Eric commence ses études à Paris, et doit rapidement trouver un logement. Il répond à une annonce en ligne, et se rend sur place pour visiter l'appartement. Il s'agit d'une chambre chez l'habitant...
Proposée le 26/09/2022 par eseldoit
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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je me présente, je m'appelle Eric et je viens tout juste d'avoir 19 ans. Physiquement je suis ce que l'on appelle un petit gabarit (1m72 pour 59kg), des cheveux longs, une gueule d'ange et un très jolie cul bien rond (je m'épile entièrement). Je suis gay mais personne ne le sait car je sors régulièrement avec des "copines" pour donner le change autour de moi. Mais mes relations ne tiennent pas longtemps car j'ai un sexe assez petit et bande souvent mou. On ne choisit pas sa nature, et ce que je préfère par dessus tout c'est le sexe entre mec, principalement avec des hommes plus âgés, ou étranger (arabes et noirs). Les jeunes de mon âge ne m'intéressent pas du tout, je les trouve immature et pas du tout attirant. Ce sont les vrais mâles matures, virils et dominant (je suis de nature très soumise) qui ont ma préférence. J'adore également porter de la lingerie féminine en dentelle (porte jarretelle, soutien gorge, string, body) car je trouve le contact avec ma peau incroyable, et cela souligne mes courbes très féminines. Mes partenaires apprécient toujours, surtout les mecs hétéros mariés que j'arrive à séduire. Je précise tout de même que je ne me considère pas du tout comme un travesti, même si je suis très femelle et soumise au lit (je ne me maquille pas et ne porte pas de perruque).
Je viens d'arriver à Paris pour commencer une FAC de droit. Issus d'un milieu modeste, mes parents sont fiers de moi, surtout mon père qui n'a pas pu faire d'étude. Je loge actuellement chez une copine avec qui je couche, mais malheureusement cela ce passe mal. Elle s'est rendu compte que je la trompe avec des mecs, et que je n'ai pas vraiment d'attirance pour elle ou pour les femmes en générale. Elle vient de me donner un ultimatum de deux semaines pour que je parte de chez elle.
Me voilà en urgence à la recherche d'un appartement car je vais bientôt être à la rue et devoir retourner chez mes parents n'est pas une option. Mais les annonces sont très rares ou hors de prix. Cependant, je tombe sur une offre qui me semble un peu spéciale qui me met la puce à l'oreille : "Cherche jeune étudiant impérativement pour chambre meublée chez l'habitant, petit loyer contre service". Je décide d'appeler et rendez-vous est pris pour l'heure suivante. Je m'habille très léger pour ne pas avoir chaud, short bien moulant et débardeur décolleté laissant apparaître mon torse imberbe, et me jette dans la station de métro la plus proche.
Après un changement de ligne, j'arrive dans le 11eme arrondissement, face à un immeuble en mauvais état, tagué et pas super bien entretenue. Bon, je me dis que je peux toujours voir ce que ça donne. Je sonne à l'interphone et un monsieur me demande de monter au 4eme. La cage d'escalier est aussi sale et décrépie que l'extérieur, je monte au quatrième et arrive devant la porte. Je frappe deux coups rapides, et instantanément la porte s'ouvre sur un homme : la cinquantaine bien passée, 1m80, très costaud avec un gros ventre pendant, cheveux et barbe poivre et sel, en sandale et marcel tâché, très poilu. Mais ce que je remarque tout de suite, c'est qu'il est en caleçon pour me recevoir, ce qui ne le dérange visiblement pas du tout.
- Salut moi c'est Renée, c'est toi le petit étudiant qui a appelé j'imagine ? Rentres je vais t'expliquer.
