Après avoir été séduite il est temps maintenant de faire passer la mère de famille à l’éducation et l’entraînement. La femme dynamique et volontaire s'avère être en fait docile et très sensible au plaisir.
Proposée le 28/03/2025 par jeanmich
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Je m’appelle Jean-Michel, responsable dans une grande société.
J’ai proposé une amie pour servir de soumise dans le club privé dont je fais partie. Elle est mariée et absolument pas au courant de mes projets. J’ai donc fait embaucher cette femme, Christelle, avec l’aide de Laurent, le DRH. Nous avons collecté des renseignements anatomiques et psychologiques sur elle avec le concours de Natacha, Maîtresse dans le club, et faux médecin pour notre mission et elle a succombé rapidement au charme de Pierre, notre séducteur, en croyant vivre une aventure discrète.
Tout se passait au mieux. Non seulement elle avait bien réagi lors de la première séance de sexe en jouissant très fort mais elle avait semblé tomber aussi amoureuse. Pierre se contenta de petits baisers amoureux pendant quelques jours pour lui laisser le temps de se remettre. Il la retenait toujours le soir pour des motifs de travail futiles. Il voulait observer ses réactions. Elle restait seule avec lui sans problème et semblait en attente d’une nouvelle approche. Il la colla et l’embrassa de nouveau un soir de la semaine suivante en la tripotant. Elle réagit positivement en bougeant la langue avec lui et en se laissant tripoter en soupirant de plaisir. Cette attitude montrait une femme complètement passive mais très réactive aux stimuli sexuels, une passivité à l’opposé de son caractère volontaire et dynamique en temps normal. Ce comportement laissait présager une femme docile voire soumise, la candidate idéale pour notre recherche.
Pour la seconde séance de sexe, Pierre lui roula donc une pelle en la tripotant un peu et en passant assez vite sous la jupe et le string. Cette façon d’opérer paraissait convenir à Christelle et, une fois les doigts sur la vulve et le clitoris, elle semblait fondre et ne plus penser qu’au plaisir. Elle était toujours vêtue au bureau d’une jupe, d’un chemisier et d’escarpins. Il retroussa la jupe et baissa le string en bas des cuisses avant de la prendre. Elle se mit à couiner en se cambrant et en bougeant sa croupe. Ce genre de baise rapide lui plaisait apparemment. Après dix, quinze minutes de baise intensive, elle jouit facilement en se tordant dans tous les sens. Elle s’essuya ensuite puis ronronna contre Pierre avant de rentrer tranquillement chez elle. Cette semaine là Pierre la baisa deux fois. Il augmenta le rythme progressivement jusqu’à la baiser tous les jours de travail de cette façon. Elle jouissait toujours fort et y avait prit goût.
Ils continuaient toujours à manger tous les deux à l’extérieur pendant la pause du midi. Natacha fut envoyée pour lier amitié avec Christelle. Elle fit semblant de les croiser par hasard dans un restaurant et vint les saluer. Au bout de deux minutes, Pierre se leva et prétexta une envie d’aller aux toilettes. Natacha fut à l’aise pour discuter avec Christelle. Avec un sourire, elle la félicita d’avoir pris Pierre, l’idole de presque toutes les femmes de la société. Christelle la regarda un instant en hésitant puis lança d’une voix peu assurée : « Je n’ai rien fait de spécial... »
Elle ne niait pas. Natacha rigola : « Et modeste avec ça !! Ma belle, tu es une sacrée séductrice. Tu me plais. Et j’aime ton caractère sûre de toi, volontaire, tout en restant simple. En plus tu es très craquante. En fait normal que Pierre ait succombé à tes charmes... »
Christelle eut encore droit à une ribambelle de flatteries. Elle ne fit donc aucune difficulté pour échanger ensuite facilement son numéro de téléphone pour revoir Natacha.
