Maintenant Mahdi devient presque indépendant de son mentor ammi Ali. Il a trouvé à coté de son logis tout ce qui réjouissait sa Terma. Il a le cuisinier noir et au gros zob et maintenant d'autres zobs de même gabarit en plus de Jojo le gérant. Et même, pour l'avenir, un groupe d'amateurs de Terma.
Proposée le 9/03/2024 par DALIDA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Et je suis parti laissant le cuisinier, le zob en l’air, toujours étourdi de notre sodomie surprise à la légionnaire. Le foyer commençait à se garnir de groupes d’ouvriers qui commençaient à jouer. Il y avait une quinzaine de tables avec une quarantaine de joueurs dont une dizaine d’africains dispersés entre les jeux. J’étais nu sous ma gandourah et ma Terma avait encore une grande envie de zobs et je préférais les noirs, donc il me fallait draguer un africain. Je les ai observés et ils étaient tous de grands gaillards, certainement choisis ainsi pour ces chantiers difficiles. J’ai choisi l’un d’entre eux en train de jouer avec trois ouvriers blancs, j’ai pris une chaise et me suis assis tout contre lui, cuisse contre cuisse. J’ai ressenti tout de suite la chaleur grisante de sa chair contre la mienne. Il ne bougea pas mais il me regarda d’abord avec étonnement puis s’intéressa totalement au jeu. Ses copains étaient aussi occupés par leurs cartes et tous jouaient bruyamment sans faire attention à moi.
Au bout d’un moment, la chaleur de la cuisse du noir commença faire de l’effet sur ma cuisse et ma Terma à me démanger. Je voulais le draguer car j’avais une folle envie de ce nouveau zob que je devinais long et épais. Pendant ces quelques minutes de contacts serrés de nos deux cuisses, j’ai remarqué, sous la table, la braguette du noir. Elle s’agitait de plus en plus, et rapidement un chapiteau gonfla son pantalon, preuve que le gars bandait du zob au contact de nos cuisses. Son zob, en tout cas répondait au désir de ma Terma. J’étais content et je décidais d’aller plus loin. Tout en jouant, le gars me lança un bref coup d’œil que je lui ai rendu avec un petit sourire et une pression supplémentaire de ma cuisse.
C’était une invitation claire, et il s’arrêta de rire fort et devint très sérieux. J’ai glissé ma main, discrètement, sous la table et j’ai touché son zob gonflé que j’ai serré à travers son pantalon. Effectivement, il était dur et assez long, comme je l’ai supposé. Ma Terma commençait à me démanger fort, il y avait urgence pour elle. J’en avais envie et j’ai osé aller encore plus loin sous la table. J’ai farfouillé un peu plus et j’ai réussis à tirer son zob de la braguette. Il était formidable de douceur et de puissance. Si ce n’était l’endroit, j’aurais exigé qu’il me nique, me viole la Terma immédiatement. J’ai jeté un coup d’œil discret sur son zob pour constater qu’il était très gros, noir et très long comme ma Terma les adorait. Le gars me jeta un autre coup d’œil et je lui ai encore souri. La drague était terminée et le gars était d’accord pour me niquer.
Je me suis levé pour m’éloigner discrètement. Mais comme le gars me regardait toujours, j’ai frotté discrètement un doigt de ma main sur le creux de mon autre main et je lui ai fait un petit signe de me suivre.Mon doigt simulait un zob et le creux de mon autre main simulait un cul, une Terma et les frottements simulaient une invite de sodomie. C’était un langage cochon mais discret que tout le monde comprenait. Sa main était descendue sous la table, certainement pour remettre le zob dans sa cage. Et je suis parti vers la zone des douches et des WC. J’ai vérifié que le noir s’était levé pour s’excuser auprès de ses compagnons de table, puis il est allé chuchoter avec un autre africain d’une table plus loin, certainement un ami, ensuite il m’a rejoint vers les douches et WC qui étaient heureusement désertes.
