Histoire Erotique

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Le Centre Rémy - 1

Maya 19 ans, est envoyée dans un centre de rééducation : le Centre Rémy, dirigé par madame Saint-Claire et tenu par un personnel exclusivement féminin. En concertation avec Élodie, une belle psychologue, elle décide de recruter Théo pour introduire un élément masculin et ainsi « tenir » les filles.

Proposée le 15/10/2025 par Vincent20100

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Thème: Masturbation
Personnages: FF
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Le juge avait parlé sans la regarder. Un greffier tapait sur son clavier sans lever les yeux. Une éducatrice attendait au fond, bras croisés, regard neutre.

Maya, elle, était seule. Pas d’avocat, pas de famille.

— Compte tenu de votre âge, de vos antécédents et de l’évaluation psychiatrique, le tribunal ordonne votre placement immédiat en foyer, à titre éducatif et thérapeutique.

Maya n’avait pas réagi. Elle connaissait la chanson. Centre fermé, foyer, unité spécialisée…
Elle avait été arrêtée deux semaines plus tôt, dans un squat. Maya y dormait sur un matelas sans drap, entre deux filles de son âge qui respiraient trop fort.
Elle avait 19 ans, pas de famille, pas de domicile fixe. Orpheline depuis ses 12 ans, ballottée de foyer en foyer.

Le juge avait poursuivi, toujours sans la regarder.
— Le Centre Rémy, Unité pour jeunes femmes, est spécialisé dans l’accueil des jeunes femmes en situation vulnérable. Vous y serez transférée dès demain matin.

Fondé par le docteur Auguste Rémy, psychiatre, le centre appliquait une méthode de rééducation reconnue pour sa rigueur. Maya n’avait jamais entendu ce nom. Elle s’en fichait.

Après ce énième jugement, elle montait dans une voiture de police. Celle qui allait la conduire dans ce centre pour jeunes femmes. Maya fixait la vitre, mais ce n’était pas le paysage qu’elle voyait. C’était elle. Son reflet, pâle, flou, encadré par un chignon roux trop voyant.

Elle était belle. C’était un fait, même si elle refusait de le croire. Ses cheveux roux semblaient faits pour briller sous le soleil. Son visage, fin et anguleux, portait les traces d’une enfance trop vite effacée : pommettes hautes, lèvres pleines, regard vert sombre. Un regard qui aurait pu séduire, s’il ne cherchait pas toujours à fuir. Sa peau était pâle, constellée de taches de rousseur qu’elle détestait. Les hommes les trouvaient pourtant charmantes. Une fille qui attire les regards malgré elle.

Elle avait fini par croire que sa beauté était une erreur. Alors elle s’était mise à disparaître. Sweat trop grand, capuche vissée, regard baissé.
Elle se souvenait du lycée. Des filles aux ongles parfaits, aux sourires carnassiers.
— Tu pues de la gueule comme toutes les rousses.
— Tes taches de rousseur, ça fait vraiment crade.

Elle n’avait jamais su si c’était de la jalousie ou de la cruauté gratuite. Peut-être les deux. Elle avait arrêté de sourire. De parler. De se regarder. Son reflet dans la vitre lui renvoya cette beauté, cette jolie fille qu’elle avait tenté d’oublier à cause des jalousies. Alors, sans un mot, elle rabattit la capuche de son sweat sur sa tête.

Le foyer n’était qu’un autre endroit où elle allait devoir vivre sans exister. Le portail du centre s’était refermé derrière elle dans un bruit sourd. Maya n’avait pas bougé, encadrée par deux policières, comme si elle pouvait s’enfuir d’un instant à l’autre.

Une femme aux cheveux poivre et sel, tirés en un chignon strict, s’approcha. Tailleur sombre, regard neutre, voix sèche.
— Bonjour Maya. Je suis Madame Saint-Claire, directrice du centre.
Les deux agents signèrent un formulaire sans un mot, puis repartirent. Maya les regarda s’éloigner, sans regret. Elle examina une plaque discrète près de l’entrée : Centre Rémy – Méthode Auguste Rémy – Rééducation par la rupture.

