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La Nonne défroquée : Marian l’enseignante - II

La Nonne défroquée – suite II Marian était l'un des membres les plus anciens du cercle restreint de l'Ordre des Nonnes du Sauveur - une lesbienne confirmée engagé dans un service des Dons. Un groupe secret de Nonnes spécialisées dans des missions sexuelles régulières.

Proposée le 27/01/2025 par NONNE

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Marian était l'un des membres les plus anciens du cercle restreint de l'Ordre des Nonnes du Sauveur - une lesbienne confirmée engagé dans un service des Dons. Un groupe secret de Nonnes spécialisées dans des missions sexuelles régulières. C’est le groupe qui se chargeait de récupérer les dons fait par des utilisateurs de leurs services… sexuels.

Marian attendait souvent avec impatience l'occasion de faire partager le service des Don avec des apprenties. Elle avait des clientes féminines qui cherchaient à aider la congrégation avec leur argent et leur influence. Beaucoup trouvaient dans l’Ordre une raison pour vivre des envies qu’elles cachaient à leur mari. Mariam gardait toujours à l’esprit les besoins de ses sœurs religieuses. Après tout, l’Ordre comptait moins de membres lesbiennes que les étrangers ne le pensaient habituellement. Elle attendait avec impatiente de pouvoir accueillir une nouvelle prochainement. Sans doute une mijaurée qui n’intéressait plus le Père et sa maitresse et qui allait venir grossir ses nonnes putains de Dieu.

Mariam faisait face à Sœur Louise. Une jolie fille blonde pas bien grande mais magnifiquement proportionnée. Ses seins n'avaient pratiquement pas besoin de soutien-gorge. Miriam notait avec plaisir que le jeune femme présentait des tétons proéminents. Voilà qui promettait d’autant que Mariam se demanda si la jeunette était pas tout simplement pas excitée de se trouver en tenue d’Eve devant sa mère supérieure. Une mère qui sentait soudain que son corps réagissait à de vilaines idées alors qu’elle appréciait les fesses arrondies et sans défaut de la novice. Visiblement cette sœur Louise avait beaucoup à offrir à l’Ordre.

- Vous avez un beau corps, observa Marian à la jeune religieuse. Nous sommes toutes heureuses que vous ayez accepté de nous aider dans notre mission pour nos bonnes œuvres.

Sœur Louise était encore loin de s’imaginer ce qui l’attendait mais soumise et conditionnée, l’idée de se servir de son corps pour alimenter les caisses la congrégation ne lui faisait pas peur. Elle aimait que l’on s’occupe de son corps. Elle ne savait pas trop où elle allait mais une sourde excitation chauffait son bas ventre.

- Cela peut être un grand choc d'apprendre que nous servons de cette manière.
- Ma Sœur, je suis honorée d'être autorisée à entrer dans le cercle restreint de l’Ordre pour laver les péchés de mes consœurs.
- Je comprends, répondit Marian, qui était au courant de ce que le principal et sa maitresse lui avaient fait subir. Un jour sans doute regrettera-t-elle leurs rudes caresses.

La femme plus âgée et lubrique passa doucement ses mains sur le corps de Louise. La jeune religieuse restait sur la réserve. Marian s’amusait de l’embarras de sa future putain de Dieu.
- Vous avez été une bonne élève pour le Père, poursuivait Marian. Mais cela peut être déroutant de servir et d'éprouver ensuite nos besoins les plus charnels dans un contexte … on dira… pluriel. Elle sourit notant la lueur perverse de sa future élève. Serais-je tombé sur une vraie cochonne ? On le saura assez vite.
- Je veux faire de mon mieux. On m'a prévenu de... la luxure... et du risque de s’y perdre..
- Bonne fille. L'obéissance et la soumission seront la clé de ta réussite parmi nous. Pour t'aider à toujours donner le meilleur de toi-même, quels que soient tes propres désirs. D’ailleurs nous en tiendrons compte. C’est la meilleur façon de t’intégrer à notre groupe.
- Oui, ma sœur. Le Père a été bon avec moi. J’ai toujours acceptée de répondre à ses désirs.

Louise s'attendait à une punition, voire à être bannie lorsque le Père ne faisait plus appel à elle. Au lieu de cela, elle avait découvert qu’elle allait servir l'Ordre de la congrégation plus complètement. Naturellement, elle avait compris que c’était l'occasion de combiner sa foi avec l'opportunité d'un plaisir charnel supplémentaire.