J’ai choisi une cabine WC avec porte et il m’a suivi à l’intérieur. Et sans un mot, alors que je commençais à haleter de désir, j’ai dégagé ma gandourah et lui a descendu son pantalon m’offrant son gros zob. Je l’ai saisi d’abord pour le sucer et le branler quatre ou cinq fois. Il avait les dimensions que j’espérais, comme celles du zob du cuisinier que je venais de quitté. Puis, lui tournant le dos et relevant ma gandourah, je lui ai offert ma large croupe nue et ma Terma. Rapidement il s’agrippa à mes hanches et son zob lubrifié par la salive de mes sussions, plongea dans mon anus et me pénétra le cul jusqu’aux couilles. Ce fut merveilleux, comme d’habitude, comme avec le zob du cuisinier et avec les africains de la ville.
Et il commença ses vas et viens vigoureux en soufflant et haletant bruyamment comme moi . Ensuite, et pendant plus de dix minutes au moins, il me niqua fortement en modulant ses coups de reins et de zob dans ma Terma. J’avais un plaisir fou et des jouissances fortement agréables et j’arrivais difficilement à étouffer mes cris de jouissances. Il accélérait et ses coups étaient vigoureux et presque violents, il devait être très excité depuis le début, depuis que je l’ai dragué avec ma cuisse puis avec ma main sur son zob sous la table malgré le public de ses trois copains. Et il arriva rapidement à son top et se colla violemment à ma croupe. Puis, il éjacula par au moins trois puissants jets de sperme chaud dans mon cul que nous avons accompagnés, ensemble par nos cris et hurlements de plaisir dans le silence des WC heureusement désertes. Et ainsi j’ai obtenu rapidement ce que je voulais, malgré les interdits de ammi Ali, en draguant mon second homme de couleur dans le camp, après le cuisinier, et qui a été à la hauteur pour ma Terma.
Ensuite, très content de la prouesse de son zob, j’ai demandé une autre sodomie mais il a refusé en s’excusant et en remettant rapidement son zob dans sa braguette, puis il a ouvert la porte du WC et il est sorti. J’étais surpris mais surtout frustré et vexé. Je me suis assis sur le bidet un instant pour me vider le sperme de mon cul quant, soudain, la porte du WC s’ouvrit encore. Et voila un autre homme de couleur qui se présenta à moi en ouvrant directement sa braguette et me présentant son gros zob noir déjà debout et gonflé, identique au précédent. J’ai tout de suite remarqué que c’était le gars de l’autre table et auquel mon noir avait chuchoté quelque chose. J’ai compris qu’il venait aussi pour ma Terma comme son copain l’avait informé en lui chuchotant qu’il allait aux WC pour niquer ma blanche Terma. L’occasion était belle et moi je n’étais pas contre et j’aurais même souhaité trois ou quatre zobs pour min insatiable Terma. Et vu les dimensions de son zob, j’ai accepté avec plaisir. Je me suis relevé, mais par curiosité et un peu par soupçon, j’ai jeté un coup d’œil hors du WC.
Et j’avais eu raison, un troisième homme de couleur était debout avec mon nikeur et semblait attendre son tour pour honorer ma Terma, très chanceuse aujourd’hui. Ils se sont donné le mot pour me prendre comme une putain et me niquer tous les trois, à la chaine, dans ce WC, et ma Terma qui palpitait et me démangeait était amplement d’accord. Alors j’ai refermé la porte du WC et j’ai saisi le zob du gars pour le sucer et le branler un moment. Il semblait déjà assez dur pour me pénétrer. Ayant vidé ma Terma, ou presque, je me suis positionné, courbé et face au mur, et je lui ai présenté ma croupe nue et mon cul affamé. Rapidement il me pénétra avec délices pour ma Terma et, comme son copain, saisissant mes hanches, il démarra une série vigoureuse de vas et viens accélérés et puissants en haletant fort. Et ainsi, lui aussi me niqua un bon moment et éjacula rapidement dans mes entrailles. Puis, satisfait, il empocha son zob, ferma sa braguette et sortit du WC pour laisser la place au suivant.
