La mère de famille secrétaire se retrouve dans un service d'une grande société où le chef de bureau a pour mission de la séduire et de la rendre infidèle.
Proposée le 1/11/2024 par jeanmich
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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Je m’appelle Jean-Michel, responsable dans une grande société.
Je devais trouver une soumise pour le club privé dont je faisais partie. J’avais flashé auparavant sur une amie que j’avais essayé de séduire pendant un moment. Elle aimait plaire et faire l’objet de l’attention. Mon choix s’était donc porté sur elle. C’était une mission importante car je me retrouvais exclu du club le temps de ramener une femme. J’avais donc fait embaucher cette femme, Christelle, avec l’aide de Laurent, le DRH, et nous avions collecté des renseignements anatomiques et psychologiques sur elle avec le concours de Natacha, Maîtresse dans le club, et faux médecin pour notre mission.
Le profil psychologique de Christelle montrait, d’après Laurent, indiquait qu’elle était une candidate idéale pour le club. Sous un vernis de femme autoritaire et dynamique, elle cumulait des faiblesses qui créait un manque de confiance en soi :
- Elle se trouvait trop petite et et pas assez mince.
- Son regard sur son physique entretenait un doute permanent concernant son charme surtout qu’elle avait eu deux grossesses et qu’elle se sentait approcher doucement des 40 ans.
- Ce doute lui donnait envie de plaire pour se rassurer et entraînait un besoin de flatteries et d’attentions sur sa personne, et une certaine naïveté dans les tentatives de séduction dont elle faisait l’objet, même si elle n’était pas dupe du désir des hommes. Un côté « fleur bleue » détecté par la psychologue, montrait, en effet, qu’elle n’avait pas conscience des pensées réelles des hommes concernant sa personne et surtout de ce qu’il avait envie de faire avec elle, surtout avec son 90D et sa croupe ronde en 40. Ils ne cherchaient pas du flirt ou de l’amour gentil mais plutôt de la baise sauvage.
Christelle se retrouva donc affectée dans un petit service, un bureau composé d’une dizaine de secrétaires. Le chef de bureau était un homme qui avait tout pour plaire aux femmes. Pierre, 41 ans, était grand, blond aux yeux bleus, musclé au style classe et décontracté, il attirait l’œil féminin. D’après les réponses qu’elle avait données, il correspondait à l’homme idéal selon Christelle. Mais elle et son mari David étaient mes amis. J’avais encore des scrupules. J’avais négocié avec Laurent la méthode douce : Pas de chantage, juste de la séduction. Si Christelle restait fidèle il serait mis fin à sa période d’essai pour un motif quelconque. Si elle cédait ce serait par contre tant pis elle. En fait, je pensais à la visite médicale et j’espérais fortement en secret qu’elle succombe au charme de Pierre. En effet, c’était un ancien acteur porno reconverti dans le reconditionnement des femmes. Il leur donnait du plaisir pour le rendre accro au sexe. Je l’avais déjà vu à l’œuvre et sa réputation n’était pas exagérée. Outre son expérience du sexe et sa dotation naturelle particulière, il utilisait des produits pour augmenter sa vitalité et des gels aphrodisiaques pour faciliter les rapports.
