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Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (7)

Maintenant notre jeune ami a réussi à trouver juste à coté de son campement un cuisinier noir au gros zob épais et long comme ceux que sa Terma adorait en ville. Il va en profiter à fond même son ami le gérant Jojo mixte et lui aussi amateur de zob pour sa Terma. Suivons les dans leurs plaisirs.

Proposée le 9/03/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Le lendemain, quand ammi Ali est parti à son travail, j’ai, moi aussi rejoins mon poste après avoir fait la vaisselle dans notre baraque. Je n’arrêtais pas de penser à la soirée d’hier et le zob du cuisinier de Jojo n’a pas quitté ma mémoire et ma Terma s’est déclenchée vers dix heures. Mon travail me permutait de moduler mes horaires, alors malgré un moment de résistance, j’ai cédé à l’envie d’aller retrouver le zob du cuisinier dans son antre. Je suis passé chez nous pour mettre seulement ma gandoura et, nu par-dessous, je suis allé directement dans la zone de la cafétéria. Mais avant d’aller derrière j’ai entendu des chuchotements et même des gémissements de jouissance.

Sachant qu’il n’y avait que Jojo qui était libre dans le secteur, j’ai pensé qu’il était en train de donner du plaisir à sa Terma avec le gros zob noir du cuisinier. Et en jetant un coup d’œil discret derrière la partie comptoir, j’ai constaté que j’avais bien deviné. Jojo était à genoux sur le lit et le cuisinier bien calé derrière lui, faisait des vas et viens énergiques de son zob dans la Terma de mon ami et amant. Le noir gémissait et haletait presque en silence malgré ses mouvements accélérés mais Jojo, en plein bonheur de plaisir de sa Terma hurlait presque de jouissances. Je savais qu’il était mixte quant il me sodomisait mais je constate que le plaisir de sa Terma était beaucoup plus jouissif pour lui que celui de son zob dans ma Terma.

J’ai attendu discrètement près du comptoir encore dix minutes avant que le noir n’arrive à son top et décharge ses éjaculations dans les entrailles de Jojo. Ce fut bruyant pour les deux compères qui hurlaient ensemble leurs jouissances. Enfin, ils se décollèrent et Jojo se nettoya dans le lavabo du coin. Puis remit son short et sortit. Il me trouva assis devant le comptoir et il s’arrêta de surprise et éclata de rire puis il continua sa route toujours en riant bruyamment.

J’ai pénétré dans l’antre du cuisinier. Il était resté allongé, le dos sur le lit, nu et le zob toujours gonflé, pratiquement vertical et brillant de sperme séché. Jojo n’était pas pratiquant de sucer et nettoyer les zob. Moi, par contre, j’ai couru pour saisir le gros zob et je l’ai fourré dans ma bouche. Puis je l’ai sucé et nettoyé au mieux et j’ai enlevé ma gandourah en me positionnant à genoux sur le lit. Le cuisinier, sans un mot, se mit derrière moi et retenant son zob à la main il se mit d’abord à lécher et lubrifier de la langue le sillon de mes fesses. C’était très jouissif pour moi.

Puis il frotta son zob, un instant dans le sillon de mes fesses, qu’il écartait de son autre main, puis il le pointa sur mon anus qui palpitait déjà. Enfin il me pénétra avec force et violence et son zob s'enfonça avec bonheur et plaisir jusqu’aux couilles dans mes entrailles. J’ai hurlé sur le choc de jouissances provoquées par cette pénétration brutale et rapide. Puis, après deux ou trois vas et viens tranquilles pour bien installer son zob, il accéléra son mouvement qui avait le feu à ma Terma et me faisait hurler en permanence de plaisir. Et il démarra ses vas et viens qui pilonnaient et affolaient ma Terma.

