Delphine confronte Léo à Evann. Léo comprend vite pourquoi elle lui préfère ce con d'Evann, mais elle lui fait boire le calice jusqu'à la lie quand il constate qu'Evann multiplie les outrages sans quasiment débander et que ses (soeurs) y sont passées elles aussi.
Proposée le 12/12/2024 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 8
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
-Léo, tu te crois vraiment en terrain conquis et te conduis comme le pire des goujats. Mais tu mérites de recevoir une bonne leçon !
Je ne tiens aucun compte de ses récriminations et la baise comme un fou et suis presque sur le point de jouir tout de suite, quand soudain j’entends une voix, Je cesse aussitôt de baiser ma mère et regarde vers la porte. Evann est là, debout, complètement nu…
-Salut les tourtereaux ! Je suis ici depuis le début, je vous observe et ma bite est dure comme un roc !
Suite…
Je baisse le regard et découvre sa teub qui palpite à chaque battement de son cœur. Je n’en reviens pas en voyant l’organe. Ça n’a plus rien à voir avec ce qui était dissimulé dans son slip de bain. Sa verge que je croyais en perpétuelle érection était en fait complètement au repos. Je me considère comme bien membré, mais je tombe des nues devant la vision de cette poutre massive qui fait bien cinq centimètres au minimum de plus que la mienne, mais surtout par sa grosseur, aussi épaisse que celle du poignet de Lana. Quel monstre !!!
Maman lui sourit et sans perdre un instant s'exclame…
-Oh Evann ! Ne me laisse-pas toute seule, viens nous rejoindre pour me faire à nouveau me pâmer devant un mâle, un vrai ! Prends la place de cet ersatz et enfonce ta superbe bite dans mon con.
Evann s’approche, faisant mine de lui obéir et l’embrasse chastement sur la bouche, frottant d’une main le pubis au ventre tiède de ma mère. Il m’ordonne d’arrêter ce que je fais et de se mettre comme lui de l’autre côté d’elle qui aussitôt se met à nous branler. Evann masse sa poitrine d’une main pendant que l’autre, descendant de plus en plus bas pour en venir à lui masser la naissance de la raie des fesses et descendre pour arriver à sa rondelle sans qu’elle y prête attention, trop occupée à sa besogne. Je ne suis pas habitué à voir un homme nu, encore moins en pleine érection à côté de moi, et je fais petit garçon en constatant que la main de ma mère n’en couvre même pas la moitié et que ses doigts ne peuvent en faire le tour. Après avoir sucé ses doigts, il introduit l'index et le majeur dans son vagin pour le masser, on dirait qu’il a l’habitude d’aventurer un ou deux doigts par ici car ma mère se cabre et le supplie :
-Oh oui Evann, ouuuiii ! Au moins toi, tu sais t’y prendre !
Il se déplace et revient vers sa tête, la tourne et enfourne en terrain conquis sa verge entre les lèvres de maman qui a bien du mal à accueillir son organe et m’ordonne de venir entre ses jambes pour la sucer. Je suis un peu dépassé par les événements et obéis comme un toutou bien dressé. Maman est tellement excitée par sa succion d’Evann et de mon entrain dans sa chatte avec ma langue qu’elle commence par perdre les pédales en gueulant entre deux bouchées que je suis un fils dégénéré, une petite salope, qu’elle veut manger de la bite, qu’elle veut se faire baiser par tous les trous en même temps, et d’autres choses encore que je n’ose écrire, avant de reprendre la tétine du biberon.
Il la prend par les cheveux et se branle avec sa bouche, faisant pénétrer de force la quasi-totalité de son braquemard, lui laissant à peine le temps de reprendre sa respiration. Comment peut-elle gober un tel gourdin ? Elle le pompe tellement bien qu’il ne peut plus se retenir, emplissant la bouche de maman d’une forte dose de crème blanche. Elle me nargue en me la montrant, bouche ouverte avant de déglutir et de me spécifier, comme si j’étais un ignare :
-Il a joui dans ma bouche. Avant, je ne voulais pas avaler de sperme avec ton père. Mais vous m’avez tellement excitée que j’ai tout avalé. Et regarde Léo, regarde !!!
Qu’est-ce qu’elle veut que je regarde ? Je réalise soudain que ce connard d’Evann a toujours une trique d’enfer. C’est à peine si l’érection de son gourdin a fléchi. Même après avoir joui, la teub de ce con me fout toujours autant de complexe. Il me bouscule alors pour prendre ma place entre les cuisses de ma mère qui crie qu’elle veut qu’il la viole, qu’il la prenne comme un animal. Il est face à elle, les jambes écartées de chaque côté des siennes.
Il met les chevilles de maman sur ses épaules et introduit son membre à peine ramolli en elle. Même en cet état, il est si imposant que je crains pour elle. Evann prend d’assaut sa chatte.
Il la saisit par les hanches et exécute de lents va et vient pour qu’elle sente bien son engin qu’il fait coulisser en elle pratiquement en entier. Je m'installe à mon tour, attrape par les épaules maman et attire sa tête pour qu’elle me suce.
Elle doit bien sentir ce membre qui défonce son vagin, je le ressens moi-même quand j’enfourne dans sa bouche ma teub. Son déhanchement dû par les coups de reins d’Evann lui permet à peine de me pomper. Elle doit trouver beaucoup de plaisir à essayer de faire décharger nos deux queues. Elle me pompe par saccades au rythme donné par Evann, tantôt avec fougue, et tantôt avec douceur, j’en couinerais de plaisir, je n’en peux plus de me faire sucer ainsi et finis par jouir dans la bouche maternelle. Je suis out, ma queue est en berne et je sais que pour moi, il m’est difficile de doubler avant au moins une heure ou deux.
