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Covoiturages et filles voluptueuses partie 3

Tant attendu dans la journée, arrive enfin le moment du premier accouplement entre le narrateur et sa partenaire de covoiturage trans...Suivi d'une soirée de sexe intense chez elle...

Proposée le 27/01/2025 par jerome james b

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme


Covoiturage et filles voluptueuses
partie 3
Le moment tant attendu est enfin arrivé. Je me suis garé sur le petit parking devant son entreprise. Elle m'a rejoint. S'est glissée à côté de moi.
— Je suis sortie entre midi et deux, regarde, j'ai une surprise.
Tournée vers moi, elle a soulevé sa jupe. J'avais immédiatement remarqué que le nylon qui ornait ses jambes était plus sombre. Le mystère, sI mystère il y avait, a été éclairci une fois la jupe soulevée.
— J'ai troqué mon collant contre des bas stay-up. Ca facilite l'accès.
— Ce matin, ta queue était soulignée par l'enveloppement du nylon. A la fois visible mais difficilement accessible sauf avec des efforts. C'était hyper excitant.
Les bas stay-up prenaient bien sa jambe, soulignant son galbe impeccable. Ils achevaient leur course à mi-cuisse, avec une partie élastiquée enveloppée par une très jolie dentelle. De la sorte son ventre était nu, qu'elle m'offrait sans limite. Il y avait bien une constance, en tout cas entre le matin et le soir: cette queue en pleine érection, dressée, collée contre son ventre. Avait-elle bandé toute la journée, ou bien était-ce la perspective de me retrouver?
J'ai démarré. Sans attendre qu'on ait atteint notre but, on savait tous les deux qu'on allait s'arrêter avant d'arriver, sur une de ces multiples aires de stationnement qui jalonnaient notre parcours, elle a fait jaillir ma queue de mon pantalon, et elle s'est penchée dessus pour la caresser de la langue. Elle suçait divinement bien.
— Je choisis le parking?
— Je te fais confiance!, elle a répondu, la bouche pleine.
Par une sorte de superstition, je ne me suis pas garé sur le même parking.
Eleonore avait de la suite dans les idées. A peine avais-je coupé le moteur qu'elle tirait une boite de préservatifs de son sac. Elle en a dépiauté un qu'elle a fait glisser sur ma queue.
Ca s'est fait très rapidement. Là encore, ça m'a ramené en arrière. La première fois où j'avais pris ma première copine trans. Dans cette même position. Le bonheur à la fois de la prendre, d'être dans sa partie la plus intime, d'être caressé par sa muqueuse, et, en même temps, d'avoir sa queue à disposition, de pouvoir la caresser, de la voir réagir.
Eleonore s'est soulevée pour me laisser m'installer à sa place. Plus de confort, même si ce n'était pas le confort maximum. Mais c'est souvent dans la contrainte que naissent les relations les plus agréables.
Elle est venue se positionner au-dessus de moi, et, sans la moindre hésitation, elle a attrapé ma queue et l'a guidée vers sa muqueuse anale. J'ai senti les plissements de celle-ci contre mon gland. Sur son visage il y avait un ravissement total, mais je n'étais pas loin de le partager, ce ravissement, dans ma joie de retrouver une belle trans.
Elle s'est empalée sur moi avec facilité, mais ce n'était évidemment pas la première queue qu'elle prenait, se faisant descendre sur ma queue, qu'elle a avalé petit à petit, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que quelques centimètres hors d'elle.
Sa queue était plus raide que jamais, agitée de spasmes pendant qu'elle descendait sur moi.
Elle s'est mise à jouir au moment où elle se figeait sur moi. Des traits de sperme copieux ont jailli, nous éclaboussant tous les deux. Entraîné par l'excitation, j'ai failli jouir moi aussi, mais je me suis retenu. Je ne voulais pas jouir, pas encore, rester très dur pour bien la fouiller et conserver un moment le plaisir si fort de son rectum qui m'avait pris, me serrait, me caressait et me caresserait quand je bougerais sur elle.
