Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

La blonde dans l'appartement partie 3

Electricien, il a une relation poussée avec une prostituée dont il se rapproche de plus en plus, mais la vision d'une superbe blonde dans un ensemble où il fait des installations remet tout en question.

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


LA BLONDE DANS L'APPARTEMENT

3
Ce fut le lendemain matin que Véronique renouvela sa proposition. Il était allongé, elle s'était empalée sur lui et elle allait et venait sur sa queue, lui procurant du plaisir, mais en prenant aussi.
— Tu as pensé à ma proposition?
Joe avait passé une soirée étrange, repensant à la fille blonde, qui l'attirait, et ressentant de la culpabilité par rapport à Véronique. Cette dernière lui donnait beaucoup, leur relation avait clairement évolué, ils étaient proches, ils étaient intimes, elle lui donnait bien plus de plaisir qu'une prostituée n'est habituellement censée donnée à un client, et ne lui donne, et il avait complètement passé à l'as cette offre qu'elle lui faisait.
Il ne répondit pas.
— Je dois voir l'agent immobilier vendredi soir. Si tu pouvais me répondre dernière limite le vendredi matin, ce serait bien.
Il parvint à masquer son absence de réponse derrière le fait que la jouissance montait en lui, et qu'il jouit enfin.
Elle lui glissa, alors qu'il se rhabillait:
— Je te trouve différent aujourd'hui. Il y a quelque chose qui te préoccupe?
— Je suis sur un chantier compliqué en ce moment, et j'ai peur de ne pas finir à temps, justifia-t-il.
Ce n'était qu'un mensonge partiel. Car c'était bien autour du chantier que tournaient ses pensées. Mais encore plus de la belle blonde qu'il avait aperçu.
Il arriva sur le chantier comme à l'accoutumée, et attaqua la suite des appartements. Il avait choisi la veille de faire ceux de l'aile opposée, de telle sorte qu'il lui restait à faire le bout de la première ligne et l'angle, ce qui lui permettait de garder un œil sur l'appartement où il avait aperçu la superbe créature la veille.
Dans la vie, les espoirs qu'on peut avoir sont souvent déçus, mais pas ce jour-là.
Il la vit surgir de la chambre à coucher sur le coup de neuf heures. Elle n'avait pour tout vêtement qu'un soutien-gorge fuschia et une paire de bottes de cuir marron luisantes, qui montaient haut sur la jambe, jusqu'au genou, la galbaient et la cambraient parce qu'elles bénéficiaient de talons aiguille. Pour le reste, elle était totalement nue, d'une nudité sans failles, de ses jambes vraiment bien galbées à son ventre plat, en passant par la fente de son sexe, dont sortaient ses lèvres. Elle traversa l'appartement en plusieurs sens, toujours dans la même tenue.
Joe avait joui une heure plus tôt mais sa queue était de nouveau dure à en être douloureuse.
Il ne s'attendait pas, toutefois, à ce qui se produisit dans les minutes qui suivirent.
Il la vit sortir de l'appartement et avancer sur la coursive...Pas plus habillée, avec juste le soutien-gorge et les bottes...
Il se dit qu'il avait une hallucination...Trop tourmenté par ce qui était offert à son regard...Ce n'était...Non, ce n'était pas possible...
Mais après tout, il ne s'était pas vraiment caché pour la mater...
Elle pénétra dans l'appartement, dans un monde différent quelques minutes plus tôt, et à présent juste devant lui.
— Il ne faut pas se contenter de mater, il faut aller au bout de ses rêves, tu ne crois pas ?
Elle tourna sur elle-même, lui présentant aussi son dos, et ses fesses, bien pleines, qu'il avait bien sûr déjà eu l'occasion de voir.
Elle glissa sa main entre ses seins, maintenus par le soutien-gorge et elle en tira un préservatif emballé dans du papier d'argent.
— Tu passes un préservatif, et tu la mets où tu veux.
Il y a des offres qu'on ne refuse pas. D'autant qu'il était bien sûr que ce serait un one shot.