Les ondes de jouissances que ma Terma m’envoyaient envahissaient tout mon corps et par désir que je ne pouvais plus maitriser, j'ai commencé à balancer et faire osciller ma croupe pour ressentir totalement les mouvements agréables et délicieux du gros zob qui coulissait sans difficulté à l'intérieur de ma Terma. Ce fut pendant plus d’un quart d’heure une sodomie brulante et follement jouissive qui me faisait gémir et parfois même hurler de plaisir. J'étais dans un endroit sûr et je me donnais en toute liberté et je donnais libre cour à ma satisfaction en hurlant sans retenue. J’entendais aussi le noir respirer et haleter fortement, avec des "Ahhhh" dans un bruit rauque long et plaintif de un bruit de sa gorge. Lui aussi se donnait à fond et son zob avait totale liberté pour me niquer sans retenue. C'est maintenant, dans cette sodomie que le cuisinier semble avoir atteint enfin son seuil de plaisir et de jouissances.

Avec ses grosses mains, il secouait fébrilement ma croupe sur son zob, à son aise, suivant les pointes de jouissance qu'il recevait de sa grosse bite. Et à chacune de ces pointes de désir, il me donnait encore plus et me donnait un violent coup de rein et de zob que ma Terma recevait complètement et me faisait hurler de jouissances. A chacune de ses pointes de désir je recevais dans ma Terma ma part et je criais de bonheur. C'étaient des moments de plaisirs communs et partagés entre nous. Depuis le début, ma Terma jutait de son suc pour exprimer ses désirs et lubrifier son zob pour faciliter ses glissements et frottements dans mes entrailles.

J'ai rapidement obtenu un premier orgasme de ma Terma mouillée et mon cul fondait et jutait en plaisir et en jouissances. ensuite ma Terma mouillait en permanence par d'autres orgasmes continus que je ne comptais plus. Mon cul ouvert était totalement à la merci du zob qui jouait dedans, en totale liberté la symphonie de la sodomie des Terma remplies, conquises et heureuses. Son zob et ma Terma ne faisaient qu'un dans cette danse du plaisir sexuel et nous unissaient, moi et mon amant dans une euphorie du plaisir et du bonheur. Je ressentais ma Terma noyée de son suc de jouissances permanentes. C'étaient des moments d'extase par leurs affolantes jouissances continues. Hélas, tout a une fin et enfin, ses couilles commencèrent à projeter ses éjaculations dans mes entrailles. Ce fut un torrent de sperme d’au moins cinq ou six jets chauds et puissants qui nous ont fait rugir et hurler tous les deux pendant toute la durée des éjaculations. Et même après, pendant un long moment, alors que le zob restait plongé dans mon cul, ses ondes de plaisir continuaient à faire vibrer ma Terma et irradier sur tout mon corps.

Après qu’il s’est vidé les couilles en moi, le cuisinier sortit son zob de mon cul et se releva pour aller se nettoyer. J’aurais aimé qu’il me donne son zob pour le sucer et le nettoyer. Mais l’abondance de son sperme a rempli non seulement mes entrailles mais aussi mes fesses et cuisses et même es siennes et risquaient de polluer son lit. Alors je me suis aussi levé pour aller me nettoyer après lui. Il a remis son pantalon et s’est allongé tranquillement sur son lit. Il m’intéressait toujours. Alors; après mon nettoyage et toujours tout nu, la gandourah par terre, je suis allé m’allonger à coté de lui, et à plat ventre pour le provoquer.

Son lit était assez petit et ainsi ma hanche nue collait fortement à lui. Il se mit sur le coté et sa main commença à me caresser mes fesses rondes et ma large croupe rebondie. Je voulais savoir s’il avait encore du jus dans son zob après ses sodomies avec moi et avec Jojo. Je savais aussi que ma croupe et ma Terma étaient de véritables aphrodisiaques pour le zob de n'importe quel homme normal. Alors, je commençais à osciller doucement de la croupe qu’il caressait toujours de sa large main. Comme je gonflais en même temps ma croupe vers lui, le sillon de mes fesses lui montrait nettement par intermittence mon anus qui palpitait. Alors le noir glissa un doigt puis deux dans mon cul et j’ai serré ses doigts dans ma Terma comme s'il me niquait avec. Puis, j’ai allongé ma main droite vers son pantalon et j’ai constaté que son zob était largement gonflé, prêt à niquer, alors j'ai faufilé ma main et je l'ai retirais de la braguette pour le saisir et le branler. Il était chaud et dur et affolant de désir et ma Terma criait son envie de la niquer en urgence. Alors j'ai jeté un coup d’œil cochon et complice au noir pour monter sur moi et me niker encore et encore avec son gros zob.

