôt des stratagèmes pour lui laisser entrevoir mon plaisir au compte goutte. Et puis je me rappelais de l’amitié pour mes anciens collègues, et que des retrouvailles en groupe seraient très appréciées de tous !? J’ai donc proposé à toute la troupe un week-end de retrouvailles. J’espérais leur arrivée prochaine, j’appréciais vraiment beaucoup ces p’tits jeunes et leur présence. J’organisais alors mentalement leur venue. Si tout le monde venait, deux lits devraient être suffisant. La bonne conduite voudrait que je dorme dans mon lit avec Marco, et que je déplie le clic-clac juste à côté pour les filles. Et si Marco avait envie de remettre le couvert avec Alissa ?? Je serais donc dans le lit avec Émilie… Et si Alissa avait envie de se glisser dans mon lit ?? Cela laisserait Marco et Émilie dans une affaire inédite !? À force de mélanger les possibilités, je suis parti d’un casse tête d’hôte attentionné aux fantasmes d’un ami un peu trop coquin.
Le premier jour de leur arrivée, après avoir passé notre après-midi dans les vignes, à visiter des caves vinicoles et déguster tout types de breuvages, nous sommes rentrés chez moi accompagnés de quelques bouteilles, déjà légèrement ivres. Il faut s’imaginer mon studio : passée la porte d’entrée, un court couloir laisse la salle d’eau sur la gauche, et mène à la pièce principale, grande et rectangulaire, d’à peu près 20m², un meuble haut et traversant dans le prolongement du couloir, séparant le lit à droite d’un espace salon à gauche. Devant le meuble entre les deux espaces, nous quatre, les visage rougis par l’alcool et dans la joie des retrouvailles, bouteilles et verres à la main. La chaleur qui monte dans ce petit espace, les vêtements automnaux sur les épaules qui tombent doucement. Puis le premier dérapage. Je dis à Alissa que je suis seul, je sens son coeur s’arrêter une seconde, figé sur un sourire, avant de reprendre la conversation avec cette exclamation si spontanée, qu’elle aurait voulue faire passer pour de l’ironie : « Ah bah tant mieux, on va enfin pouvoir baiser ! » . Je rigole, gêné, les deux autres à côté s’esclaffent, avant de nous encourager : «Hé bien, allez-y». Puis nos yeux qui se croisent, l’humour laissant place au sérieux, et ma main sur sa hanche qui la rapproche de mon bassin. Nos yeux qui nous questionnent : «C’est pour rire ou quoi ? ». Puis quand nos souffles se touchent, l’éventualité que ce soit une blague s’estompe. Les bord de nos lèvres se cherchent, comme pour être sur de reconnaître une présence familière, par quelques becquetées d’oiseaux. Puis une fois apprivoisé, une fois reconnu l’un en l’autre la présence d’un désir réciproque, l’abandon fougueux dans la bouche l’un de l’autre. Un premier et lent coup de langue, pour découvrir avec envie et politesse le membre charnue de l’autre, l’antre de cet organe qui s’apprête à une danse endiablée avec les parti inconnu d’un corps nouveau. Ce moment qui semble durer une éternité avant de s’accélérer, comme le rythme cardiaque, la fréquence des coups de langue et de bassin. Le lit est juste là à 1m, on s’y glisse avec sensualité.
Nos ébats n’ont pas eu l’air d’avoir échaudé le couple restant. Un peu timide au début, ils continuent à danser l’un contre l’autre, lançant des regards voyeurs sur Alissa et moi qui nous frottons, encore tout habillé, l’un à l’autre. Mais je sens son clitoris battre à travers mon Éloas contre mon sexe dur qui commence à souffrir de son confinement. Je crois que ça les excite, d’autant plus que ma partenaire commence à pousser des râles de plaisir alors que ma langue humecte et mord son cou. Leur bassin déjà proche finissent par s’attirer automatiquement. Même si leur esprit n’y étaient pas préparés, l’érection de Marco et la chaleur dans le bassin de Émilie s’aimantent. Assez rapidement ils se retrouvent dans la même position que nous, de l’autre côté de la pièce. Le meuble traversant nous laisse le loisir de pouvoir se mater discrètement, et les observer cinq secondes a encore fait augmenter mon excitation d’un cran. On les observe un peu avec Alissa, puis on se regarde, on rit bêtement, mais je crois que la même idée nous traverse la tête.