Madame Saint-Claire se tourna vers elle.
— Suivez-moi.
Le couloir principal sentait le désinfectant et le café froid dès l’entrée. Maya marchait, les mains dans les poches, le regard fixé sur le sol.

Dans un petit bureau, une autre femme l’attendait. Début de trentaine, un joli minois aux traits fins, une brune aux cheveux longs tombant jusqu’aux omoplates. Des lunettes rondes, un sourire délicieux. De taille moyenne et bien proportionnée avec des formes qui attirent le regard.

— Bonjour Maya. Je suis Élodie, la psychologue du centre. On va se voir régulièrement.
Elle montra une chaise.
— Tu peux t’asseoir.
Maya resta debout.
— Tu sais pourquoi tu es ici ?
Silence.

— Tu veux qu’on parle de ce qui s’est passé ?
Maya haussa les épaules. Élodie nota quelque chose sur un carnet.
— D’accord. On prendra le temps. Tu peux aller dans ta chambre maintenant. C’est la 12. On t’a mis avec une autre fille, Sayuri. Si tu as besoin de quoi que ce soit, demande aux éducatrices.
Maya sortit sans répondre.

La chambre était petite. Deux lits, deux armoires, une fenêtre avec des barreaux. Sayuri, sa « colocataire », était assise sur son lit, en train de plier un t-shirt.
D’origine japonaise, avec des cheveux noirs attachés en une queue de cheval lâche, des traits fins mais une présence affirmée. Son visage anguleux, presque sculpté, avec des pommettes hautes et des yeux sombres, légèrement en amande.

Elle avait une manière de se mouvoir souple, féline, presque silencieuse. Une sensualité naturelle, presque involontaire.
— Si tu veux te laver, faut y aller tôt ou tard. Entre dix-neuf et vingt et une heures, c’est la guerre. Après, c’est plus calme, mais t’as moins d’eau chaude.

Maya acquiesçait sans répondre. Elle prit une serviette. Hésita. Puis commença à se déshabiller. Maya se retrouvait en sous-vêtements. Elle levait les yeux vers le miroir accroché à l’intérieur de la porte de l’armoire. Petit, rayé, mais suffisant.

Sayuri ne bougeait pas. Elle la regardait.
— Tu sais que t’es craquante, hein ?
Maya se figea une seconde. Elle ne répondit pas.
— Sérieux. Avec ce corps, tes yeux de biche, ton air de fille sage… Tous les mecs se retournent sur ça.

Maya se regardait. Son corps. Des hanches un peu larges, avec des fesses rondes proportionnées, des seins en forme de pommes et un ventre presque plat mais pas vraiment. Elle ne savait pas si elle était belle. Elle passa une main sur son ventre. Elle se dit qu’elle n’était pas laide, et peut-être que oui, elle était craquante. Et, c’est vrai que les hommes la regardaient.

Le couloir était encore calme. Maya suivit le conseil de Sayuri : venir tôt à la douche. Elle ne voulait pas se battre pour un jet d’eau tiède. Juste se laver.

La pièce carrelée était éclairée par un néon blafard. L’odeur de savon bon marché embaumait la pièce. Elle se déshabilla lentement, comme si on l’espionnait. Elle entra dans la cabine, referma la porte en plastique, ouvrit le robinet. Et l’eau chaude coula. Vraiment chaude.

Elle tendit la main, laissa le jet glisser sur sa paume, puis sur son bras, les épaules, les seins… Elle fermait les yeux. C’était une sensation très agréable. Une chaleur qui enveloppe, qui pénètre, qui réveille. Elle n’avait pas senti ça depuis des semaines. Des douches froides, rapides. Des lavages sans plaisir, sans confort. Mais là, c’était différent.

