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Covoiturages et filles voluptueuses partie 4 et fin

C'est le lendemain que le narrateur fait la connaissance d'une des copines d'Eleonore, Julie, qui aime les belles filles avec une queue bien dure. Mais aussi toutes les queues en général. La promesse d'une soirée à trois les fait rêver toute la journée, jusqu'à une soirée où Julie s'offre totalement

Proposée le 27/01/2025 par jerome james b

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Covoiturage et filles voluptueuses
partie 4
Le lendemain matin, on prenait le petit déjeuner ensemble quand elle m'a dit:
— Ca te dit qu'on se voie tous les soirs? Je suis bien avec toi. On ne se retrouverait plus sur l'aire de co-voiturage, on partirait d'ici.
Je m'étais inscrit sans conviction. Ca m'avait porté chance. Moi aussi je me trouvais bien avec elle. Et puis il y avait pas mal de sexe en perspective. Avec une fille magnifique.
D'ailleurs les minutes qui ont suivi m'ont bien confirmé qu'il y avait du sexe en perspective. Le téléphone a annoncé un SMS. Eleonore a jeté un œil avant de me le tendre.
Il y avait une série de clichés tous plus troublants les uns que les autres. Une paire de seins bien charnue entre lesquels était fourré un gode bleu, qui cherchait à imiter une queue, et y arrivait plutôt bien...Un sexe féminin, surmonté d'une touffe de poils noirs, taillée en triangle, qu'une fille ouvrait de son pouce et de son majeur, pour offrir à sa caméra, tenue par l'autre main, un intérieur rose luisant, sans doute parce qu'elle était excitée. Et c'est ce même sexe qui, sur la photo suivante, se retrouvait envahi par le même gode aperçu sur la photo numéro 1, enfoncé aux trois-quarts, tenu par la main de la photo 2, reconnaissable aux ongles peints en violet.
Le message qui accompagnait la dernière photo était explicite.
Ta belle queue de fille me manque. Comme je cherchais à co-voiturer moi aussi, j'ai vu ton annonce. Dommage qu'on n'aille pas dans la même direction. Mais je te propose qu'on se voie, en avance sur l'aire de co-voiturage. Je pars à sept heures trente, je peux te retrouver une demi-heure plus tôt. Tu pourras me faire ce que tu veux, et la mettre partout. Tu sais que je suis folle de toi.Julie.
Eleonore a repris le téléphone, pour répondre :
Tu te sens capable de prendre en charge une autre queue ?
En guise de réponse, on a eu une photo de sa bouche ouverte, langue dardée.
On a pris la route de l'aire de covoiturage. Si on n'avait pas eu ces messages, on serait sans doute partis directement au boulot, en rapatriant, le soir, enfin, sa voiture.
Julie était déjà là, attendant appuyée contre sa voiture, en tirant sur une cigarette. Elle était très grande, quasiment deux mètres, encore grandie par des talons aiguille, et avec des formes opulentes, auxquelles ses vêtements très moulants rendaient hommage. Elle portait une robe en cuir ou simili-cuir qui soulignait la plénitude de son corps avec des jambes gainées de nylon et des bottes hautes à talons aiguille. Elle avait un très joli visage, harmonieux, d'immenses yeux bleus, et une chevelure aussi longue qu'épaisse. Elle dégageait énormément de sensualité, et, pour quelqu'un qui savait lire en elle, l'évidence qu'elle aimait le sexe. Je l'aurais compris même si je n'avais pas vu ses SMS avant. Je me suis garé à côté d'elle. Elle nous a souri et elle a fait quelques pas vers nous.
--Voyons si je t'ai manqué et si tu as envie de me revoir ?
Elle a soulevé la robe de lainage d'Eleonore, découvrant ce que j'avais moi découvert deux jours plus tôt : une queue en pleine érection, qui dépassait d'un simple string de coton noir. Le visage de Julie a dit sa fascination, son envie, sa joie aussi.
— Et voilà une belle queue qui m'avait manqué.
Elle ne m'a pourtant pas ignoré.
— Si tu me présentais ton copain?
— Mon partenaire de co-voiturage Jacques...Il m'a récupérée lundi, mais nos relations ont déjà beaucoup évolué. Julie, une amie qui m'est devenue très proche.
Elle m'a jeté un regard sans équivoque.
— L'autre queue, c'est toi?
Je pensais qu'elle allait se mettre en action immédiatement. Une bonne manière de démarrer la journée. Au lieu de cela, elle nous a dit:
— On se retrouve ce soir chez toi?