Son ton est ferme, et commence à me faire de l'effet. Je bafouille quelque chose et rentre dans le salon. Je le sens mater mon cul bombé quand je passe, et il referme à double tour derrière moi. L'appartement est lui aussi sale, une vieille moquette recouvre le sol, des tapisseries se décollent, il y a des bouteilles et canettes partout, le cendrier est plein de mégot de clope, et la télé est allumée sur un match de foot. Il y a une odeur de friture partout, sans doute à cause de la cuisine ouverte sur la pièce. Il m’emmène voir la chambre de l'annonce, je passe en premier devant lui dans le couloir. Je sens sa respiration forte dans mon dos, il a le regard fixé sur mes fesses, la situation commence à m'exciter fortement. La chambre est sans surprise : 7m², une ampoule nue qui éclaire à peine, un pauvre matelas à même le sol, et un petit meuble de rangement. Un vrai taudis, je comprend le prix, mais je suis désespéré et prêt à tout. Je me retourne et mon regard est aussitôt attiré par une énorme masse au
niveau de son caleçon. Je comprend très vite que je lui fait de l'effet, sa bite est mi-molle mais parait déjà énorme. Je tente le tout pour le tout, et commence à lui parler en me tortillant les pointes de cheveux :
- Cela pourrait me convenir, mais je trouve le prix assez haut quand même,. Vous ne pourriez pas faire un geste rien que pour moi Renée ?
Je roule du cul pour me rapprocher de lui, et pose ma main directement sur son caleçon. je commence à le masser à travers le tissus. Je vois la surprise dans ses yeux grand ouvert, je sens son sexe durcir sous ma main ce qui trahit ses pensées.
- J'ai vraiment besoin de me loger, et je suis prêt à vous rendre "service" quotidiennement pour baisser le prix. Qu'en dites-vous ? Accueillir un petit étudiant pourrait être agréable non ?
Le message ne peut pas être plus clair, et il l'a bien comprit. Il m'attrape par la nuque de sa main puissante et me roule une pelle baveuse d'enfer. Il me plaque contre lui et de son autre main me malaxe le cul avec fermeté avec travers mon short. Il ne lâche pas son emprise et me fouille la bouche avec sa langue longuement. Il a un goût de tabac désagréable, ni une ni deux ma queue se dresse au garde à vue. Il desserre sa main et me regarde droit dans les yeux en passant sa langue sur ses lèvres :
- Il va falloir être une très gentille fille à son papa si tu veux cette chambre. Je n'aime pas les allumeurs qui n'assume pas.
Aussitôt, il m'appuie sur les épaules et me force à me mettre à genoux devant lui. Je me retrouve sur la moquette, la tête au niveau de son entre-jambe. Une grosse bosse déforme son caleçon, qu'il fait glisser jusqu'à ses chevilles pour laisser apparaître sa bite. Elle est impressionnante (21cm au moins), courbée et penchée vers l'avant, mais surtout très très large et veinée, avec un gland circoncis monstrueux. Une forte odeur s'en dégage, il ne doit pas être très porté sur l’hygiène comme en témoigne ses longs poils sur son pubis et ses couilles. Je le saisi à pleine main et commence des va-et-vient tout le long avec mes deux mains. Je n'arrive même pas à faire le tour tellement elle est épaisse. Ça lui fait de l'effet, car il commence à grogner.
- Dès que tu es rentré j'ai vu que tu étais un petit PD en chaleur avec ton short moulant. T'inquiètes pas, Renée va bien s'occuper de toi. Allez met toi au travail salope.
Sur ce il force ma bouche avec son gland qui vient directement taper contre ma glotte. Il commence des va-et-vient en me prenant la tête d'une main. Je dois ouvrir ma bouche et écarter ma mâchoire au maximum pour le laisser passer, entièrement. Le départ est ultra rapide et sévère, je ne m'y attendais pas. Il me baise la bouche sans s'occuper de mon ressenti, les yeux remplis de sexe et de bestialité. Je commence à saliver énormément pour assumer la baise buccale qu'il m'inflige, des bruits de succions indécents remplisse la pièce et viennent couvrir ses râles de plaisir.
- Putain t'es une bonne salope toi ! Tu l'as prise directe pleine bouche et tu ne bronches pas beaucoup. Vas-y pompe la grosse bite à papa Renée, et fais gaffe à tes dents sinon tu vas t'en prendre une. Je vais te montrer ce qui t'attends si tu veux une chambre pour toi ici.
