Il souhaite s'engager dans le covoiturage et s'inscrit sur un site. Il prend contact avec Eleonore, une jeune femme magnifique. Une attraction mutuelle se développe très vite...
Proposée le 27/01/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
Covoiturages et filles voluptueuses
partie 1
Tout a véritablement commencé quand la communauté d'Agglo a mis en place un service de covoiturage.
Je l'ai lu dans le magazine qu'ils publient tous les deux mois, et je me suis dit que c'était une bonne idée. Je faisais tous les jours 26 kilomètres aller, 26 retour pour me rendre sur mon lieu de travail. L'Agglo offrait un dédommagement de deux euros par trajet, ce qui me ferait 4 euros par jour, et j'aurais en plus de la compagnie pour aller travailler. J'ai donc posé ma candidature sur le mur virtuel, en précisant mes trajets, point de départ, point de retour, heure de départ et de retour. A vrai dire, je ne pensais pas avoir une réponse immédiate, aussi j'ai été surpris, puisque j'avais laissé mes coordonnées, de recevoir un mail dans l'heure qui a suivi.
Je m'appelle Eléonore et je fais le même trajet que vous. Depuis que j'ai eu un accident il y a un an, je n'ai pas racheté de voiture. Un manque d'argent. Je suis un peu lasse du bus. Est-ce qu'on pourrait s'entendre ?
Elle m'a proposé qu'on discute cinq minutes en visio.
Une bonne surprise. J'ai eu face à moi, sur l'écran, une fille d'une rare beauté. Fine, blonde, un visage aux traits fins. Elle était enveloppée, dimanche oblige, dans un survêtement qui soulignait ses charmes. Une poitrine lourde tendait la veste, et quand elle s'est levée par la suite, et qu'elle est partie vers le fond de la pièce, j'ai aperçu une croupe charnue, qui dansait sous le pantalon du survêtement, sans doute parce que nue. Je me suis demandé si elle avait quand même un string dessous, ou si elle était vraiment cul nu. Le genre de réflexion purement masculine. J'avais la même impression, pour sa poitrine. Certainement libre sous le tissu.
Mais il n'y avait pas que ça. Un visage magnifique, une présence, un sourire. Un rayonnement.
Je me suis dit que j'avais tiré le gros lot.
Et on est parvenus à s'entendre.
Elle m'a parlé de son existence. Fonctionnaire territoriale, elle avait une passion pour la couture. Derrière elle, d'ailleurs, je pouvais voir, sur des cintres, des vêtements très beaux. Elle avait crée une auto-entreprise, fabriquait sur commande, mais aussi créait ce dont elle avait envie, pour vendre sur un site. Elle m'a présenté plusieurs de ses créations.
Le lendemain matin, je me suis garé sur l'aire de co-voiturage. J'ai attendu cinq minutes avant de la voir traverser le parking dans ma direction.
La visio ne m'avait pas donné, contrairement à ce que j'avais pu craindre, une image tronquée et magnifiée d'elle.
Elle était vraiment superbe, et j'ai pris un plaisir fou à la voir approcher. Elle portait, ce jour-là comme ceux qui ont suivi une tenue très serrée, un pantalon noir ultra-moulant, en haut un corset qui soulignait sa taille et soutenait une poitrine volumineuse, sous un blouson de cuir entrouvert. Son visage, maquillé, ce qui n'était pas le cas au moment de la visio, resplendissait, encadré par sa chevelure soyeuse, brillante. Elle avait aux pieds des bottines lacées avec des talons aiguilles qui la cambraient et mettaient encore plus en valeur sa silhouette.
Il y a eu un moment assez drôle. Deux hommes arrivaient sur le parking pour prendre leur voiture, chacun à une extrémité de ce parking, et ils se sont figés dans la même contemplation béate de la jeune femme, ce qui disait son charme.
Elle m'a rejoint, a ouvert la portière, s'est glissée à l'intérieur. Un parfum fruité a envahi l'habitacle.
— Voilà, on se rencontre enfin.
— Bon, c'est parti.
Elle a posé son sac à ses pieds pendant que je manoeuvrais.
On s'est mis assez facilement à discuter. Je m'efforçais de ne pas trop la dévorer des yeux. Elle était vraiment magnifique. Pourtant, je n'envisageais même pas de lui faire la moindre avance. Ce n'était pas trop mon style, et puis je pensais bien qu'une fille comme elle n'avait pas attendu un gars comme moi pour avoir un homme dans sa vie. Une relation de covoiturage, voire éventuellement d'amitié, ça me convenait parfaitement.
En centre ville, il y avait un grand parking, 350 places, gratuit. On avait discuté, de là, on était tout de suite sur notre lieu de travail. Rendez-vous pris pour entre quatre heures et demi et cinq heures.