Je la connaissais aussi personnellement et nous eûmes une réunion d’amis dans cette période, les cinq couples (jétais divorcé mais remis en couple), chez Sandrine et Michael, des autres amis. Christelle était enjouée et en forme. Je lui demandai comment se passait son travail en lui répétant que son service ne dépendait pas du mien et que je ne savais pas du tout ce qu’il s’y passait. Elle raconta qu’elle adorait son travail, que tout le monde était gentil et elle me remercia de lui avoir parlé de ce poste. Elle semblait rayonner. Comme d’habitude David, son mari, était en retrait et elle lui lançait une petite pique parfois. Son double jeu m’enleva le restant de mes scrupules. Elle méritait qu’on s’occupe d’elle sérieusement. Mais elle me fit sourire également : elle jouait, comme à son habitude, à la grande dame, impeccable dans son rôle de mère de famille et maintenant de secrétaire en pleine évolution avec un salaire confortable, mais je savais ce qu’il en était réellement.
Lors de leurs accouplements, Pierre privilégiait surtout la levrette debout, Christelle penchée sur la table. Ça lui permettait d’avoir une vue dégagée sur la croupe ronde qu’il pouvait caresser, pétrir, faire apparaître l’anus en écartant les fesses. Ce trou était sa cible. On savait qu’elle était vierge au niveau anal. Son majeur enduit de gel tourna donc pendant de nombreuses séances de sexe autour de l’objectif jusqu’à, un jour, s’enfoncer dans l’anus. Christelle se crispa alors un instant en disant : « Hé ! Qu’est-ce que tu fais là ?... »
Pierre resta muet et continua de la limer tranquillement en faisant des va et vient avec son doigt. Christelle demeura immobile une minute mais sa croupe se levait doucement. Elle finit par remuer de nouveau ses fesses en murmurant : « Salaud... »
Son orgasme fut encore plus fort que les autres. Elle ne fit donc pas de problème quand Pierre réitéra la manœuvre. Elle y avait pris goût mais se bloqua quand il passa à l’introduction du sexe. Elle retint son souffle le temps du passage du gland que Pierre fit le plus doucement possible. Il patienta ensuite un instant, le temps que le corps de Christelle s’adapte. Il s’avéra que son anus se dilatait très bien. Le sexe en elle, pourtant de bonne taille, coulissait ensuite facilement avec un peu de gel. Le sexe dans son cul et des doigts sur sa vulve et son clitoris lui assurèrent encore beaucoup de plaisir.
Laurent organisa un débriefing avec Pierre, Natacha et moi. Pierre montra sa satisfaction : « Elle est peut-être un peu dodue mais avec ses grosses mamelles et son cul de salope, je me régale de cette petite mère de famille qui se croit irrésistible. Je suis heureux d’avoir enculée le premier, cette novice… Et elle adore ça !!... »
Natacha eût une approche technique en disant que le protocole avançait bien et que le côté soumise de Christelle se confirmait. Elle souligna la facilité de Christelle à se dilater. Elle ajouta que sa relation avec Christelle avait évolué et qu’elle était devenue amies. Laurent ne dit rien mais sourit aux remarques et annonça que le plan se poursuivait.
Et Pierre se mit à faire des cunnilingus à Christelle, allongée sur le dos sur la table de réunion le plus souvent, mais aussi debout ou assise. La fréquence augmenta de façon progressive. Pierre alternait les cunnilingus en préliminaire avec ceux où il la finissait comme ça. Elle y prenait beaucoup de plaisir. En fait, le sexe semblait lui convenir parfaitement. Comme disait Natacha sa lubrification se faisait rapidement et était abondante et ses orgasmes très visuels et sonores. Il poursuivit plus longtemps, trois mois avant de sortir son sexe et de lui demander de le sucer. Elle eut un moment de surprise : « Pardon ?!… Tu veux quoi ?!... »
Il répéta et elle murmura : « Tu sais… Je n’aime pas… C’est sale je trouve. »
Il rigola : « Et que je te bouffe la chatte non ?!!... »
Son regard devint confus. Elle bafouilla : « Oui mais c’est que... »
Pierre attendit un moment la suite qui ne vint pas. Il répéta : « Suce moi s’il te plaît... »
Il appuya finalement sur les épaules de Christelle qui s’accroupit et prit le sexe à deux mains pour l’amener à sa bouche. Le sexe entra dans le troisième trou, un nouvel orifice qui s’ouvrait à Pierre. Elle le manipula un peu maladroitement en regardant Pierre dans les yeux. Elle chuchota : « S’il te plaît… Je n’aime pas... »
