J’étais un célibataire forcené et pas du tout prêt à convoler et puis j’ai rencontré Louise à l’église. Nous avons découvert que nous étions bio compatible et, finalement, cérébralement parlant aussi tordu l’un que l’autre. Il faut dire que notre histoire n’était pas banale
Proposée le 13/01/2025 par NONNE
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
J’étais un célibataire forcené et pas du tout prêt à convoler et puis j’ai rencontré Louise à l’église. Nous avons découvert que nous étions bio compatible et, finalement, cérébralement parlant aussi tordu l’un que l’autre. Mais ça c’était plus tard. Il faut dire que notre histoire n’était pas banale. Nous en étions encore à nous découvrir.
Louise était littéralement tombée dans mes bras un soir ou je méditais dans notre petite paroisse. J’aimais ce moment silencieux. Le curé, un vrai patriarche au teint rougeâtre des bons vivants, me connaissait. Il savait qu’un temps j’avais été attiré par la prêtrise. La perte des plaisirs de la chair, au bénéfice d’un paradis que je n’espérais pas, me fit abandonner cette voie, presque céleste.
Dans la semi obscurité de la chapelle, elle est passée à côté de moi sans prendre garde à mes longues jambes qui la firent basculer. Je me souviens l’avoir rattrapé in extrémis. Elle s’est retrouvée dans mes bras. Moi embarrassé, elle embarrassée, Nous avons pris le parti d’en rire et puis on fait connaissance.
Nous nous sommes mariés en juin, le 12, en toute intimité. Je m’étais arrangé pour réserver le restaurant, les fleurs, des bonbons et une carte romantique avec un cœur. J’ai même acheté du parfum et une chemise de nuit sexy pour l'occasion. C’était notre premier anniversaire de mariage soit l’occasion d’un souvenir spécial. Nous avions été au restaurant et je dois l’avouer j’ai vraiment trop bu. Je tenais à peine debout. Louise, elle aussi avait du mal à marcher. Je me suis senti vraiment bête lorsque j’ai senti que Louise se frottait à moi pour m’exciter. L’alcool l’excitait, elle. Pas moi. J’étais saoul et humilié. Je me sentais dépassé.
C’était une belle femme que je n’arrivais pas à cerner. Elle était en tous points une femme et une épouse adorable et qui appréciait le sexe. Louise était la plus belle et la meilleur suceuse de bite du Canton ! Pendant longtemps je me suis demandé où avait-elle gagné ses galons ? Voilà pourquoi je dis que cette femme restait un mystère, jusqu’à cette nuit.
Ma Louise est une très jolie femme, cheveux à la garçon, visage aux pommettes hautes ct une silhouette attirante et, comme je le lui dis régulièrement, un cul à faire délirer un archevêque. La remarque est pertinente car Louise, poussée par ses parents dans une congrégation, avait envisagé d’entrer dans les ordres, bref de devenir religieuse. Je ne crois pas avoir fait grand-chose pour l’en dissuader. Elle a tout simplement décidé que sa vie partagerait la mienne. Je ne me suis pas étonné en la circonstance, qu’elle eut envie de faire l’amour.
Moi, ce qui m’a séduit, c’est la découverte que Louise avait été nonne avant de quitter le voile et sa congrégation. La perte de la foi peut-être ou l’amour du sexe ? Moi j’étais ravi. Le ciel m’avait-il entendu ? Il me faut avouer qu’à l'école catholique, j’avais une véritable obsession. Je voulais coucher avec une nonne. Cela m’était incompréhensible mais l’idée même de sentir la main d’une religieuse sur moi me mettait dans tous mes états. Je « triquais » comme un malade.
