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La blonde dans l'appartement partie 1

Electricien, il a une relation poussée avec une prostituée dont il se rapproche de plus en plus, mais la vision d'une superbe blonde dans un ensemble où il fait des installations remet tout en question.

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


LA BLONDE DANS L'APPARTEMENT

Partie 1

Il était sept heures quand Joe ralentit devant la gare. Sur la vaste zone, mais aussi sur les lieux adjacents, ce pouvait être une entrée d'immeuble, se baladaient des femmes qui vendaient leurs charmes. Il y avait de tout, et pour tous les goûts. Certaines amorçaient la vingtaine, d'autres avaient plus d'années au compteur. Ce qu'elles partageaient toutes, c'était des tenues censées mettre en valeur leurs appas, robe courtes et moulantes, mini ou micro jupes, débardeurs très décolletés, jambes gainées de nylon, cuissardes, bottes, talons aiguille, maquillage...
Joe était habitué à Véronique. Elle ne faisait pas partie d'un réseau, c'était l'une de ces nombreuses femmes qui habitaient dans les immeubles un peu plus loin, et qui complétait son maigre salaire de femme de ménage en venant le matin, très tôt, s'offrir à des hommes, mais aussi quelquefois en fin d'après-midi. Joe était d'ailleurs devenu l'un de ses clients privilégiés, le seul qu'elle voyait le matin. Il venait très régulièrement, au gré de ses envies sexuelles, et elles étaient intenses et nombreuses.
Si Véronique plaisait autant à Joe, c'était parce qu'elle avait les formes épanouies d'une femme qu'il imaginait proche de la cinquantaine, il ne lui avait jamais demandé son âge. Des hanches, des seins lourds, des cuisses charnues, une croupe pleine mais ferme, et une chatte qu'il trouvait somptueuse, une grosse moule qui tendait les tissus, avec de grosses lèvres, un gland clitoridien long et épais...Il n'était pas attiré par les filles plus jeunes. Du moins le pensait-il à ce moment, avant de changer radicalement d'avis...
Et puis il y avait entre eux une complicité, bien réelle, qui s'était établie au fil du temps. Des paroles échangées, ce qui n'avait pas été le cas dans les premiers temps. Ils étaient issus du même milieu, et leur vie n'était pas marquée par l'opulence...
Ils se rejoignaient sur un point: le sexe.
C'était la première fois qu'il avait recours au sexe tarifé. Il ne savait pas ce qu'auraient fait d'autres filles qui vendaient leurs charmes, mais avec elle, clairement on n'était pas déçu. Ce qu'elle offrait n'avait rien à voir avec ce qu'il avait pu connaître avec les femmes qui avaient croisé son chemin avant, et pourtant il en avait connu pas mal. Elle avait une habileté extraordinaire pour trouver les mots, les gestes, les attitudes qui rendaient un moment avec elle extraordinairement excitant. Un mélange d'expérience, de goût pour le sexe et d'imagination. Chaque moment était nouveau. Il la laissait le guider. Et n'était jamais déçu.
Joe déboucha sur la grande place, se gara devant l'immeuble qui abritait, outre des appartements, une agence d'assurance au rez-de-chaussée avant de faire les derniers mètres à pied. Il avait son numéro et la prévenait toujours avant qu'il allait passer pour une simple confirmation.
Elle était assise en haut des trois marches qui permettaient d'accéder à un immeuble d'habitation. Fidèle à elle-même. Un tailleur avec une jupe fendue haut, les jambes gainées du nylon de bas stay-up, des bottes, elle en avait une belle collection, aujourd'hui noires et luisantes avec des talons de six centimètres, une absence de slip, et juste un soutien-gorge sous la veste, celui du jour gris, assorti au tailleur. Comme elle le lui avait dit: 'Je ne mets jamais de culotte quand je viens travailler, je ne vais pas dissimuler mon fonds de commerce...' par contre, comme elle avait une poitrine lourde et qu'elle était obsédée par la chute éventuelle de celle-ci, qui, paradoxalement, et bien que volumineuse était encore impeccablement ferme, elle ne délaissait jamais son soutien-gorge.
