Lon amie Katya (première partie)

Vous allez dire: « encore une histoire de mec qui rêve de coucher avec deux femmes. » Vous penserez surement « un autre qui aimerait en secret se faire sucer par une femme pendant qu’il donne une fellation à un autre homme » Mais comme je raconte cette histoire, la vérité est tout cela +

Proposée le 26/10/2022 par Alexandra

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Besoin de sortir (première partie)



Ma copine Marie et moi (Charles) sommes de Nantes, en France. Nous habitons depuis plus de huit années un petit appartement dans le centre. Notre logement bien que situé dans un quartier assez achalandé reste un peu isolé ce qui nous permet de vivre librement à l’abri du regard des voisins. Nous sommes naturistes et nous vivons complètement nus toute l’année, dans notre appartement bien entendu.

Nos rares vacances, nous les passons dans de petits clubs naturistes sur la côte méditerranéenne ou atlantique. Nous adorons tous les deux profiter de la chaleur du soleil et vivre au naturel. Nous aimons aussi admirer les corps nus des autres.

Nantes était devenue une ville violente. Sans doute la plus violente de France et nous nous sentions de plus en plus menacés. On n’osait même plus sortir le soir de peur de se faire agresser. Cette situation nous épuisait et nous avions envie de sortir, de prendre l’air pendant au moins un mois et d’aller sur une île quelque part dans le monde, juste pour recharger les batteries. Bien entendu, il fallait trouver un endroit où nous pourrions vivre notre vie de naturalistes. Nous avions envi de nous promener sans vêtement sur des plages désertes loin de toute cette violence.

En cherchant sur le net, un site Instagram: Naturist_photos_LaDigue attira notre attention. On nous accorda l’accès après avoir expliquer notre démarche. Un photographe allemand qui séjournait plusieurs mois par année sur une petite île aux Seychelles, proposait des séances photos dans des lieux paradisiaques, et surtout pour des naturistes comme nous. Il proposait de nous amener sur des plages isolées, loin du regards des autres et de la foule. Ceci nous séduit aussitôt. C’était même assez excitant.

« Wow, quel pied. Tu trouves pas cela assez excitant Charles, »

Je réfléchi quelques secondes puis avoua:

«  Je ne sais pas trop mais en effet le fait de se faire prendre nus en photo par un photographe que l’on ne connait pas, oui en effet ça me fait tout chose »

M’avoua Charles.

En tous cas, nous ne voulions pas rater cette expérience unique qui risquait fort de nous amener vers de nouvelles aventures. Et on en avait grand besoin.

Marie approuva sans hésiter.

Nous n’avions jamais vraiment penser à se faire prendre en photo, nus, sur des plages isolées et de plus, par un photographe qui en plus et à la demande, offrait de travailler nu lui aussi. Cela semblait bien plaire à Marie et en ce qui me concerne, juste à y penser me fit bander ce que Marie remarqua aussitôt avec un plaisir évident.


Notre choix était donc fait et nous mîmes en marche toutes les démarches pour réaliser notre voyage. Nous allions donc partir dans un mois. Il ne restait plus qu’a sécuriser notre logement. Nous ne tenions absolument pas à nous retrouver au retour avec un logement squatté. Il fallait trouver une personne de nos amis qui puisse y habiter.

Françoise était sans doute la personne la plus apte à occuper l’appartement. Une jolie femme qui préférait vivre seule et aussi adepte du naturiste. Elle nous accompagnait parfois lors de nos rares vacances dans les camps de nudistes. Nous avions avec elle une certaine complicité. Elle adorait Marie. Nous nous étions retrouvés quelques fois dans le même lit. Mais je voyait bien qu’elle en avait pour les femmes, Marie en l’occurence et ne tolérait ma participation à nos petits jeux érotiques que pour plaire à Marie.

Ce qui m’allait très bien, je n’étais pas jaloux et leurs caresses me rendaient un peu fou. De voir ces deux superbes corps s’entremêler, les mamelons bien durs et leurs belles fesses bombées, c’était vraiment très très agréable…

Mais enfin nous lui faisions confiance pour l’appart.

De plus, nous aurions tous les deux l’occasion de la revoir pour discuter de tout cela. Cela impliquait forcément une petite sauterie comme nous l’aimions tant. Les jours passaient et nous n’arrêtions pas d’imaginer toutes sortes de scénarios érotiques sur notre expérience à venir. Les rêves, les fantasmes de Marie et les miens prenaient de telles ampleurs que nous nous retrouvions sans cesse enlacés à faire l’amour. Cela devenait de plus en plus excitant pour l’un comme pour l’autre. Bien entendu il n’y avait pas de secret entre nous et nous partagions facilement tous nos fantasmes sans retenues.