Je me suis assis encore une fois sur le bidet pour essayer de vider mon cul. Et, comme prévu, le troisième homme de couleur entra dans le WC en ayant la braguette ouverte et son zob prêt à l’action. Je l’ai aussi un peu sucé et branlé pendant le vidange de mon cul. Et une minute plus tard, son zob me pénétrait le cul jusqu’aux couilles, pendant que j’étais courbé et face au mur. Tenant fortement à mes hanches, il démarra lui aussi sa série accélérée de coups de reins et de zob dans ma Terma et quelques minutes plus tard, il éjaculait lui aussi dans mes entrailles. Puis il ferma sa braguette et sortit du WC. Assis sur le bidet, j’ai essayé de vider mon cul de son sperme et de faire le point avec ma Terma. il semble qu’elle a été assez satisfaite de cette sodomie de groupe car les trois nouveaux zobs de couleurs ont été à la hauteur de leurs dimensions. Puis je me suis bien lavé la Terma avec le robinet du WC et j’ai remis ma gandourah sur mon corps pour finir de sortir du cabinet.
Dehors, les trois lascars m’attendaient en souriant. Ma Terma semblait leur avoir été agréable. Mon premier amant me renouvela ses excuses d’avoir amené ses copains demander mon avis, mais je lui ai dit que je lui pardonnais car j’ai été content et que ma Terma qui était affamée de zob avait été satisfaite des leurs. Mais l’un d’eux me dit en rigolant :
« ya zébi ! teremtek hayla ! 7louwa wa kabira ! guide guide m3a zébi lakhchine ! chahi n zidou » ( mon zob ! ta Terma est fameuse ! délicieuse et profonde ! juste ce qu’il fallait à mon gros zob ! j’ai envie de continuer !) . Je lui ai répondu que ma Terma &tait toujours à leur disposition. Alors le second ajouta : « ana thani ! zebi rah edawar izide 3ala teremtek ! » (moi aussi ! mon zob veut continuer avec ta Terma !). Et pour me persuader, il me dit encore :
« zebi 7’rak 3ala Teremtek ! rah metanane ! chouf chouf : » ( ma zob est amoureux de ta Terma ! ! il est gonflé pour elle ! regardes ! regardes !) .
Et de la main, il saisit le gros paquet de son zob et de ses couilles et le pointa vers moi comme pour me convaincre. Ma Terma a l’air de les avoir affolés et pour m’assure, j’ai jeté un coup d’œil sur la braguette de mon premier nikeur qui était resté silencieux après ses excuses. Et il y avait aussi sa grande bosse, prouvant que son zob était encore bandé et gonflé pour ma Terma. Ainsi tout le groupe a été enchanté et affolé par mon cul et désirait me niquer encore. Cela m’a fait un grand plaisir et le désir de continuer me plaisir avec eux. Mais je n’avais plus envie de niquer dans les WC. Il me fallait un autre endroit plus sûr et plus confortable.
Nous sommes sortis ensemble du bloc des WC et douches et j’ai pensé à la planque du cuisinier. Elle était bien cachée et sûre et je pense que je pourrais le convaincre de m’accepter. Je savais qu’il était seul à préparer des sandwichs pour son chef Jojo et pour les ouvriers et que nous étions devenus de grands amis par son zob et ma Terma. Justement, devinant ces zob qui la désiraient, elle me relançait par ses ondes de désirs et de démangeaisons. Il lui fallait ces trois zobs pour niquer encore au moins une fois ou deux avec chacun d’eux. Alors, j’ai amené mes nouveaux amis dans l’antre du cuisinier de Jojo. Il ne semblait pas d’abord être étonné pour me voir revenir encore pour niquer, il savait que ma Terma état insatiable et qu’elle adorait son zob. Mais quant il a vu les autres gars, cela l’a surpris et son regard est devenu interrogatif. Alors moi j’avais un geste pour lui expliquer l’affaire.