Pierre entama la phase de séduction dès son arrivée. Elle réagit favorablement et se laissa draguer sans problème. Cela ne m’étonna pas. Elle aimait plaire et être le centre d’intérêt, surtout que les autres secrétaires furent jalouses qu’elle monopolise l’attention du chef de bureau. Pierre avait lu la fiche de Christelle et visionné la vidéo de la visite médicale. Il avait conclu qu’elle ne lui poserait aucun problème et qu’elle serait conquise dans un délai d’un mois. Je doutais de la rapidité de la séduction. Je pensais que ce serait possible, mais après beaucoup plus de temps et d’effort. J’avais vu que Christelle aimait flirter et seulement jouer, mais je n’avais jamais vu Pierre en mode séduction et je fus surpris. Au bout d’une semaine Pierre en avait fait une amie, la partie facile... Mais leur relation avait démarré rapidement par deux sorties en bar le midi et s’était poursuivi au restaurant tous les jours. Pierre la faisait rire et l’envoûtait avec son physique apparemment (le regard de Christelle brillait quand elle le regardait) , et en comportement par ses flatteries et ses paroles grivoises. Il lui disait de toutes les manières possibles comment elle était jolie et Christelle gobait tout en pouffant de rire. A la fin de la seconde semaine, il se mit à la frôler, l’épaule pour la guider pour entrer quelque part, la joue en accompagnant des flatteries. Elle continuait de glousser. Il la gardait souvent le soir en lui donnant des choses à faire. Elle ne rechignait jamais et ils restaient tous les deux généralement une heure de plus au bureau alors que tout le monde était parti. Au milieu de la troisième semaine, un soir où, justement, ils étaient seuls, il se colla à elle et dit : « J’adore être avec toi. J’aime ces moments seul avec toi. Tu vas trouver ça con et peut-être faux mais je n’espère pas. Tu es vraiment une belle personne et j’ai de la chance d’être ton ami, mais tu es aussi une très belle femme et, en tant qu’homme, je ne peux pas rester insensible à ton charme... »
Elle resta figée et bouche bée et Pierre en profita pour l’embrasser en l’enserrant, mains sur les fesses. Elle le repoussa vivement : « Mais Pierre ! Je suis mariée !… Et puis non !… Pas comme ça... »
Il eut un petit sourire : « Et comment alors ?... »
« Je ne… Eeuuh… Ce n’est pas ce que je voulais dire... »
Il lui fit un grand sourire : « C’est EXACTEMENT ce que tu voulais dire… Ne t’inquiète pas. On peut profiter déjà ici un peu... »
Et il l’embrassa de nouveau. Ses mains parcoururent le corps de Christelle et, en particulier, les fesses et les seins. Elle se tortilla sous les caresses. La langue de Pierre s’infiltra dans la bouche de Christelle. Après un bref instant elle accompagna avec sa langue le mouvement. Au bout de dix minutes, Pierre cessa l’étreinte et regarda Christelle dans les yeux en la tenant dans les épaules. Elle était haletante et cherchait à reprendre ses esprits. Il la regarda un instant . Elle reprit un peu ses esprits : « Dis donc ! Faut pas te gêner ! Et si quelqu’un rentre ? »
Il l’entraîna dans la salle de formation et referma la porte.
« OK. Je ne me gêne pas ! Ne t’inquiète pas. Tout est verrouillé. On va être tranquille tous les deux... »
Elle minauda : « Et si je ne veux pas être tranquille avec toi ?... »
Il frotta les tétons cachés sous le tissu mais tendus par l’excitation. Christelle frissonna. Pierre caressa le ventre en descendant sur la jupe. Elle frissonna de nouveau et resta silencieuse. Il l’enserra de nouveau en lui roulant une pelle. Elle répondit aussitôt à ce baiser. Il dézippa la jupe et la fit glisser par terre. Sa main frotta la vulve à travers le string. Christelle resserra et ouvrit plusieurs fois les cuisses. La main passa alors sous le string. Elle dégagea sa bouche et se mit à respirer fort. Son bassin ne tarda pas à bouger d’avant en arrière. Pierre s’accroupit en baissant le string et colla sa bouche sur la vulve. Elle prit la tête de Pierre à deux mains en soufflant : « Ah putain !... »
Elle se frotta sur la bouche de Pierre en répétant : « Ah putain oui ! Oui !... »
Il s’appliqua à lui lécher et mordiller le clitoris en lui glissant deux doigts dans le vagin. Elle gémissait fort en ondulant du bassin. Il fut obligé de stopper plusieurs fois pour l’empêcher de jouir. Il avait un timing pour ne pas aller trop vite et maintenir l’excitation élevée. Au second arrêt, il se redressa et l’embrassa à pleine bouche. Elle eut une grimace de dégoût au contact mais se laissa faire tout de même et bougea même activement sa langue. Pierre en profita pour déboutonner le chemisier et l’enlever puis il s’attaqua au soutien-gorge et le dégrafa rapidement d’une main d’un geste expert avant de le retirer à son tour. Les seins lourds tombèrent, libérés de leur gaine. Les gros tétons étaient dressés. Pierre les pinça doucement provoquant des gémissements supplémentaires de la part de Christelle puis s’accroupit de nouveau pour reprendre son travail sur la chatte baveuse. Les yeux fermés et la bouche grande ouverte, elle gémissait bruyamment en se frottant le bassin sur le visage de Pierre. Elle finit par se retrouver les fesses collées sur la table puis assise, et finalement allongée dessus.
