Un couple canadien me confie leurs frasques sexuelles.2

l'homme accepte tout de sa femme par amour, même qu'elle se fasse baiser par des inconnus devant lui. Jusqu'où acceptera-t-il de se soumettre à tous ses caprices sexuels ?

Proposée le 19/06/2025 par mlkjhg39

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Un couple canadien me confie leurs frasques sexuelles.

Je vais publier l’histoire vraie de ce couple de canadiens sans en changer les termes, il se suffit à lui-même et légèrement retouchée. Je les remercie de la confiance qu’ils me portent.
Mlkjhg39


Un beau jour Bruno a été muté dans une autre ville, bien sûr son départ a attristé Christine, qui n'avait plus le goût d’aller trouver un autre amant, pour un bon bout de temps elle est redevenue une épouse fidèle.

Suite :
Étant donné que je n'ai jamais vu le pénis de Bruno, ma seule référence était ma femme en ce qui concerne la grosseur. Mon pénis mesure près de 7 pouces de long et un peu moins de 2 ¼ pouces de diamètre. Ma femme n’avait jamais mesuré le pénis de Bernard, mais selon elle, il devait mesurer au moins 8 ½ – 9 pouces et 3 pouces de diamètre mais je crois qu’elle exagérait. Donc la différence était quand même assez importante pour une jeune femme qui n'avait connu que deux partenaires avant moi. J'étais le mieux membré des trois quand elle m'avait épousé.
Ma femme, comme la grande majorité des femmes aime être bien « remplie » mais pas au point d'être déchirée par un pénis. Elle adore même quand ça fait un peu mal, mais quand même pas trop. C'est à dire elle ne veut pas être blessée par un pénis, mais je suis sûr qu’elle adorerait être prise par votre formidable queue. Comme on dit souvent : trop c'est comme pas assez.
Je suis toujours prêt à répondre à toutes autres questions, de quelque nature que ce soit.

Oui, en effet, nous sommes canadiens, on habite à Québec. Excusez-moi d'avoir utilisé le système impérial, nous sommes toujours habitués à l'utiliser même si sur papier nous avons introduit le système métrique. Je dis bien sur papier. Mais la proximité des Etats-Unis nous complique la tâche de l'adopter, car tous les produits export-import et le commerce se déroule en système impérial. Chez nous même un clou ou une vis se mesure en pouce. À l'avenir je vais traduire nos mesures en système métrique.
Je vais poursuivre demain notre histoire, avec d'autres épisodes croustillants. Bien sûr, vous êtes libre de rajouter ou enlever ce que vous pensez pour rendre l'histoire meilleure, comme des dialogues par exemple. J'ai décrit l'histoire en gros avec mes mots, de façon très amateure, ce qui est bien loin de la qualité que vous êtes habitué d'écrire. Si vous avez des questions n'hésitez pas à me les poser, je suis disponible à répondre à toutes vos questions, même les plus perverses. Je vous demande à me soumettre des idées si vous pensez que ça pourrait améliorer l'histoire. Notre histoire est absolument vraie, mais la version finale pourrait contenir certains de vos fantasmes que vous jugez être utile.
Merci encore une fois que vous ayez accepté de traiter notre histoire.
Bien à vous, C et A.

Au cours de toutes ces années, nous avons changé bien sûr au fur et à mesure des volontés et exigences des amants de ma femme. En effet, je devais m'adapter à chaque individu, parfois c'était ma femme qui voulait rester seule avec son amant, parfois c'était l'amant qui ne voulait rien savoir de moi. Toujours est-il que sans m'en apercevoir, je commençais à perdre le contrôle de la situation et ma femme l'appréciait de plus en plus. Graduellement elle devenait la complice de ses amants pendant les différents jeux qu'ils ont inventés.

