Christelle 1

Un homme faisant partie d'un club privé libertin doit trouver une soumise. Son choix se porte sur une amie de 34 ans, secrétaire blonde, mariée et mère de famille.

Proposée le 15/07/2024 par jeanmich

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

Je m’appelle Jean-Michel et je suis responsable dans une grande société. Je suis aussi membre d’un club privé libertin. Divorcé et pervers, j’assouvis mes envies grâce à ce groupe. Nous nous réunissons pour des repas où les serveuses sont souvent peu vêtues ou nues, en tout cas accessibles à des faveurs sexuelles. Nous faisons aussi des soirées spectacles avec femmes exhibées en BDSM. Je n’avais jamais mêlé ma femme et mes enfants à ce genre d’activité. Elle n’aurait pas compris. Elle faisait donc la femme parfaite et gérait la maison en bonne femme au foyer. Et je profitais donc, en échange d’une participation financière, aux avantages du club jusqu’à ce qu’un jour, j’avais 39 ans, le grand Maître me demande de m’impliquer davantage dans le fonctionnement. La sollicitation n’était pas compliquée : simplement trouver une soumise pour le club.


Le grand Maître m’avait annoncé ça un samedi soir et la semaine suivante s’avéra pleine de réflexion pour moi. Je devais être efficace, car je me retrouvais exclu du club tant que je n’avais pas trouvé quelqu’un. J’avais un couple d’amis, David et Christelle. Elle, c’était une petite blonde, 34 ans, allure bcbg, belle croupe ronde, parfois avec le string moulé également en relief, la poitrine pleine de promesses, souvent enserrée dans un chemisier tendu par le volume et dont les boutons menaçaient de rompre. Il y avait un côté sournois : Il n’y avait pas de décolleté mais la tension du tissu du chemisier démontrait une envie d’attirer l’œil. Une idée m’était venu en tête. Avec son allure de secrétaire bien bandante elle pouvait être cette femme qui me permettrait de regagner ma place. Elle était secrétaire dans une petite société et ça lui plaisait mais elle ne pouvait pas évoluer. Je lui parlai donc d’un poste qui se libérait dans ma société, bien payé, et sur lequel elle pouvait postuler. Je lui signalai que, par contre, je ne pouvais pas intervenir dans le processus.


Elle postula et obtint un rendez-vous. J’avais averti Laurent, le DRH qui vint me voir dans mon bureau une heure et demie plus tard. Il m’expliqua qu’elle ne faisait pas l’affaire pour le poste. J’étais déçu, mais il me rassura. Il avait possibilité de créer un poste supplémentaire, un emploi fictif, rattaché à son service, ce qui nous permettrait de la garder sous la main. Il me confirma qu’elle avait de bons atouts physiques. Côté mental, la psychologue l’avait analysée comme une femme sûre de son charme qui en jouait sans être provocante. Elle manquait cependant de confiance en elle, ce qui la rendait moins fiable au niveau professionnel mais Laurent avait déduit de cette analyse que ça la rendrait plus accessible à la manipulation. Il me donna les premières informations sur elle et que je connaissais déjà : Christelle MARTIN, 34 ans, mariée, deux enfants (des garçons de 8 et 4 ans). Il me précisa un petit détail croustillant : son mari était un policier. Il savait que pour certains membres du club, ce détail allait beaucoup plaire. Il comptait lui faire passer un second entretien pour faire comme si elle suivait le parcours normal d’embauche puis un examen médical préalable à l’embauche en plus de celui officiel déclaré comme spécifique à la société mais qui nous permettrait d’avoir le maximum de renseignements sur elle.


Une semaine plus tard, il me demanda d’être disponible dans la société à 18h00. Il vint me chercher dans mon bureau et me conduisit dans le local de supervision de la salle de formation. La salle de formation était équipée de caméras discrètes pour les entretiens d’embauche ou les formations de commerce ou de management. La blonde était avec Natacha, une grande brune toute mince de 51 ans, une maîtresse dans notre club. Là, elle était habillée avec une robe noire et une blouse blanche et parlait gentiment à la blonde. Laurent m’expliqua qu’il avait mis ça en place pour certaines femmes en sachant que ça restait réservé à celles que la psychologue qualifiait naïves. La psychologue n’était au courant de rien mais elle apportait beaucoup de renseignements sur la façon de manipuler une femme.


Natacha jouait le rôle du médecin à la perfection. Elle prit les mensurations de Christelle en la faisant mettre en sous-vêtements puis l’interrogea sur son identité, sa famille. Elle discuta un peu avec elle de ses anciens postes pour la mettre en confiance puis lui demanda soudain de se mettre nue et l’informa qu’elle allait lui poser des questions sur son intimité sexuelle. Christelle fut assez réticente au départ, mais Natacha lui parla comme en confidence qu’elle savait qu’elle était retenue pour le poste mais qu’il fallait la validation médicale avant. La société ne voulait prendre aucun risque de maladie grave. Elle hésita un moment mais ce poste lui avait été annoncé avec un salaire mensuel de 2000 euros, soit 500 euros de plus que l’emploi qu’elle avait à cette époque. Natacha insista en la pressant de prendre une décision et elle enleva finalement ses sous-vêtements, se laissa examiner et répondit aux questions intimes. Elle mentit à la question de fidélité puis de masturbation mais Natacha insista une nouvelle fois en la menaçant de ne pas avoir le poste si elle mentait. La blonde se livra donc intimement. Ce fut une vision très intéressante de confidences très intimes de la dame avec ses seins lourds et gonflés, les gros tétons tendus et la cyprine qui brillait à l’entrée du vagin. Je ne l’avais jamais vue comme ça. Je bandais comme un taureau.