J'ai bien compris que le 'chez toi', c'était chez Eleonore. Des images se sont dessinées dans ma tête, aussi précises que crues, de leurs deux corps s'accouplant. S'y ajoutaient celles de nos trois corps se mêlant. La puissance du fantasme...Cette même puissance qu'elle a suscité quand elle s'est accroupie devant nous, retroussant sa robe en cuir déjà très courte de quelques centimètres pour nous laisser voir des bas stay-up et une absence de slip. Elle nous a offert son ventre, nu, avec une expression évidente de plaisir, le plaisir de s'offrir, de s'exhiber, mais sans aucun doute aussi de nous manipuler, car, à cet instant, la queue d'Eleonore, comme la mienne, étaient plus dures qu'elles ne l'avaient jamais été, devant ce corps offert, ces orifices chauds dans lesquels glisser, et surtout cette expertise qui leur donnait une toute autre valeur. Expertise dont elle a d'ailleurs fait la démonstration dans les secondes qui ont suivi, nous poussant je crois aux limites du désir. Eléonore m'a d'ailleurs confié un peu plus tard avoir craché du sperme à la vision offerte.
Il y avait déjà ce sexe offert, ouvert à la fois parce que Julie était déjà bien excitée, et parce que cette position, accroupie, jambes ouvertes, l'ouvrait forcément. Il y avait devant nous ce sexe féminin, renflé, gonflé, ouvert sur une muqueuse rose, couronné par, sur son pubis, ce triangle brun, et, entre ses fesses que sa position ouvrait, le dessin impeccable de sa muqueuse anale, autant de plissements, qui, j'en étais convaincu, ne demandaient qu'à s'ouvrir pour laisser pénétrer une verge bien dure, comme celle dont j'étais doté et dont était dotée Eleonore.
Julie ne s'est pas contentée de s'exhiber. Elle a planté ses deux index en elle, et elle s'est ouverte autant que l'élasticité de sa chair le lui permettait, nous présentant son intérieur. Différemment de la manière dont elle l'a fait sur la photo. D'une manière plus exhaustive et plus profonde on va dire.
Elle nous a fait pourtant un cadeau supplémentaire. J'ai vu qu'elle se contractait, poussant son urêtre en avant, le faisant jaillir. Un jet de pipi est sorti, trait court, qui a marqué l'asphalte de sombre. Son regard accroché au notre, et alors que l'aire était encore déserte, ce qui ne devait pas durer, elle a lâché des traits de pipi d'abord brefs, puis une longue rasade, qui a coulé en suivant une pente naturelle d'un terrain pas très droit, pour partir dans un égout. Elle s'est ébrouée, de dernières gouttes de pipi sont tombées, son urètre s'est refermé. Elle s'est redressée, remettant la robe en place.
Une minute à peine après, une voiture s'est garée à dix mètres. Un type barbu lui a fait signe. Elle est partie vers lui. Je me suis demandé si...Mais on a eu la réponse quasi immédiatement. En guise de salut, elle s'est penchée sur le pantalon du gars a sorti sa queue et s'est mise à le sucer.
--Elle aime beaucoup le sexe, a fait remarquer Eleonore, alors qu'on regagnait ma voiture.
On venait de partir sur notre trajet habituel, elle était tournée vers moi. Si elle avait opté pour des bas la veille, elle avait remis un collant, dont le nylon collait à sa queue toute dure.
— Je ne vais pas pouvoir tenir jusqu'à ce soir, elle a soupiré. Je suis trop excitée. On en est où de notre temps disponible?
Il y avait le temps de cerveau disponible, mais aussi le temps pour le sexe disponible.
— On a suffisamment d'avance pour se donner du plaisir.
Les parkings le long de notre trajet allaient bien nous connaître. On s'est arrêtés sur un bout d'asphalte tout déglingué, un virage éliminé pour un trajet plus droit. Je suis venu tirer le collant pour dégager une verge bien bandée. Julie savait utiliser les bonnes méthodes pour titiller. Mais la mienne de queue, qu'Eleonore a dégagée aussi ne valait pas mieux. On s'est caressés mutuellement, au bord de l'orgasme dès les premières secondes, cherchant à retarder l'explosion pour avoir un peu de plaisir, sous la main de l'autre, et en pensant à Julie et à tout ce qui serait possible entre nous.
— Garde bien ta main autour de ma queue quand je jouirai, je ne veux pas de tâches de sperme sur mes vêtements. Ca fait désordre.
— On va faire autrement alors, j'ai dit, venant envelopper la partie supérieure de sa queue de ma bouche. Un coup de langue sur son gland et la semence a coulé dans ma gorge, pendant que je commençais à jouir moi aussi au creux de sa paume.
