Le piège se referme. Robert ne peut que constater qu'il ne fait pas le poids face à son fils, que ce soit pour le physique ou la performance sexuelle. Lana s'arrange pour prendre sa première double avec ses deux étalons très bien membrés.
Proposée le 27/12/2024 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 12
Mais Evann n’est pas de cet avis. Ninon se donne corps et âme, c’est le cas de le dire, sur le braquemard d’Evann qui remet le couvert en moins de quinze minutes. Comme Delphine et Lana, elle libère de ses lèvres au moment fatidique la lance qui une troisième fois crache sa gourme à faire pâlir encore pas mal d’hommes.
Ces trois salopes m’ont écœuré, pas une pour rattraper l’autre, et chacune a tout fait pour que je n’en manque pas une miette. Je vais pour partir, écœuré, quand Delphine me retient par le bras.
-Attends, ce n’est pas fini !
Suite :
Que veut-t-elle dire ? Elles veulent s’occuper de lui les trois ensemble ? Sa queue a débandé et repose nonchalamment sur ses bourses. Laquelle va commencer ? Aucune…
C’est maintenant Léo qui s’avance, se met à genoux entre les cuisses de mon fils et embouche sa verge, ses mains posées sur les cuisses d’Evann. Pendant au moins deux minutes, il essaie de réanimer la bête comme un sauveteur sur la plage faisant du bouche à bouche.
Et le miracle recommence, l’organe reprend vie, grossit, grandit et redevient pour la quatrième fois une véritable barre d’acier. Deux sentiments se heurtent en moi, la jalousie du mâle frustré d’avoir trouvé son maître et la fierté que mon fils arrive à un tel exploit. D’ailleurs un doute me prend, est-ce mes gênes qui coulent dans ses veines ?
La scène suivante devient franchement irréelle, Delphine monte sur de divan pour donner son abricot à sucer à Evann, appuyant la bouche sur sa vulve offerte. Ses filles veulent participer à l’halali et se positionnent de chaque côté de lui, saisissent chacune une main et se ramonent la chatte encore engluée de mon sperme et de leur liqueur mélangée avant de sucer ses doigts. Il arrive quand même à résister à ces quatre sollicitations de nombreuses minutes avant d’ouvrir une quatrième fois les vannes. Sa semence est beaucoup plus liquide et moins abondante mais le quatuor se bat presque pour essayer de ne pas gâcher la marchandise.
Delphine, le visage épanoui, se lèche les lèvres avant de m’avouer, prouvant par là même que je suis le dindon ou le cocu de l’histoire.
-On n’a jamais essayé de le traire une cinquième fois, mais je suis sûre qu’avec un peu de persévérance et une petite heure de repos, qui sait ? Tu as engendré un vrai étalon qui ne demandait qu’à être révélé. Mes filles se sont chargées de faire son éducation sexuelle et l’élève a dépassé leurs attentes. Et dire qu’il dormait de l’autre côté de la cloison de notre chambre !!!
« Lana »
On va pouvoir maintenant s’éclater tous les jours de la semaine depuis que Robert, notre beau-père, est au courant de nos frasques. Et en plus maintenant, nous avons à notre disposition une saucisse et deux boudins blancs de bonne taille. Il va falloir que je voie avec ma sœur, on ne serait pas contre de faire une partie fine « familiale » avec à notre disposition trois mâles pour assoiffer notre fringale de belles bites courageuses. Je n’ai jamais fait une « double » en vrai, mais je voudrais essayer avec Evann et Robert au lieu d’un gode ceinture, je risque de le payer cher mais quelle pied ça doit être.
J’ai enfin réussi à décider Robert de me suivre dans ma chambre pour faire des galipettes. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est qu’une nouvelle fois il est tombé dans notre souricière. Il est en plein coït, le dos à la porte et ne voit pas entrer Ninon qui tient en laisse Evann par la queue. Ils s’approchent de nous en faisant aucun bruit et soudain une voix s’élève :
-Tu n’as pas honte Lana, de te taper ton beau-père en loucedé ! Tu vas me le payer ! Evann, encule-là ! Tout de suite !
Robert s’est crispé mais je suis sur lui, étendue de ton mon long et fait tout ce qu’il m’est possible pour qu’il ne puisse réagir. Je sens soudain un champignon chaud et dur appuyer sur ma rosette. Ce n’est pas la première fois qu’il défriche ce chemin mais il rencontre un obstacle inattendu, car le conduit est diablement comprimé par ce qui encombre mon vagin.
Mais, après un instant d’indécision, Evann m’encule sans tenir compte de la résistance inhabituelle. Je sens son rostre à la tête chercheuse glisser sur la bite de son père uniquement séparé par une paroi pas si épaisse que ça.
Je déguste comme jamais. Heureusement que ma sœur avait prévu le coup et graissé abondamment son défonce-cul sinon je l’aurais payé encore plus cher. La sensation n’a rien à voir avec ce que j’ai connu avec le gode ceinture tiède et inerte. J’ai les deux plus grosses teubs que je connaisse enfoncées jusqu’à la garde dans mon cul et ma chatte ! C’est irréel, violent, douloureux, je dérouille salement mais suis aux anges. Je suis aussi très fière d’être la première de la famille à connaître ça. Robert ne bouge plus, se contentant des coups de reins de son fils dans mon cul ramoné par son braquemard et qui me propulse sur le sien. Je n’ai jamais ressenti de tels sensations et coule comme une fontaine quand les couilles de mes deux tortionnaires s’entrechoquent.
Robert, lui non plus, n’y résiste pas et noie ma foufoune de son sperme. Son gland est devenu hyper sensible au frottement mais il ne peut rien faire d’autre que d’attendre que son fils ait fini. Il arrive même à rebander sous les coups de queue incessant de son rejeton dans mon arrière-train qui arrive enfin à la délivrance quelques minutes plus tard, me tartinant le fion de sa crème. Evann s’est un peu immobilisé mais c’est maintenant Robert qui s’y met.
Je ne suis plus qu’une poupée de chiffon en libre-service. Evann, comme à son habitude, n’a pratiquement pas débandé après sa première jouissance, nous nous retrouvons maintenant tous les trois sur le flanc et ils s’activent maintenant dans un faux rythme, augmentant encore les sensations quand les pistons se croisent et excitent encore plus mes terminaisons nerveuses. Les orgasmes sont si forts et rapprochés que j’en tombe dans les pommes quelques secondes. Robert est à sec et Ninon vient m’aider pour vider les burnes d’Evann. Il faudra renouveler l’opération une autre fois pour qu’elle aussi connaisse la félicité de se faire défoncer par de telles bites…
Ps : Je ne sais pas si celui qui tient le clavier délirera encore avec notre famille car avec trois bites pour autant de chattes, sans compter six bouches et six trous du cul, les possibilités sont exponentielles… S’il te plait, monsieur l’auteur, on veut encore vivre d’autres aventures…
Fin. Peut-être… Ou peut-être pas. Je verrai suivant ce qu’en pensent les lectrices et lecteurs.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Quelle sacrée famille ! On aimerait en faire parti. Une suite serait là bien venue. A bientôt de vous lire Guy
Posté le 7/01/2025
Anonyme
Le poney est mieux monté que l'étalon
Posté le 28/12/2024
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