Seul mon vieux curé, à qui je me confessais occasionnellement, avait su que je fantasmait parfois sur des religieuses et que l'idée de leurs corps cachés m'excitait particulièrement. Il en profitait pour m’interroger sur mes goûts sexuels en me menaçant avec sa canne si je ne lui disais pas toute la vérité. Il ne m’a jamais battu. Moi je le soupçonnais de se masturber lorsque je lui racontais toutes les saletés qui me passaient par la tête. D’ailleurs, je ne voulais pas coucher avec n'importe quelle nonne. Petit mec, je préférais imaginer avoir une nonne sexy. Au lieu de cela, les nonnes de l’internat étaient toutes petites, rondes et avaient des moustaches.
Bien sûr nous avions déjà gouté au péché de luxure avec Louise mais nous en étions à nous découvrir. Je lui avais avoué mon fantasme. Elle me disait qu’il serait toujours temps de me dire les siens. Nous étions détendus, dans notre lit, l’ivrogne que j’étais bâiller déjà.
- Merci pour cette merveilleuse soirée, Abel, a déclaré Louise dans le creux de l’oreille.
- De rien, bébé," murmurai-je. J'étais sur le point de m'endormir avec le sentiment honteux de ma défaite lorsque j'entendis à nouveau sa voix : « Veux-tu connaitre ce qui me ferait plaisir mon chéri ? Bien sûr, je pensais qu’elle parlait d’un « radadas ».
- Désolé ma puce mais je me sens trop fatigué pour cela. Je me sentais démissionnaire… humiliant ! Je ne crois pas qu’elle ait entendu ma réponse car elle continuait : je voudrais que tu m’appelles sœur Louise.
Du coup j’étais dessoulé et bien réveillé. J’avoue que sa phrase avait des résonances prometteuses… Dans mon corps une étrange alchimie me rendait tout à fait alerte et… curieux ! Tout à coup, ma femme presque nonne, me demandait de l'appeler sœur Louise. Ma bite palpitait en ravivant mon fantasme sexuel de baiser une nonne. Elle connaissait ma petite faiblesse. Nous en jouions régulièrement mais l’appeler Sœur Louise, ça c’était une première !
Lassitude et soudain, l’image de notre première nuit. J’avais été surpris par ses talents d’amante. Je me souviens avoir été brièvement perturbé par l’image d’un homme en train de la baiser. Elle encore en habit monastique, haletant sous un homme, un abbé aux yeux qui flambaient de vice. Je chassais cette vilaine idée. Je me souviens qu’en était resté la sensation d’une Louise presque plus à l’aise que moi en matière de sexualité. Elle ne m'a pas seulement fait une excellente pipe. Elle a également tout avalé avec beaucoup de plaisir. J’étais dans tous mes états.
- Oh oui Louise, prends ma bite, suce bien ma petite nonne salope. Putain tu es bonne. J’ai gémis. Je vais jouir dans ta bouche ma cochonne.
Je me souviens avoir intentionnellement parlé avec des mots putassiers pour sentir sa réaction. Je n’ai pas été déçu. Excitée et encouragée par mes propos grossiers, elle m'a sucé plus fort tout en me branlant sauvagement. J'ai explosé dans sa bouche tout ce que j'avais à lui donner. Elle l'a avalé en roucoulant de plaisir et s'est léché les lèvres avec gourmandise. Bon Dieu, j’avais découvert que ma presque nonne de femme était totalement décomplexée.
- Oh mon Dieu. C'était tellement chaud. J'aime quand tu me parles comme ça. Ça m'a excitée encore plus que je ne le pensais", avait-elle déclaré. L’idée de cette nuit de folie m’a pratiquement réveillé. Encore indécis j’ai suggéré : ma chérie, peut être pourrions-nous nous câliner jusqu'à ce que nous nous endormions.
Elle n’a pas répondu. Je l’ai entendu disparaitre dans la salle de bain. Je crois que j’étais à moitié endormi lorsque je l’ai senti revenir dans un froufrou de vêtement qui n’a pas réussi à m’éveiller alors qu’elle se recouchait à mes côtés.