Sachant tout cela, Marian était convaincue que la nouvelle était mûre pour devenir une salope heureuse pour hommes et femmes.
- Une femme peut vous apprendre bien plus, a expliqué sœur Marian. Si tu veux vraiment servir notre Ordre. Elle se tu et commença à se déshabiller devant la jeune religieuse. Mariam était une grande femme aux formes pleines, au ventre plat et au bas ventre aussi nu que le reste de personne. Pour rien au monde elle n’aurait avoué que la sensation d’avoir en face d’elle une péronnelle ouverte à toutes les aventures lui brulait la chatte.

C'était amusant de voir la curiosité avide sur le visage de sœur Louise. Marian remarqua comment elle regardait ses mamelons épais et sombres.
- Le Don est avant tout une question de plaisir, venait de déclarer Marian. Mais tu dois promettre d'être une bonne fille et de m'obéir.
- Oui, ma sœur. Je sais que... les nonnes sont « utiles » avec des femmes...

- Sœur Louise tu es une merveilleuse religieuse. Mais là, maintenant, je veux que tu me plaises. Louise était sur le point de répondre quand Marian lui déposa un baiser léger sur la bouche. Surpris mais désireuse de suivre les ordres, Louise ouvrit la bouche à la langue inquisitrice de la nonne lesbienne. Elle était surprise de sentit à quel point ce baiser amoureux lui faisait du bien. Enhardit par la passion soudaine de son ainée elle lui a rendu son étreinte, réalisant que sœur Marian était sexuellement excitée par elle.

Dans son oreille, tout bas, elle entendit : veux-tu me plaire ? Vas-tu te soumettre à tous mes désirs mais aussi à tous ceux qui feront appel à nos services ? Sœur Louise, sentais son ventre brulant et une main qui déjà lui branlait doucement le con. Elle gémit en guise de réponse. Oui elle voulait servir l'Ordre et faire plaisir à ses sœurs. Oui elle voulait sentir le sexe des hommes dans son cul. Oui elle voulait découvrir les hommes et être une étudiante passionnée pour baiser. Elle acquiesça silencieusement.
- Je vais prendre plaisir à t'apprendre, murmura Marian en guidant la jeune femme vers son grand lit. La nonne lesbienne était remplie de convoitise envers son apprentie.

Elle donna à Louise un autre baiser rapide et commença à sucer ses petits seins. Ils étaient doux et fermes, une bouchée parfaite. Et les petits mamelons roses ont répondu en gonflant et en se raidissant contre sa langue. Marian les grignotait doucement.
- Oh... ma sœur... ça fait...- gémit Louise avec surprise. Elle découvrait pour la première fois la douceur d’une étreinte féminine.
- Détendez-vous et obéissez, lui rappela Marian.

C'était excitant d'être la première à profiter de cette petite dinde qui allait devenir une redoutable putain. Elle le devinait déjà aux réactions de Louise qui se laissait aller sans réserve. La lesbienne expérimentée s’amusait de faire vibrer la nonne blonde, lui serrant les seins pendant qu'elle les tétait avec passion, nourrissant ses propres besoins. Déjà ses doigts commençaient à chercher à s’introduire dans l’anus de la nonne pour voir comment elle allait réagir.

L’autre se laissait faire. S’ouvrant pour lui faciliter l’intromission.
- Tu es douée pute de Dieu, souffla Marian. Et je t'apprendrai tout.

Louise fut surprise lorsque Marian vint lui enfoncer ses gros seins plus gros dans le visage. Louise ouvrit la bouche pour que sœur Marian puisse y enfoncer un téton épais et durci. C'était une surprise de toucher le corps d'une autre femme et Louise tout excitée qu’elle soit n’osait prendre aucune initiative.
- Suce-le, ordonna Marian. "Oui, comme ça... plus... ma petite pute. Tu es douée.

