Episode 22 ; Achille le retour

Après la soirée du travail de ma chérie, nous invitons Achille à venir chez nous pour un apéritif dinatoire, sexe et dépravation. Une soirée mémorable pour nous trois

Proposée le 6/03/2025 par Ricounet

Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Notre apéritif dinatoire avec Achille, le collègue de mon épouse, nous avait encore plus rapproché.
Et l'intermède de ce soir nous laisse un gout d'inachevé. Aussi, nous prenons la décision commune d'inviter Achille à nouveau, pour assouvir encore un peu plus nos envies.

A l'inverse de la première fois, c'était sexe autour d'un verre plutôt qu'un verre autour du sexe.
Ma chérie au détour d'un couloir au bureau, lui affiche nos intentions, Achille accepte volontiers.

Achille arrive chez nous vers 20 heures.
D'emblée il nous roule une pelle à chacun, qu’aucun de nous deux refuse. Cela annonce une soirée des plus sympathique.
Nous nous installons sur le canapé, de chaque côté de mon épouse, et sans attendre nos mains prennent possession des seins de mon épouse. Nous l'effeuillons lentement, nos mains parcourant la totalité de sa peau.
Puis nous nous déshabillons à notre tour afin de faire profiter à mon épouse de nos appendices déjà en grande forme.
Toujours debout devant elle, mon épouse attrape nos queues, et commence à aller et venir doucement le long de nos verges. Puis sa bouche passe de l'une à l'autre, lapant, suçotant ou avalant nos sexes.
Nous fermons les yeux pour profiter de cette caresse buccale de premier ordre.

Sans lui faire offense ou lui manquer de respect, mon épouse est la meilleure suceuse que j'ai connue.
Avant d'exploser dans sa bouche, nous nous retirons pour à notre tour s'occuper de mon épouse.
Nos mains reprennent le chemin de son corps, s'attardant sur ses seins et sur sa grotte, déjà inondée de plaisir.
On ne lui laisse aucun répit, cela lui déclenche un orgasme aussi violent que soudain.

Son entrejambe dégouline de plaisir, et je descends aussitôt pour récupérer sa cyprine.
Je ne m’arrête que lorsque plus aucune goutte de cyprine n'est disponible

Achille me dit sur un ton plaisantin : "Tu es vorace, tu aurais pu m'en laisser un peu".

Puis nos mains prennent possession du sexe de l'autre, Achille se penche et me prend dans sa bouche.
Je gémis de plaisir en me disant que depuis notre première soirée, j'avais envie de sentir sa bouche sur mon sexe.
Tout en se relevant Achille me demande si ça me ferait plaisir de le sodomiser, qu'il en avait envie.
Je lui réponds oui sans même réfléchir.

Mon épouse qui avait suivi nos ébats avait récupérer le gel dans notre chambre.
Achille se positionne sur le canapé, offrant ses fesses qu'il écarte pour me faciliter le passage.
Mon épouse prend le gel au bout de ses doigts et commence à masser l'intimité d'Achille, glisse un doigt puis deux.
Pendant ce temps j'enfile une capote, l'enduis de gel et me positionne à l'entrée dilatée par mon épouse. Je le pénètre sans difficulté jusqu'à la garde, m'arrête quelques instants, puis démarre de lents va et vient.
Je pratique exactement comme faisait mon épouse lorsque lors de nos jeux sexuels, nous inversons nos rôles.
A ce propos je n'ai pas vu que mon épouse a enfilé notre gode ceinture, mais je sens le gel sur mon intimité et ses doigts pénétrant ma grotte secrète. Ses doigts me fouillent.
Je continue d'aller et venir en Achille quand je sens mon épouse attraper mes hanches et guider le gode en moi.
Tous les trois, nous continuons nos pénétrations, Achille et moi gémissons de plus en plus.
Achille se masturbe en même temps.
Je sens mon sperme jaillir dans la capote, accompagné de grognements et un plaisir comme jamais.
Mon épouse continue de me labourer sauvagement, m'arrachant un cri à chaque pénétration.
Enfin elle se retire de moi comme je me retire d'Achille.