Je me suis collé contre ses fesses en enroulant mon bras autour d'elle, ma main droite sur son sein. C'est tout, ce que j'avais l'énergie de faire. Mon corps pressé contre le sien, je sentais un vêtement qui ne ressemblait en rien à sa nuisette habituelle. Je frottais ma bite contre son cul, une de mes poses préférés, surtout qu’elle le poussait contre ma bite. Ma garce de nonne a commencé à m’exciter par des petites mouvements de ses fesses Malgré ma fatigue j'ai rapidement eu une érection d’enfer. Je le lui ai dit. Elle a ri en accentuant son frottage de son cul sur ma bite. J’ai craqué. J’ai enlevé mon pyjama. Maintenant excitée, toujours très fatiguée, il ne faisait aucun doute que j’avais envie de la baiser.
Elle a tendu la main pour me saisir le sexe. J’adorais son touché délicat qui pouvait devenir sauvage, à la limite de la douleur lorsqu’elle était chaude.
-Tu es si dur, Abel", roucoula-t-elle, resserrant sa prise et me caressant plus vite.
- C'est parce que tu m'excites incroyablement, Louise."
- Appelle-moi sœur Louise. Regarde tu vas aimer. Elle a allumé la lumière tout en se levant. Ma femme était en habit de religieuse ! C’était cela que j’avais senti. Elle venait de se changer.
Je n’avais plus sommeil. Un coup de fouet dû à mes hormones et à une perversité si particulière qu’elle m’avait permis de séduire Louise… sœur Louise !
- Cela t’excite n’est-ce pas ma vicieuse de sœur Louise ? Tu connais mon phantasme mais tu le partages aussi. Ma belle salope de bonne sœur. Je vais te défoncer comme tu aimes. Louise s’était accoudée sur le lit pour dégager son joli fessier.
- D'accord," ai-je dit en riant. J'aime ce jeu, ma salope de nonne. Du coup j'étais bien éveillé. Tu aimes te faire baiser dans ton costume de nonne ? C’est dans ta congrégation que tu as appris à aimer la baise, n’est-ce pas ?
- Baise moi, encule-moi, fais-moi tout ce que tu veux. C’est notre anniversaire de mariage. J’étais surpris. Comme si elle s’offrait en sacrifice. Était-ce dans son monastère qu’en plus de servir Dieu, elle pensait qu'elle devait s’offrir à moi.
- C'est bien ce que nous faisons, Louise, murmurai-je, soulevant sa bure jusqu'à sa taille et frottant ma bite dure plus profondément entre ses jambes, cherchant à m’introduire dans sa chatte.
- Attends Abel. Frappe-moi. Fesse-moi d’abord. J'aime ça.
- Quoi ? J'étais stupéfait. Pourquoi et pourquoi aujourd’hui, ce soir ? Tu aimerais que je te fesse ?! J’étais mal vraiment à l’aise.
- Oui, fesse ta pécheresse. J’aime ta queue, je dois être punie.
Ma presque nonne de femme aux désirs étranges ne semble plus innocente. A vrai dire j’en avais déjà une idée mais la voir dans cet état m’impressionnait. On dit que l’alcool rend bavard mais sur ma nonne défroquée…
Il y a dans sa voix une étrange attente, perverse qui envoie son cul à la rencontre de mon sexe. Je découvre, soudain, après en avoir repoussé longtemps l’idée qu’il y a chez ma femme une sombre perversité caché qu’elle se libère ce soir encouragée par notre ivresse. Stimulée par son étrange comportement je commence à lui mettre une vraie fessée. Je la sens que se cabre. Elle gémit… je comprends, oui encore. Punis-moi !
Moi, la tête et le sexe en feu, je veux voir jusqu’où elle veut aller et puis, soyons honnête, je ne déteste pas lever le voile sur la mystérieuse sœur Louise et ses mœurs étranges dans sa congrégation. Je profite de son ivresse. Pas de doute ou je n’y comprends plus rien. Elle me dira plus tard que cette ivresse lui a permis de se lâcher et d’ouvrir son cœur et son âme à son mari. Qui s’en plaindra, d’autant qu’elle n’a pas ouvert que cela !