Nous voilà tous en sous-vêtements, deux par deux. On se frotte si fort, et nos multiples coup d’oeil mateurs se sont transformés en regard qui se croisent et ont déclenché plusieurs fou rire. J’aime cette ambiance sexuelle et joviale, ça nous parait si naturelle, on s’apprête à baiser entre potes et c’est tout à fait normal, même très amusant. Finalement nos regards sont assumés, et c’est à qui donnera le mieux à voir, qui sera le couple le plus excitant des deux à travers les poutres montantes du mobilier séparateur ! ?Mon moment favori de cet épisode, c’est lorsque j’avale par grande gorgée le jus de de la chatte de Alissa, le regard planté dans celui de Émilie qui effectue des va et vient gourmands sur la bite de Marco, et je sais à ce moment qu’elle se plait à imaginer que cette queue est la mienne, et moi que c’est sa chatte que je bouffe. La sensation procurée à ce moment dans mon corps est indescriptible, comme si je pouvais réellement sentir sa petite bouche coquine envelopper mon sexe, alors qu’elle est pourtant absente. Comme un transfert d’ondes sensuelles, et chacun des regards plus appuyés dans sa direction est un coup de langue véloce entre ses bourrelets intimes proprement rasés, qu’elle a l’air elle aussi de ressentir.
Le plaisir fut trop grand et nous nous sommes laissés prendre par l’excellence de ces préliminaires, nous avons tous joui tour à tour, avant de partir chacun dans des grands éclats de rire, nu et enlacés entre couple respectif. La virulence de ces plaisirs avait fait s’évaporer les vapeurs d’alcool, alors nous décidions d’allumer un joint d’herbe verte et grasse pour continuer le voyage sur ce petit nuage. Alors que la tension sexuelle descendait doucement, la défonce montait, et c’est Émilie qui après avoir explosé de ce rire joyeux de consommateur de drogue récréative, lança, à notre plus grande surprise : « Bon, on échange ?? » Aussi surpris que nous étions que l’idée vienne d’elle, je pense que nous étions soulagés car on espérait tous ce « retournement » de situation coquin. « Bon d’accord, mais tu préfères qui, Alissa ou Éloa ?
—Je crois que je veux me faire baiser par Éloa» annonça t’elle d’une voix si érotique, provenant des entrailles de son désir, que mes sourcils étonnés se levèrent en même temps que ma bite.
«Alissa, je crois que nous on connait la musique. Tu sais que ton bon cul commençait à me manquer ? J’étais presque jaloux d’Éloa
—J’arrive mon beau grand Marco, j’ai hâte de retrouver ce que j’aime le mieux chez toi : ta capacité à me faire jouir par tous les trous !? ».
Les filles se levèrent donc chacune de leur couchage respectif et, arrivées au milieu de la pièce, elles se figèrent l’une devant l’autre. Je vis un frisson parcourir leur corps, était-ce le froid sur la nudité de leur corps ? Il semble que pour se réchauffer, leur solution fut de se prendre par le visage et se rouler une pelle à la tension sexuelle bien plus élevée que lorsque nous nous en roulions chacun de notre côté dans nos couples hétéros. J’ai vu la bite de Marco — et quelle bite ! faire la même chose que la mienne : se dresser lentement vers le plafond alors que ces deux belles femmes, debout et nues, se laissaient aller à toujours plus de plaisir. Mais ce ne fut qu’une brève mise en bouche. Après ce baiser langoureux qu’elles avaient offerts à nos regards envieux et à leur désir enfoui, le sourire satisfait et la lèvre que Alissa se mordait laissait présager un échange sensuel ultérieur.
Émilie se dirigeait maintenant vers moi, décidée. Je l’observais en détail. Ses longs cheveux bruns lissés atteignaient le haut de sa poitrine, ses seins comme des petites poires pointaient vers l’extérieur. Elle était svelte et lisse, laissant la largeur naturelle de son bassin démarqué un cul que j’avais hâte d’attraper. Sa petite chatte rasée avait gardé la fraicheur de l’adolescence, et le long de sa cuisse je voyais couler une goutte de cyprine, conséquence de son baiser torride avec Alissa. J’étais déjà en érection totale, le gland si gonflé qu’il me faisait presque mal. Elle se tenait debout à côté de moi, au bord du lit, posa une main sur ma poitrine, une main qui me brula de sa douceur, même si je pouvais sentir, au bout de ses doigts ses ongles vernis prêts à me lacérer la peau. Elle fixa un moment ma queue avec circonspection, comme pour en apprécier tout son aspect, découvrir ce qui rendait unique cet organe qui allait la perforer si profondément. Comme si elle appréciait, dans la lubricité de son imagination, la sensation que se jouet procurait dans le bas de son corps.
