Frasques dans les cinémas pornos des années 80. Où Claire s'habille en cuir.

Au début des années 80 il n'y a pas encore le SIDA et c'est l'explosion du porno en France. Nous avons beaucoup fréquenté ces lieux, c'est ce que je vais vous raconter.

Proposée le 24/03/2023 par Sucette

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Cinéma
Type: Histoire vraie

Claire commence à exercer vraiment en faisant des remplacements en région parisienne. Ses horaires sont plus réguliers et notre ordinaire s'améliore considérablement. Son réseau s'agrandit et nous menons une vie parallèle de plus en plus dissolue.
Nous découvrons les multiples facettes des cinémas X qui éclosent soudainement dans nos villes. Claire pour l'occasion s'habille en cuir et jeans, son débardeur recouvre parfaitement son buste plat, des santiags complètent l' ensemble.
En ce qui me concerne, je suis très maquillé, cheveux longs bouclés, foulard indien, patchoulis, bracelets aux bras et à la cheville. Un haut échancré, une robe indienne longue, fine et colorée.
Il y a du monde, certaines salles sont fréquentes par des couples mais souvent il n' y a que des hommes avec parfois un majorité d'immigrés.
Nous avons aussi sympathisé avec des couples.
Commvous l'avez compris, voir les chapitres précédents, je suis entièrement féminiser et Claire tres androgyne s'habille en homme.
Nous choisissons une rangée vide et nous nous installons vers le milieu et commençons à flirter, rapidement un autre couple nous rejoint. Dans la pénombre les mains s'aventurent vers les zones sensibles, nous nous d?nudons partiellement, nos bouches lèchent et sucent nos seins et nos parties intimes. Claire aime particulièrement me sucer ma verge emprisonné dans ma cage de chasteté. Je suis alors en grande souffrance. Elle me pince les seins etl es mordille. Puis me fait pencher sur le dossier de devant et m'enduit copieusement de vaseline et me pénètre avec un godemichet attaché à sa ceinture, elle mime un coit sauvage qui provoque chez moi un orgasme brutal.
Cela ne laisse pas le couple partenaire de marbre, souvent nous les avons stimulé, permis des caresses plus osées. Peu d'échanges verbaux mais beaucoup de connivence. Il est arrivé que monsieur étant mon voisin a pris ma bouche, il est arrivé aussi qu'il prit la suite de Claire pour me sodomiser à son tour, voire qu'il finisse dans ma bouche. Claire de son côté n'hésitait pas à embrasser fouguesement sa voisine, lui caresser sa poitrine offerte et pratiquer un cunnilingus. La plupart du temps ces rencontres étaient sans lendemain. Il nous ait arrivé de sortir du cinéma ensembles et prendre un verre. J'y reviendrai ultérieurement.
Nous avons aussi expérimenté les cinémas où il n' y avait que des hommes. A l'époque l'homosexualité était très mal vue, même si les cinémas pornos étaient des lieux de rencontre privilégiés.
En général, j'étais au bord de l'allée au fond dans le coin le plus sombre. Claire me dénudait la poitrine qui était offerte, il y avait la queue si l'on peut dire, les mecs devaient se pencher, je les embrassais, et défaisais leur ceinture, j'avais ainsi leur costume trois pièces que je pouvais branler puis je les prenais en bouche, certains ne tenaient pas la distance et éjaculaient de suite, d'autres avaient de la ressource. Claire faisait semblant de me branler mon clito, en fait, elle m'excitait dans ma cage, la verge collée sur mon bas ventre. Invariablement les plus résistant avaient le droit de me sodomiser, moi couché sur Claire qui en profitait pour me claquer les fesses, ses genoux écrasant mes testicules. Cela pouvait durer la presque totalité d'un film, il n'y avait pas encore de préservatifs et pas encore le SIDA allait faire des ravages quelques années plus tard.
Il m'est arrivé de sucer plus de vingt mecs et d'en prendre cinq ou six dans le fion.
Il n'y avait pas les portables, nous allions dans des coins éloignés, nous n'avons jamais eu de problèmes. Bien sûr Claire surveillait mes attributs, l'apparition de boutons suspects les rougeurs ou démangeaisons liés à une MST. j'avais toutes les vaccinations et une hygiène de vie irréprochable.

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