Pendant que Ninon et Lana poursuivent l'éducation sexuelle d'Evann, Léo veut que Delphine cède à ses avances. Il a goûté à sa bouche mais ça ne lui suffit plus.
Proposée le 4/12/2024 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 3
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
En un rien de temps, Ninon a retiré ses doigts pour le chevaucher puis a appuyé le gland sur ses lèvres externes qui s'ouvrent comme un fruit mûr et sent le gros engin entrer en elle, le faisant coulisser jusqu'au fond de son conduit.
-Oh mon Dieu qu'il est gros ! - Ohhhh ouiiiii! Je le sens en moi... Il y en a tellement... Je coule !
Suite :
Cette pénétration la fait gémir, elle se fait pénétrer tout en douceur, le plaisir l'envahit de nouveau.
- Je le sens dans tout mon ventre et jusque dans mes reins ! Je la sens bien profond.
Elle reste immobile avec cette teub plantée au fond de sa matrice, la queue remplissant comme jamais son vagin.
- Je la sens comme je n'en ai jamais senti ! Grosse, si grosse... Si énorme tant en longueur qu'en largeur. Jamais ma chatte n'a été à telle fête et ouverte.
Puis, elle fait ressortir le formidable mandrin entièrement avant de se repénétrer toujours en douceur dans une course sans fin, sortant presque entièrement le gland de sa vulve et y retournant inlassablement avec de plus en plus de vivacité en lâchant des cris à chaque pénétration.
-J'adore me faire prendre par un si gros engin ! Quel pied ! Ça en valait la peine de le forcer un peu !
- Ah Ninon, arrête de bouger comme ça... Je n’en peux plus... Je ne vais pas tarder à jouir.
- Tu peux te lâcher Evann, moi j'ai déjà joui plusieurs fois...
Pour la quatrième fois en très peu de temps, il se vide de nouveau les couilles. Dommage qu’il ne tienne pas longtemps avant de jouir. Mais c’est à nous de l’éduquer, et pour ça, il faudra que l’on y passe de nombreuses heures, pour notre plus grand plaisir.
Il faut qu’on le laisse récupérer. Pour une première, il a quand même sacrément assuré, avec un peu plus d’expérience, il deviendra un amant extraordinaire.
« Léo »
Mais qu’est-ce que je viens de vivre ? Je n’en reviens toujours pas ! Ma mère m’a branlé, m’a sucé, a apprécié le gout de mon sperme. Je sais qu’elle n’avait pas l’air sobre, désinhibée par une bonne dose d’alcool et qu’elle n’est pas ma vraie mère, mais quand même ! Le problème, c’est que maintenant je ne la vois plus comme une mère mais comme une cougar qui aime la bite, la mienne, et je dois dire que c’est très agréable, je ne le nie pas. Les jours qui suivent, elle fuit mon regard, mais moi, j’ai faim, j’ai faim de sexe et je ne vois pas pourquoi je ferais ceinture alors que dans la chambre d’à côté une femme peut me rassasier.
Cette nuit, je prends mon courage à deux mains, me dirige vers sa chambre, ouvre la porte et entre dans la pièce. Je la devine dans la semi-pénombre, couchée en chien de fusil. Je m’approche d’elle, retire mon pantalon de pyjama et me branle. Une fois en pleine érection, je prends sa main droite et la maintiens avec la mienne sur mon chibre. Une nouvelle fois, ses doigts sont en contact avec ma teub. J’imprime un mouvement de bas en haut sur ma hampe quand soudain la pression qu’ils exercent devient plus forte. Je lâche sa main qui n’a plus besoin de tuteur mais soudain ses doigts relâchent leur pression sans toutefois quitter mon sexe.
-Léo ! mais, mais qu’est-ce que tu fais ? Je suis ta mère ! Tu n’as-pas honte ?
- Honte de quoi, maman ? C’est toi qui as commencé. Tu me demandes si j’ai honte d’être à coté de toi la bite à l’air mais ta main ne veut pas abandonner ma verge. On dirait que deux femmes sont dans le même corps, celui de la mère et celui d’une femme en manque de sexe qui s’accroche à la première bouée qui traine, en l’occurrence ma queue.