Il y avait dans l'appartement, juste devant lui, un vieux canapé, reste sans doute de l'époque où les lieux étaient occupés par les descendants d'une famille noble. Elle se laissa glisser dessus à quatre pattes, totalement ouverte, tout en disant :
— Tu pourras me baiser dans d'autres positions, mais on peut commencer comme ça.
Et c'était bien certain que cette position, qui affole les hommes, lui plaisait. Avec l'impression d'être plus dur, plus long et plus épais qu'il ne l'avait jamais été, il s'approcha d'elle, et vint caler son gland là où le sillon qui coupait ses fesses en deux s'amorçait. Dans cette position, ses fesses s'entrouvraient, et même s'il avait un gros gland, il put glisser sans problème au contact de la chair extrêmement délicate qu'il parcourut en descendant puis remontant, plusieurs fois, percevant bien aussi le dessin creusé dans sa chair de la muqueuse anale. Il frémit en s'imaginant poussant sa queue en elle. Il était sûr qu'il rentrerait bien en elle, et qu'elle ne dirait pas non. D'ailleurs la phrase 'Tu la mets où tu veux' était on ne peut plus explicite.
Il sentait pourtant une énorme différence entre elle et Véronique.
Elle était venue s'offrir à lui, et, sans aucun doute, elle avait de l'excitation à se donner ainsi, pourtant, il sentait bien que le contact de sa verge ne lui procurait aucun plaisir, et, sans aucun doute, son plaisir à elle, c'était celui de s'exhiber ou de se donner. Rien d'autre. Pourtant, c'était suffisant. Il avait envie d'elle, et il savait qu'elle ne lui refuserait rien. Il en eut d'ailleurs la preuve dans les minutes qui suivirent.
Quand il eut assez de glisser dans son sillon, il vint appuyer son gland contre ses lèvres, et il la pénétra doucement. Elle frémit à peine, alors qu'il se remplissait du plaisir d'être enveloppé par le délicat gant de chair que représentait sa vulve. Il bougea en elle, tout au bonheur d'être frotté par le sexe de la jeune femme. Même si elle semblait peu excitée, son sexe se lubrifiait quand même, ses liquides intimes coulant autour de son membre, contribuant au plaisir qu'il ressentait.
Parce qu'il avait envie de ce plus et de tout qu'elle avait laissé entrevoir, il sortit d'elle. Excitée ou pas, le latex était trempé de ses liquides intimes. Il la contourna, et amena sa verge devant sa bouche. Elle balada sa langue dessus, tellement habilement qu'il crut qu'il allait jouir, Elle le caressait, et lapait en même temps ses sécrétions intimes. Il y avait sur son visage un sourire qui pouvait être interprété de mille façons.
Elle avait en tout cas du savoir-faire, et germa en lui une idée qui ne fut pas clairement formulée à sa conscience, mais qui prit de l'ampleur et de l'épaisseur dans les jours qui suivirent.
Il n'y aurait pas forcément pensé dans d'autres conditions, mais la phrase 'Tu la mettras où tu veux !' tournait dans sa tête et il avait envie de la sodomiser. Il revint caler son gland dilaté en haut de sa raie, et glissa dans le sillon, s'arrêtant cette fois dans la muqueuse anale, pour rentrer en elle. Il avait un peu le sentiment d'avoir à sa disposition une magnifique poupée totalement offerte, et l'évidence que ce serait la seule fois.
Il rentra aussi loin qu'il le pouvait. Appréciant les sensations, très différentes de celle que sa vulve lui avait offert.
Il fut surpris de se rendre compte qu'elle avait glissé sa main entre ses cuisses, contre son sexe, et qu'elle se caressait, comme si elle s'était enfin décidée à réagir, ou, plus simplement, que se faire sodomiser lui ait enfin procuré du plaisir. Sa main bougeait rapidement, son corps semblait s'éveiller, frémir, vibrer, et ses liquides intimes coulaient, abondants, entre ses doigts.
Il bougea en elle, très lentement, et il sentit son plaisir prendre une autre dimension, devenir plus épais, plus conséquent, et prendre une consistance telle qu'il l'amenait vers l'orgasme. Et il sentit aussi que, si elle avait été totalement froide jusqu'alors, elle prenait un plaisir aussi fort qu'il avait été léger jusqu'à ce moment. Plaisir qui s'exprima par une série d'orgasmes qui la secouèrent et lui firent éjaculer des jets de liquide copieux, avant qu'il n'explose dans son rectum.