«J’aurais pas cru que
—Chut ! » me coupa t’elle en posant son index sur ma bouche. Puis, sans plus d’avertissement, elle m’enjamba rapidement, une jambe tendue au sol, un genou plié sur le lit. Son index toujours fermement appuyé sur mes lèvres, son autre main avait rejoint la crinière de mon pubis, en l’agrippant pour qu’elle trouve son équilibre. Après une grande inspiration, les yeux fermés vers le ciel, elle s’abattit sur moi d’un coup, comme si elle s’était détachée d’une corde invisible qui la maintenait suspendue au plafond. Une épée de Damocles inversée !? En un instant, mon gland percuta la paroi de son utérus, dans un bruit de succion visqueux. C’est à ce moment qu’elle déploya les doigts autour de son index pour planter avec force ses ongles autour de ma mâchoire et mes joues, me communicant la brutalité du plaisir qu’elle venait de ressentir. J’ai failli éjaculer tellement le choc fut puissant.
Elle poussa un fort soupir, comme si elle avait joui, souri béatement, ouvrit ses yeux qu’elle dirigea vers les miens encore stupéfaits avant de murmurer : « On commence ?? » Je vis alors au fond de ses yeux la puissance dominatrice de son désir sexuelle. Elle allait m’utiliser, je n’étais déjà plus qu’un jouet à la merci de ses envies débridées, mes yeux ébahis me permettaient de lui communiquer la fascination qu’elle m’inspirait. Elle savait à ce moment qu’elle avait le contrôle sur moi, je le vis dans son sourire satisfait, son sourire de victoire. J’étais à elle, elle allait complètement me baiser. J’aurais voulu lui dire d’ailleurs : «Baise moi fort», mais elle avait déjà son majeur et son index enfoncés dans ma gorge. Je les lui suçais jusqu’à la main, puis elle les utilisa pour maintenir ma mâchoire avec force alors qu’elle amorça un premier et lent mouvement de bassin vers l’avant. J’aurais pu croire à une danse. Elle déployait tout son corps comme une danseuse du ventre. Elle put ainsi frotter son clitoris dans l’entrelacs de ma toison, puis vint achever son mouvement d’un dernier coup sec en avant qui m’amena encore une fois au bord de l’orgasme. Mais son mouvement était parfaitement contrôlé. Elle observait avec soin comme mes yeux se révulsaient à chacun de se va-et-vient. Elle était pleine à ras-bord de moi, et pourtant j’avais l’impression que c’est elle qui me remplissait. Je poussais doucement sur mon bassin en appuyant sur mes talons pour enfoncer encore plus profondément mon dard épais. Elle en frémit. J’atteins la position dans laquelle mon sexe était étiré au maximum. Pas un seul centimètre ne dépassait de sa chatte profonde. La sensation d’être complètement enveloppé se propagea dans le reste de mon corps, c’est là que sa magie a commencé à opérer. Je compris que je devais complètement m’offrir à elle, cesser d’exercer une action sur mon pénis et me laisser complètement aller. Si je ne voulais pas jouir dans l’instant, je devais oublier ma bite, et laisser la vague submerger tout mon corps. Quand elle a vu que je m’abandonnais, ces mouvements se sont accélérés, toujours des mouvements amples d’avant en arrière. Jamais ma bite ne quitta la chaleur hypnotique de son entrecuisse, mais j’avais l’impression qu’elle massait avec dextérité mon membre de l’intérieur. Tout mon corps était malaxé, je m’oubliais, elle me baisait férocement, ça bourdonnait dans ma tête jusqu’à un moment où j’ai tout oublié. Je reprends connaissance car l’air rentre en collision avec la surface de mon gland, ça me fait l’effet d’une douche froide. Je ne comprends pas trop ce qui vient d’arriver. Émilie est sur ses genoux, au dessus de moi, les mains posées autour de ma tête, ses cheveux me tombent dans le visage. Elle est haletante, des gouttes du sueur perlent de son nombril et de son front. Elle reprend légèrement son souffle puis m’embrasse avec passion. Je n’ai pas éjaculé mais j’ai l’impression que mon corps entier a joui. Mon cerveau bourdonne encore. Je suis sur un nuage, mes sens sont complètement brouillés. J’entends Marco et Alissa qui se marrent.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Forrest Gump
Jolie histoire, j’ai hâte de lire la suite et de savoir s’il y aura un quatuor...
Posté le 26/11/2020
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email