Pierre se redressa soudain. Les dix minutes de la première partie étaient passées. Il la regarda un moment, haletante, en attente. Il sortit son sexe, 20x6 cm, lui attrapa les cuisses et les écarta avant de la pénétrer en un long mouvement continu. Elle poussa un long soupir de plaisir pendant toute l’introduction. Il fit quelques allers et retours lents pour tester les réactions de la dame. La bouche grande ouverte, elle gémissait doucement en le regardant dans les yeux, hypnotisée par le regard de son amant. Il lui saisit les chevilles et leva les jambes en l’air en les écartant en V. Il donna de grands coups de rein. Les yeux de Christelle s’écarquillèrent. Elle devait se sentir salope dans cette position et semblait adorer. Ses gémissements redoublèrent d’intensité. De nouveau Pierre fit durer l’acte en ralentissant et en s’arrêtant même parfois pour avoir la durée. A neuf minutes, il replia les genoux de Christelle sur ses seins, offrant une vu superbe sur les deux trous, puis il la pilonna en faisant claquer les deux bassins l’un sur l’autre. Elle se mit à crier de plaisir : « Aaahh oui !! Oouuii !! Aaahh mon dieu !! aahh putain !!»
Elle jouit au bout de vingt secondes en poussant des cris plus fort. Elle convulsa de plaisir pendant trente secondes, les yeux révulsés. Pierre en profita pour éjaculer en elle. A la fin de son orgasme, Christelle resta immobile, étendue sur la table. Pierre se retira doucement et contempla avec satisfaction le corps inerte et le jus qui s’écoulait lentement du vagin de la miss.
Les minutes s’écoulaient. Elle restait allongée sur la table, sans mouvement, la respiration forte. Pierre s’appliqua un gel sur le sexe qui se remit à se dresser rapidement. Dix minutes après ce premier orgasme, il saisit doucement Christelle par les poignets et la releva. Étonnée, elle se laissa faire. Une fois debout, il la retourna et la pencha en avant l’obligeant à se tenir à la table. Il la replaça précisément pour que seuls les trois-quart des avants-bras reposent sur le meuble. Elle le regardait, l’air dubitatif. Il sourit en prenant un tube de gel : « Tu n’as jamais joui deux fois ?... »
Elle secoua la tête en réponse. Il prit une bonne dose de gel dans sa main qu’il passa entre les cuisses de Christelle pour lui badigeonner la vulve. Après dix secondes d’application, elle poussa un long soupir de plaisir et cambra la croupe en fermant les yeux. Il écarta les fesses et lui glissa son sexe de nouveau dans le vagin en un long mouvement continu. La croupe se dressa davantage. Christelle murmura : « Aaahhh… Mais c’est pas possible…. Mais comment ?… Mmmoouuii… »
Pierre la tint ensuite par les hanches et la lima tranquillement. Quand il s’arrêta au bout de cinq minutes elle eut un temps d’hésitation puis sa croupe se mit en mouvement pour venir chercher le sexe derrière elle. Pierre la laissa faire un peu puis il la saisit par les épaules et la positionna d’une certaine façon avant de se remettre à la limer. Les seins qui ballottaient librement se mirent à cogner contre le bord de table. Je compris alors le placement spécial des avants-bras. Pierre contrôlait la hauteur en tenant les épaules pour que les bouts de seins et plus particulièrement les gros tétons durcis viennent taper l’arête de la table. Christelle se mit à gémir de plus belle. Il la maintint dans cette position cinq minutes puis lui empoigna soudain les cheveux qu’il tira en arrière provoquant une cambrure extrême de sa partenaire. Il augmenta la cadence en donnant de grands coups de rein. Christelle, les yeux exorbités et la bouche grande ouverte se mit à crier de plaisir : « Aahh ! Aahh ! Non !! Non !! Ah mon dieu ça vient !! »
Soudain elle se figea, secouée de tremblements, puis elle remit à convulser en poussant des cris de plaisir. Pierre continua sur le même rythme tandis que Christelle s’affaissait et lui réinjecta une dose de jus dans le vagin. Il la retint délicatement alors qu’elle glissait doucement par terre.
Elle resta un moment en chien de fusil à reprendre son souffle, le sperme suintant d’entre ses cuisses. Quand elle finit par se relever, aidée par Pierre, elle avait les yeux brillants en le regardant. Elle vint se caler dans ses bras en murmurant : « Oohh Pierre... »
Laurent me regarda avec un rictus moqueur : « Alors ?! Tu as toujours des scrupules pour ton amie, gentille mère de famille mariée ?!… Baisée comme une salope après juste deux semaines et demi de drague !... » Encore sous l’émotion, je me contentai de hocher la tête quand il me demanda si le protocole pouvait continuer.
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