Françoise nous rendit visite quelques semaines avant notre départ pour discuter de nos arrangements pour l’appartement. Comme elle habitait Paris, elle décida de passer la nuit avec nous. Ce qui n’était pas sans déplaire à Marie et ma foi, me faisait plaisir aussi.

Nos quelques semaines à fantasmer sur notre éventuelle séance de photos n’avait eu autre effet que de renforcer notre libido. Pour ma part, je n’arrêtais pas de visualiser des scènes érotiques que le photographe mettre en scène. Je visualisais bien Marie qui tendait la main vers ma bite gonflé pour s’en saisir et la porter à sa bouche. J’imaginais le photographe debout, nu comme un verre, avec une érection divine. Je l’imaginais assez beau, bien musclé avec une grosse bite, longue et pointant vers le ciel. J’allais jusqu’à porter le fantasme aux limites de nos expériences. Je voyais Marie se saisissant de ce membre viril et l’attirant à ma bouche pour que je lui suce le gland.. Chose que je n’avais jamais fait auparavant, mais j’avoue aujourd’hui, en avoir ressenti une légère excitation.

Marie imaginait aussi de salaces scénarios, donnant une fellation au photographe pendant que je la pénétrais sauvagement. Elle me voyait étendu sur le dos, la bite du photographe dans la bouche pendant que celui ci me suçait en se tenant sur un coude, tous les deux dans une position 69.

Mais toutes ces fantaisies ne correspondaient surement pas à la réalité. En effet, en tant que naturistes, nous étions en train de découvrir une nouvelle motivation à toute cette nudité. Il fallait bien l’admettre: être nus nous excitait. Tout à coup nous passions à l`exhibitionnisme pure et simple. Le regard des autres commençait à nous séduire. Si nous voulions aller plus loin, nous devions passer à l’acte, devant notre inconnu photographe.

Bien sur nous ne savions rien de lui sinon qu’il pouvait sur demande travailler aussi nu que nous. Cela enchantait Marie et, bizarrement me donnait des frissons. Et nous allions le lui demander, la tentation était trop forte.

Comme nous l’avions prévus, Françoise se montra dès son arrivée, très câline avec Marie. Bien entendu nous étions tous nus comme l’exigeait un séjour dans notre appartement et cela ne posa aucun problème à Françoise; Elle en avait l’habitude. On se retrouva tous dans la cuisine pour préparer le diner. Françoise n’arrêtait pas de se coller à Marie, passant derrière elle et lui caressant les fesses et les seins et lui donnant de petits baisers dans le cou.

Ca ne me laissait pas froid. Je bandais de plaisir tant la scène était excitante. Mais je me contentait de regarder, tout en préparant une salade de fruits, bandé comme pas possible.

Le repas fini, Marie et Françoise s’installèrent dans le salon pour discuter de notre prochain voyage et de la garde de l’appartement.

«  Pas possible, un photographe nu juste pour vous deux? Wow! J’aimerais bien y être moi aussi. Quelle extraordinaire aventure. »

«  Mais, dites donc, j’ai une très bonne amie qui vie sur cette île , Katya. Elle a loué une villa au bord de la mer pour deux années afin d’ écrire des articles pour un journal de Berlin., Je n’y suis pas encore allée mais je sais qu’elle est très ouverte à partager la villa avec des amis et même des amis d’amis. Je peux lui demander si elle peut vous héberger»

«  Si cela se trouve elle connaît peut être aussi votre photographe, qui sait? »

Comme nous l’avions imaginé, la nuits fut torride. Françoise et marie ne tardèrent pas à passer à l’acte, s’embrassant fougueusement, les mains caressant leur peau lisse, des doigts pénétrant tous les orifices . Je restais toujours un peu à l’écart pour observer la scène. Cela me plaisait beaucoup. J’étais surexcité mon érection vibrait légèrement.

Elles étaient sur le canapé du salon et moi debout appuyé contre le bar, nu et bandé, admirant ces deux beautés je me mis à me masturber. Le mouvement de mon poignet tenant fermement ma bite attira le regard de Marie et Françoise qui aussitôt virent à ma rencontre et se placèrent de part et d’autre de mon sexe pour le lécher. J’eu droit à une fellation en double, l’une me prenant dans le bouche dans un mouvement de va-et-vient et l’autre léchant mes testicules.

C’était absolument merveilleux. Françoise s’allongea sur le dos pour que Marie puisse avec sa langue titiller son entre jambe, puis m’attira sur Françoise pour que je la pénètre, tenant toujours mon membre dans sa main et dirigeant les mouvements. Elle se plaça face à moi, assise sur Françoise qui se mit à lécher son derrière, caressant d’une main agile son clitoris. Cela la fit mordre ses lèvres et d’un coup comme elle sentait que j’allait jouir, elle retira ma bite, se pencha et la prit dans la bouche pour que je puisse éjaculer. Elle jouit aussitôt mais Françoise continua de plus belle ce qui prolongea le plaisir de Marie.