L’eau coulait sur sa nuque, sur ses épaules, sur son dos. Elle sentait ses muscles se détendre. Elle restait là, immobile, sous le jet brûlant.
Elle imagina des mains qui ne seraient pas les siennes sur elle. Elle imaginait une voix qui demanderait si elle veut être savonnée.

Maya se savonna lentement, malaxant fermement ses seins, ses fesses… Puis se rinça. Son ventre, puis sa chatte, lui firent un drôle d’effet. Il faudrait aussi que l’homme de son rêve rince sa minette, non ? Elle rouvrit les yeux brusquement. Elle se sentait idiote. Elle se disait qu’elle fantasmait. Qu’elle s’inventait des choses.

Mais elle restait sous l’eau encore un peu. Parce que c’était bon. Parce que ça faisait du bien. Alors elle retourna à son fantasme, s’asseyant et commençant à orienter le jet entre ses cuisses écartées. Une sensation agréable l’envahit…

Toc toc toc !

On frappait à la porte. Maya rouvrit les yeux, pas sûre d’avoir entendu. Et une voix, d’une des filles « pensionnaires », jalouse, sortit complètement Maya de sa rêverie.

— Eh ! Qui est là ? Utilises pas toute l’eau chaude ! Tu connais les règles ? Pas de plaisir sous la douche !

Une fille du dortoir. Maya ne savait pas son nom. Mais elle reconnaissait le ton : celui de la jalousie. Maya se figea. Le cœur battant. Le corps encore chaud. Elle se sentit prise. Surprise. Coupable. Elle coupa l’eau. S’essuya vite. Se rhabilla sans un mot.


Le soir, Sayuri s’endormit rapidement, face au mur, dos tourné à sa camarade de chambrée. Maya s’était allongée rhabillée. Elle avait attendu. Écouté les bruits. Les pas. Les portes. Puis, vers minuit, elle s’était levée.

Elle connaissait ses gestes. Marcher sans bruit. Tirer doucement la porte. Repérer les angles morts.

Le couloir était sombre, éclairé par une veilleuse lointaine indiquant la sortie de secours. Elle passa devant les chambres, une à une.

Dans la 11, rien. Juste deux respirations lentes, régulières.
Dans la 9, ça ronflait. Fort. Maya fronça les sourcils. Cette fille dormait la bouche ouverte ?
Dans la 7, des chuchotements. Deux voix basses. Des rires étouffés. Des secrets de filles.

Maya s’arrêta quelques secondes. Au bout du couloir, elle avait cru voir une ombre s’éloigner.

Puis, elle arriva devant la 5. Elle s’arrêta. La porte était mi ouverte. Une couverture jetée au sol. Deux silhouettes dans le même lit. Deux filles collées l’une à l’autre. Une main sur une hanche. Un souffle dans un cou. Des bruits de lèvres se déposant sur un corps. Des soupirs féminins… Maya perçut une sincérité. Pas de domination. Pas de jeu. Mais une alliance entre deux solitudes.

Maya resta figée. Surprise.

Elle n’avait pas honte. Mais elle détourna les yeux un instant. L’absence d’hommes dans le centre lui sembla soudain une réponse logique à cette situation. Elle-même avait des pensées qu’elle trouvait dévorantes.

Son corps réclamait comme une faim dévorante. Elle avait honte de ce besoin, mais il était là.

Elle se rappellerait toujours du jour de ses dix-huit ans. Elle avait fugué d’un centre et en chemin, avait croisé un jeune de deux ou trois ans de plus qu’elle qui avait proposé de l’héberger à la résidence étudiante où il logeait.

Le soir, ils s’étaient rapprochés. Il avait posé sa main sur son bras. Puis sur sa hanche. Puis partout. Elle s’était laissée faire. Pas par amour. Pas par envie. Juste parce que son corps en avait besoin. Elle voulait sentir qu’elle existait autrement. Pas comme une fille paumée ou victime de jalousies. Juste comme une fille qu’on touche. Qu’on regarde. Qu’on désire.

Il lui avait sucé les seins, doigtée et léché la chatte jusqu’à la jouissance. Pour ses dix-huit, elle s’en rappelle, elle avait joui. Grâce à la bouche d’un homme.