Alors il enleva prestement son pantalon et s’allongea, complètement sur moi, conquérant et le zob gonflé et dur sur mes fesses. J’ai relevé légèrement mon bassin et j’ai gonflé ma croupe. Immédiatement son zob trouva mon cul et me pénétra en force pour s'enfoncer totalement dans mes entrailles, et jusqu’au fond. Je ressentais les frottements agréables, jouissifs, des poils de son pubis sur mes fesses. Puis il démarra ses vas et viens vigoureux en se retenant des deux mains sur les cotés du lit. Son corps légèrement au dessus du mien, il me donnait des coups de reins sanctionnés par des coups de zob dans ma Terma et ces mouvement m’ont affolé et je recommençais à hurler de plaisir et de jouissances. Je relevais encore plus mon bassin et ma croupe pour mieux offrir ma Terma. Mon cul était complètement ouvert par le gros zob qui jouait dedans avec aisance et plaisir. Le noir respirait fort et haletait comme à son habitude et gémissait parfois sans vraiment hurler comme moi. Et ainsi j’ai constaté que malgré les sodomies avec moi et Jojo, le noir pouvait avoir encore du jus dans son zob pour niquer encore et encore. Et après un trentaine de puissants vas et viens accélérés, il arriva à encore à éjaculer trois jets de sperme dans mon cul. Puis il retomba sur mon dos avec son zob toujours plongé dans ma Terma.

Nous sommes restés pendant quelques minutes, ainsi collés par son zob à mon cul puis il se dégagea lentement. Je l’ai laissé faire et je suis resté allongé à plat ventre sur le lit,à coté de lui, en lui offrant encore l'image provocatrice de ma croupe nue et de ma Terma à l'anus palpitant et brillant de sperme. Mais cette fois, il se leva et courut au lavabo. Ensuite il me donna quelques tapes sur les fesses et enfin il parla pour la première fois, me demandant de me lever et de cacher ma Terma. Il m’avoua qu’elle était certes belle et lui donnait encore envie de la pénétrer, ce qui me fit plaisir. D'ailleurs, il me montra sa braguette où son zob restait bandé et gonflé avec une grosse bosse et que j'ai vérifié en posant dessus ma main affamée. Mais je savais que c'était fini ici pour ce soir et j’ai dis que c'était dommage pour son zob et ma Terma insatiable. Puis je suis allé me nettoyer et j’ai remis ma gandourah.

Puis je suis parti et il m’a accompagné de l’autre coté du comptoir de la cafétéria. Et à la porte du baraquement, il me caressa encore la croupe prouvant qu’il avait encore envie de me niquer. J’ai rejoins mon chez moi et la sensation de sa main sur ma croupe ne m’a pas quittée. Et quant j’ai ôté ma gandourah pour me rhabiller correctement, le vue de ma nudité m’a procuré des ondes d’excitations et de désirs dans ma Terma et que c’est seulement le retour proche de ammi Ali qui m’a retenu pour retourner chez le gros zob du noir.

Quelques minutes plus tard ammi Ali est revenu de son travail. Et le brouhaha dans la rue m’indiquait que les autres ouvriers sont aussi revenus des chantiers. Ils allaient remplir les douches de la zone toilettes pour se nettoyer avant d’aller préparer, par groupes, leurs repas. Moi je devais faire le mien et celui de ammi Ali. Il était allé lui aussi se doucher et revenait, la serviette autour du cou. Quant il allait se doucher dans la zone, il se mettait toujours nu sous sa gandourah puis il revenait pour s’habiller correctement. Ce jour, il revenait de la douche et moi, penché sur mes fourneaux, je préparais notre repas. Soudain il se colla derrière mon dos et son souffle sur mon cou, il me dit que, bizarrement je sentais le zob à plein nez. J’ai été surpris de sa remarque car quant j’étais revenu de chez le cuisinier, le cul plein de sperme, je me suis lavé mais très légèrement et ammi Ali a du sentir l’odeur du mâle noir et de son sperme fort. J’ai repoussé ammi Ali mais derrière moi, il restait collé à mon pantalon et son zob commençait à durcir. Il bandait sur les odeurs qu’il ressentait.