La scène est incroyable : moi à genoux sur la moquette de cet appartement sale, en train de me faire baiser la bouche par un mec plus vieux que mon père et tout bedonnant, les mains contre ses cuisses pour limiter en vain ses assauts dans ma bouche, mes yeux de salopes levés vers lui, avec de la bave s'échappant par mes commissures de lèvres et coulant sur son caleçon au sol. J'étais censé juste visiter pour une location, et je me retrouve en train de servir de défouloir à un mec qui n'a pas dû avoir de relation depuis un moment et qui lâche toute sa frustration retenue à travers ses coups de reins.
- Han han encaisses c'est bien ma petite pute, maintenant prends la bien au fond de ta gorge de mignonnette.
D'un coup il m'attrape la tête à deux mains, et s'enfonce entièrement jusqu'à la garde. Elle est très large et m'ouvre la gorge en grand, mais sa forme courbée aide à bien aller au fond. Il reste planté une dizaine de seconde le temps pour moi de m'habituer à ce corps étranger. J'ai des larmes qui coulent le long de mes joues, simple réflexes de mon corps, mais ça ne semble pas l'émouvoir du tout.
- Hmmm c'est trop bon d'être bien au chaud dans une gorge de jeunot. Remballes tes larmes, tu crois que je vois pas que tu prends ton pied ? Ta petite bosse de PD dans ton short parle pour toi.
Difficile à cacher, la bosse au niveau de mon entrejambe est limpide sur mon état d'esprit. Il commence alors par des petits mouvements rapides, son gros gland allant et venant dans ma gorge ouverte. L'envie de vomir arrive, chaque coup me donne un soubresaut, je suis littéralement en train de me faire fourrer la gorge par sa bite, et j'ai du mal à respirer. La violence de la scène me fait tourner la tête et je commence à manquer d'air. Impossible de me libérer de son emprise, c'est lui qui décide quand j'ai le droit de reprendre mon souffle. Je commence légèrement à voir des mouches, la privation d'oxygènes se fait sentir. Heureusement il constate que je suis au bord de l’asphyxie et retire d'un coup son sexe de ma bouche. Un long filet de bave et de glaire relie la base de son gland à mes lèvres. Je respire de grand bouffées d'air frais et toussote en mettant une main au sol et en me tenant la gorge. Je le vois rigoler en se branlant brutalement au dessus de moi.
- Ahah pas encore habitué, mais ça viendra. Bon on va pas y passer la journée, ce qui va se passer c'est que je vais te baiser la bouche et me finir sur ton petit visage de pétasse. Et tu vas être très sage pendant que je me vide.
- J'ai besoin de récupérer un peu s'il vous plaît, c'était trop rapi...
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'envoie une baffe en plein visage. Elle n'est pas puissante, mais le geste est symbolique et me remet tout de suite à ma place de femelle. Ma petite queue redurcit d'un coup, l'excitation de servir ce mâle revient immédiatement. Il m'attrape par les cheveux et me crache un gros mollard au visage.
- Ta gueule salope, tu parleras quand je t'en donnerai le droit. Ce sera finit quand tu auras mon jus sur ta face, pas avant.
Son manque de respect me font immédiatement perdre pied, et me transforme en sa chose. Je le fixe droit dans les yeux et fais oui de la tête en léchant son crachat qui coule le long de ma joue. Je m'enfonce deux doigts dans la bouche et m'écarte les lèvres pour lui laisser le passage libre. Le message est clair je suis OK pour être sa chose et lui vider les couilles comme il l'entend. Il sourit devant la scène, me choppe d'une main par mes cheveux longs, et me traîne à quatre pattes jusqu'au matelas de ma future chambre. Je vois pleins de marques jaunâtres suspectes dessus et me doute de l'utilisation qu'il en fait au quotidien. Il m'ordonne de me déssapper et de m'allonger sur le ventre, face contre lui. Je suis le ventre et la bite collés sur ce matelas, mon cul rond à sa vue. Il se positionne à genoux devant moi, la bite fièrement dressée devant mes yeux. Elle brille de ma salive, et ses veines saillantes palpitent d'excitation.
- Attrapes tes pieds avec tes deux bras, et tu ne bouges pas jusqu'à ce que je finisse. J'ai une bonne vue sur ton cul de pute, ça va me faire monter le jus.