Comme beaucoup d’homme, j’ai cherché sur le net où je me situe avec les dimensions de ma teub, étant fier d’être dans les 16% des hommes les mieux membrés, mais si je veux classer Evann en tenant compte de la longueur de sa bite, de sa circonférence, de sa rigidité incroyable pour un tel gourdin, de la puissance de ses éjaculations et du nombre de celles-ci, je n’en reviens pas !!! Rendez-vous compte ! Si on prend une ville d’un million d’habitants, Qu’on en retranche les femmes, la moitié des hommes trop jeunes ou trop âgés, on arrive déjà à moins de mille, entre les impuissants, les couilles molles, soustrayant les afros représentant un gros pourcentage de ce nombre et ceux qui ne peuvent remettre le couvert, il n’en reste plus qu’une petite dizaine, et Evann en fait partie !!! Un pourcentage de un sur cent mille. Il fait partie des 0,1% des hommes hyper membrés et encore moins en tenant compte de ses éjaculations multiples et d’une puissance folle.
Evann, lui, écarte les genoux de ma truie de mère au maximum pour bien ouvrir sa chatte au moment fatidique, puis ses doigts entrent dans la moule, il les trempe dans la cyprine mélangée à son sperme qui s’en échappe et en enduit son énorme pieu. Il traite maman de grande salope, me repousse pour mettre sa bite dans la bouche et lui ordonne de la sucer ce qu’elle fait aussitôt. Elle la lèche et aspire le gland avec ardeur. Sa queue de nouveau à la fête redevient pour la troisième fois au top sans quasiment un moment de répit à sa taille de bête de concours. Evann exhibe de nouveau son énorme braquemard. Sans tenir compte des protestations de ma mère, il se remet entre ses jambes, lui attrape les chevilles, les relève et les pose sur ses épaules.
Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il veut faire mais je suis le seul. Maman l’encourage :
-Oui ! Vas-y, je suis prête !
Il ricane, lui répond qu’elle va aimer ça. Il crache de la salive et de ses doigts poisseux, étale du foutre à l’entrée de son anus. Une fois le trou lubrifié, il approche son énorme gland et l’enfonce sans trop de ménagement dans l’anneau fripé qui cède facilement à ma grande surprise. Elle crie, de douleur ou de plaisir ? Evann n’en tient pas compte et continue sa progression. Une fois la douleur passée, elle doit commencer à trouver cela agréable car maman se met à gémir, après que sa chatte a été envahie par se chibre monstrueux, c’est maintenant son orifice anal qui est pénétré par cet énorme pénis qui glisse toujours plus loin avant que ses couilles en stoppent la progression. Il lui demande si ça lui plait.
Elle hoquète, sentant son plaisir monter et le sommant d’aller plus vite. Après un enculage en règle de plusieurs minutes, son plaisir arrive comme un ouragan que je n’ai jamais réussi à déclencher, je ne l’ai jamais vu jouir aussi fort avec moi. Elle hurle de bonheur, électrisée par le plaisir qui tend son corps comme un arc et expulse plusieurs jets de cyprine, se prenant pour le jet d’eau du lac Léman. Evann qui a « déculé » éjacule à son tour sur le corps de ma mère son sperme chaud qui s’écoule entre les mamelles maternelles.
Une fois qu’ils ont repris leurs esprits, maman se tourne vers moi et me harangue :
-Alors ! Tu comprends maintenant pourquoi je préfère me faire baiser par Evann plutôt que par toi. Si tu ne veux plus faire ceinture, il faut que tu éprouves toi-même ce que c’est que se faire prendre par un mâle, un vrai ! Et le seul moyen, c’est que tu t’occupes déjà de réveiller son engin, tu verras qu’il est encore capable de nouveaux exploits, et après, d’accepter de te faire enculer comme toutes les femmes de cette maison.
Qu’a-t-elle dit ? Toutes les femmes de la maison ? Ça veut dire que… que Ninon et Lana elles aussi ont copulé avec lui, ont branlé son gourdin, ont embouché cette formidable trique, et ont même pris entre leurs fesses son défonce-cul de compétition ? Que faire ? Ou je fais ceinture, ou j’accepte… Je pèse le pour et le contre, d’un côté il va falloir faire le soumis, mais de l’autre, je vais sûrement pouvoir baiser mes sœurs dans des bacchanales déchainées. Une petite soustraction mathématique enlève mon accord, vaut mieux se faire enculer et profiter de trois partenaires féminines que rien du tout.
Maman vient vers moi, prends ma main et me force à saisir la flamberge qui cette fois a bien dégonflée. Je la laisse faire et ma main monte et baisse sur cet organe chaud et gluant de toutes ces agapes. Elle insiste pratiquement deux minutes dans cette branle qui, je suis sûr, sera un échec. Mais je sens pulser doucement sous mes doigts le sang qui gonfle la grosse veine et irrigue les corps caverneux d’un pénis. Merde ! La bête se réveille une nouvelle fois, annulant mon espoir de ne pas passer à la casserole. L’érection est lente pour cette quatrième mise en condition de ce roseau penché qui devient de nouveau un chêne massif. Ma main d’homme arrive à peine à l’encercler. Je n’ai plus que le majeur qui arrive à frotter sur le bout de mon pouce. Quel engin ! Il a déjà joui trois fois pendant la nuit, et pourtant en dominateur, il s’amuse avec les formes de maman, se penchant pour lui sucer le téton érigé de son sein droit et malaxant l’autre entre ses doigts.
A suivre…
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