J’ai frotté trois doigts et non un eul de ma main droite le creux de ma main gauche et j’ai tapé trois fois sur ma Terma en le regardant avec un large sourire. Il avait rapidement compris que ma Terma avait envie de niquer avec ces trois zob chez lui. Il nus a souri largement et de sa main, il nous a désigné la zone cachée de sa couche où j'ai attiré mes nouveaux amis vers le lit du cuisinier. Puis, je me suis complètement dénudé en ôtant ma gandourah. Les gars avaient compris et rapidement ils se sont débarrassés de leurs pantalons et restaient debout devant moi, les zob gonflés, raides et presque verticaux de désir. Mais comme le lit était trop petit pour nous quatre, j'ai décidé de leur sucer d’abord les zobs pour les remettre le cas échéant en forme et puis, ils me nikeront alternativement, l’un après l’autre sur le lit. Donc je me suis mis à genoux sur le lit et eux n'arrivaient pas à choisir qui allait commencer dans ma Terma.
Alors, j’ai saisi de mes mains, les deux zob plus proches de moi, et pendant que je suçais l’un, je branlais les deux autres avec mes mains, puis j’alternais entre eux trois de la bouche et des mains pour les tenir tous prêts à l’action. En peu de temps, ils étaient tous assez gonflés et durs à souhait pour ma Terma. Ensuite, bien installé à genoux sur le lit, j'offrais ma croupe gonflée et mon cul palpitant à qui viendra le premier. Et effectivement l’un d’eux se mit derrière moi et positionna son zob en drapeau, presque vertical face à ma Terma. Il trouva facilement mon anus et me pénétra profondément jusqu’aux couilles et en criant fort son plaisir avec moi.
On était bien à l’aise sur ce lit, nettement mieux que debout dans le WC et le gars pouvait utiliser toute la puissance de son zob pour me niquer. Les mais sur mes hanches, il me pilonna férocement avec de violents coups de reins et de zob et les jouissances irradiaient ma Terma et tout mon corps, nettement mieux que tout à l’heure dans les WC. Un autre, impatient, se mit à genoux face à moi et me présenta son zob a sucer. Je l’ai accepté avec plaisir et englouti dans ma bouche, aussi gourmande que mon cul. Et tout en le suçant, je continuais à le branler pendant que l’autre, derrière moi me sodomisait la Terma avec vigueur. De désir et d’excitation, il me secouait la croupe sur son zob et ces mouvement amplifiaient ses jouissances au zob et le miennes au cul.
Nous étions dans un endroit sûr, car à coté, dans la zone des utilités, les cris et hurlements des ouvriers qui jouaient couvraient nos propres cris et gémissements de jouissances. Le gars derrière moi, pris dans la passion du plaisir, haletait et criait des choses que je ne saisissais pas. Parfois, poussé par le désir, il me donnait même des tapes sur les fesses et que j’acceptais comme aussi de jouissances à ma Terma. Et ainsi il me niqua férocement pendant au moins dix minutes encore et mit le feu dans mon cul comme l’autre fois au WC. J’avais remarqué et adoré son zob tout à l’heure et ma Terma semble avoir retrouvé les mêmes plaisirs et jouissances maintenant.
En haletant fort, je lui criais : « zid ! zid bezzaf ! kima tlabatni ! zid ! » ( continue ! continues fort comme tu m’as demandé) . En effet c’était lui qui m’avait dit tout l’heure que ma Terma était délicieuse et profonde et qu’il désirait la niquer encore. Et voila, j’ai obéis à son vœux et ça marchait bien entre son zob et ma Terma. Et il accéléra ses vas et viens et ses coups de reins devinrent violents contre la croupe et mon corps fut secoué par ses mouvements. Enfin, après une vingtaine d’allers et retours dans mes entrailles, il s’accrocha à moi et éjacula amplement dans mon cul en hurlant son plaisir.
