Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

La blonde dans l'appartement partie 2

Electricien, il a une relation poussée avec une prostituée dont il se rapproche de plus en plus, mais la vision d'une superbe blonde dans un ensemble où il fait des installations remet tout en question.

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


LA BLONDE DANS L'APPARTEMENT
2
Ca faisait plusieurs semaines que Joe travaillait sur le chantier d'un magnifique hôtel particulier. Qui avait tout une histoire. Il y avait 43 pièces en tout. Il avait appartenu à une riche famille de l'aristocratie, qui n'avait pas tenu le choc au fil du temps. Enfants et petits-enfants s'étaient éparpillés. Il n'était resté qu'une femme qui avait vécu jusqu'à l'âge de 93 ans, et un cousin qui s'était installé là pour quelques années, pour tenir une agence d'assurances, sans même y habiter. La demeure, magnifique, avait été rachetée par un antiquaire qui, même en gagnant énormément d'argent grâce à des affaires douteuses, n'avait pas été capable de demeurer là. Il avait les yeux plus gros que le ventre, et n'avait rien rénové. Il avait fini par vendre, sans doute en grande partie parce qu'il était passé au tribunal accusé, puis condamné pour avoir vendu des antiquités volées. L'hôtel particulier avait été repris par un entrepreneur qui rachetait de belles bâtisses, les retapait, y faisait des appartements qu'il louait.
Et donc, parce qu'il avait une réputation, celle de faire un travail propre et sans bavures, d'être rapide et efficace, Joe avait remporté le marché pour l'électrification des appartements refaits. Travail auquel il s'attelait par tranches. Chaque fois qu'un appartement était fini, il intervenait.
Schématiquement, l'hôtel particulier était fait de trois blocs. Il y avait en bas une cour ceinte par des locaux à usages divers, un étage fait de deux galeries en vis-à-vis, et une partie, à l'arrière, la plus haute, qui s'élevait sur plusieurs étages.
Ce matin-là, lundi, il n'y avait personne d'autre sur le chantier. Tout était quasiment fini et depuis la semaine dernière, il était seul sur la zone, avec le patron qui passait de temps en temps pour voir si tout allait bien.
Il devait faire toute la rangée des appartements sur la gauche en montant, ceux à droite avaient déjà été faits par ses soins.
En haut de l'escalier, il remarqua de la lumière à trois fenêtres, justement celles qui étaient en face de l'appartement par lequel il devait commencer, et il se souvint qu'un appartement était déjà loué. Ceux qui étaient en face étaient finis. L'entrepreneur n'avait pas tardé, voulant sans doute, et ça se comprenait, rentrer dans ses frais, d'évidence importants.
Joe vissait une prise quand il la vit pour la première fois.
Les fenêtres étaient assez basses, et donc on voyait bien les pièces en face. Et ce d'autant plus qu'elles étaient éclairées. Lui était, sans l'avoir cherché en retrait, la prise qu'il posait en bas d'une plinthe était à l'angle d'une fenêtre.
Elle apparut dans la pièce, sortant d'une autre, il pensa que c'était une chambre, totalement nue.
Elle était ravissante. Toute jeune. 26 ans?
Avec absolument rien sur elle, pas même une culotte.
Elle tourna d'abord dans le living. Déplaçant des objets, les rangeant, jetant un coup d' oeil à des papiers qu'elle glissa dans une pochette. L'occasion de la voir sous tous ses angles. Et ce d'autant plus qu'elle se plia en deux à plusieurs reprises, se penchant sur la table, côté pile et face. Elle devait faire un mètre soixante-dix, et elle avait un joli corps. Des formes bien marquées, des seins, des fesses, des hanches, des jambes bien dessinées, ce qui n'était pas si fréquent que ça, Ce qui le séduisit le plus, ce fut cependant de constater qu'elle était blonde, cheveux mi-longs avec une frange, et la toison, blonde, qu'elle avait gardée sur son pubis, bien que taillée, était exactement de la même nuance, mais aussi qu'elle avait un très joli visage, avec de magnifiques yeux bleus.
Il n'avait pas vraiment débandé depuis qu'il avait quitté Véronique, il aurait voulu encore du sexe ce matin, et la voir ainsi, aussi belle et désirable le fit de nouveau très dur. Il s'était dit qu'il n'aimait que les MILFS...Voir une aussi jolie fille lui fit comprendre qu'il y avait des catégorisations qui volaient en éclats.
Après avoir tourné dans le living, et préparé une pochette et un sac, elle passa dans la cuisine, et se mit à faire la vaisselle, toujours à poil. Son dos, des fesses bien pleines, hautes, favorisées par la cambrure de ses reins qui les faisaient rebondies, coupées en deux par un sillon profond, des jambes sans failles...Joe en prit plein les mirettes. Il s'était déplacé pour fixer l'autre prise, à l'opposé de la fenêtre, et de la sorte était en face d'une silhouette parfaite. Quand elle se retourna, et se mit en devoir d'essuyer la vaisselle au torchon, il put profiter de seins haut perchés, pleins, et qui se redressaient agréablement. Sans doute la fraîcheur de l'air, ses tétons pointaient.