Elle se penche sur lui engloutit sa queue dans sa bouche et le masturbe jusqu'à récupérer sa semence, sans en perdre une seule goutte.
Après une telle partie de jambes en l'air, nous avons pris un apéro autour de quelques cacahuètes.
Sans un mot Achille se remet en forme, puis me retourne sèchement. La surprise est de courte durée, son sexe est déjà à l'orée de mes fesses. D'un violent coup de rein, il me pénètre jusqu'à la garde. J'ai l'impression d'être ouvert en deux, ce qui m'arrache un cri de douleur plus que de plaisir.
Mais la douleur est de courte durée. Je sens ce sexe imposant dans mon antre, qui commence à aller et venir. Délicieuse sensation. Alors Achille accélère ses mouvements, sa bite entrant et sortant de mon cul, m'arrache des cris à chaque fois. Le plaisir que je ressens est intense. Dans un dernier élan, Achille balance la purée au plus profond de moi, puis se retire. Je m'allonge sur le coté, haletant, tremblant de tout mon corps tellement c'était bon. Mon trou a du mal à se refermer.
Ma chérie n'a rien louper de la scène et a tout immortaliser avec son téléphone.
"Désolé" me dit Achille, "mais j'ai eu envie de te prendre là, sans préavis. J'espère que tu ne regrettes pas".
"Je crois que ma jouissance t'apporte ma réponse non"?
"C'est pas faux" me répond il

Puis Achille se rhabille et nous quitte dans la foulée.
Mon épouse et moi nous douchons ensemble, puis nous couchons dans les bras l'un de l'autre pour une nuit réparatrice.

Au réveil, une envie subite de gouter à l'abricot de ma chérie, je me glisse sous le drap, elle n'est pas encore totalement réveillé.
Malgré tout, ses jambes s'écartent comme par magie, autorisant ma bouche à me poser sur son sexe.
Mes mains écartent délicatement ses lèvres, et ma langue se pose sur son clitoris. Je joue avec , je sens ma chérie soupirer de plaisir, elle écarte encore plus ses jambes. J'ai maintenant tout le loisir de m'occuper d'elle.

Ma langue oscille entre son clitoris et son intimité profonde. Je lèche, suçote, aspire ses lèvres.
L'abricot de ma chérie est juteux comme jamais, je me régale. Je ne suis pas le seul apparemment.
Ses gémissements sont remplacés par des cris, son corps se raidit puis est pris de tremblements. Elle me supplie d'arrêter dans un râle de plaisir. Un dernier coup de langue et je me redresse.

Sans attendre elle plonge sur ma queue qu'elle avale d'un coup, et entame une fellation endiablée.
Je suis obligé de la calmer pour apprécier à sa juste valeur, la pipe qu'elle m'administre.

Mon excitation est à son comble, je sens que je ne vais pas tarder à venir, ma chérie aussi.
Elle enserre ma queue, de manière à ne pas en perdre une goutte.
Je me déverse dans sa bouche par longues saccades.
Ma chérie n'avale pas et vient me proposer un baiser parfumé avec mon sperme.
Nos langues jouent entre elles avec le gout du sperme dans nos bouches.
Puis enlacés, nous décidons de trainer au lit encore un petit moment.

La main de ma chérie se pose sur mon sexe, elle a l'intention de lui redonner de la vigueur.
Une fois satisfaite elle se met à califourchon sur moi et s'empale sur ma queue.
Sans même attendre, elle entame une cavalcade effrénée. Chaque mouvement est ponctué de gémissements de plus en plus fort.
Elle jouit en suivant, je me déverse en elle.
Elle s'effondre sur le coté.

Connaissant son péché mignon je glisse ma tête entre ses cuisses et commence à la laper.
Malgré la sensibilité de son sexe, elle adore cela, et écarte ses cuisses pour me donner de l'espace.
Ma langue joue avec son clitoris et mon sperme qui coule de son intimité.
Elle se tortille sous mes coups de langue, trop sensible elle me demande grâce.
Je remonte donc à ses cotés, et nous nous embrasons fougueusement. Le gout du sperme ne nous quitte plus ce matin !

Les jours suivant passent, sans excès, au rythme de câlins plus classiques, jusqu'au jour où ma chérie me propose d'aller faire les magasins.

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