J’avais lâché, depuis un moment, le zob que je suçais pour m’occuper du zob qui me niquait et je hurlais avec lui les jouissances de ma Terma. Puis il sortit de mon cul et me présenta son zob brillant de sperme pour le sucer et le nettoyer, il le méritait bien. Je lui ai demandé s’il a été content et satisfait et s’il voulait encore me niquer, ma Terma lui sera encore disponible après les autres. Il respirait fort et haletait en me répondant :
« hadhi Terma 7louwa ! wa lakine ma tachba3ach mine nike ! ghoudwa ghoudwa ! » ( cette Terma est délicieuse ! mais elle n’est jamais rassasiée de nike ! demain demain ! ». Je voyais bien que son zob a été dompté et ne pouvait plus continuer pour l’instant.
Ensuite, je suis allé me vider le cul pendant que le second gars, à genoux sur le lit, se branlait doucement le zob pourtant déjà debout, vertical et gonflé. Revenu en vitesse, j’ai saisi son zob pour le sucer et le lubrifier de ma salive et j’ai constaté sa douceur et sa puissance. Parfois, j’aimais sucer les zob uniquement par plaisir car j’aimais leur consistance musculaire virile et douce et leur gout. Il était aussi gonflé que le premier et dur comme un pieu mais si agréable et affolant au toucher et au gout. J’aimais les zob des hommes, c’est naturel chez moi.
Rapidement, il se positionna derrière moi face à ma croupe nue et cherchant mon anus qu’il trouva tout de suite. Puis il me pénétra, lui aussi, profondément jusqu’aux couilles. Dans ce lit, je vous l’ai dit, on était libres de nos mouvements et même de nos cris, et il donna libre cour à ses désirs et à ceux de ma Terma. Ses vas et viens puissants et accélérés me défonçaient le cul et me procuraient plusieurs jouissances et même des semblants d’orgasmes que j’exprimais en hurlant de plaisir.
Au milieu de mes jouissances, j’ai pourtant entendu le cuisinier qui rigolait fort de nos ébats mais il nous conseillait aussi de faire moins de bruits. On a continué pourtant à niquer bruyamment sans tenir compte de ses conseils jusqu’à ce que l’homme arriva lui aussi à son top et son zob bombarda mes entrailles de plusieurs éjaculations puissantes et brulantes de sperme. Pourtant il semble avoir mis moins de temps pour arriver à son plaisir. Peut être que son sperme était presque au bout de son zob dès le début et il a éjaculé vite. Je lui dis que ma Terma lui demandait de continuer s’il le pouvait, et il reprit sa course.
Son zob restait assez dur et coulissait dans ma Terma au milieu de son sperme et c’était aussi une sensation agréable, jouissante, en tout cas pour moi et ma Terma. Enfin, après quinze ou vingt vas et viens accélérés, il se bloqua encore une fois sur mes fesses et éjacula encore et mieux qu’avant dans mon cul. Ensuite, il resta un moment en moi pendant que son sperme débordait de mon cul le long de mes fesses et cuisses. Puis il sortit de mon cul et je suis retourné encore une fois pour lui sucer et nettoyer son gros zob qui vient de me niquer deux fois de suite. Je lui souriais et il me remercia de même.
Et à genoux encore une fois sur le lit, j’attendais le troisième gars qui, lui m’avais niqué le premier dans les WC et auquel j’avais pardonné d’avoir amené ses copains pour ma Terma. Soudain, Jojo le gérant des locaux et responsable du cuisinier était debout, là devant nous et nous regardait, sérieux et avec le doigt sur la bouche nous ordonnant le silence. J’ai été effrayé d’abord, mais son calme ensuite son large sourire m’ont rassuré. Alors j’en ai profité pour aller me nettoyer au lavabo du cuisinier en attendant de voir ce qu’il allait se passer. Mais quant je suis revenu, qu’elle ne fut ma surprise en trouvant mon ami et amant de ma Terma, Jojo le responsable des locaux, tenant à pleines mains les gros zob de deux de mes nouveaux amants et en train de les sucer à pleines lèvres l’un après l’autre. Les gars se tenaient debout, en silence avec leurs zob gonflés et pointés en l’air entre les mains avides de Jojo. Il m’avait donc remplacé auprès des zob de mes nouveaux amants noirs.