Louise n'avait jamais pensé qu'une femme soit aussi excitée. Elle ne comprenait pas encore la passion qu'éprouvait sœur Marian d'avoir une jeune femme obéissante dans son lit. Mais donner du plaisir était sa mission ce jour-là et Louise laissa la femme plus âgée se tordre de plaisir pendant qu’elle lui mangeait, lui serrer, les tétons en les mordillant pour faire réagir Mariam.
- Bonne fille", roucoula Marian. "Fais ce que tu aimes ressentir... oui, suce plus fort... hmmm... oui..." Excitée, affamée, Marian en profite pour peloter Louise. Donnant ses plus gros seins à la jeune nonne, son autre main était occupée à masser ces seins. Son excitation était d'autant plus grande qu’elle sent la soumission tranquille de la jeune femme.
- C'est mieux quand tu te soumets, marmonna Marian en déposant une fois de plus un baiser passionné sur la bouche de Louise.
La religieuse lesbienne avait faim de la jeune femme. Mais il n’y avait aucun mal à satisfaire d’abord ses propres besoins. Changeant de position, Marian pressa ses mains sur Louise, la faisant descendre du lit alors qu'elle roulait sur le dos. C'était passionnant de constater que Louise s'exécutait si facilement.
-Bonne fille -, gémit la religieuse lesbienne. Maintenant, embrasse ma chatte. Évidemment, Louise était réticente. Elle aurait pu deviner que ce défi allait arriver. Mais les choses allaient trop vite. Est-ce que sœur Marian le voulait vraiment ?
- Obéis-moi, gémit Mariam en écartant ses longues cuisses brunes. Embrasse-moi là, entre mes jambes, suce-moi, jeune salope, fais ton travail. Donne-moi du plaisir !

Louise savait donner du plaisir oral à la bite du Père. Elle ne savait absolument pas comment procéder avec une femme. Elle enfouis sa bouche dans la chair gonflée notant que cela n’avait rien de désagréable. Elle était plus intriguée par le gémissement d'appréciation suscité par ce baiser. Mais Marian, avait besoin de plus. Elle ordonna à Louise de lui lécher la fente. La langue douce travaillait doucement le long de la fente de l'autre femme – une taquinerie exaspérante pour Marian.
- Voilà ce que tu dois faire pour me plaire. Marian a posé une main derrière la tête de Louise. La jeune religieuse avait besoin d’un cours intensif. Lèche-moi plus profondément... gémit Marian alors qu'elle pressait la bouche de Louise contre sa chatte hypersensible.

La nouvelle recrue du cercle restreint de l’Ordre fendit de sa langue les plis humides du con de son ainée. Puis sans hésiter elle poussa son visage vers la raie du cul en cherchant à lécher l’anus de Mariam. Là elle savait donner du plaisir !
- Oui, mon trou... oh, putain oui... Chaque femme devrait apprendre à être une mangeuse de culs. Marian est ravie de découvrir ce talent chez sa jeune nonne. Elle appuya plus fort, guidant Louise vers les bons endroits. Plus. Ne t'arrête pas. Et puis, appuyant Louise plus bas, oui, là-bas... lèche-le... murmura-t-elle alors que la langue de Louise passait sur son anus.

Les observations des religieuses plus âgées étaient tout à fait fondées : Sœur Louise avait l'étoffe d'un membre soumis et bisexuel dans leur cercle secret. Son talent était évident dès ces premières tentatives pour donner un plaisir inconnu à la femme plus âgée. Les gémissements remplis du plaisir de sœur Marian étaient la motivation dont Louise avait besoin. Cela avait été passionnant de prendre un prêtre dans sa bouche et non moins gratifiant d'apprendre que sa bouche pouvait donner du plaisir à une femme.
- Lèche-moi, ma sœur… fais-moi jouir… gémit encore Marian qui se délectait de la joie à l’idée de jouir dans la buche de sa novice. Oui... continue de me lécher...

Pour Louise il lui semblait plus naturel d'avoir sa bouche pénétrée par le phallus d'un homme. Elle se demandait si c'était un péché de faire plaisir à une femme de cette façon. Louise avait, bien sûr, entendu des histoires sur ce que les religieuses faisaient ensemble la nuit. Mais il n’y avait aucun doute sur le besoin impérieux de son ainée. Louise poursuivit sa nouvelle tâche jusqu'à ce que Marian jouisse dans un jaillissement d’humeurs qu’elle avala avec le désir de plaire.

Mariam changea de position pour déposer un baiser passionné sur la bouche de Louise. L’enseignante en perversions sexuelles frémit en retrouvant sur les lèvres de sa novice les parfums de sa jouissance.
- Bonne fille. As-tu apprécié ça ?
- J'aime t'obéir. Mais j'aurais aimé pouvoir faire mieux.
- Vous avez très bien réussi votre première fois. Nous vous donnerons plus de pratique. Mais laissez-moi vous montrer comment cela fonctionne réellement.