Je l'ai regardée s'éloigner, fasciné, comme l'aurait été tout homme fasciné par le mouvement de ses hanches, et sa croupe lourde qui dansait sous le tissu, nue, comme la veille ou avec un string qui s'enfonçait dans sa raie.
Je suis arrivé le premier à la voiture le soir. Elle a surgi dix minutes après. Toujours aussi sexy.
— Pff, elle a soupiré en montant dans la voiture. Une journée interminable, avec des réunions qui ne servent à rien. Allez, on rentre.
Je venais de prendre la route, en sens inverse, quand elle a tiré de son sac à main un joint conséquent.
— Quand je rentre j'aime bien me détendre. Pas la peine d'attendre d'être à la maison. C'est toi qui conduis.
L'odeur intense a rempli l'habitacle. Elle a tiré sur le joint en me regardant du coin de l' oeil.
Le long de cette petite départementale, il y avait pas mal de zones où on pouvait s'arrêter. Parkings volontairement aménagés, ou zones utilisées à un autre dessein, converties en parking depuis. Elle m'a dit soudain:
— Regarde, il y a une zone de stationnement à 300 mètres. Tu peux te garer un instant?
Je me suis demandé ce qu'elle voulait. Elle en était à la moitié de son joint. Elle s'est tournée vers moi, une fois que j'ai été à l'arrêt, et elle m'a dit:
— Je voudrais te remercier. Tu as été adorable. J'ai déjà fait du covoiturage, ça ne s'était pas bien passé. Ce matin, j'ai vu que tu bandais, et que tu bandais fort. Tu veux que je te masturbe ? Je fais ça très bien.
J'ai été très surpris. On se connaissait à peine...En même temps, le sexe, ça pouvait aller très vite.
Je n'ai pas hésité. Une offre pareille, ça ne se refuse pas. Elle regretterait peut-être. Moi non. D'autant que c'était quelque chose que j'aimais, et j'avais plein de bons souvenirs liés à cette pratique.
Je suis remonté en arrière. Au début de l'adolescence et à Cerise. Une très jolie blonde, elle aussi, avec une frange et un immense sourire, toujours de bonne humeur. Des formes, une sensualité naturelle et éclatante. C'était le genre de fille qui avait découvert très tôt que le sexe existait, et pour qui il représentait un merveilleux champ de possibles. Pas le genre de fille à vous repousser sèchement, si vous lui plaisiez bien sûr, et vous lui faisiez comprendre que vous étiez vous aussi attiré par elle. Mais pour elle, l'heure était surtout à des flirts, sans forcément aller plus loin. Comme elle me l'avait dit clairement, après qu'on ait échangé nos premiers baisers, 'On pourra faire beaucoup de choses, plus sans doute que tu ne l'imagines, mais hors de question que tu mettes ta queue dans ma chatte. J'ai trop peur d'avoir un gosse. Même avec la pilule, que je prends, et une capote.'
Je lui avais répondu que ce n'était pas forcément ce dont j'avais envie. J'en étais au début de ma sexualité, et tout était encore très flou pour moi, même si j'ai compris par la suite que ça venait tout seul.
On s'était mis à se voir, le soir. On avait la chance de ne pas habiter très loin l'un de l'autre. Et donc, on s'abandonnait à des flirts d'abord timides puis de plus en plus audacieux.
On allait très loin...Sauf jusqu'à la pénétration. Chaque jour était une étape supplémentaire. Elle m'avait offert ses seins, blancs, pleins et charnus, avec de très larges aréoles, toutes roses, et des tétons que j'avais gardés dans ma bouche et caressés très longtemps. La fois suivante, elle avait une jupe, elle avait baissé son slip, m'offrant la nudité d'un sexe que j'avais déjà aperçu, parce qu'elle mettait des culottes transparentes, ou semi-transparentes, très audacieuses. Elle m'avait proposé:
— Viens me lécher !
Je lui avais répondu:
— Je ne sais pas si je vais bien savoir faire !
Mais finalement, je m'en étais bien sorti. C'était venu tout seul.
Ca avait été la fois suivante qu'elle avait porté la main sur mon pantalon. Quand j'étais avec elle, j'avais d'énormes érections. Elle avait jusqu'à présent ignoré ma queue, me laissant la caresser. Quand je rentrais à la maison, je me masturbais, jouissant une fois, puis encore une fois, jusqu'à être épuisé, pour soulager la tension qui était en moi.
Aucun homme sans doute n'oublie quand une fille le masturbe pour la première fois. Ni les suivantes. Parce que ça n'a vraiment rien à voir avec le plaisir qu'on peut éprouver quand c'est sa main est sur soi.