Il nous avait surpris bien avant, et nous a laissé continuer. Mais il semble que ces gros zob de couleur l’ont excité. Je savais qu’il était mixte, pour le plaisir de son zob mais aussi de sa Terma et ces zob étaient de ceux qu’il préférait en forme et dimensions. Il s’arrêta un moment, en lâchant les zob et me dit que j’avais trouvé de bonnes recrues pour nos Terma à tous les deux. Il avait bien dit nos Terma, c'est-à-dire la sienne et la mienne. Puis il se tourna vers le cuisinier et lui ordonna de prendre contact avec ces gars aux gros zob pour les inviter pour sa soirée collective habituelle, et dès ce soir, dans son antre. Et aux ouvriers debout les zob en l’air, il leur recommanda la discrétion avec leurs autres camarades sinon ils auront affaire à lui. Puis il se leva et m’a souhaité une bonne continuation pour ma Terma. Mais, avant de sortir, il a ajouté que pour ce soir, je pouvais aussi venir assister aux ébats et que ma Terma serait la bienvenue avec la sienne.
Et il est sorti en prenant les hamburgers que le cuisinier avait préparé pour les vendre aux ouvriers dans le foyer. Quant Jojo est parti, j’ai posé la question au cuisinier car je croyais que les séances pour la Terma de Jojo étaient privées et juste avec le zob du cuisinier. Il m’a détrompé et m’a avoué que Jojo avait l’habitude d’organiser des soirées de sexe avec des groupes d’ouvriers choisis. Il invitait plusieurs hommes, de préférence des noirs à cause de leurs gros et longs zob que Jojo adorait. Ces ouvriers discrets étaient donc utilisés en plus du cuisinier pour satisfaire sa Terma insatiable et celles de certains ouvriers qui avaient aussi des culs qui les démangeaient.
C’était un petit bordel pour Terma que Jojo organisait dans l’anonymat et discrètement dans son logis et l’antre du cuisinier. Je n’étais donc pas le seul dans ce camp que la Terma démangeait et désirait de gros zob. J’étais heureux de savoir qu’on était nombreux dans ce camp à offrir nos Terma et je désirais connaitre les autres, on fera peut-être une association de Terma et une autre de gros zob mais je fantasmais sûrement. En tout cas, ces perspectives provoquèrent des vibrations de désirs très agréables dans ma Terma car cela me plairait d’y assister si possible.
Mais pour ce soir, ce sera impossible car je suis toujours prisonnier chez ammi Ali. Je vais réfléchir à trouver une solution coute que coute. Pour l’instant, il ne me restait plus qu’à continuer à satisfaire ma Terma avec mon troisième homme de couleur. Et nous avons remis la séance. Entre temps les autres étaient partis dès que Jojo les a libérés. Mais cette fois, avec mon troisième larron, puisqu’on était seul avec le cuisinier, je lui ai appris la position de face à face et il m’a niqué fortement dans ma Terma par-dessous mes couilles. Et ce fut agréable comme prévu avec son gros zob car ça devait lui rappeler peut être une baise de sa femme ou de sa copine. Puis j’ai du le libérer aussi et il est parti pour se préparer à la nouvelle séance collective de la soirée avec Jojo.