Lorsque la religieuse plus âgée commença à lui faire tourner son corps, Louise devina ce qui l'attendait. Marian insistait pour avoir accès aux cuisses douces et pâles et à la chatte chaude et rasée de la jeune nonne. "Ouvrez vos jambes, ma sœur, plus grand ! " dit-elle sévèrement.

Louise a ensuite vécu plusieurs longs moments de plaisir pendant que son mentor la léchait, la suçait, lui doigtait sa chatte ou la sodomisait avec douceur. La novice se tordait et se débattait alors qu'elle tombait dans un état de rêverie, inconsciente des terribles blasphèmes de Mariam pendant qu’elle s’abandonnait à la luxure de son ainée. Louise avait été choquée par le plaisir étonnant qu'elle a ressenti lorsque sœur Marian avait glissé un puis plusieurs doigts dans son petit tabernacle. Le père n’utilisait que son sexe et son anus. Mariam, les doigts et sa chatte.
- Non, ma sœur, c'est... Mais elle a vite cédé, devinant que sœur Marian, très excitée, ne voulait pas entendre ses protestations. Et, en plus, Mariam, lesbienne expérimentée rendait cet acte cochon, naturel et stimulant. Louise criait sa joie pendant qu’elle jouissait de ses deux trous.

La jeune élève tremblait et haletait encore lorsqu'elle se sentit enveloppée dans les bras de sœur Marian. Louise sentait le passion de son mentor. Elle vit l’avidité vicieuse sur le visage de la religieuse. Elle en ressentait de la honte et pourtant, d'une manière ou d'une autre, elle savait que cela faisait partie de son métier de pute de Dieu. Et c'était en quelque sorte rassurant de se blottir contre ses seins plus gros et à la peau brune.
- Le Don est bien plus encore, marmonna Marian comme si elle avait deviné les pensées de sa cadette. "Pour une religieuse dévouée." Elle caressa le visage et frotta les petits seins de sa pupille blonde. Il y avait encore plus d’apprentissage à venir : je suis heureuse que tu apprécies notre jeu de filles. Ton corps est parfait pour ça."
- Ohhh... sœur Mariam, je n'aurais jamais imaginé que ce serait comme ça. Mais j'aimerais être mieux pour vous. Avoir des seins plus gros..." gémit-elle en caressant les seins sombres et les mamelons de son amante.
- Ne soyez pas stupide, fut la réponse. Nous voulons tous un buste comme Sœur Teresa. Mais nous avons toutes nos talents en matière de Don. Marian tendit la main pour jouer avec les fesses amples de sœur Louise.
- Et tu as un joli trou bien accueillant, souffla Marian. Le Père Peter en a donc bien profité
- Non... oh, euh... non, pas que le Père... mais aussi les godes lorsqu’il jouait au Docteur...
- Ah, bon, réagit Mariam.

Le visage de Louise était devenu rouge à cause de cette aveu intime. Tenue près de la femme la plus grande, elle ne pouvait échapper à ce qu'elle ressentait comme de la honte. Et étant si inexpérimentée, il était plus facile de suivre ce que voulait sœur Marian. La jeune religieuse se mit donc volontiers à quatre pattes lorsqu'on lui demanda de le faire. Mais ce fut un choc de voir la lesbienne plus âgée mettre un harnais en cuir autour de sa taille – et le mince objet noir qui dépassait de devant. C'était comme un...
"Oh, ma sœur. Qu'est-ce que c'est que cette chose ?"
"Les bonnes filles ne posent pas autant de questions", conseilla sœur Marian en ajustant son gode-ceinture.
Elle avait choisi un plus petit dong pour cette occasion. Mieux vaut ne pas effrayer la novice, après tout, se rappela-t-elle en prenant position derrière la nonne blonde.
"Un homme ne peut pas tout apprendre à une femme", répéta Marian.

Louise sentit le contact désormais familier d'une main sur sa taille – puis l'étrange sensation de pénétration par quelque chose qui n'était pas de la chair. C'était également différent du vibromasseur que Louise possédait déjà. Elle avait appris la position du chien grâce au gentil principal lorsqu’il décidait de la fesser avant de la sodomiser.
Et c'était tellement bon - mais différent, bien sûr, alors qu'elle essayait de réprimer son gémissement de plaisir.