Un silence s’installe, elle ne sait que répondre mais ne lâche toujours pas sa proie.
-Oh et puis merde ! Je ne devrais pas mais j’ai tellement envie.
Sa main s’active enfin sur mon pénis, et cette fois elle n’est pas saoule, complètement consciente qu’elle branle la queue de son fils. Je m’enhardi et glisse ma main dans sa nuisette, empaume son sein généreux, titille un téton qui durcit sous mes doigts.
-Oh Léo, tu ne devrais pas.
Pourtant elle repousse le drap pour que je puisse explorer d’autres parties de son corps. J’y vais au culot et glisse mon autre main à la fourche de ses jambes et découvre une chatte poilue qui suinte déjà de plaisir. Je ne peux pas m’en empêcher et glisse un doigt dans la fente humide. Elle a un dernier instant de lucidité et essaie de repousser ma main.
-J’ai envie de toucher ta chatte, maman. Et ton corps est d’accord vu comment il réagit.
-Mais Léo, tu ne connais aucune jeune fille qui pourrait… Me répond maman en rougissant, tu pourrais trouver une fille de ton âge excitée pour fleurter.
-Pour baiser tu veux dire ? Je pourrais. Mais pour le moment, J’aime mieux que tu me branles. C’est tellement bon !
Est-ce qu’elle réalise que malgré ses dénégations, c’est sa propre main qui entoure ma chaude virilité fièrement dressée, contrariant ses dires.
Elle s’assoit sur le lit, je l’observe pendant qu’elle se déshabille pour se retrouver entièrement nue, fière de se sentir épiée par son propre fils tandis qu’elle gesticule pour enlever sa nuisette, dévoilant son énorme paire de seins.
-Tu… tu peux les sucer si tu as envie, halète-t-elle.
Je ne me fais pas prier et prends entre mes lèvres le bourgeon complètement érigé. Sous la succion de son mamelon, maman ressent une onde de bonheur l'envahir, on dirait qu’elle apprécie cette caresse, ça la rend folle d'excitation. Aujourd'hui, c’est le fils qui a pris la place du père pour une succion fort voluptueuse à son goût. Son corps est parcouru de frissons sensuels. Sentant le plaisir l'envahir irrésistiblement, elle saisit ma main tenant le sein que je tête au bout durci et me force à la poser sur sa croupe en mouvement.
-Caresse mes fesses, me murmure-t-elle à l'oreille, et embrasse-moi.
Entièrement à son rôle d'initiatrice, longuement elle fouille ma bouche d'une langue agile, puis abandonnant son baiser :
-A toi maintenant, me sollicite-t-elle, les cuisses grandes ouvertes,
Je m’étends sur son corps. Les jambes écartelées, elle s’accroche à moi avec ses bras. Ses pieds sont crochetés dans mon dos. Sentant immédiatement mon gland dilaté venir frôler les grandes lèvres de son sexe, maman accentue aussi son déhanchement, faisant ainsi coulisser plus rapidement sa chatte le long du membre viril tendu. Toutes les terminaisons sexuelles de son vagin distribuent les ondes voluptueuses, crées par le frottement incessant du gland sur son corps en sueur et sa fente trempée.
Un long frémissement érotique parcourt son corps. Il lui suffit qu'elle lance son bas-ventre en avant pour qu'elle se trouve empalée sur le dard de son fils. Un véritable combat s'engage alors entre ses désirs et sa raison, hésitant encore.
Mais moi, je me trouve en parfaite posture pour pénétrer le sexe de ma génitrice, ma verge tendue à l'extrême se trouvant juste au bon endroit. Un mouvement me suffit et je perçois soudain une étrange chaleur envelopper l'extrémité de ma teub. La sensation est un vrai délice, je lance alors mon bas-ventre en avant, projetant ma queue tendue à l’intérieur de cette moiteur agréable. Sans aucun effort, la totalité de ma bite se trouve enrobée d'un carcan torride. Comprenant soudain ce que je viens de faire, je m'immobilise, la queue profondément plantée dans le vagin brûlant de ma mère.