Ainsi assise, occupée à consulter ses messages sur son téléphone, elle avait les jambes suffisamment écartées pour qu'on puisse contempler son sexe. Produit d'appel? Plutôt une pose classique, qui aurait pris une autre dimension si elle avait eu une culotte.
Le regard de Joe glissa sur les jambes pleines, mais impeccablement dessinées, dont le galbe était souligné par les bas stay-up, et le sexe dont il avait déjà bien profité, et il comptait encore profiter, d'autant qu'elle lui laissait accomplir des actes que d'autres prostituées aurait refusé, comme de lui lécher le sexe. Elle en éprouvait du plaisir bien sûr, mais si on prenait la charte de la prostituée, s'il y avait eu une charte de la prostituée au départ, sans doute que ça n'y était pas inscrit qu'une catin, même si elle devait donner du plaisir à son client, se laisse lécher la chatte, et y prenne, car c'était indéniable, du plaisir. La première fois, il lui avait dit: 'Je peux te lécher la chatte?', il avait escompté qu'elle dirait non, mais en guise de réponse, elle avait basculé en arrière, lui offrant sa vulve. Frottant sa queue, surexcité, il était venu lui fouiller la chatte. Ses réactions lui avaient dit, à sa grande surprise, qu'elle ne se contentait pas de lui donner ce qu'il demandait, elle y prenait du plaisir. Ses chairs avaient gonflé, son gland clitoridien en particulier, qu'il avait fini par sucer, et elle l'avait inondé de ses jus intimes, qu'il avait bus avec avidité, emportant leur saveur avec lui quand il était parti.
Elle avait redressé la tête et lui avait souri. Ce n'était pas un sourire d'opportunité. Ce sourire disait plutôt le lien qui s'était tissé entre eux, un lien complexe, sans aucun doute, mais fort.
Ce qu'elle fit aussi, ce fut d'ouvrir plus largement les cuisses, et de planter deux doigts dans son sexe, pour s'ouvrir plus qu'elle ne l'était, laissant voir un intérieur rose, loin en profondeur.
Bien qu'ils soient à l'extérieur, elle ne se gêna pas, il s'était approché, pour tendre la main vers lui et tirer de son pantalon une queue qui déformait le tissu, et qu'elle trouva en pleine érection. Rien que le fait de penser à elle lui inspirait toujours une érection conséquente, et cette érection prenait toujours, si ça n'avait pas été le cas avant, sa pleine dimension quand il se trouvait face à elle. Il n'avait jamais éprouvé de lassitude par rapport à elle, et son corps.
Elle le masturba dans un geste d'une grande lenteur. Il se souvenait que la première fois qu'elle l'avait masturbé, elle lui avait demandé: 'Tu veux que je fasse lentement ou vite?' et il avait répondu 'Comme tu le sens.' C'était bien de la laisser faire. Elle donnait le rythme, et il n'était jamais déçu.
Saisi par le plaisir, il lâcha un jet de sperme, copieux, qui atterrit sur le visage de la prostituée et la fit sourire.
— Viens, on va aller à l' appart...
L'appart, c'était un appartement vide, au rez-de-chaussée de l'immeuble devant lequel elle était assise. Elle y avait installé un grand lit et quelques commodités. Il s'était d'abord demandé comment elle pouvait y avoir accès, mais un jour, en passant devant l'immeuble, il l'avait vue faire une fellation, à genoux, à un homme qu'il savait être le gérant de la bâtisse.
Elle tapa le code pour débloquer la porte. Ses talons résonnèrent contre le dallage. Pendant qu'elle avançait, il vint glisser sa main sous sa jupe, sur et entre ses fesses, jusqu'à descendre au sexe, d'abord sec, mais qui s'humidifia quand il vint frotter les lèvres, puis le gland clitoridien qu'il sentit grossir contre la pulpe de ses doigts.