A quel genre de jeux sexuels on y pratiquaient. Un nid de bonnes sœurs salopes comme j’en avais toujours rêvé. J’en avais la tête à l’envers. Je lui parlais mais en fait c’est moi qui lui suggérait des images qui la faisaient broncher. Oui, elle participait aux jeux entres sœurs dans l'intimité de leurs cellules avant la prière. Ma queue me fait mal. Je me sens comme un diable en rut !
- D'accord, coquine, raconte, dis-je en martyrisant son joli cul.
- Plus fort, plus fort répète-t’elle. Sa voix est vibrante d’émotion. Je sens ma femme emportée dans une ambiance de luxure comme si s’être habillée en nonne l’avait transformé.
- S’il te plait appelle-moi sœur Louise en me fessant, dis-moi des mots comme tu aimes, que je suis une mauvaise nonne. Une salope de nonne, bonne pour la baise avec Dieu. Dis-moi que je suis la putain du Christ.
Une mauvaise nonne ? Je n'osais pas verbaliser ce que je pensais, de peur de passer pour un pervers. Putain, j’en avais mal à la main mais aussi à ma verge. Moi, l’innocent pervers, je me demandais si les nonnes devaient se faire baiser, non, sodomiser, en souffrant à cause d’Eve, pécheresse ?
Les images érotiques qui m’avaient parfois surpris du passé de Louise me sautaient au visage. En même temps je réalisais qu’elles ne faisaient que coïncider avec mon petit enfer personnel. J’avais déjà lu des récits et vu des images de religieuses qui préféraient la queue du pasteur à l’Ostie. Je réalisais aussi que Louise était comme moi, quasi saoule.
Son passé de sœur lubrique était en train de se révéler.
J'étais ravi. Perturbé, bousculé, mais ravi. J'avais d’un coup l'image dans ma tête d'elle dansant autour d'un crucifix et enlevant son habit de manière très érotique. Elle m'avait parlé d’une sœur Lise. J’ai osé lui poser la question sans la sortir de sa transe : oui, elle était méchante et vicieuse. Vicieuse comme moi, a-t-elle commenté.
Je l’avais mise sur les genoux, les fesses à l’air. Je voyais ses fesses rougies et son sexe inondé, son anus qui palpitait. Alors je suis sœur Lise ce soir ? a-t-elle soufflé.
Mon sexe était dur à me faire mal et je le poussais entre ses jambes. "D'accord, sœur Louise," dis-je, Ttu es une très mauvaise nonne ! Je lui ai donné un coup de mon sexe durcit sur son cul blanc. J'ai ri de façon hystérique. Alors que je la frappais aussi fort que possible, je me laissais emporter par mes fantasmes de nonne, j'avais peur de lui avoir fait du mal.
- Oh oui, juste comme ça, a-t-elle dit. "C'est bien. J'aime ça, recommence, touche-moi le cul.
- C'est bon, dit-elle. Alors que je lui doigtais sa rondelle tandis que je frottais ma bite qui cherchait maintenant son anus.
- Tu sais, sœur Louise qu’il fait chaud et humide entre tes jambes.
Entre frotter ma bite contre son cul nu, sentir ses seins et doigter son anus, et lui gifler les fesses tout en l'appelant sœur Louise, nonne cochonne, j'étais en plein dans un fantasme fou. J’avais du mal à contrôler l’explosion. Je l'imaginais encore qu'elle pratiquait une strip-tease devant ses camarades et les abbés de son monastère. Sans doute devait-elle alors se faire baiser pendant des heures. Je n’osais lui poser la question. Je verrais cela plus tard. J’avais déjà assez à faire avec ma découverte.