Joe n'imaginait pas ce qui l'attendait dans les minutes qui suivirent.
Et qui lui fit penser que c'était peut-être mieux au final de la voir habillée que nue.
Une fois la vaisselle rangée, elle retraversa le living, toujours nue, et se glissa dans la chambre. Et là il ne voyait rien.
Il ne se doutait pas de ce qui l'attendait.
Elle reparut à la fois élégante et sexy. Un tailleur fuschia, veste et jupe, jupe courte, débardeur blanc sous la veste, sous laquelle il sembla à Joe que ses seins dansaient, sans soutien-gorge...Ou alors il avait des hallucinations...Ses jambes étaient gainées de nylon, et elle avait des bottes noires luisantes à talon aiguille qui lui arrivaient au genou.
Elle était hyper-désirable. Joe aurait été bien incapable de dire s'il la préférait nue ou habillée...Chaque situation avait son charme.
Il pensait qu'elle allait partir au travail.
Il ne s'attendait pas à ce qui se produisit.
Elle avait son smartphone à la main. Elle le posa après l'avoir examiné. Sembla hésiter. Joe se dit qu'elle avait sans doute encore du temps, avant de partir, sans doute travailler.
Elle avait posé la pochette et le sac sur le sol. Elle se pencha pour farfouiller dedans. Pliée en deux, elle lui offrait une vision jusque très haut de ses jambes, dont il découvrit, justement parce que ses jambes étaient découvertes, qu'elle les avait gainées de nylon non pas d'un collant, mais de bas, la meilleure preuve en étaient les jarretières noires, épaisses, qui enserraient ses cuisses à un peu plus de la moitié de celle-ci.
Elle était vraiment troublante. Elle le fut encore plus quelques secondes plus tard, quand, se tournant, elle vint s'installer dans un fauteuil qui faisait face à la fenêtre, de telle sorte qu'il put tout voir, au-delà de ce qu'il aurait pu espérer.
Joe se demanda quelques instants ce qu'elle tenait à la main....Une couleur flashy, un rose pétant...Il comprit qu'il s'agissait d'un vibromasseur, un objet long qui reproduisait d'une manière symbolique une queue. Elle le posa sur le fauteuil, pour remonter sa jupette, qui était courte, à sa taille, vu le peu de tissu, quelques centimètres seulement. Le tissu tassé à sa taille, elle laissait voir qu'elle n'avait pas de slip. Elle se bascula en arrière, et remonta ses jambes le long des accoudoirs. De la sorte, son sexe était accessible, et elle était totalement visible. Joe put voir son sexe, et le voir se transformer dans les minutes qui suivirent, la queue dressée, prête à exploser. La toison blonde sur son pubis, qui courait bien sur celui-ci, mais taillée, dans un triangle très large, l'ouverture de son sexe, dont sortaient ses lèvres. Sexe qui se métamorphosa dans les secondes et les minutes qui suivirent, à mesure qu'il se gorgeait de sang. Elle ne se caressa pas avec les mains mais avec le gode, qu'elle utilisa du début jusqu'à la fin. Avec la tête elle se frotta, et il fut bien visible que, dès les premières secondes, elle avait du plaisir. Yeux clos, renversée contre le dossier du fauteuil, tête penchée en arrière. Dans un premier temps, elle se contenta de frotter son sexe et le pourtour de celui-ci avec la tête du gode. C'était curieux, se dit Joe. Ils étaient à quelques mètres l'un de l'autre, séparés par le vide entre les deux coursives, chacun dans son monde... Sans possibilité, sans espoir d'une quelconque communication. Une métaphore, sans doute, des relations humaines.
Et puis, petit à petit, elle fit glisser le gode en elle. Une fois que son sexe fut assez ouvert, il voyait bien la muqueuse rose, à l'intérieur, encadrée par le gros paquet de lèvres qui s'étaient épanouies et avaient gonflé, et le gland clitoridien, qui dardait. Un mouvement de va-et-vient. Elle avait vraiment du plaisir, ça se voyait sur son visage...Et dans la métamorphose de son sexe, qui coulait de plus en plus, ses liquides intimes faisant briller ses chairs sur une zone toujours plus large. Le gode fut finalement quasi totalement avalé par le sexe, sauf pour le socle qu'elle tenait entre ses doigts. Ses gestes se firent plus rapides. Elle montait vers l'orgasme. Elle retira le gode de son ventre, et ouvrit la bouche pour crier. Y eut-il vraiment un cri, difficile à savoir. Possible que ça ait été un cri silencieux. Les vitres n'avaient rien laissé passer. La seule certitude, ça avait été ses éjaculations, copieuses, d'un liquide blanc qui ressemblait à du sperme.
Elle s'apaisa avant de se rendre compte que si elle avait poissé le fauteuil, et ses chairs, les bas, elle avait aussi tâché la jupe de son tailleur. Elle roula les bas dans un mouvement inverse de celui qu'elle avait adopté pour les mettre, se redressa, les bas en boule dans sa main gauche, dégrafa sa jupe, se retrouva nue à partir de la taille. Elle partit dans sa chambre, ses fesses dansant sous les yeux de Joe, qui était dans tous ses états, et revint cinq minutes plus tard, avec un nouveau tailleur sur le dos. Elle ramassa ses affaires et disparut.