En retour, elle lui avait pompé amicalement le dard. Quelques coups de langue, de la léchouille et un peu d’aspiration pour montrer sa reconnaissance. Tout ça maladroitement. Mais son hébergeur lui avait dit qu’elle s’améliorerait sûrement.

Le lendemain, pendant que le jeune homme dormait encore, elle s’était pourtant enfuie en lui volant l’argent de son portefeuille. Elle ne regrettait pas ce geste. Cet argent, elle en avait besoin. Et elle était trop paumée pour entamer une relation.

Par contre, les instants dans ses bras la titillaient toujours. Parfois, elle repensait à cette soirée de préliminaires, à lui. À sa bouche, et surtout, à sa langue… À cette chaleur auprès de ce « linguiste ».

Arrivée au centre Rémy elle était encore vierge à 19 ans et se dissuadait de vouloir qu’un homme la pénètre, mais elle le voulait quand même. Ce n’était pas elle qui décidait. C’était plus fort qu’elle.

Un manque se logeait dans son ventre, comme une bête affamée. Ce n’était pas du désir. Pas de l’amour. Juste une pulsion. Une brûlure sous la peau. Elle voulait éteindre ce feu. Ou que ça explose. Peu importe.

Là, dans cette chambre 5 entrouverte, en voyant ces deux filles ensemble, son imagination s’était déjà mise en marche. Est-ce qu’elles s’embrassaient tous les soirs avant de dormir ? Est-ce qu’elles se touchaient, doucement, dans le noir ? Est-ce qu’elles se murmuraient des choses que personne d’autre ne devait entendre ?

Elle s’imaginait retrouver ce jeune à la cité universitaire. Le retrouver pour assouvir une urgence animale, comme une fièvre à faire tomber. Elle ne cherchait pas l’amour. Elle ne cherchait qu’à retrouver du plaisir. Un corps contre le sien. Une friction. Une chaleur. Quelque chose pour faire taire le manque. Son besoin était brut, bestial. Comme une rage, comme une faim qui ne se calme qu’en mangeant un plat avalé goulûment. Cela pourrait être une banane gobée en un instant pendant qu’une langue s’insère dans l’entre-cuisse. Cette fois, plutôt que de le faire jouir naïvement, surprise par une projection de sperme sur le visage, elle s’allongerait et le laisserait entrer en elle.

Malheureusement il n’y avait dans ce centre que des filles… Ce qu’elle voyait dans la chambre 5, c’était une tendresse. Deux corps rapprochés pour se consoler. Un ersatz de relation. Une intimité choisie, construite dans le manque, dans le besoin d’être touchée. Ces deux filles s’embrassaient discrètement, se caressaient et léchaient leurs seins, commençaient lentement à se caresser le minou du bout des doigts. Allaient-elles se le brouter mutuellement ? L’une après l’autre ? Les autres chambrées faisaient-elles de même ?

Maya pensait « C’est sûr oui. Ici il n’y a pas d’autre façon de soulager temporairement ses besoins primaires ». Est-ce que sa camarade de chambrée a également ce genre de besoin ? Avait-elle un besoin aussi fort qu’elle de l’assouvir ? Maya imaginait déjà les lèvres de Sayuri contre les siennes, leurs corps…

Tout à coup, la rouquine se demandait pourquoi elle s’imaginait s’offrir à Sayuri. Et là, à l’angle du couloir, une lumière bougea. Une gardienne : la ronde de nuit. Une lampe torche balayait les murs. Maya se plaqua contre le sol, dans l’ombre. Retint son souffle. La lumière passa à quelques centimètres de son visage. Un battement de cœur. Deux. Puis la gardienne tourna dans l’autre direction.

Maya attendit encore. Longtemps. Puis descendit les escaliers, une marche à la fois.