Lentement et doucement, comme si elle balançait un bateau sur un lac calme, elle bougea ses hanches d'avant en arrière, enfonçant ma bite plus profondément entre ses jambes à chaque mouvement. Pour quelqu’un qui était presque religieuse quand je l'ai épousée elle était terriblement sexuelle et excitante. C’était surréaliste. Je l’entendis me souffler à l’oreille : Je sais que tu es fatigué, alors détends-toi et laisse-moi faire.
- Oui, sœur Louise", dis-je en riant pendant que je sentais ses seins et frottais ma bite contre ses fesses. D'un seul coup, elle a enlevé sa chemise de nonne, me facilitant l’accès à son trou du cul.
La sodomiser me semblait être la prochaine étape de notre découverte de nos zones d’ombre. Je sentais au bout de mon gland humide la corolle de son petit tabernacle. Rien que de penser que Louise pourrait porter un habit de nonne, se pencher sur un banc d'église, soulever l'ourlet de sa robe, baisser sa culotte et écarter ses fesses avec les deux mains pour se faire sodomiser face aux paroissiens choqués et excités était un fantasme qui me revenait régulièrement. Lors de notre première nuit de baise, lorsque j’avais appris qu'elle une religieuse défroquée, j’avais failli en jouir.
- Baise-moi Abel, encule-moi. Prends-moi par le cul !, a-t-elle demandé.
Bon Dieu. Ça c'était une première. Depuis que je connaissais Louise, je ne l'avais jamais entendue prononcer le mot. La façon dont elle a dit « putain » n’avait pas l’air vulgaire. Je découvrais une femme différente cette nuit-là. Cela ne me déplaisait pas mais où allions-nous ? Je n'avais jamais eu de relations sexuelles avec elle comme ça auparavant, elle assisse sur moi, ma bite enfoncée dans ses fesses, dans son cul.
C'était humide et ma bite s'est glissée facilement en elle. Dans son cul. C'était magnifique, vraiment magnifique. Dans son rectum elle était tellement plus serrée. Je sentais son cul se resserrer davantage sur ma bite.
J’avais déjà noté qu'elle appréciait particulièrement que je lui touche l’anus. Je n’avait pas osé aller plus loin. J’avais tort. C’était un plaisir que je me faisais lorsque je vivais en solitaire. J’en avais un peu honte. Je considérais cela comme une faiblesse que visiblement Louise considérait comme une gourmandise. Sa demande réveillait de vieux souvenirs d’internat. On se touchait nos bites et on s’amusait parfois à les comparer. Les plus audacieux se touchaient en cachette et faisaient des expériences diverses comme de se pisser sur les doigts … pour voir. A l’époque je me souviens que j’en avais repéré deux qui étaient plus dégourdis que les autres. Ils m’avaient approché et j’avoue avoir passé quelques bons moments avec eux.
J’en avais gardé un souvenir brouillé et coupable de ces pratiques « sodomites » comme le disait notre père prieur. Coupables, peut-être … mais pas pour tout le monde, visiblement.
Ce fut bien plus tard que je réalisais que c’est cette nuit de folie que j’avais vraiment perdu mon pucelage…et que je pris du plaisir bestial à sodomiser une femelle lubrique qui se faisait appeler « Sœur Louise » lorsqu’elle baisait.
La vision de mon sexe dans le cul de ma femme m’avait vraiment réveillé alors qu’elle s’emmanchait sur ma bite, extatique, les yeux fermés. « Je t'aime, Abel » chantonnait ma femme. Baise-moi, Abel, baise-moi vraiment. Baise-moi dans le cul, mon amour.
Cloué par la fatigue et par le corps de ma défroquée, j’ai eu une curieuse idée. Je me suis demandé si c’était ainsi que les religieuses conservaient leur statut vierge. Si jamais elles prenaient une bite, et se la mettaient dans le cul. Ma femme, visiblement pas innocente, avait eu des relations sexuelles anales. Pas de doute. Les effets de l’alcool faisaient ressortir sa vraie personnalité, sa lubricité. Moi je découvrais l’élasticité de sa rondelle.