Le soir, quand on est remontés, on n'a pas fait, par contre, de pause sur une aire. On avait qu'une hâte, retrouver Julie. Julie et son corps offert, Julie et ses muqueuses offertes, Julie prête à tout, même à ce qu'on n'imaginait même pas.
Elle était déjà là quand on est arrivés. Elle est descendue de voiture, nous offrant sa nouvelle tenue. Une combinaison en latex, qui aurait pu masquer son corps, mais qui, au contraire, lui donnait accès par les multiples fermetures-éclair qui se dessinaient. Elle nous a dédié un sourire qui disait pas mal de promesses.
Il n'y a pas eu de temps mort. Elle s'est calée sur le divan d'Eleonore, et elle nous a attirés à elle. Elle avait envie de nos queues, qu'elles soient enveloppées dans un caleçon ou un collant, elles les a sorties l'une après l'autre, les a trouvées raides de désir. On avait eu le temps de fantasmer dans la journée.
Elle a mis nos deux queues à nu, et elle les à caressées doucement. Sans doute pas dans l'intention de les faire roidir plus, parce que là, on était vraiment très raides. Elle a cassé tout de suite les codes, avec son imagination. Attrapant nos deux queues, elle s'est mise en devoir de les faire frotter l'une contre l'autre. On a trempé la chair de l'autre de nos liquides pré-sécrétifs. Elle nous a frottés jusqu'à nous amener au bord de l'orgasme. Elle a réuni nos deux queues, bien collées, comme si elles n'étaient qu'une, et elle les a travaillées de la langue, glissant sur nos glands, rentrant dans nos méats...Je crois qu'on était loin de notre vie quotidienne tous les trois, mais par contre totalement dans le plaisir.
Un plaisir qui a trouvé un prolongement supplémentaire quand elle a tiré la fermeture-éclair située au niveau de ses seins, et mis ceux-ci à nu. La photo ne mentait pas. Elle nous a séparés à nouveau, commençant par prendre ma queue. Une poitrine parfaite pour faire une cravate de notaire, chaude, douce, et surtout suffisamment volumineuse pour bien envelopper. Un peu moins du dernier tiers de ma queue dépassait, elle l'a frotté avec sa langue, me faisant trembler de plaisir. J'ai laissé la place à Eleonore, qu'elle a aussi honoré avec ses seins et sa bouche.
Elle a descendu une autre fermeture. Celle qui donnait accès à son intimité. Pendant qu'elle continuait de caresser la verge distendue, je me suis accroupi et je suis venu caresser son intimité de la langue. Elle était dilatée d'excitation, ouverte naturellement, sans forcer avec ses doigts, et elle ruisselait, me remplissant la bouche de ses nectars intimes. Je ne suis pas resté à la surface, tellement elle était ouverte, j'ai pu caresser ses muqueuses à l'intérieur. Eleonore, libérée de l'étreinte de sa poitrine, a glissé pour me rejoindre, venant frotter contre la grosse tête du gland clitoridien. On s'est partagés la chatte, en harmonie, moi remontant sur le gland qui s'était décalotté, et qui se gorgeait de sang, une mini-bite, mais tellement volumineuse qu'elle se rapprochait d'une bite, tandis qu'Eleonore lapait les sécrétions vaginales comme un nectar précieux, ce qu'elles étaient. J'ai fini par descendre me repaître du goût amer de sa muqueuse anale, pendant qu'elle dévorait à nouveau le gland clitoridien, tellement épais et long à présent qu'il lui remplissait la bouche comme l'aurait fait une bite.
On a basculé sur autre chose dans les minutes qui ont suivi. Ce dont on rêvait secrètement? Sans doute que oui. Elle l'a formulé clairement:
— Je veux que vous me baisiez chacun séparément, et ensuite ensemble. Mais avant...
Il y avait des préservatifs emballés dans une petite poche sur le côté de l'uniforme. Elle les a dépiautés tous les deux, avant de faire glisser l'un puis l'autre sur nos verges dilatées.
J'ai laissé à Eleonore l'honneur de glisser en elle la première. Le sexe c'est faire, mais il y a aussi le plaisir de voir, et je voulais voir la verge congestionnée de la jeune femme rentrer en elle et y bouger. Julie a attrapé la queue, alors qu'Eleonore se rapprochait d'elle, et elle a guidé sa verge vers l'entrée de son sexe. Vu comme elle était ouverte, il aurait fallu un réel manque de chance pour la louper, mais ça c'est très bien passé. Le gland a tapé au milieu de la vulve de la jeune femme, avant de disparaître. Eleonore l'a lentement pénétrée. Julie a éprouvé un plaisir immédiat, intense et très fort, gémissant de plaisir sans fausse honte. J'ai regardé la verge disparaître en elle, presque totalement avalée sauf pour un centimètre ou deux. Julie a soupiré.