Ce fut quand elle eut refermé la porte de l'appartement qu'elle se cala contre le mur, tendant la main derrière elle pour récupérer sa queue, qu'elle avait refourrée dans son pantalon mais sans fermer la fermeture-éclair. Elle attrapa le membre, toujours aussi dur, et soulevant sa jupe, mettant ses parties intimes à nu, elle frotta la verge contre sa chair, mais sans le faire rentrer en elle. Il aimait ces moments qui le menaient loin des chemins d'une simple pénétration, loin de ce qu'il avait pu vivre et connaître avant de la connaître. Une queue qui glisse dans une vulve, qui va-et-vient, la jouissance rapidement. Ça n'avait vraiment rien à voir quand il était avec elle. Sans aucun doute, Véronique lui avait vraiment fait découvrir la sexualité, en tout cas une sexualité autre, bien plus riche. Comme dans ce moment où elle le fit glisser d'abord sur les rondeurs charnues de ses fesses, avant de réorienter sans queue au fond de son sillon, contre la chair délicate, souple et humide, puis, plus troublant encore, contre la muqueuse qui se dessinait avec ses plissements divers, entrée qu'il aurait pu forcer pour glisser, facilement, en elle, mais il n'était pas intéressé, ce qui lui plaisait, c'était justement qu'elle ait la main, au propre comme au figuré, et qu'elle l’entraîne vers des chemins à chaque fois nouveaux et qu'il n'aurait jamais pensé prendre. Elle descendit encore plus bas, et l'amena contre son sexe. Que ce soit des yeux, de la pulpe des doigts, de la queue, il avait toujours la même impression, celle de quelque chose de riche, d'opulent, de lubrifié par des liquides intimes qui étaient abondants.
Elle recommença plusieurs fois le cycle. Au bout de la troisième fois, il devait se retenir pour ne pas jouir. A ce moment, elle l’entraîna vers la grande pièce où elle avait installé du mobilier de base, divan, chaise, lit, des supports variés selon les goûts de ses clients.
Elle le connaissait bien, et, contrairement à d'autres courtisanes, c'était du moins ce qu'il pensait, elle s'efforçait de lui faire plaisir, mais il était bien convaincu que c'était le cas. Elle lui accordait ce que d'autres ne lui auraient pas donné: le plaisir de voir son sexe autant qu'il le souhaitait, de l'examiner sous toutes ses coutures, d'en apprécier tous les détails, et de jouer avec. Ça pouvait être de simplement le parcourir de la langue, de venir caresser le gland clitoridien, d'en apprécier l'érection et de le faire encore plus s'ériger...Ou encore de glisser un doigt dans sa vulve, ou sa langue, d'explorer et de caresser en même temps. Et encore une fois, si une courtisane n'était pas supposée avoir du plaisir, si elle le feignait la plupart du temps, Véronique en avait à chaque fois. L'évolution de son sexe le disait clairement, ses chairs se dilatant, ses liquides intimes coulant avec plus d'abondance.
— J'ai une surprise pour toi.
C'était comme cela qu'il aimait les moments avec elle, riches et variés.
Elle avait, et c'était sans doute son seul luxe, une impressionnante collection de gadgets. Il se demandait toujours quelle en était l'origine. Elle n'avait pas trop de moyens, mais elle avait quand même la possibilité d'acheter des jouets sexuels?
Il la voyait bien se procurer des jouets de seconde main, même s'ils semblaient neufs...Bien suffisants en tout cas pour lui donner du plaisir.
Elle exhiba un cylindre conique, large vers le haut, plus resserré vers le bas, avec une large fente au milieu.
Joe n'eut pas le temps d'être surpris. Elle appuya la fente contre son gland et elle fit pénétrer sa queue à l'intérieur. Il fut surpris des sensations qu'il éprouva. Il s'agissait d'une matière plastique, mais irrésistiblement suave, et qui lui procura un plaisir tel qu'il faillit jouir sur le champ. C'était sensé imiter l'intérieur d'un vagin. Et c'était remarquablement efficace. Bien sur, ça ne remplaçait pas un sexe de femme. En voulant l'imiter, ça prenait une autre dimension, et c'était hyper agréable.