Ce n'est d'ailleurs pas forcément que c'est un plaisir plus fort. C'est un plaisir différent.
La chaleur et la douceur d'une main sur moi. Expérience, instinct, les deux mêlés, Cerise caressait ma queue avec joie, son visage le disait, et habileté. Elle avait retroussé sa jupe, descendu sa culotte, et elle frottait ses lèvres en même temps qu'elle tournait sur ma queue, frottant mon gland, lubrifié par les liquides qui coulaient de mon méat, allant et venant le long de ma tige, pressant doucement mes couilles. Curieusement, comme c'était la première fois, j'aurais du jouir tout de suite, mais, au lieu de cela, je tenais.
Cerise était très audacieuse, ou plus simplement, elle avait déjà compris ce qu'était le plaisir. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle s'est penchée et a enveloppé de sa bouche la partie supérieure de ma queue. C'était quelque chose d'infiniment audacieux, et je n'ai pas bien compris, à vrai dire, l'ordre des choses. Si j'ai joui parce que j'étais au bout du plaisir, ou si la voir me prendre ainsi dans sa bouche, sentir sa cavité buccale, chaude et douce autour de moi, a provoqué ma jouissance. La seule certitude que j'ai pu avoir, ça a été qu'elle m'a gardé tout le temps que ma semence, jet après jet, saccade après saccade, a jailli en elle, et qu'elle ne m'a lâché qu'après avoir profité des dernières coulures qui sortaient, après les grands jaillissements de sperme.
Comme elle avait bien compris que l'expérience, se faire masturber par elle, m'avait énormément plu, dans les semaines qui ont suivi, elle m'a régulièrement, et sans même que je lui demande, branlé, sans d'ailleurs forcément me prendre dans sa bouche en final. Mais pour des moments aussi mémorables. Un dernier va et vient avant de laisser le sperme couler en traits longs, blancs et bien gras le long de sa main, jusqu'à son poignet qu'elle avait lapé ensuite, son regard planté dans le mien...Ou bien approcher son visage de ma queue, la masturber vivement et se laisser asperger de sperme, pour, quand elle était maculée, visage, cheveux, ensuite récupérer la semence et l'avaler. Mais les masturbations, s'étaient très vite couplées de fellations. On avait, Cerise et moi, une envie de sexe qui tenait de l'obsession. Jusqu'à ce jour où après m'avoir masturbé, elle avait sorti un préservatif qu'elle avait fait glisser sur ma queue. Elle m'avait laissé venir en elle. Un autre plaisir, celui d'être gainé par sa vulve, qui n'avait pas épuisé les autres.
Et je me retrouvais face à cette fille magnifique, que je connaissais à peine, et qui me proposait de ma branler.
Difficile de ne dire non alors qu'elle m'avait fait envie le matin et le soir.
Je n'étais pas surpris, d'ailleurs qu'elle puisse me proposer, alors qu'on se connaissait à peine, qu'on bascule ainsi sur l'intime du sexuel. Ca peut aller très vite, et je comprenais bien que c'était le genre de fille qui, si elle avait envie, ne se posait pas forcément de limites.
A vrai dire, je n'ai même pas vraiment eu l'occasion de dire non. Sa main était déjà posée sur moi. Et puis, la proéminence qui déformait mon pantalon disait clairement que non, je n'allais pas la repousser et que oui, j'avais envie.
Elle m'a défait, et mis à nu une queue qui était en complétude d'une belle érection.
— Hmm, tu as une belle queue. Tout à fait ce que j'aime.
Et elle s'est mise en devoir de me caresser. Ca m'a renvoyé en arrière, parce que ça faisait des années qu'une fille ne m'avait pas caressé...Cerise en fait. Et que je retrouvais cette habileté, qui n'existait que parce qu'il y avait en elle une réelle envie, qui lui donnait corps. Elle tournait sur moi, allait partout, passait partout, sans s'attarder quand le plaisir pointait. On était dans une parenthèse, mais une parenthèse bienheureuse, d'autant plus forte qu'inattendue.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a resserré sa main autour de ma queue, et le sperme est venu cogner contre sa paume. Elle l'a gardé bien après ma jouissance, avant de s'en dégager. Ma semence était à présent une mare au creux de sa main, qu'elle a soigneusement lapée jusqu'à ce que celle-ci soit uniquement humide de sa salive.
J'ai redémarré, encore sous le coup de cette jouissance, si intense.
Au moment de se séparer, sur le parking de covoiturage, elle s'est penchée sur moi, est venue prendre ma bouche, glissant sa langue dedans un instant, la fouillant, avant de s'en retirer, et elle m'a soufflé:
— Tu me plais énormément.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email