Ce fut paradoxalement ce moment qui l'amena à prendre une décision. En effet, quand elle eut sortit sa verge de lui, sans un mot, elle reprit le chemin inverse, ses hanches et ses fesses ondulant, ses cuisses encore humides de ses jaillissements de liquide. Elle allait sans aucun doute prendre une douche.
Il comprit qu'il ne la reverrait pas.
Il n'avait plus aucun doute la concernant. Il ne s'agissait pas d'une nouvelle locataire, mais d'une fille tarifée que s'offrait l'homme qui habitait ici.
Il posa à la question à son patron, et apprit que le premier locataire de l'immeuble était un homme d'affaires qui gagnait bien sa vie.
Suffisamment pour s'offrir des filles.
D'ailleurs le dernier jour du chantier, une semaine plus tard, il aperçut un brune tout aussi longiligne dans l'appartement.
Une autre courtisane.
Le soir, il retrouva Véronique pour ces moments brefs qu'il appréciait tant.
— J'ai bien réfléchi. J'ai vraiment envie de m'installer avec toi. Pour avoir plus de temps, et plus de sexe.
Le rapport avec la blonde le matin avait mis en évidence que si fort soit-il, il était lassé de ces plaisirs trop brefs.
Rien ne pouvait faire plus plaisir à Véronique.
— On va fêter ça. Je suis vraiment heureuse...
Elle était assise face à lui, dans la voiture. Elle portait un simple caleçon noir, mais très moulant, sous lequel elle n'avait d'évidence pas de culotte, et qui dessinait son corps d'une manière ultra précise, donnant à voir le dessin de son sexe mieux que si elle avait été nue, avec des cuissardes, et un haut en satin et dentelle tendu par ses seins. Ça avait été bien avec la blonde le matin, mais il se rendait compte qu'il préférait cent fois aller avec Véronique. Il y avait entre eux une complicité très forte. Ca n'avait pas été, malgré la jouissance, le cas avec la blonde.
Elle alla chercher un petit pot, blanc, en céramique dans son sac, avec un couvercle noir, qu'elle dévissa. Dedans, il y avait un onguent très blanc. Elle alla en prendre un peu plus qu'une noisette, avant de refermer le pot.
Elle attrapa la main de Joe, qui se laissa faire, et elle étala la noisette de crème sur sa paume et ses doigts. Il y en avait peu, mais cela était suffisant pour enduire toute la main.
Alors, seulement, elle se souleva, et descendit le caleçon, dévoilant son ventre.
Joe se dit que les hommes étaient ainsi faits qu'ils ne parvenaient pas à se lasser des sexes de femme, de les voir, les toucher, les pénétrer.
— Je ne t'ai jamais encore donné l'occasion de mettre ta main en moi. Avec cette substance, tu vas pouvoir rentrer en moi et me fouiller de la main, comme tu l'as déjà fait avec ta queue. Tu verras, c'est une sensation unique. Et tu vas me donner du plaisir.
Elle avait déjà mis sa verge à nu, dressée, et secouée de spasmes d'excitation dans cette situation qui lui plaisait. Il y avait toujours de l'inédit avec Véronique. Y en aurait-il eu avec la belle blonde?
Véronique attrapa sa main et la posa contre son sexe. Joe avait très envie de rentrer en elle. Il glissa ses doigts, un par un, entre ses lèvres, convaincu de toute façon qu'il pourrait rentrer sans problème grâce à l'onguent. Ça lui fit tout drôle de constater qu'il avait sa main en elle, invisible, comme s'il avait le bras coupé au niveau du poignet.
Les sensations étaient arrivées rapidement, alors qu'il gardait sa main, encore immobile, et elles lui avaient procuré un tel plaisir qu'il avait joui, là, alors qu'il venait de rentrer sa main en elle, un orgasme qui l'avait traversé et fait cracher des jets de sperme sans qu'il ne débande. C'était que la situation était vraiment excitante, inédite et troublante.
Il percevait autour de sa main sa chaleur et son humidité.