Louise ne put s'empêcher de tourner la tête pour jeter un coup d'œil pour voir sœur Marian insérant la fausse bite dans sa chatte. Elle réalisa qu'elle se faisait baiser par une femme. Et la dépravation de celui-ci ne pouvait pas vaincre le plaisir d'être rempli de cette fine bite noire.
"Oh, ma sœur," gémit Louise en signe de douce reddition.
Marian a répondu en bougeant ses hanches un peu plus fort, envoyant la fausse bite plus profondément dans son ventre. Elle avait étudié la façon dont les hommes baisent et pouvait parfaitement s'accrocher à la taille de la salope blonde. La pénétration était différente pour un homme, elle le savait, mais elle avait utilisé un gode-ceinture suffisamment de fois pour dominer une femme de cette façon.
-Tu aimes te faire baiser", roucoula Marian en caressant son autre main sur les fesses généreuses et pâles. Marian s'amusait à pousser plus fort, comme elle savait que les hommes le faisaient avec leurs bites charnues. Une novice excitée comme Louise, pleinement excitée par les soudaines possibilités sexuelles qui l'entourent, ne mettrait pas longtemps à atteindre son apogée. Et Marian a commencé à accélérer son va et vient.
-Tu aimes te faire baiser par une femme", grogna Marian avec ses efforts. "Profitez-en, ma sœur. Jouis sur ma bite."

Louise pensait que cela aussi devait être dépravé. Mais la poussée insistante dans sa chatte récemment vierge ne pouvait être niée. Elle était impuissante, gémissant et impatiente d’atteindre l’orgasme libératoire alors que la bite en caoutchouc venait et allait dans son ventre. Mais l'Ordre lui avait donné le droit de s'abandonner au plaisir sexuel.
- Ma sœur... ohhh... c'est tellement gooooodddd... Marian sourit à la vue et aux sons de la novice apprenant les joies du jeu sexuel lesbien. C'était amusant de baiser comme un homme, en bougeant ses hanches de cette manière étrange pour baiser la chatte d'une femme consentante. Si Marian avait été un homme, sa bite aurait senti la chatte de la femme blonde se resserrer autour de la tige de poussée.

Mais cela n'avait guère d'importance, puisque le but était de convaincre sœur Louise qu'elle devait volontiers se soumettre à encore plus d'aventures sexuelles. Une jeune religieuse était toujours un prix pour celles qui avaient la chance de partager ce don.

Avec Louise à sa merci, haletante et haletante sous ses orgasmes, la nonne plus âgée était prête à essayer quelque chose de plus corrupteur. Toujours en train de baiser son élève, elle posa une main sur les fesses généreuses - juste assez pour écarter un peu plus ses joues. Louise avait montré des signes prometteurs en matière de jeu anal.

Marian a donc utilisé un doigt pour sonder habilement l'anus serré et brun. Mais Louise ne s'y attendait pas et ses yeux s'ouvrirent grand.
"Non, c'est faux..." cria-t-elle. "Sœur, pas là..." La nonne à la peau sombre appréciait déjà la pression de ce trou étroit alors qu'elle s'enfonçait jusqu'à la première jointure.
"Ne parlez pas, ma sœur. Soyez une gentille fille pendant que je prends votre porte dérobée." Louise gémit de peur et de plaisir. N'ayant jamais été pénétrée aux deux endroits à la fois, elle pensa que ce devait être une erreur. Pourtant, il était impossible d'échapper aux merveilleuses sensations de se faire doigter dans le trou du cul pendant que sa chatte était baisée. La nouvelle membre n'avait jamais imaginé un tel péché mais elle se retrouva à succomber. La merveilleuse pression, la plénitude, la firent bientôt jouir à nouveau.

Sœur Marian était également prête à prendre son plaisir. C'était agréable et excitant que la nouvelle recrue soit si soumise, si réceptive. "Maintenant, tu vas apprendre autre chose", grogna Marian à sa proie.