Puis il fit glisser mon pantalon jogging et j’étais nu par-dessous. Il se mit à genoux et poussa son visage et son nez sur ma croupe et dans ma Terma. Il grommela qu’il ressentait vraiment l’odeur forte de zob et fourrant ses doigts dans mon cul et sur le sillon de mes fesses , il récolta quelques traces de sperme séché. Il se releva et me donna une tape violente sur les fesses nues car mon jogging était tombé sur mes pieds. Puis brutalement, il m’enleva totalement mon pantalon et me repoussa sur le lit et il enleva sa gandourah sous la quelle il était nu. Son zob était bandé et gonflé. Il voulait ma Terma où il a trouvé des traces de sperme étranger et d'odeur forte. Puis il m’obligea à me mettre à genoux et se pointa derrière moi. Il me brouta d'abord le cul avec la bouche et le nez et me donna plusieurs tapes fortes sur les fesses et me cria qu’il y a bien un zob qui m’a niqué en son absence et me demande d’avouer.

Il se pointait avec son zob à la main mais il continuait à me donner des coups et me demander d’avouer sinon il allait continuer à frapper. Alors j’ai avoué que le cuisinier noir du campement m’a obligé de lui offrir mon cul. Excité, il continuait à me taper et me demander combien de fois j’ai donné mon cul et j’ai répondu qu’il m’avait niqué trois fois et éjaculé aussi trois fois dans mon cul. Il cria qu’il avait bien compris que j’avais donné mon cul à un zob car il sentait fort et que je gout de son sperme était net. J’ai commencé à pleurer à cause des coups, mais il s’arrêta soudain et mit ses lèvres sur mes fesses endolories et continuait à les lécher et à les embrasser plusieurs fois. Puis il saisit son zob et l’enfonça dans mon anus avec violence. Puis il s’accrocha à mes hanches et se lança dans une série puissante et accélérée de vas et viens de son zob dans mes entrailles. Son zob glissait dans ma Terma avec facilité à cause des restes de sperme du cuisinier.

Sa sodomie ponctuée de hurlements et parfois de quelques tapes dures sur mes fesses dura environ dix minutes et il juta quatre fois dans mes entrailles. Puis il sortit son zob et s’essuya sur mes fesses, puis il remit sa serviette autour des reins et sortit du baraquement avec sa gandoura à la main. Mes reins me faisaient mal, alors je me suis nettoyé succinctement et j’ai remis mon jogging. Puis j’ai repris la préparation de notre diner et j’ai décidé d’aller, après le diner, me faire soigner chez Jojo. Ammi Ali revint dix minutes plus tard en gandourah, la serviette autour du cou. Il était allé se laver de notre sodomie violente dans les douches de la zone. Il s’est rhabillé puis il est parti de nouveau jouer avec chez ses copains de la zone. Moi aussi j’ai terminé la préparation que nous mangerons plus tard, chacun de son coté puis j’ai remis ma gandourah et nu par-dessous, je suis parti voir Jojo.