— C'est tellement bon de se sentir remplie. Oh mon Dieu...
— Et c'est tellement bon d'être gainé par la chaleur et la douceur, comme de la soie, d'une chatte, a soupiré Eleonore.
Elle s'est mise à bouger, lentement, puis plus rapidement, puis à nouveau lentement, dans la vulve de Julie...Cette dernière ruisselait, plus qu'elle ne l'avait fait encore, autour de la verge gorgée de sang.
Je regardais, je ne voulais pas en perdre une miette, fasciné, caressé par la main de Julie qui me branlait doucement. Eleonore a fini par se dégager, me laissant la place. Le latex qui recouvrait sa queue, dilatée, était dégoulinant de secrétions grasses.
La vulve de Julie aussi, était dilatée. Je me suis approché pour m'y loger. Elle m'a guidé...
Cette sensation...Irremplaçable...De se sentir enveloppé par la gaine délicate d'un sexe féminin. Je me suis enfoncé en elle, et c'était délicieux. Mon gland a cogné contre son utérus, puis je me suis mis à la fouiller. Rien, non rien n'avait d'égal.
Il y avait quelque chose de volupteux à être dans son sexe. Plus qu'un autre, il semblait fait pour accueillir des queues.
On fantasmait tous les trois la suite. C'était sans doute la première fois qu'on allait aussi loin. Unis par un lien invisible, une envie invisible.
J'ai dégagé ma queue d'elle.
Ca s'est fait tout naturellement. Elle m'a laissé me caler sur le divan, avant de me tourner le dos et de descendre sur moi.
On avait été deux, on allait être trois dans son ventre.
Elle a attrapé ma queue. A esquissé une caresse dessus, un mouvement de va-et-vient, comme pour vérifier la consistance de ma queue avant de la rentrer en elle. Elle l'a guidée vers sa muqueuse anale. Tout comme sa petite copine, en habituée, elle avait une muqueuse très souple, qui m'a laissé glisser dans le conduit étroit sans aucun souci. Elle s'est empalée jusqu'à s'asseoir sur moi. Elle s'est faite monter et descendre sur ma queue, prenant un plaisir d'évidence intense.
Avant de se figer.
Eleonore s'est approchée. Julie s'est basculée en arrière, pour lui offrir son vagin. Je ne voyais pas grand chose, mais j'ai senti, littéralement senti sa verge rentrer dans la muqueuse souple, et la remplir.
C'était la première fois, il faut un début à tout que je prenais une fille à deux ainsi. J'avais déjà été dans des trios, mais ça avait été plus simple. Une bouche pour une queue, une main pour l'autre, deux mains pour chaque queue, au plus loin deux queues se succédant dans une vulve. Et là...
Ce que je n'avais absolument pas imaginé c'était que la vulve et l'anus de Julie étaient pour moi comme deux manchons totalement isolés, mais en fait ils communiquaient par une paroi fine. De la sorte, je n'avais pas seulement le plaisir d'être caressé par la muqueuse de Julie, mais aussi celui de sentir la queue d'Eleonore me frotter à travers la paroi de chair. C'était...Hyper bon...J'imaginais bien que ça fonctionnait dans les deux sens.
On a fonctionné tous les trois en harmonie. Fouillant bien Julie et nous caressant mutuellement. En allant au bout de ce qu'on pouvait donner, sans jouir. Je ne sais pas comment j'ai pu, et Eleonore aussi, ne pas jouir, alors qu'on était, comme ma queue était à ça de la sienne, à ça de la jouissance.
Julie elle par contre, ne s'est pas retenue de jouir. Le corps secoué par des orgasmes, elle crachait des jets copieux de liquides intimes qui nous arrosaient, gémissant et criant sans retenue.
On s'est retirés, on a changé de préservatifs et on est revenus dans l'intimité de Julie, mais cette fois en changeant nos positions. Eleonore a glissé son énorme verge dans l'anus de Julie, tandis que je rentrais à nouveau dans sa vulve.
On a tenu longtemps avant de sentir la jouissance arriver. On est sortis d'elle, on a dénudé nos verges, dilatées comme jamais, et on les a rassemblées de telle sorte qu'elles soient contre son sexe, nos glands au niveau de son gland clitoridien d'une taille aussi hors de commun que nos deux bites. Des torrents de sperme sont sortis, se mêlant, ont poissé ses chairs, les maculant d'un blanc crémeux.
La soirée avait bien commencé. On s'est restaurés avant de se retrouver au lit.
La nuit nous appartenait et la faim nous dévorait.

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