-Je peux maman chérie ?
-Tu peux quoi ?
Toute à son plaisir d'être embrassée par son "bébé", elle n’a pas dû réaliser immédiatement la pénétration du gland entre les grandes lèvres de sa chatte. Ce n'est que lorsque mon bourgeon de chair vint lui frapper le col de l'utérus qu'elle prend conscience que l'inenvisageable vient de se produire, son fils vient de la pénétrer de toute la longueur de sa queue…
-Oh oui !!!
D'abord hésitant, sachant pertinemment que ce que je viens d'accomplir n'est pas très moral, je décide de retirer très lentement ma pine du sexe maternel mais comme ce retrait s'accompagne d'un indicible plaisir, je choisis d’envoyer la morale aux chiottes. Quand mon gland atteint l'entrée ruisselante de la vulve de maman, je ne peux m’y résoudre et lance mon bas-ventre en avant, projetant une nouvelle fois ma queue dans le vagin accueillant de ma génitrice, faisant fi de sa possible opposition.
Mais sous cette seconde pénétration, violente et profonde, je vois bien que maman y ressent un tel plaisir qu'elle laisse échapper un long râle de volupté en affermissant ses pieds dans mon dos tout en tentant cependant une dernière protestation pour la forme, bien faible.
– Non, ne fais pas ça !... Il ne le... Oohh... Il ne le faut pas... Chéri... Noonn... Ooohhhh.... Oui.... Nnooonn.... Chériiii.... Oh et puis zut !
Elle abdique pour la seconde fois. Ma bite coulisse dans sa chatte liquéfiée, déclenchant dans tout son corps d'incontrôlables vagues voluptueuses. Pour qu’elle ne tente pas une nouvelle fois de me raisonner, je bâillonne sa bouche par la mienne et ce baiser incestueux a raison de ses dernières protestations et maman s'abandonne à la luxure. Agrippant frénétiquement ses jambes à mes reins, elle accepte les va-et-vient de ma verge entre les parois juteuses de son vagin, chaque introduction lui arrachant un gémissement, étouffé par mes lèvres collées aux siennes.
Je sens la sauce monter dans ma pine et la préviens.
-Maman, je vais juter.
Affolée à l'idée de recevoir le sperme de son fils au fond de son vagin, elle tente une dernière protestation, d'une voix que ma bouche rend inaudible :
Convulsé par l'approche imminente de la jouissance, je fais mine de ne pas comprendre l’inquiétude de ma mère. Sentant un orgasme irrémédiable me saisir soudainement, je me cambre frénétiquement, comme si une décharge électrique me traverse de la tête à la pine, appuyé des deux mains de part et d'autre de son corps.
Percevant dans ses entrailles les puissantes giclées de ma semence virile que je lâche en abondance, maman en ressent aussi un orgasme d'une rare violence. Elle a bien tenté de repousser ma lance éjaculatrice de son sexe mais sa propre jouissance la fait se cabrer sur le lit. Un long cri de plaisir s'échappant de sa gorge.
-Oh mon chéri, c’était si bon ! Mais qu’avons-nous fait ?
Mais moi, comme un cambrioleur pris sur le fait, je ramasse mes frusques et m’enfuis dans ma chambre.
Ninon :
Je suis encore abasourdie par notre découverte. Dans la chambre d’à côté sommeillait un puceau, ça on le savait. Mais il s’est révélé que ce puceau a la plus grosse queue que j’ai jamais tenue entre mes mains de jeune femme. C’est déjà un bon-point. Mais malgré son inexpérience et son manque de résistance avant d’arriver au plaisir, il a quand même réussi à jouir quatre fois en un temps très rapproché, et pas deux malheureuses gouttes qui suintent sur le gland mais des craches dignes d’acteurs porno. Avec Lana et moi en formatrices, on devrait révéler l’étalon qui sommeille en lui.
Ça fait maintenant un mois que nous lui vidons régulièrement les couilles, de plus en plus paresseuses pour notre plus grand plaisir. L’autre nuit, il nous a baisées pendant presque deux heures avant d’avoir les burnes taries.
A suivre…
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