Étant plus grande, Marian trouvait facile de dominer son élève. Il suffisait d'un seul mouvement pour faire basculer sa bite en caoutchouc entre les trous. La sœur Louise avait un trou du cul serré, mais cela ne ferait que ralentir un peu les choses. Avec une main tenant les fesses de Louise, l'autre appuyant sur son dos, Marian commença à presser doucement le mince dong contre la porte arrière de la jeune femme.
- Ohhh... Sœur... gémit Louise. Je t'en prie, non...
- Sois une bonne fille et prends-la, roucoula Marian. Sœur

Louise était mortifiée d'avoir été possédée de cette manière. Mais elle voulait tellement être une bonne fille pour la religieuse plus âgée. Et ce qu'elle avait appris jusqu'à présent sur le Don lui permettait de se soumettre plus facilement, même à l'acte le plus obscène et le plus éhonté.
- Les bonnes filles s'en prennent aux fesses, souffla sœur Marian. Toutes les femmes ne pouvaient pas se faire sodomiser, mais sœur Marian était ravie d'être la première – homme ou femme – à prendre ce trou du cul de Louise. La seule chose meilleure pour une lesbienne perverse était de corrompre un nouveau membre de la société secrète. Ses mamelons sombres rebondissaient alors qu'elle essayait de s'enfoncer plus profondément dans le rectum de la jeune femme soumise. Elle avait bien choisi et la fine queue glissait déjà facilement entre ces joues potelées.
"Vous partagez maintenant le Don", lui souffla Marian avec enthousiasme. Louise, bien sûr, était impuissante. Elle ne pouvait pas empêcher l'autre religieuse de bouger ses hanches. L'humiliation d'avoir été souillée par une autre sœur était un rappel de sa promesse d'obéir et de se soumettre. Et le sentiment de dégoût ne pouvait cacher autre chose : il était impossible d'éviter le plaisir sourd qu'elle ressentait lorsque son orifice sale était rempli et progressivement forcé de s'ouvrir.

Surprise de voir à quel point c'était bon d'être sodomisée par une sœur religieuse, Louise se tourna pour croiser le regard de Marian. C'était presque humiliant de voir la religieuse plus âgée s'enfoncer dans son endroit le plus privé. Elle y a vu autre chose : le pur désir sur le visage de la nonne lesbienne.

C'était gratifiant pour Louise de voir un tel plaisir s’afficher sur le visage de Mariam. Avec cela, la jeune nonne pouvait se laisser aller à son propre plaisir de voir cette fausse bite enfoncé profondément dans son anus. Elle fut soudain reconnaissante d'avoir été choisie pour cet acte pervers. Et son plaisir s'est transformé en bonheur lorsque sœur

Marian a atteint entre ses cuisses pâles et a commencé à caresser son clitoris engorgé.
"Oohhh... noooon..." gémit Sœur Louise, oubliant l'ordre du silence. Marian était plus qu'impressionnée par la façon dont la novice gérait son premier rapport sexuel avec les fesses. Elle arrêta momentanément ses poussées, juste assez pour que sœur Louise puisse s'ajuster un peu plus. Puis la religieuse lesbienne poussa ses hanches vers l'avant, écartant les sphincters de la blonde potelée d'une seule et longue insertion.
- Je suis cu... je jouis... ma sœur..."
- Parce que tu me soumets", gémit Marian Ici, la religieuse plus âgée pourrait montrer son expérience. Un homme en aurait profité pour enfoncer plus fort et plus profondément dans ce rectum impuissant. Mais Marian s'est attachée à offrir le maximum de plaisir à sa jeune élève. Louise serait plus soumise si elle comprenait le plaisir qu'elle pourrait gagner. Un bon rythme avec la bite en caoutchouc suffisait amplement lorsqu'il était combiné au contact délicieux du clitoris de la jeune femme.
- Ohhh..." fut le cri. "Ohhh, doux seigneur..."
Marian n'a terminé que lorsqu'elle a été convaincue que le nouveau membre du cercle restreint avait appris une leçon précieuse sur le Don.
- Tu seras un merveilleux membre de notre cercle secret", marmonna Marian à la débutante blonde. Marian était toujours remplie de désir : c'était la jeune femme qui avait apprécié la plupart des orgasmes de leur jeu partagé. Elle tenait Louise dans ses bras, appréciant de taquiner ses longs et épais tétons alors qu'elle les effleurait contre la peau blonde de son camarade de jeu. Lentement, Louise reprenait ses esprits après sa première expérience de véritable obscénité sexuelle. La suite III ...

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