Elle voulait que je l'appelle sœur Louise pendant que je l’encule, elle voulait qu'on je la traite de mauvaise nonne, elle attendait que je lui donne une fessée dure pendant que je la sodomisais le cul. J’avais de quoi occuper ma tête pour un long moment. Tout ce que je savais, c'est que je faisais ce que ma femme me demandait de faire … à ma grande satisfaction !
Avec ma bite enfouie au fond de son cul, baiser Louise par voie anale m'a transformé en un homme sauvage. Un nouvel endroit pour baiser ma femme, à côté de sa chatte et de sa bouche, ma bite dans son cul chaud était la chose la plus excitante que je pouvais imaginer. Elle m'a dit de la baiser fort, et c'est exactement ce que j'ai fait. J'ai poussé ma bite bandée en elle jusqu'à ce que mes hanches claquent violemment contre son cul dur et rond en m'accrochant à ses seins. Le son de nos corps nus et en sueurs qui se heurtaient produisait un fort bruit de gifles rythmé comme si je la tenais sur mon genou, lui donnant une fessée au cul rose et rond encore et encore avec ma grosse main durcie parce que sœur Louise était vraiment une si mauvaise nonne. C'était une baise animale que j'ai vraiment appréciée.
- Oh mon Dieu, Louise !, gémis-je.
- S'il te plaît Abel, s'il te plaît, appelle-moi sœur Louise, gémit ma femme en retour.
- Oh mon Dieu, sœur Louise, te baiser dans le cul est le meilleur sexe que j'ai jamais eu ! haletai-je.
- Oui, c'est ça, parle-moi salement, Abel. Dis-moi que j'étais une mauvaise nonne. Dites-moi que c'est ma punition et une chance de devenir une meilleure religieuse. Dis-moi que tu dois mettre ta grosse bite dure dans mon cul pour faire de moi une meilleure nonne.
- Tu es une mauvaise nonne, sœur Louise, et parce que tu étais si mauvaise, j'ai pris ma grosse bite dure et je l'ai mise dans ton petit trou du cul rose. Je vais t'ouvrir le cul, t'étirer le trou du cul, sœur Louise, parce que tu es une mauvaise nonne. Si méchante sœur Louise, si mauvaise, je l'ai grondé et j'ai enfoncé ma bite prête à exploser dans son trou du cul en l’accompagnant de deux de mes doigts.
- Je vais te l’ouvrir, vilaine sœur Louise, tu sentiras ma queue et puis ma main entière entrer dans toi… tu seras ouverte, offerte à moi, à mes amis, a tous ceux qui voudrons faire de toi une bonne sœur exemplaire ! Elle gémissait fort en réponse à mon excitation verbale.
Alors j’ai dit : Mauvaise sœur Louise, es-tu d’accord pour être ma pécheresse et accepter toutes les punitions pour tes péchés. J’ai entendu sa réponse, exaltée, bien audible. « Oui, je baiserai les hommes de Dieu, c’est mon destin et tu me corrigeras car je suis la putain de la bible.
C’était venu sans réfléchir. Une sorte de perversité que je ne me connaissait pas. Pourtant je l’imaginais toujours en train de baiser avec des nonnes et des prêtres… pourquoi pas en profiter… c’est la réflexion que je me suis faite plus tard. J’avais visiblement enfin compris qui était ma femme et sans doute qui j’étais vraiment moi aussi.
J’étais au bord de la jouissance. Ma femme ne cessait plus de gémir, elle aussi au bord de l’orgasme. Je l’entendais délirer. « Abel. Baise-moi le cul, glisse ta magnifique bite dure dans mon trou serré pendant que tu me donnes une fessée. Enfoncez cette puissante bite dans le cul de sœur Louise. Bourre le cul de la petite sœur Louise. Baise-moi, Abel. Baise-moi ! Baise-moi. Oh oui, plus !", gémissait ma petite nonne sexy.