Dehors, l’air était plus frais. Elle traversa le petit parc qui entourait le centre, en rasant les murs, en évitant les lampadaires. Puis, elle se glissa dans un buisson, accroupie, les bras serrés contre elle. Maya attendait. La ronde extérieure allait passer. Elle voulait savoir où étaient les gardiennes. Les repérer. Et ensuite, filer.

Elle sentait que de l’humidité s’était infiltré dans sa culotte. Mais elle ne bougeait pas. Maya se demandait comment sa culotte pouvait être humide alors qu’il ne pleuvait pas. Elle sentit que cela la gênait. Elle se tortilla légèrement, essayant de décoller la culotte de sa vulve.

Son esprit lui rappela que quelques instants auparavant, elle s’était remémorée le cunni offert par son hébergeur d’une nuit, les amantes de la chambre 5 et sa projection avec Sayuri. Voilà qui expliquait l’état de sa culotte. Elle entrouvrit sa veste, frottant involontairement à travers son t-shirt ses seins, dont les tétons étaient durcis. Elle déboutonna son jean et entreprit de tirer un peu sur sa culotte.

Mais cela ne servi à rien. Elle mit alors son index et son majeur entre le sous-vêtement et sa vulve. Plutôt que d’améliorer la situation, cela augmenta son désir d’être touchée. Rapidement, ses doigts fouillèrent, maladroits. Elle pinça ses grosses lèvres, caressa doucement son clito et introduit juste le bout de son index dans son fourreau bien chaud en se retenant de respirer trop fort.

Mais dans l’effort et les quelques mouvements, une branche craqua sous son pied. Un bruit sec. Net. Elle se figea. Trop tard.

— Hé là !
Le faisceau d’une lampe torche. Une, puis deux silhouettes surgies de l’ombre. Toutes deux des femmes. Vêtements noirs marqués « sécurité », visages fermés.

— Tu croyais quoi ? Qu’on allait te laisser filer ?
Maya recula, le cœur battant. Elles l’entouraient. Pas violentes. Elle les regarda. Grandes, musclées, impassibles. Elle pensa aux filles du lycée. À leurs sourires cruels. À leurs ongles parfaits.

— Vous êtes toutes pareilles, murmura-t-elle. Des chiennes bien dressées.
Une d’elles fronça les sourcils.
— Viens. On rentre.
Maya ne résista pas. Elle avait déjà perdu. Elle le savait. Elle baissa la tête, comme toujours.

Le lendemain le réfectoire sentait le pain grillé et le lait tiède. Maya s’était assise à une table du fond, dos au mur. Sayuri l’avait rejointe sans un mot, plateau en main.
— Tu t’es levée tôt, dit-elle en croquant dans une biscotte.

Maya haussa les épaules. Elle baissa la tête en repensant à la veille au soir. Elle s’était imaginée s’adonner aux plaisirs saphiques avec Sayuri. Juste pour éteindre le feu. Juste pour faire taire le manque. Son corps avait réclamé. Et son esprit avait suivi.

Maintenant, face à Sayuri, elle se sentait nue. Pas physiquement. Mais mentalement. Comme si l’autre pouvait deviner ce qu’elle avait imaginé... Ce qu’elle avait voulu. Après tout, Sayuri la trouvait craquante. N’était-ce pas un signe ?
Elle ne releva pas les yeux. Elle ne voulait pas croiser son regard. Sayuri, elle, continuait à manger. Tranquille. Comme si rien ne s’était passé.

— Pas dormi. Lança finalement Maya.
Sayuri la regarda un instant, puis baissa les yeux vers son bol.
— T’as tenté de te barrer, hein ?
Maya ne répondit pas.
— T’inquiète. Presque tout le monde essaie au début. Moi aussi.
— Et après ?
— Ben rien. Elles m’ont ramenée. Comme toi… J’ai trop perdu de temps en traversant le couloir je pense.
Maya ne répondit pas. Elle regardait Sayuri, intriguée. Aurait-elle, elle aussi, assisté aux plaisirs des voisines de chambrées ? Sayuri souffre-t-elle du même manque « d’affection » que Maya ?

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