Covoiturages et filles voluptueuses partie 2

Notre narrateur découvre qu'Eleonore est une fille pas tout à fait comme les autres...Ca tombe bien...Il adore les trans...Une relation se nous, intense...

Proposée le 27/01/2025 par jerome james b

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme

Covoiturages et filles voluptueuses
partie 2
Le lendemain, on s'est retrouvés au même endroit. Elle avait une expression maussade, et j'ai compris que le contact ne serait pas aussi chaleureux. Elle m'a quand même dit bonjour, et elle s'est calée dans la voiture, sans dire un mot de tout le trajet. Elle portait une tenue aussi près du corps que la veille, un pantalon en vinyle très moulant, un top violet très décolleté dont ses seins semblaient prêts de se barrer, une veste.
C'est alors qu'on était prêts d'arriver qu'elle m'a dit:
— Pardon, je ne suis pas très agréable ce matin...Un conflit familial. Mon père m'a téléphoné hier soir. Je n'avais plus eu de nouvelles depuis trois ans. Et je n'en aurai sans doute plus pour une période encore plus longue.
L'après-midi, elle était plus détendue, mais encore tourmentée. On est remontés sans qu'elle me propose un moment de sexe. Mais je la comprenais bien,
C'est le lendemain que les choses ont totalement changé. D'une manière que je n'aurais pas anticipée.
Elle m'a rejoint comme on commençait à en prendre l'habitude. Cette fois souriante.
Elle a avancé vers moi. Silhouette magnifique. Elle portait un tailleur vert amande avec une jupe ultra-courte, je n'aurais même pas osé parlé de mini-jupe, mais plutôt de micro-jupe, les jambes prises par des cuissardes en cuir noires et luisantes. Ma verge s'est durcie. Difficile de ne pas la désirer.
Elle s'est laissée glisser sur la place du passager. Avec un grand sourire.
— Pardon pour hier. Je n'étais vraiment pas bien.
— Ca nous arrive tous.
Aujourd'hui, en forme, elle l'était. Calée face à moi en biais, jambes ouvertes, elle m'a laissé voir son intimité. Elle avait, pour accompagner les cuissardes, et comme seul sous-vêtement, un collant blanc, translucide. Ainsi, sans le vouloir, elle offrait à mes yeux non pas le gonflement coupé d'une fente d'un sexe de fille, mais deux couilles gonflées et une verge en pleine érection.
Je me suis demandé si elle ne voulait pas, ainsi, me dévoiler sa vraie nature. Histoire de mettre les choses au point. Ou peut-être que plus simplement elle s'en fichait.
Il y avait deux ans de cela, j'avais partagé l'existence d'une belle trans, une collègue qui m'avait draguée jusqu'à me dire: 'Je ne suis pas tout à faire comme les autres!' et à qui j'avais répondu: 'Je m'en fiche...En fait ça m'excite plus qu'autre chose!' Et c'était bien le cas. Une fille, magnifique, avec une queue, c'était un détour par un monde parallèle qui me plaisait. Notre relation n'avait malheureusement pas duré parce qu'elle avait été mutée.
— Tu as envie ce matin?
— Je me suis réveillée avec le sexe en feu...
— Tu m'as donné du plaisir lundi, je peux te rendre la pareille.
Clairement, elle désirait ce qui s'est passé dans les minutes qui ont suivi. Elle m'a laissé poser les mains sur ses cuisses, dont la chaleur, brûlante, est remontée en moi, à travers le nylon.
Je n'avais pas eu de partenaire, avec une chatte ou une queue, ces derniers temps, et c'était un peu comme un retour à la vie. Je suis remonté lentement. Elle a fermé les yeux de contentement. J'ai caressé doucement ses couilles et sa tige à travers le nylon, sous ses gémissements. Je la percevais, malgré la barrière du nylon, parfaitement, verge chaude, dure, s'épaississant et s'allongeant encore.
— Si tu continues, je vais remplir mon collant de sperme et il faudra que j'en change.
— Je suis sûr que tu en as un de rechange dans ton sac.