Lorsqu'elle s'est soudainement tordue dans un violent orgasme, il ne m'a pas fallu longtemps pour exploser à mon tour et remplir son rectum d'une charge de sperme chaud. Je venais de baiser ma femme, sœur Louise, dans le cul en l'imaginant danser autour d'un poteau sans son habit de nonne. C'était la nuit sexuelle la plus folle que j'ai jamais eue de ma vie. Si je n'étais pas aussi excité sexuellement et bien éveillé, j’aurais pensé que je rêve. Mon sexe me faisait mal mais surtout la soirée m’ouvrait de telles possibilités que, si j’avais pu, j’aurais recommencé à la baiser en lui faisant raconter sa vie de nonne perverse, la vraie !
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L’initiation des putes de Dieu
Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait dans sa jolie petite tête de nonne défroquée.
- Pas de secrets et pas de mensonges ! Tu aimes la sodomie et les fessées… explique moi. Nous étions en robes de chambre, épuisés mais pourtant bien réveillés. Nous nous partagions un coca. J’étais toute ouïe.
- J’ai été enfermée dans un monastère comme novice durant près de quatre ans. J’avais 16 ans.
- Je ne comprends pas. Tu as un faible pour le sexe anal. Je me souviens de tes histoires et comment tu es presque devenue religieuse, mais tu ne m’a jamais parlé de tes expériences sexuelles au couvent. –
- J'étais vierge. J'étais sur le point de consacrer mon corps, mon esprit et mon âme à Jésus-Christ. Mais quand je suis arrivé dès le début le principal m'a discipliné.
- Principal ? Discipliné ? Toi ? Qu'entends-tu par discipline ? Comment ça ?"
- J'étais si jeune. Je ne connaissais pas le sexe. Le principal s'intéressait particulière- ment à moi, peut-être parce que j'étais plus jolie que les autres femmes avec un corps qui l’attirait. Il me disais que j’étais spéciale. Il s'est porté volontaire pour me guider sur le bon chemin. Au début il me faisait venir dans son bureau. Très vite il m’a persuadé qu’il devait enlever les mauvaises pulsions de mon corps en me fessant. Il soulevait ma robe, me mettait sur ses genoux, baissait ma culotte et me donnait chaque fois une fessée sur mes fesses nues.
J’étais glacé. Il se confirmait bien que ma femme avait été abusée, violée et perverti. Ma Louise, innocente avait apparemment été abusée sexuellement par, entre autres, un prêtre pervers.
La première fois qu'il m'a donné une fessée, j'étais terriblement angoissée, honteuse, mais alors qu'il me giflait le cul nu encore et encore, au fil des jours j'ai commencé à apprécier la douleur. De plus je sentais qu’il y avait un corps dur qui venait se caler sur mon entrejambes. Il fallait qu'il en soit ainsi, j'étais si mal que pour l’oublier je me suis mis à me frotter sur ce corps dur. Chaque fois je constatais qu’ainsi j'éprouvais du plaisir malgré mes fesses rouges.
J'étais trop occupé à penser à mon excitation sexuelle pour souffrir vraiment de la situation. Tandis qu'il me disciplinait ainsi, dès que j’étais seule je me masturbais vigoureusement pour oublier ma douleur. Sinon je n’ai jamais mis en cause son étrange discipline, trouvant parfaitement normal d’expier les péchés des femmes du Christ. Cela devait être vrai, donc je ne l'ai pas remis en question. J'étais toujours intéressé de savoir s'il le faisait aussi à d'autres.
Petit à petit j’ai senti qu’il s’en prenait à mon minou. La claque tombait sur mon sexe, dans ma raie… plus tard j’ai compris qu’il me préparait à être violé par lui. Le plus étrange c’est que j’attendais ce moment avec impatience. Une sœur m’avait prévenu mais je sentais bien que son sexe sortait de plus en plus souvent de sa soutane. Un après-midi il m’a fait venir et m’a demandé si j’acceptais d’être une amante du Seigneur. Ce à quoi j’ai répondu oui avec enthousiasme. A partir de là, le Père m’a appris le sexe mais sans jamais utiliser mon sexe, uniquement mon cul. Voilà pourquoi je suis devenue une adepte de la sodomie. J’adore baiser par derrière. Je suis contente d’avoir pu te le dire. J’espère que tu ne m’en voudras pas.