J'ai amené ma main sur sa queue après avoir récolté des traits de sperme le long de cette tige et les avoir goûtés. J'avais peur qu'elle débande et je l'ai masturbée doucement. Sans doute que, comme c'était parti sa queue serait restée dure. Je l'ai amenée au bord de la jouissance plusieurs fois, avant de la laisser et de me soumettre à son rythme. Elle s'est faite monter et descendre sur ma queue. Pour donner encore plus de piment à ce moment, qui même sans cela, serait resté très fort, elle a remonté son T-shirt. Comme je l'avais remarqué, elle avait enlevé son soutien-gorge avant de me rejoindre, et ses tétons le disaient, qui tendaient le tissu.
Et puis on s'est mis à jouir tous les deux. Elle la première. Sa queue s'était encore dilatée. Elle a craché, à nouveau de copieux jets de sperme, il fallait croire qu'elle avait des réserves inépuisables. Cette fois en tout cas, trop excité, trop frotté par sa muqueuse, j'ai joui aussi. Elle a crié et s'est tordue à chaque nouveau jet de sperme contre ses parois internes, jouissant encore deux fois avant que sa queue soit à bout de souffle, mais ce n'était sans doute que momentané.
Elle s'est dégagée et a soigneusement remonté le préservatif le long de ma tige. J'ai compris ses précautions quand je l'ai vue basculer le préservatif, l'étirer et laper le sperme dont je l'avais rempli, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que de la salive sur le latex.
On a repris notre chemin. J'étais partagé entre le plaisir intense du moment et l'envie de prolonger encore ce plaisir.
Elle avait laissé ses seins à nu, et elle était tournée vers moi, me souriant, me présentant ses jambes gainées de nylon et sa queue que j'ai vu se réanimer sous mes yeux, sans que ni moi ni elle ne la touchions. Quelques spasmes, et elle avait retrouvé son allant.
— Je n'ai pas eu de partenaire depuis plusieurs mois et j'avoue que je ne suis pas encore rassasiée. Ca te dit qu'on passe la soirée ensemble?
— Tu veux récupérer ta voiture ?
— Elle est très bien sur l'aire de covoiturage.
Elle habitait un immeuble de trois étages tout récent.
C'est sur le palier du deuxième que prenant des risques, mais on s'en fichait bien, elle s'est approchée de moi et collée à moi. Elle a pris ma bouche, en même temps qu'elle a sorti ma queue de mon pantalon, a retroussé sa jupe. De sa main manucurée, elle a enveloppé nos deux queues roides, en les collant bien l'une contre l'autre. Il y a eu le plaisir de sentir sa verge, dure, mais avec une peau douce, contre la mienne, et aussi celui de cette main qui est venue nous envelopper, nous réunissant encore plus et nous caressant. Une proximité intense. J'ai senti sa queue frémir, comme elle a senti la mienne vibrer.
Elle a pris le temps de nous caresser, alors qu'on était dans le risque.
Je ne voulais pas jouir, mais là encore, j'ai été emporté par mon enthousiasme, et surtout le sien. Elle a explosé, nous arrosant de semence. Elle crachait ses derniers jets de semence quand j'ai pris la succession, un orgasme aussi foudroyant qu'intense.
Deux minutes plus tard, queues encore à nu, on a glissé dans son appartement. Clair, lumineux, agréablement meublé.
On avait très très envie. Et on était conscients surtout, l'un comme l'autre d'une harmonie entre nous, toute récente, qui s'est consolidée dans les minutes et les heures qui ont suivi.
Eleonore m'a entraîné sur le canapé. On s'est positionnés, dans cette harmonie récemment acquise, mais qui se consolidait tête-bêche. Sa bouche et sa langue autour de ma queue, la sienne autour de la mienne. On s'est bouffés la queue longtemps, se retenant cette fois de jouir, parce qu'on avait le sentiment qu'on ne franchirait pas une fois de plus le mur du son. Mais la jouissance est venue quand même...Son sperme a envahi ma bouche, et je n'ai pas pu tenir.
— Je crève de faim...Si on mangeait un bout?
— C'est bien ce qu'on vient de faire, non?, elle a répondu avec humour.
On a dîné ensemble avant de se retrouver dans son lit. Elle s'est mise à quatre pattes et je l'ai fouillée longtemps, avant qu'on ne finisse en frottant nos queues l'une contre l'autre, et en s'arrosant de sperme. On s'est endormis l'un contre l'autre, nos queues accrochées l'une à l'autre.

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