Après le départ de Bruno, on s'était calmé pendant quelques mois. Par le biais des petites annonces nous avons fait la connaissance d'un homme qui habitait à 300 km de chez nous, mais il passait régulièrement par notre ville. Ainsi nous pouvions le rencontrer assez souvent. Il s'appelait Guy, 32 ans à l'époque et cette relation a duré un peu plus d'un an. Il était très doué pour faire jouir une femme et Christine a beaucoup aimé sa façon de baiser.
La plupart du temps il m'a permis d'être présent et même de participer. La première fois nous l'avons rencontré dans un bar pour voir si on était compatibles. Après un accord commun on s'est retrouvé dans sa chambre d'hôtel. Nous avons pris un drink en jasant un peu avant de passer aux choses sérieuses. Quand Guy a commencé à la caresser, Caroline m'a envoyé dans la salle de bain, disant qu'elle est gênée en ma présence, du moins au début. Mais, elle va me faire signe quand je pourrais sortir de là
Effectivement, une dizaine de minutes plus tard, elle a crié de sortir. Alors j'ai vu ma femme sur le lit, les jambes écartées, Guy en train de lécher sa chatte. Pour la toute première fois j'aurais le droit d'assister à la baise de ma femme ! C'était vraiment excitant de la voir offerte à un étranger pratiquement inconnu. Je me suis approché d'eux, sans les déranger, j'ai essayé de rester le plus discret possible pour ne pas les gêner et le mettre à l'aise. J'ai commencé à caresser ma femme de façon à ne pas nuire à Guy, car j'imaginais que ma femme voulait baiser d'abord avec Guy bien avant moi.
Ça, je l'ai compris et accepté durant l'ère de Bruno. Entre-temps Guy est passé en position de 69, lui au-dessus de ma femme. J'ai caressé doucement le visage de Christine alors qu'elle avait dans sa bouche la grosse queue de Guy. Elle ne semblait pas gênée, elle le suçait avidement. Enfin j'ai pu observer de très près la pénétration d'un pénis dans le vagin de ma femme. Oooooh, c'était quelque chose de magique, inimaginable quand on ne l'a pas vécu ! Précédemment, Guy n'a pas lésiné, il est allé fort en baisant durement ma femme. Quand il avait éjaculé dans sa chatte, c'était mon tour de la fourrer. Mais j'étais tellement excité que j'ai éjaculé assez rapidement.
Après avoir pris nos douches, je croyais que c'était fini et que nous rentrerions chez-nous. Eh bien ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, quand je suis sorti de la salle de bain, j'ai trouvé ma femme blottie dans les bras de Guy. Et de la façon qu'elle m'a regardé, j'ai su immédiatement qu’elle n’en avait pas assez, elle en voulait encore et encore ! En effet, sa tête reposait sur le torse musclé de Guy, ma femme caressant son corps d'abord loin de ses parties génitales, puis progressivement sa main s'approchait de plus en plus vers son pénis en semi-érection. Quand elle avait atteint sa queue, il bandait déjà fort. Elle l'avait pris en bouche pour le sucer de façon royale si je peux l'exprimer ainsi. Il y avait quelque chose de soumise là-dedans. Difficile à expliquer... une admiration d'une soumise envers son Maître... une soumise qui veut séduire son Maître... D'autant plus que peu de temps après Guy a pris entre ses mains la tête de Chris et il a littéralement baisé sa bouche, sans qu’elle essaye de faire le moindre mouvement pour se libérer. Il l'avait prise ensuite en levrette, la position préférée de ma femme. Après qu'il a éjaculé dans ma femme, elle avait gardé en elle tout le sperme qu'elle avait dans sa chatte et s'est endormie à côté de Guy. Moi j'ai pris l'autre lit seul avec mon petit bonheur d'avoir pu admirer ma chérie dans les bras d'un autre homme.

J'ai lu quelque part qu'un homme ne connaît pas bien son épouse jusqu'au jour où il la verra sur le pénis d'un autre homme. Et c'est vrai !!! Là je peux dire que j'ai connu cette nuit-là, l'autre visage de ma femme. Celui d’une putain qui est prête à tout pour se faire fourrer par une bonne queue, bien dure, peu importe à qui ça appartient. C'est peut-être dans la nature des femmes, quand elles sont en chaleur... Mais d'un autre côté les hommes ne sont pas parfaits non plus, loin de là. Je ne veux surtout pas faire le procès des femmes ou des hommes, le monde est merveilleux tel qu'il est avec toutes ses petites imperfections.
Je mentirais si je disais que je n'ai pas éprouvé de la jalousie en voyant ma femme jouir comme une folle sur le pénis de Guy. Mais j'ai essayé de combattre ma jalousie en me disant que c'est moi-même qui ai permis que ça devienne réalité, c'est moi-même qui ai donné mon accord, alors je devais l'assumer. Même si au début c'est de l'échangisme que je voulais faire, pas du candaulisme ! J'ai donné à ma femme le goût pour les hommes et voilà, je me retrouve cocu.

J'espère que notre histoire vous plaît, vous pourriez toujours l’embellir, la rendre plus excitante en ajoutant vos fantasmes si ça vous tente. Ce que je vous ai écrit est la pure vérité, telle que nous l'avons vécu. C'était vraiment merveilleux avec ses joies et ses peines.
Je lui ai montré vos petites vidéos. Elle a adoré et a dit :
C’est pas un homme, c’est un cheval ! Dommage qu’il soit si loin, j’aurais tant aimé me faire baiser par un tel engin !

Merci.

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Commentaires de l'histoire :

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