- Ce fils de pute de pervers. J'aimerais pouvoir mettre la main dessus. Oh, je lui donnerais une bonne raclée aussi."
- Ce n'était pas seulement lui, a avoué ma femme dans un murmure.
-Tu veux dire qu'il y avait d'autres prêtres qui te frappaient ?
- J’imaginais le Principal en train de la baiser dans le cul pendant qu'elle suçait la verge d'un d'autre.
- Non, le principal était le seul prêtre. Parfois, une fois Mère Mariam est venu nous rejoindre. Elle sa marotte c’était de nous sodomiser avec des tas d’objets et de « godes » dans le fondement tout en priant contre les mauvaises femmes et les mauvaises nonnes. A la fin, totalement conditionnée je ne me révoltais pas. J’aimais les misères qu’ils me faisaient.
La plupart du temps, ce n'était pas vraiment agréable, car Sœur Mariam me sodomisait souvent sans mettre de lubrifiant. Elle mettait son gode sur une ceinture et elle me sodomisait devant le père qui se branlait en la regardant faire. Cela peut paraitre étrange mais je me suis mis à aimer ça.
- Durant ces années-là, il n'a jamais parlé de sexe, mais plutôt ma pénitence que je devais payer pour tous les péchés des femmes contre Dieu. Les premières fois, ça m'a fait mal, puis un jour j'ai eu un orgasme terrible lorsque le prêtre m'a enfoncé son sexe dans le cul. Il m'a battu et m'a traité de mauvaise nonne. Je m’en fichais, j’adorais me faire enculer. Je jouissais maintenant chaque fois. C’était terrible. Il se déchainait sur moi.
- Même si j'ai réalisé que ce qu'il me faisait était mal, j'aimais sa puissante bite dans mon cul et j'ai toujours aimé l'avoir en moi par la suite. J'ai justifié dans mon esprit qu'il était prêtre et que je n'étais qu'une postulante. Plus tard, il fut mon supérieur lorsque j'étais novice, avant de prononcer mes vœux de religieuse. Et parce que j’étais une très mauvaise nonne, il a dû me discipliner.
Quand il m'enfonçait bien sa bite dure dans le cul, c'était vraiment bien et je jouissais de plus en plus souvent, et pas seulement lorsqu'il m'injectait sa crème.
- Est-ce qu'il a fait ça à toutes les religieuses du couvent ?
- Non, pas tous. Il a choisi les jeunes, les vulnérables et les innocentes. Il avait aussi l'œil sur les jolies, sachant pertinemment qu'il ne pourrait jamais s'en sortir avec un tel comportement avec une religieuse mature. Ceci dit je me suis demandé plus tard si derrière le grand miroir de son bureau, il y avait des gens qui nous regardaient. C’est idiot mais j'étais jeune et innocente.
Je me voyais comme une très mauvaise religieuse et c'est pourquoi je suis très heureuse que mon mari m'aide à me discipliner. Elle souriait…mais je trouvais qu’elle avait l’œil diabolique ! Je le lui ai rendu. C’est moi maintenant qui avait le diable au corps ou dans mon lit.
Comment es-tu sorti de l’influence de ces malfaisants ?
Elle m’a regardé avec un sourire coquin et m’a soufflé. Je suis crevé… une autre nuit s’il te plait. La vilaine nonne aime la baise anale… avec un mari en forme.
A suivre
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Commentaires de l'histoire :
NONNE
A suivre bientôt :La Nonne défroquée : Marian l’enseignante - II puis La Nonne défroquée : l’exercice du Don - III
Posté le 15/01/2025
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