Joe continua sa journée de travail, la verge dure. Les images enregistrées tournaient dans sa tête. Habituellement, il pensait à Véronique quand il travaillait, à ce qui s'était passé entre eux le matin. Là, c'étaient les images de la superbe blonde qui tournaient dans sa tête.
Il devait finir trois appartements dans la journée. Il préférait souvent ne pas manger à midi pour avancer plus vite et ainsi partir plus tôt dans l'après-midi. Il appelait souvent Véronique pour savoir si elle était dispo en fin d'après-midi et passait la revoir. Ca se passait généralement différemment du matin. Quelque chose de plus rapide. Souvent il la prenait dans sa voiture, ils allaient un peu plus loin, il y avait des zones tranquilles pour se garer, dans ces quartiers truffés de friches.
Il lui fit un SMS sur le coup de quinze heures. Le patron venait de passer, et de constater qu'il avait fini.
Il était temps d'aller soulager cette queue qui n'avait pas débandé.
Il appréciait énormément les moments de l'après-midi qui étaient très brefs. Ce qui lui plaisait, c'était justement la brièveté des choses, et le contraste avec les matinées où on prenait son temps. Ca le ramenait loin en arrière, avec sa petite copine au collège Cindy, une blonde toujours souriante qui adorait le masturber, le sexe avait été une de ses plus belles découvertes et elle ne s'en lassait pas. Ils arrivaient à s'isoler, et elle le masturbait. Dans un premier temps elle se contentait de le frotter, puis elle s'était dit qu'elle ne prenait guère de risques en lui demandant la réciprocité. Il avait encore au bout des doigts la sensation, la forme de son sexe. Il aurait aimé qu'ils aillent plus loin que de simplement se branler mutuellement, mais elle avait malheureusement déménagé et ils ne s'était jamais revus.
Il avait retrouvé ce passé avec Véronique quand elle lui avait suggéré que, s'il voulait encore du sexe dans l'après-midi, il pouvait passer, et qu'elle lui ferait quelque chose de rapide, et de gratuit.
Il en était même arrivé à se dire que si on lui avait donné le choix, il serait resté sur ces moments de l'après-midi, un plaisir bref, mais très intense et bonne manière de démarrer la fin d'après-midi et la soirée.
Aujourd'hui, sans doute, les choses étaient différentes. Les images de la blonde tournaient dans sa tête. Dans l'absolu, et alors que Véronique occupait totalement ses pensées depuis pas mal de temps, il se surprenait à penser à une autre fille, plus jeune. Avec laquelle il n'avait aucune chance d'avoir le moindre rapport, il le savait. Deux lignes de vie différentes, avec rien en commun. Il regrettait presque de l'avoir surprise ainsi. Surtout qu'il savait bien qu'il y avait une fenêtre pour quelque chose entre Véronique et lui. Certainement pas avec la blonde.
Mais le désir a ses raisons que la raison ignore.
Pourtant, quand il vit Véronique, il l'oublia. Elle avait beaucoup de charme, le charme d'une MILF, une sensualité que la blonde n'avait pas, qui vient avec l'âge, et aussi une chaleur que la jeune femme ne semblait pas posséder, très froide pour ce qu'il en sentait.
Véronique était toujours coquette, et arrivait à avoir style et élégance, malgré ses revenus limités. Elle se changeait entre le matin et l'après-midi, cet après-midi justement, elle avait opté pour une robe bleue moulante, avec des bottes de daim assorties.
Elle était posée près d'un lampadaire. Elle l'aperçut et vint se caler à la place du mort. Il partit très loin au bout du parking, là où plus personne ne se garait, près d'une friche qui avait appartenu à la SNCF, regroupant des wagons abandonnés.
Comme elle l'avait fait le matin, mais différemment, elle s'exhiba, soulevant une robe plutôt longue pour présenter ses jambes gainées du nylon de bas stay-up et son sexe nu, dans lequel elle vint ficher deux doigts pour s'ouvrir. Elle le laissa regarder aussi longtemps qu'il le voulait, elle savait que les hommes aimaient regarder les sexes de femmes, jusqu'à ce qu'elle tende la main vers sa queue et le masturbe. Elle masturbait vraiment bien, et elle le caressa doucement, dans un geste très lent, évocateur et puissant, gorgeant ses chairs d'encore plus de sang jusqu'à ce qu'il explose enfin, dilaté à l'extrême, énorme, il fallait bien utiliser ce mot.
Au moment où il jouit, la blonde surgit dans ses pensées, alors qu'il ne l'attendait vraiment pas.
Il rentra chez lui en se disant que la vie était vraiment étrange.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
La blonde dans l'appartement partie 3
La blonde dans l'appartement partie 1
L'appartement
Une visite d'appartement qui dérape
Flora, Recherche Appartement ou Maison