Le bord renflé du jouet arriva au niveau de son pubis. Sa queue totalement avalée. Elle esquissa un premier retour, sa queue réapparut, luisante d'un lubrifiant qu'elle avait sans doute utilisé et qui rendait la caresse plus agréable encore et donnait plus de consistance à la chose.
Il n'hésitait pas à lui demander ce qu'il voulait, ce qu'il n'aurait pas forcément fait avec une catin normale, et il lui dit:
— Je voudrais que tu te masturbes en même temps que tu me branles...
Elle s'exécuta, et si elle s'exécutait ainsi, ce n'était pas pour l'argent qu'il lui donnait, et il était généreux, donnant toujours plus que les tarifs exigés, mais à la fois parce qu'elle aimait le sexe, et aussi parce qu'elle voulait lui faire plaisir, en plus de lui en donner. Elle fit tourner ses doigts sur son sexe, dans un mouvement circulaire, doigts qui devinrent vite luisants de la cyprine qui coulait d'elle et coulèrent d'elle avec plus d'abondance, preuve de son excitation et de son plaisir. Une fille qui n'éprouve rien ne mouille pas.
Ils avaient trouvé un rythme, qui marquait ce moment hors du temps. Véronique faisait aller et venir le gadget sur la queue de Joe, qui éprouvait un plaisir aussi inattendu que fort, et son autre main masturbait un sexe qui gonflait et coulait. Elle savait aussi, comme à chaque fois, faire une pause quand elle sentait qu'il approchait trop près de la jouissance. Il finit par lui dire:
— J'ai envie de te pénétrer. Maintenant.
Parce que, même si c'était une sensation aussi nouvelle que très agréable, au final rien ne valait le plaisir intense et immense d'être dans le sexe de Véronique, ou dans son anus, puisqu'elle se laissait aussi sodomiser, dans cette gaine chaude et humide qui le prenait, et dans laquelle il aurait voulu rester pour l'éternité.
Véronique désigna la boite de préservatifs posée sur le bord du lit. Il se gaina de latex rapidement. Il avait tourné la tête un instant, quand il la regarda de nouveau, elle était à quatre pattes, offerte autant qu'une femme peut l'être, la tête tournée vers lui, son expression autant que son corps lui disant: 'Viens en moi, remplis-moi et fouille moi.'
Joe glissa en elle. Il avait eu des rapports avec suffisamment de femmes pour avoir une certitude: Il n'y avait pas deux queues ni deux chattes qui se ressemblaient, et à l'intersection des deux, le plaisir entre un homme et une femme, à ce moment, était particulier. Unique.
Il bougea en elle, se remplissant de sensations, lui donnant aussi du plaisir, elle gémissait, son corps réagissait, alors qu'une prostituée aurait du être neutre. Mais leur relation n'avait plus des termes enchevêtrés client/prostituée que le nom.
Si le début et le milieu étaient à chaque fois différents, la fin était toujours la même. Et ils y trouvaient l'un et l'autre satisfaction. Il se dégageait, ou elle le dégageait, et elle le prenait dans sa bouche pour une caresse buccale qui le conduirait immanquablement à la jouissance, en même temps qu'elle se masturbait. Il s'était souvent demandé si elle se branlait pour avoir du plaisir, accompagner son orgasme pour qu'ils soient plus en harmonie ou simplement, parce qu'elle savait que cela l'excitait, et c'était bien le cas, de la voir branler un sexe dilaté devant lui.