Natacha put ainsi recueillir toutes les informations utiles :

• Nom : MARTIN
• Prénom : Christelle
• Age : 34 ans
• État marital : mariée (depuis 11 ans)
• Enfants : 2 fils (8 et 4 ans)
Profession : secrétaire
• taille : 1m65
• poids : 66kg
• cheveux blonds mi longs lisses avec raie à droite (jusque épaules sur les côtés et omoplates derrière. Présence de teinture pour éclaircir les cheveux. Blonde de naissance avec tendance à foncer)
• yeux marrons foncés (étirés en amande avec paupières tombantes)
• type : européen (nordique, allemande)
• origines : mère d’origine polonaise et père allemand
• TP : 90D (en poire un peu tombante, aréoles moyennes roses, gros tétons roses)
• Taille de pantalon : 40
• Taille buste : M
• Croupe : arrondie et cambrée
• Pubis : toison châtain foncée tondue courte et taillée en triangle (bords juste égalisés)
• tatouage : néant
• Piercing : néant
• Pratiques sexuelles : missionnaire, levrette (debout ou à quatre pattes)
• Partenaires : mari, autres à l’occasion mais mari ignorant (mêmes pratiques pour les autres partenaires)
• Nombre de partenaires estimés depuis union maritale : 5
• fellation : non
• sodomie : non
• Masturbation : oui (fréquence : moyenne de 4 fois par semaine)
• autres pratiques : néant
• Notes : A la moindre excitation les tétons pointent et la lubrification vaginale s’active.


Laurent valida immédiatement la candidature. La dame n’était plus si jeune et un peu dodue à son goût, mais son esprit la rendait malléable et il savait qu’elle plairait à beaucoup de membres. Je la regardai pensivement alors qu’elle se rhabillait : J’eus soudain des doutes : Était-ce un bon choix ? Laurent rigola à cette remarque et repassa les images de Christelle nue : « Regarde moi ces grosses mamelles ! Imagine la penchée sur un bureau, les mamelles ballantes et la croupe offerte ! Et en train de gémir de plaisir ! Elle doit bien couiner la cochonne... »


Ma queue se tendit d’un coup. Putain oui qu’elle devait être bonne à prendre ! Elle était à notre main il y a juste cinq minutes et là, elle était de nouveau habillée et discutait tranquillement avec Natacha de la société. J’eus envie de demander à Natacha de la faire de nouveau se déshabiller. Natacha saurait trouver les mots pour qu’elle le fasse et qu’elle se donne. Laurent me reprit de suite. Ce n’était pas le protocole et ce n’était pas du tout évident qu’en agissant ainsi Christelle se soumette. Vinrent alors les scrupules : En la voyant comme ça, en train de discuter, je voyais nos vies, sa famille, David, son mari, ses enfants, les autres amis. J’avais pris pour cible cette pauvre Christelle, mais elle n’avait rien demandé à personne. Je ne me sentais finalement pas bien de ce qu’on lui avait fait faire, de cette fiche rédigée, de la comparer à de la marchandise. Laurent ricana à ces remarques. Il prit son téléphone et envoya un SMS à Natacha qui le lut discrètement. Elle prévint Christelle qu’elle avait encore quelques questions à lui poser : « Que trouvez-vous de bien chez votre mari ? Je vous demande une nouvelle fois d’être franche et honnête avec sous peine de ne pas avoir le poste !... »
Christelle parut confuse et rougit un peu. Elle se mit à réfléchir un bon moment puis finit par bredouiller : « C’est un bon père... »
Elle se tut ensuite. J’étais estomaqué. C’était tout ce qu’elle pouvait dire d’un type avec qui elle vivait depuis 13 ans et avec qui elle s’était mariée il y a 11 ans… Natacha resta imperturbable et lui demanda à l’inverse ce qu’elle pouvait reprocher à son mari ou ce qu’il pouvait améliorer chez lui. Elle répondit de suite qu’elle le trouvait trop mollasson, sans ambition, fainéant aussi… Natacha lui demanda de préciser en matière de sexe. Christelle lui répondit aussitôt aussi comme si elle relâchait un sentiment qui lui pesait : « Il est… comment dire ?… trop gentil, pas original, pas fun. Il ne connaît que la routine… Lui c’est juste le sexe le soir après le film si vous voyez ce que je veux dire... »
Natacha, toujours imperturbable, lui demanda la fréquence de leurs rapports sexuels. Christelle semblait en confiance et parlait sans réfléchir : «  Une fois toutes les trois, quatre semaines, quand il insiste vraiment et que je sens qu’il n’en peut plus. »
Natacha fit tourner la discussion en confidences de grandes copines en s’inventant des anecdotes avec un faux mari et Christelle se confia. Elle précisa que le sexe conjugal ne durait pas longtemps mais qu’elle jouissait à chaque fois. Elle précisa aussi qu’elle se masturbait dans la salle de bain, surtout dans la douche, dans le lit seule et parfois même la nuit avec son mari à côté. Elle ajouta même avec un sourire qu’une fois son mari s’était réveillé alors qu’elle était sur le point de jouir. Il avait cru que les gémissements provenaient d’un mauvais rêve et l’avait câlinée provoquant une grande frustration d’être bloquée juste avant de jouir. Elle en rigolait maintenant, mais, sur le coup, pas trop.


Laurent me regarda avec un rictus moqueur. Christelle prenait son mari pour de la merde. En plus elle avait avoué l’avoir trompé donc c’était déjà une salope. Mon opinion sur elle avait changé et Laurent le savait. D’un sentiment plus ou moins amoureux j’étais passé à une pure envie de sexe. Je hochai donc la tête quand il me demanda si le protocole pouvait continuer.

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