Je m’exécute et me voila allongé les jambes relevées vers mes fesses, la bouche grande ouverte, langue tirée prêt à recevoir. C'est le signal pour lui de remettre sa queue dans ma bouche et de reprendre ses coups de butoirs. La forme de sa bite et ma position facilite la pénétration de ma gorge. Il s'enfonce à chaque fois entièrement et recommence, son pubis poilu tapant contre mon nez. Le bruit de claquement de ses couilles contre mon menton est obscène, et je pousse des petits gémissement pour l'encourager y aller à fond. Il ressort de temps en temps sa queue et me gifle avec en m'insultant de tout les noms.
- Putain je suis tombé sur le gros lot, une jeune salope comme ça qui prends ma vieille queue sans broncher c'est rare. C'est ça qui te fais mouillé salope, servir de vide couille à un mec qui a l'âge de ton père ? Il doit être fier de toi ton paternel en voyant à quoi tu passes ton temps petite traînée !
Je ne relève pas ce pique au combien révélateur, et continue de le fixer de mes yeux brillant de luxure. Il a entièrement raison, la situation me fait un effet fou et mon sexe frotte sur le matelas en cadence avec ses coups. Il a repris des mouvements rapide et ses râles se font de plus en plus entendre, je sens sa bite se raidir par moment et je me doute qu'il est sur le point de non-retour. Je décide alors d'accompagner de ma tête chacun de ses mouvements de bassin afin que sa queue tape le plus loin possible. Il le remarque et me sourit en redoublant de cadence. Je ne suis plus qu'un trou qu'il utilise sans aucune précaution ou empathie.
Il me baise la bouche encore une dizaine de minute en suant à grosse goutte. Il fixe le plafond en soupirant tout en ayant ma tête entre ses deux mains, sa queue coulissant entre mes lèvres pulpeuses. Il se retire sans prévenir en grognant, et branle énergiquement sa grosse bite pleine de salive à dix cm de mon visage. Je ferme les yeux et ouvre la bouche en grand pour recevoir ma récompense. Il pousse un hurlement d'ours et je sens 8 grosses giclées collantes et épaisses atterrirent sur mon visage, ma bouche et mes cheveux.
- Oooooh oui prends mon sperme bébé, t'est une bonne petit chienne ooooooh.
La quantité est énorme, j'ai le visage entier recouvert du jus de cet homme que je ne connaissais pas il y a une heure. Il respire bruyamment, essayant de reprendre son souffle après l'effort, son gros ventre trempé de sueur. Il se caresse le corps et la bite doucement en me regardant droit dans les yeux avec un air de victoire. Je saisi sa bite en train de ramollir d'une main et vient lui pomper le gland pour bien la nettoyer à coup de langue, qu'elle soit bien propre. Je minaude en faisant des petits sons qui lui font comprendre que j'ai kiffé ce moment intense, ce qui semble confirmer que ma candidature pour la chambre a bien été retenue.
- C'est bien, tu as été gentille. Tu peux t'installer ici dès demain. Je vais bien m'occuper de toi, tu verras mon mignon. Allez maintenant tu dégages, j'ai à faire.
D'un coup il remonte son caleçon trempée de salive et range sa bite encore à moitié dure, il me prend par le bras et me force à me remettre debout. J'ai à peine eu le temps de ramasser mes vêtement qu'il me fout à la porte après m'avoir roulé une énorme pelle et foutu une énorme claque sur le cul.
- Tu ne le sais pas encore mais tu es déjà accro à ma grosse queue. Tu vas vite revenir voir papa, et la prochaine fois je m'occuperai de ton trou serré.
Il claque la porte, et je me retrouve comme un con dans le couloir à poil, du sperme plein le visage, pas encore totalement remis de ce qui vient de se passer, et la queue dure comme du bois. Je fonce dans le local poubelle pour m'isoler et me branle frénétiquement en léchant son sperme de mes doigts. La jouissance vient très rapidement, et j'explose en trois petits jets légers le long du mur en gémissant. Je me rhabille rapidement et rentre chez moi pour préparer mes affaires pour mon emménagement chez Renée qui s'annonce prometteur. Il a raison, je pense déjà à notre prochaine rencontre.
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