Et il voyait sur son visage qu'elle prenait du plaisir, elle aussi, à, déjà, qu'il soit simplement en elle.
Plaisir qui fut décuplé, mais ce fut vrai pour Joe aussi, quand il se mit à bouger en elle, explorant d'abord son intérieur, puis le caressant. Percevant des zones lisses, d'autres renflées, d'autres creusées.
Il eut de plus en plus d'aisance pour la caresser,et, si elle savait que cette nouvelle expérience allait lui plaire, elle eut aussi du plaisir à ce qu'il caresse son intérieur. C'était évident à son expression, à la manière dont son corps évoluait, mais aussi aux liquides qui coulaient sur et autour de sa main.
C'était un moment vraiment particulier.
La situation l'excitait tellement qu'il jouit à nouveau. Ca faisait drôle de jouir comme ça, sans caresse d'aucune chair. Son sperme partit dans les airs. Quelques secondes avant qu'elle aussi, elle ne se mette à jouir, se tendant, criant comme jamais elle n'avait crié, et éjaculant à plusieurs reprises autour de sa main.
Quand il retira sa main d'elle, elle était couverte de cette crème blanche qu'elle avait éjaculé, semblable à du sperme, mais totalement différente.
Joe lécha sa main. Ca avait un goût sucré.
Il était encore tout raide. Somme si, et c'était bien le cas, il n'avait pas fini de jouir, elle se pencha sur lui et elle le masturba. Il eut un ultime orgasme, crachant le reste de semence qu'il avait dans les couilles.
Et ensuite...
Il finit son chantier la semaine suivante, sans revoir la blonde. La brune, si, mais elle ne se baladait pas à poil, ne se caressait pas sur un fauteuil avant de partir. Hautaine, quand elle le croisait, elle faisait comme si il n'existait pas.
Les craintes de Joe s'avérèrent au final peu fondées. Ils s'entendirent parfaitement avant comme après. Ils pouvaient profiter de l'autre plus et mieux. Elle continuait, entre deux heures de ménage, à vendre ses charmes, mais ça ne gênait pas Joe.
La vraie fin eut lieu quand, trois semaines après la fin du chantier, il repassa dans le quartier de la gare.
Joe y revenait souvent avec nostalgie. S'il était maintenant installé avec Véronique, c'était ici qu'il l'avait connue, et au final, c'était une belle rencontre.
Il avançait, à pied, scrutant des détails.
C'est comme ça qu'il remarqua la voiture de luxe, sur le parking.
Un type en costume, costume noir, chemise blanche, sans cravate était au volant. Il attendait. La quarantaine. Un type friqué, qui avait une entreprise sans doute. Qui déparait sur ce parking, habituellement occupé par des gens de peu.
Il la vit sortir de la gare. Toujours aussi superbe, et il remarqua bien que des hommes se figeaient en la regardant, que des femmes aussi...Il ne fut pas le dernier. Un tailleur, des cuissardes, une crinière blonde, une aura de sexe comme il en avait rarement vu.
La blonde de l'appartement.
Elle avait un sac de voyage sur le dos. Elle revenait de quelque part, sans aucun doute.
Elle avança d'un pas décidé vers le véhicule et s'y glissa.
Mais il ne démarra pas tout de suite.
Joe décida de passer le long du véhicule.
Il vit tout, même si ce ne fut que pendant quelques secondes.
Elle était déjà, une manière de lui dire bonjour?, indifférente au monde autour, à genoux sur le siège, occupée à une fellation sur l'homme. Il vit la verge dressée et la bouche qui allait et venait dessus, mais aussi la main qui compressait les couilles.
A genoux, et parce que la jupe, déjà très courte était remontée, elle offrait une belle vision d'elle-même, cul nu, sillon entrouvert sur sa muqueuse anale, vulve proéminente entre ses cuisses.
Pourtant Joe passa avec indifférence.
Non seulement elle n'était pas pour lui, mais en plus, il préférait les parties intimes de Véronique, il en était sûr maintenant.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
La blonde dans l'appartement partie 2
La blonde dans l'appartement partie 1
L'appartement
Une visite d'appartement qui dérape
Flora, Recherche Appartement ou Maison