Cela dura très tard dans la nuit et ce fut une très agréable soirée.

Au matin, Françoise dû retourner à Paris. Il ne nous restait que deux semaines avant le départ. Françoise reviendrait 2 jours avant celui ci pour prendre en charge l’appartement. Tout semblait en bonne voie pour notre voyage vers les mers du sud.

Nous avions prit contact avec le photographe qui proposa de nous rencontrer quelques jours avant la séance afin de faire connaissance. Il semblait très posé et professionnel.

Françoise s’était entretemps remise en contact avec son amie Katya qui s’était empressé de nous inviter à séjourner chez elle .

Et de plus, Katya connaissait très bien le photographe. Nous apprîmes ainsi qu’il se nommait Emmanuel. Il se trouva que celui-ci contribuait au travail de Katya en lui racontant des aventures salaces sur ses expériences vécues ou pas pendant son travail.

Katya écrivait des histoires érotiques pour plusieurs sites internets américains en plus de son travail de longue haleine pour une revue allemande. Elle se basait souvent sur les histoires du photographe pour élaborer de véritables comptes érotiques.

Il nous sembla soudainement que tous convergeaient vers un seul et unique point, celui d’un séjour lubrique rempli de plaisir et de sexe.

Après réflexion, et aux vues de tous ces hasards , il devint évident que nous allions accepter l’offre. On avait l’impression que tout nous portait vers une sacrée expérience dans laquelle le sexe primait. Nous étions tous les deux super motivés et nous étions impatients de prendre notre vol pour les îles tropicales et poser nos baggages.

Notre soirée avec Françoise nous avait laisser sur notre faim. Marie aimait beaucoup Françoise et adorait se faire caresser par celle-ci. Mais elle adorait aussi les hommes. Nous n’avions jamais fait l’amour avec un autre homme mais quelques jours avant notre départ, Marie m’avoua qu’elle aurait aussi me voir avec un autre et en profiter pour faire l’amour à trois. Depuis quelque temps elle visualisait des scènes où elle rentrait à la maison et me trouvait assis sur le bar, nu en train de me faire lécher le gland, elle imaginait toutes sortes de scènes d’échanges entre moi et un autre: fellations doubles, masturbations, et bien d’autres. Elle se voyait en train de branler deux bites biens dures et de se faire prendre devant et derrière en même temps.

Elle me raconta tout cela et ça me rappela une petite histoire vécue

Un jour, lors d’un séjour dans un de nos campings naturistes préféré, alors que je me promenais tout nu sur la petite plage isolée, je vis à l’autre bout de la plage un homme nu sortir d’un buisson et s’approcher de la mer. Il s’y pencha pour prendre un peu d’eau et s’asperger le visage. Son corps musclé captait le soleil et le faisait ressortir de la scène. Impossible de regarder ailleurs. Il s’était retourné vers le buisson et dans son mouvement, j’aperçu son sexe en érection bien droit devant lui. Il était rasé et sa bite mise en évidence par une lumière rasante attira mon regards.

Elle était longue, de grosseur moyenne mais bien lisse au bout de laquelle prônait un gland majestueux. Elle devait faire au moins 20 centimètres en longueur. J’eu un frisson qui me parcouru le corps entier. Je mis le temps pour admirer cet objet de plaisir et j’eu soudain l’envie de l’attraper pour sentir la force de l’érection. L’idée de m’approcher me passa par le tête car je me vis la prendre dans la bouche et tenant fermement des deux mains les fesses de l’inconnu pendant que je suçais et suçais sans relâche.

Mais avant que je puisse sortir de ma torpeur et faire un pas, une main sortit du buisson, s’empara de l’objet et l’attira de nouveau dans le buisson où ce beau corp disparu à nouveau.

Il y avait déjà quelques années de cela mais ça me revint tout à coup en écoutant les fantasmes de Marie. Le désir ne m’était pas inconnu.

«  Ok avec moi » lui dis-je «  on laisse faire les choses et si cela se présente, je ne dirai pas non. »

En fait, l’idée d’avoir un « homme objet » toujours prêt à nous servir n’était pas loin de nos pensées. Nous en avions déjà parlé. Un bel homme, toujours nu dans notre appartement et toujours en érection. Marie avait bien aimé l’idée.

Puis les deux semaines passèrent très vite et Françoise arriva le jour avant notre départ. Nous avions tout préparé. On ne tenait plus en place. Cette dernière nuit avec Françoise fut une de nos plus belles depuis longtemps. Pas la peine de vous raconter, je laisse à votre imagination la suite.

Et le lendemain le taxi vint nous prendre. Le voyage débutait. Nous étions heureux de quitter Nantes pour quelques semaines. Le rêve commençait à prendre vie.


À suivre…

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