Il était déjà occupé dans la finition du foyer et des services aux ouvriers et ne pouvait pas s’occuper de mes fesses. Alors je suis allé à l’intérieur et derrière le comptoir, chez le cuisinier. Il préparait encore plusieurs casses croutes et hamburger à vendre aux ouvriers et était surpris de ma présence. Je lui ai raconté ce qui s’était passé et que mes fesses étaient endolories par sa faute, et j’ai enlevé ma gandourah pour les lui montrer. Elles étaient rouges et gonflées à cause des coups de ammi Ali. Le cuisinier me dit que ce n’était rien et qu’il allait me soigner et il rigolait de mon aventure. Il prit une pommade de son armoire du fond et me demanda de m’allonger à plat ventre sur le lit. Puis il me mit de cette pommade sur les fesses et les reins et me fit plusieurs massages. Et lentement, les douleurs commencèrent à s’atténue et furent même remplacées par du plaisir que les larges mains chaudes du noir donnaient à ma croupe. Ma Terma commençait aussi à me démanger et comme tout à l’heure j'avais encore une envie d'être niké. Alors, j’ai allongé ma main vers sa braguette et j’ai trouvé son zob gonflé.

Nous savions que ses massages sur ma large croupe ont gonflé aussi son zob. Mais il refusa de me donner, maintenant, ce plaisir prétextant son travail et me demanda de remettre ma gandoura et d’aller chez moi. Mais ma Terma avait une envie folle de son gros zob visible à sa braguette gonflée. J’ai refusé de m’habiller et de sortir et j’ai saisi son zob à travers son pantalon et j’ai serré. Son zob semblait avoir augmenté de gonflement et de dureté. Alors, je me suis levé sans abandonner ma main qui saisissait son zob. Il me suppliait de le libérer et de partir mais je me suis mis contre lui et j'ai essayé de frotter ma croupe nue contre son zob. Puis volontairement, j’ai retiré son zob de la braguette et j’ai commencé à le frotter directement contre ma croupe et mes fesses. Puis, en lui tournant le dos et en me courbant un peu, je lui ai demandé de me niquer rapidement contre le mur comme une putain. Et c'est là que j'ai eu une idée pour provoquer ses fantasmes. Je lui ai dit qu’il était un militaire légionnaire et que j’étais la putain de la rue qui voulait se faire niquer, debout par lui, contre le mur. A ces paroles, et fantasmes jouant, son zob bandait encore plus fort et il ne pouvait plus résister. Alors, j'ai conclu en poussant ma main tenant son zob vers mon anus, et il fit le reste.

Comme son zob était à la porte de mon anus, je l’ai poussé et il me pénétra un peu. Alors, il repoussa ma main et prit son gros zob pour l’enfoncer totalement dans ma Terma. Et il me niqua vigoureusement avec passion, en répétant plusieurs fois qu’il était un militaire légionnaire noir et moi sa putain de rue au cul blanc ouvert et il rigolait bruyamment. Le fantasme du légionnaire et de la putain fonctionnait fort. C’était le première fois que je l’ai entendu parler autant et rire franchement. L’histoire d’être légionnaire qui nique une putain contre le mur a du lui plaire et effectivement ses vas et viens accélérés et passionnés dans mes entrailles et les fortes secousses et coups de reins qu'il donnait à ma croupe étaient la preuve de son excitation. Il me niqua plus fortement que les autres fois et eu du plaisir car quant il éjacula en moi, ce fut un fleuve de sperme qui se déversa en moi et me remplit totalement la Terma et débordait même sur mes fesses et mes cuisses.

Ensuite, il resta planté en moi quelques instants, l'air rêveur. Il doit encore pensé à sa condition de légionnaire et à moi comme putain clouée au mur par son gros zob noir. Il oubliait son travail et ce qu’il préparait pour les ouvriers. Et c’est moi qui l’est repoussé pour qu’il retire son zob de mon cul. J’ai constaté que mes fesses et ma croupe ne me faisaient plus mal, au contraire. Ma Terma reprenait totalement ses démangeaisons agréables et ses jouissances. Alors, je me suis lavé succinctement à son lavabo puis remis ma gandourah mais je restais nu par dessous. Je voulais aller jeter un coup d’œil chez les ouvriers en restant nu de la Terma sous ma gandoura, donc disponible à tout zob qui oserait me draguer et que je choisirais aux dimensions désirées de ma Terma. Et je suis parti draguer, laissant le cuisinier, toujours rêveur, le zob en l’air, toujours étourdi de notre sodomie surprise à la légionnaire.

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