De toute façon, je suis remonté, j'ai attrapé le bord du collant, et je l'ai baissé doucement. Les derniers centimètres de sa verge étaient hors du collant. Libérée, sa queue a jailli à l'air libre, longue,épaisse et charnue.
Il fallait qu'on parte travailler, mais on était en avance. On pouvait s'octroyer une bonne dizaine de minutes rien qu'à nous. Il y avait bien sûr le risque que d'autres covoitureurs nous voient, mais on s'en fichait. D'ailleurs généralement les gens ne regardaient pas autour d'eux.
Je suis venu caresser sa queue de ma langue. Elle a lâché un long jet de liquide pré-sementiel qui a coulé dans ma gorge, amer et parfumé. J'ai tourné sur sa verge, qui s'est encore dilatée, frottant son gland, allant et venant le long de sa tige, venant lécher ses couilles, tout en lapant ce jus abondant qui sortait d'elle.
Basculée contre la portière, elle était en plein trip. Elle avait totalement perdu le contrôle, Elle l'a perdu encore plus quand j'ai glissé sa verge, ou au moins une partie dans ma bouche. Je retrouvais ce qui m'avait tant manqué. J'ai fait coulisser ma bouche le long de la tige chaude, lui prodiguant les caresses dont elle avait peut-être rêvé le matin même, sans rien espérer. Au moins, contrairement à la veille, la journée aurait bien démarré.
Elle n'a pas tenu très longtemps, et un premier jet de sperme, âcre et sucré, a rempli ma bouche, que j'ai laissé couler dans ma bouche, comme les suivants. Une fois les grands jets de semence lâchés, j'ai lapé les dernières liquéfactions issues de son méat.
J'ai jeté un coup d' oeil à la montre de bord. Dix minutes. Il était temps de partir, sans cela on serait en retard. Même si on avait envie de plus, et d'aller plus loin. J'ai remarqué, que bien qu'ayant joui, Eléonore avait gardé une queue dure, qu'elle a elle-même fourré sous son collant. Elle s'est gardée de se tourner, m'offrant, tout le long du trajet sa verge tendant le nylon avec un sourire qui disait que je pouvais tout lui faire.
La bouche poisseuse de son sperme, j'ai démarré. Tout le temps du trajet, j'avais une main sur le volant, l'autre posée contre le collant, massant sa queue. Sous sa veste, elle avait un T-shirt qu'elle avait relevé. Dessous un soutien-gorge pourpre dont elle avait extirpé deux seins énormes dont elle avait pincé pour les tétons pour les faire durcir, décidant au bout d'un moment de monter ma main pour que je prenne contact avec sa poitrine. J'avais frôlé la chair de ses deux montgolfières, avant de venir caresser ses tétons, bien épais, les faisant encore s'épaissir.
On est arrivés comme ça au travail. Elle m'a soufflé:
— Il va falloir attendre jusqu'à ce soir, mais c'est bien comme ça. On va y penser, on aura envie, très envie et ce soir, ce sera un feu d'artifice.
Et au cas où j'en aurais douté, elle est venue prendre ma bouche et enfoncer sa langue dedans, pour frotter la mienne, En même temps, elle a massé ma queue, dilatée, à travers le tissu de mon pantalon. Elle s'est détachée, et éclipsée. Debout devant le véhicule, elle a soulevé un instant sa jupe pour me montrer une dernière fois sa queue, qui semblait promise à une éternelle érection, enveloppée par le nylon.
J'ai redémarré. Le temps d'arriver, mon érection avait suffisamment dégonflé pour que je sois présentable.
Ce jour-là, j'avoue que j'avais la tête ailleurs. Même si j'ai fait mon boulot au mieux. L'envie de prolonger le moment de ce matin, si fort, avec une créature implacablement attirante.
On ne peut jamais rien prévoir, mais si je parvenais à la garder dans ma vie, ce serait formidable.
Depuis que j'avais goûté aux trans, les filles sans queue me semblaient bien fades.

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