Ces derniers moments étaient dans la droite ligne de ce qui s'était passé avant. Du plaisir et de la complicité. Elle jouait avec son sexe, sachant qu'il était proche de la jouissance, mais sans pour autant le pousser à jouir tout de suite, qu'elle le caresse, le masturbant dans des gestes lents ou plus rapides, qu'elle le prenne dans sa bouche ou fasse aller et venir sa langue sur lui, de son gland à ses couilles. Joe, dans son angle de vue, avait le sexe de Véronique, ouvert, béant, qu'elle frottait dans un mouvement circulaire, tournant d'abord sur ses lèvres, toutes gonflées, avant de remonter sur son gland clitoridien, véritable petite bite en miniature. Elle dégoulinait mais le fait de frotter son gland de manière plus intense faisait jaillir encore plus de liquide.
L'un comme l'autre, ils finirent par jouir. Quelque chose prit naissance dans son ventre, monta, alors qu'elle frottait son gland de sa langue. Il poussa un cri et son sperme commença à jaillir. Véronique ouvrit la bouche, la semence, blanche et crémeuse, vint tapisser son palais. Elle avala son sperme, rouvrit la bouche pour lui montrer qu'il ne restait plus rien à l'intérieur, et accéléra encore son geste, éjaculant un liquide crémeux quand elle jouit qui ressemblait à du sperme mais n'en était pas.
Joe savait pertinemment qu'elle ne se laissait pas aller à jouir avec d'autres
Joe se glissa dans la pièce d'eau, nue, pour se nettoyer. Elle y déposait toujours gants, serviettes, savon...Une attention appréciable...
Ce fut quand il fut de retour dans la pièce, elle n'avait pas bougé, se contentant d'allumer une cigarette, qu'elle lui dit:
— Ca te dirait de changer de registre?
Elle avait encore le sexe bien ouvert, la muqueuse béante, et Joe se sentit durcir. Il l'aurait volontiers de nouveau pénétrée. Elle n'aurait pas dit non, avec un peu plus d'argent, il en était convaincu. Ou pas. Leurs rapports, même s'il la payait toujours, sortaient de plus en plus du tarifé. Mais il ne pouvait pas se permettre d'être en retard au travail.
— Tu penses à quoi?, répondit-il.
— Venir t'installer chez moi.
C'était quelque chose auquel Joe n'avait jamais vraiment osé penser. Il y avait une entente entre eux, dans le sexe, à travers le sexe...
— On serait plus souvent ensemble...On aurait plus de temps pour du sexe...Ce ne serait pas forcément le matin. Et tu n'aurais plus à payer...
Il venait de disposer des billets sur la table.
Etre avec elle...Pour plus longtemps...Plus de plaisir...C'était une idée qui l'avait très vaguement effleuré, mais à laquelle il n'avait jamais donné consistance, parce que, pour lui, les choses étaient acquises...Et ne pouvaient pas évoluer.
L'idée ne lui déplaisait pas. Au contraire. Il la connaissait depuis suffisamment longtemps maintenant pour pouvoir se dire que ce serait bien d'être plus souvent avec elle.
— Je vais y réfléchir.
— Penses-y bien! Tu me donneras ta réponse d'ici la fin de la semaine? On m'a fait une proposition pour un appartement plus grand. Si c'est pour y être seule, je préfère rester où je suis...
Elle le connaissait bien. Elle savait ce qu'il aimait. Et c'était bien de finir sur une touche positive. Raison pour laquelle elle lui proposa, comme elle lui proposait à chaque fois.
— Viens me lécher.
Elle savait qu'il aimait lécher et avaler les liquides qui avaient coulé d'elle, plus liquides ou plus solides, qui n'avaient pas encore séché sur ses cuisses.
Une fois qu'il eut fini, les cuisses, les aines, le pourtour du sexe étaient uniquement humides de salive. Son sexe à nouveau mouillé de cyprine, parce qu'elle aimait se faire lécher, plus que pénétrer, un privilège qu'elle n'accordait qu'à Joe.
Mais il était temps de se séparer. Joe partit sur son chantier la queue raide et le goût des sécrétions de Véronique dans la bouche, sans se douter que d'ici quelques minutes, son existence si rangée, pour ne pas dire si morne, allait basculer.

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