Je suis donc resté avec le cuisinier qui avait encore à préparer plusieurs casse croutes à son chef Jojo. Mais ce que je venait de faire de ma Terma avec mes trois amants a été bien suivie par le cuisinier qui était très intéressé. Cela a du l’exciter un peu car il rigolait fort pendant nos ébats et surtout il grommelait en répétant plusieurs fois l’histoire du légionnaire qui niquait, debout, la putain. Il disait que lui serait le légionnaire au gros zob gonflé et moi la putain à la douce Terma offerte. On en a rigolé un moment ensemble mais petit à petit cela a émoustillé ma Terma qui commençait à mouiller don désir et me démanger.
Alors, j’ai enlevé ma gandoura et debout, tout nu, contre la porte de la cuisine, j’ai simulé la putain nue qui cherchait à aguicher son légionnaire. Il riait à gorge déployée mais son zob s’était aussi réveillé et gonflait sa braguette. Je balançais un peu de la croupe et me suis rapproché de lui pour bien coller ma croupe contre sa braguette gonflé et frotter son zob. Ma Terma était affolée et j’attendais qu’il me saute dessus et me viole sur place, j’en avais fortement envie.
Il a arrêté de rire et a touché son zob à pleine main comme s’il le démangeait. J’ai dit que la putain voulait un légionnaire au zob noir et gros et excité, et il m’a attrapé et serré contre son bas ventre et son zob gonflé. Puis rapidement il s’est débarrassé de son pantalon et m’a poussé face au mur et debout il a collé son zob contre ma croupe et ma Terma, cherchant fébrilement mon trou de cul. Et en vitesse, son zob m’a pénétré en vitesse et s’est enfoncé en moi jusqu’aux couilles comme auparavant. Son bas ventre claquait contre mes fesses.
Et il m’a niqué ainsi, fortement, debout, avec des vas et viens rageurs, accélérés et hurlant que son gros zob de légionnaire niquait la grosse Terma de la putain blanche. Il répéta cela plusieurs fois en haletant et en me donnant de puissants coups de reins et de zob qui mirent le feu dans ma Terma. Moi aussi j’étais victime consentante de l’affoler à me niquer comme légionnaire et je hurlais de plaisirs et de jouissances. C’était merveilleux et plus agréable et excitant que sur son lit.
Mais ces mouvements rageurs, passionnés et accélérés étaient excessifs et mirent rapidement son zob au top et il éjacula, au milieu de ses vas et viens, presque par surprise pour nous deux, plus de quatre fois dans mon cul. Il criait encore et encore que le légionnaire a enculé la putain avec son gros zob et riait à pleine gorge. Après c’est moi qui a été obligé de le repousser pour sortir son zob de mon cul et il riait toujours de cette histoire de légionnaire. Je voyais que son gros zob était encore debout et brillait de sperme.
Il était splendide encore plus excitant. Je pouvais le saisir et le sucer pour le nettoyer et niquer encore avec lui, mais je ne l’ai pas fait. Cette image qu’il offrait ainsi à mon fantasme, nu de la ceinture aux pieds et le zob brillant et debout, gonflé et vertical était plus passionnante et excitante qu’une sodomie. Et je l’ai laissé ainsi dans son euphorie bruyante, pendant que je suis allé me laver et me vider le cul encore une dernière fois avant de le quitter pour rejoindre mon logis et le petit zob d ammi Ali.
Maintenant ma situation est devenue large et claire. Je n’avais pas que les zob de ammi Ali et Said pour ma Terma ni même ceux des gars de la ville où je pouvais aller à l’occasion. Mais j’ai ici même dans le camp, plusieurs zobs des ouvriers du chantier. J’ai Jojo le mixte dont je peux utiliser le zob pour ma Terma, mais que je peux aussi niquer avec mon propre zob si je le voulais. Et j’ai surtout le gros zob noir permanent du cuisinier.
Et maintenant je comptais au moins trois ou quatre ouvriers de couleurs dont les gros zob sont prêt à me niquer à ma demande et même en groupe, ce qui est encore plus excitant. Mon champs du plaisir et des jouissances s’est donc élargi et ce soir mon sommeil était plein de promesses d’avenir.
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