Elle mordilla nerveusement ses lèvres. Il lui intima, d’une voix sèche, de continuer. Elle s’exécuta en poursuivant sa sucette du bout des lèvres. Pierre se mit à lui donner des consignes : « Lèche moi le gland ! Sors ta langue ! Branle-moi doucement en même temps ! Il lui fit lécher son gland, la tige de son sexe, ses couilles avant de lui faire reprendre son sexe en bouche. Il l’encourageait et la félicitait. Cette première fois et les suivantes furent brouillonnes mais elle prenait de l’assurance avec les soupirs de plaisir que Pierre faisait intentionnellement et elle essayait de le satisfaire. En deux mois, à raison de deux séances par semaines, elle devint habile dans la pratique, surtout que Pierre, qui la laissait d’habitude au repos lors de ses règles, se mit à l’utiliser de façon continue grâce aux sodomies et aux fellations. Il passa ensuite à la gorge profonde en lui tenant la tête. Il appuyait pour lui faire rentrer davantage en lui parlant sans cesse. Il l’encourageait comme une sportive qu’il aurait entraînée. Et c’était réellement un entraînement. Elle progressa jusqu’à prendre le sexe de 20cm en entier. Voir ça me faisait bander comme un taureau. Elle était en train de se transformer en salope. Faut dire qu’elle faisait moins la fière avec une queue dans la bouche ou ailleurs. Ses grimaces de plaisir quand elle se faisait prendre étaient toutes aussi bandantes. Aux réunions d’amis suivantes je ne vis plus le vernis sous lequel elle se cachait. Je ne voyais que la salope, ce qui m’obligeait à cacher mon excitation.
Et ce qui devait arriver arriva. A force d’avoir la queue de Pierre en bouche, la tête maintenue, elle finit par recevoir une giclée de sperme. En fait, plusieurs jets jaillirent dans sa gorge. Son visage devint rouge. Elle essaya de se dégager, en vain. Elle s’étouffait. Pierre lui massa le coup comme une oie qu’on gave en lui disant d’avaler doucement et de bien respirer. Elle obéit et parvint à gérer tout en gardant le sexe en elle mais elle n’était pas contente quand il se retira. Elle le traita d’abord de gros connard puis lui dit que c’était fini entre eux. Pierre la félicita du plaisir qu’elle lui avait donné. Il lui rappela qu’elle jouissait aussi dans sa bouche et que c’était un acte d’amour, de laisser jouir comme ça, de procurer du plaisir. Il la baratina tellement qu’au bout de cinq minutes elle ne savait plus quoi penser et qu’elle se retrouva finalement à lui nettoyer la queue à la langue pendant qu’il ronronnait de plaisir (en exagérant) en la complimentant et en vantant ses mérites. En répétant cette pratique de façon régulière, il l’habitua progressivement jusqu’à ce qu’elle fasse ça machinalement.
Pour finir, Laurent voulait corriger un défaut chez Christelle, sa toison pubienne châtain foncée. Sa blondeur, même éclaircie ou truquée avec de la teinture, renforçait son attrait sexuel mais cette toison sombre pouvait casser le charme. Pierre insista tellement qu’elle finit par accepter de se faire épiler totalement. Pierre lui avait indiqué un institut où l’opération se déroulait sans douleur. Elle prit l’habitude d’y aller toutes les trois semaines pour l’entretien. Elle se retrouvait donc la chatte toute lisse et le reste du corps entretenu également. Sur conseil de Natacha elle engueula directement son mari quand il lui demanda le pourquoi de ce changement. Elle lui rétorqua que c’est lui qui lui avait déjà demandé et qu’elle avait voulu simplement lui faire plaisir. Elle fut tellement virulente qu’il se retrouva décontenancé et ne demanda pas plus d’explications. Mais il n’eut pas plus de sexe avec elle...
Laurent était aux anges. Il me félicita d’avoir découvert le jouet dont il rêvait, une femme bandante, naïve et manipulable. Tout s’était mis en place : Elle avait été séduite et son initiation sexuelle ouvrait la porte à de nombreuses possibilités. De plus, son amitié, maintenant bien solide avec Natacha, allait faciliter sa manipulation. Il m’annonça, de façon énigmatique, qu’elle n’allait pas devenir soumise attitrée du club, pour l’instant… mais qu’elle serait un sujet d’études.
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