Ninon et Lana continuent l'éducation sexuelle d'Evann. Il devient de plus en plus résistant ce qui lui permet de les prendre encore et encore... Elles passent à une nouvelle étape pour se servir de son défonce-cul dans l'endroit idoine, entre leurs fesses... Dur/dur mais quand on aime...
Proposée le 4/12/2024 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 4
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Ça fait maintenant un mois que nous lui vidons régulièrement les couilles, de plus en plus paresseuses pour notre plus grand plaisir. L’autre nuit, il nous a baisées pendant presque deux heures avant d’avoir les burnes taries.
Suite :
Il vient de rentrer dans ma chambre comme en pays conquis, il se jette sur moi et me dévore des pieds à la tête sans même me déshabiller. Il repousse mon haut pour dégager ma poitrine. Mes seins lourds sont léchés et mordillés sur toute leur surface ainsi que ma nuque, mon ventre, ma bouche, tout y passe sauf le meilleur. Il se lève, déboutonne son jean et sort sa queue de son boxer. Il est déjà dans tous ses états. Dire que je vais encore une fois me taper un mec hyper bien membré sans même sortir de la maison et cela se passe le plus naturellement du monde…
J’en profite pour enlever ma petite culotte avant qu’elle ne soit à essorer puis je me place en face d'Evann et ne pense plus qu'à ses formes si prometteuses, ou plutôt à ce qui se dresse fièrement entre ses jambes. Je me rince l’œil, le « frangin » est monté comme un cheval avec des couilles de taureau, mille et une idées traversent ma tête de belle garce qui va bien être fourrée par cette belle et longue queue que je saisis des deux mains, ressentant sa chaleur et ses palpitations.
Il grimace, inclinant la tête pour me regarder. Je lâche son engin pour jouer avec ses boutons de chemise, mais incapable de cesser de regarder l’énorme chibre d’Evann en lui confiant :
-Je pense qu’on devrait ôter le reste de nos vêtements, Evann. Maintenant que nous avons commencé ton éducation, nous ferions mieux de faire toutes les dernières choses dégoûtantes et ne plus jamais en parler, sauf si ça te plait.
-Que veux-tu dire par là, Ninon ?
-Je veux que tu me prennes par l'autre trou ce soir.
-Quoi tu veux que je t’encule, c’est bien ça ?
-Oui, je pense que tu dois passer cette étape pour parfaire ton éducation, bien que je redoute l’instant, jamais une teub si épaisse n’a franchi cette porte. Avec le gode-ceinture, on a déjà fait ça avec Lana, mais là… Mais avant, comme pour chaque athlète, il ne faut pas sauter l’entrainement.
Il est devenu une véritable machine à plaisir, Il me coulisse très fort son piston dans le tiroir à malice qui pourtant n’a jamais réussi à tout contenir, je sue et geins de plus en plus fort.
Je le sens dans mon ventre, ma jouissance monte tranquillement avant d’atteindre son paroxysme. Je prends une énième fois mon pied avec ce mignon étalon sans en être jamais rassasiée. Ses bonnes bourses en acier trempé cognent contre ma chatte sans jamais s’écraser dessus. Je kiffe cette sensation et rien qu’à l’idée de me faire bien baiser le cul me rend déjà complètement folle. Il me tient par les hanches et me travaille au corps, le petit salaud. Mais j’aime bien l’amour brute qui laisse des marques.
-Ça te plait ma grosse bite dans ta connasse, tu aimes ça hein, petite salope que je te ramone... je vais te faire jouir encore et encore...
Le rythme de ses coups de queue se fait encore plus rapide et brutal. Je râle à chaque coup de ce formidable piston de forge infatigable. Ma chatte reçoit sa queue avec des bruits de succion quand il se retire et ses couilles claquent contre mes fesses. Bien agrippé à mes hanches, il me défonce la chatte. Je jouis une nouvelle fois le précédant de peu. Il me lâche un paquet de foutre dans le ventre mais continue à me tringler jusqu'à ce que ses couilles se réamorcent. Il se retire alors et me force à m’agenouiller devant lui, je me penche, la main refermée sur l’énorme bite toujours aussi raide, la mâchoire déformée, je ne réussis qu’à engouffrer le gland ou perle une grosse goutte de sperme, Je m’escrime quelques minutes et sens qu’il va juter mais ne retire pas assez vite sa lance, je suis trop proche, une giclée blanche fuse dans mes cheveux suivie de trois autres dirigées sur mon visage et mes seins. Je me regarde tout en râclant de mes doigts son foutre et le lécher d’une langue gourmande avec mes lèvres, un regard béat illumine mes yeux.
Sa queue n’est plus aussi raide mais je connais le loustic, il suffit de remettre une pièce dans le nourrain pour qu’il reparte comme en quarante. Il n’en est qu’à sa deuxième éjaculation et je sais que pour lui, il est à la moitié du réservoir.
Je le force à s’étendre sur le sol, je me hisse sur lui vers ce pic qui ne devrait pas tarder à s’élever, les jambes de chaque côté de son corps, il a une vue de derrière sur mon corps et doit admirer mon postérieur rebondi avec ma moule fendue encore béante et mon petit trou fripé. Je ne sais pas si c’est le spectacle que je lui offre ou le travail de ma main sur sa nouille mais il est de nouveau apte pour le service.
J’attrape à nouveau le membre à pleine main et le dirige vers ma matrice prête à avaler la chose pour une séance de graissage. Là, il me ramone à fond maintenant et c’est vraiment délicieux, j’expulse l’intrus et j’en profite pour verser un peu de gel douche sur mon cul pour que ça glisse encore mieux et j’en tartine abondamment son fusil.
Quand son gros gland en forme de champignon se heurte à ma petite porte, je ressens un désir fou mais aussi de l’appréhension, je crains vraiment qu’il me défonce. Docilement, je me suis cambrée, relevant mon cul car mon excitation est plus forte que la peur. Je veux accueillir Evann tout au fond de moi qui se moque gentiment de mon petit trou étroit.
Ses mains saisissent mes hanches. Je le supplie d’y aller doucement alors que c’est moi qui suis aux manettes.
- Viens, baise-moi, s’il te plait, baise-moi fort, petit salaud !
Je commence à le faire. Je ne sais pas ce qui me pousse à agir ainsi, ce qui m’incite à faire ce que je considère comme la pire des dépravations, et ça avec le fils de mon beau-père.
Je me sens remplie de doute, mais aussi d’une convoitise dévergondée, incontrôlable.
Il m’écarte les globes en tirant fort… Heureusement d’ailleurs parce que, vu son braquemard, ça ne serait jamais passé !
Ma chatte est très humide, mouillant tellement que sa dégouline dans ma raie culière, je ne réfléchis plus à mes actes et me pourfends l’anus avec son gland. Son gros pieu me remplit l’arrière-cour dans un beau bruit de cul. Je dois m’y reprendre plusieurs fois pour enfoncer cet énorme défonce-cul dans mon arrière-train. Putain qu’il est gros !!! J’en chierais si le trou n’était-pas envahi par une aussi massive teub. Après un temps d’adaptation, je pose mes mains sur sa poitrine et mes pieds sur ses cuisses et commence une séance de yo-yo sur cet axe d’airain. C’est la première fois que son mandrin est entièrement en moi, ses couilles battent la mesure sur ma vulve trempée qui baille et se referme au rythme de mon enculage.
Je m’escrime comme ça pendant quelques minutes, puis reviens face à lui pour qu’il puisse jouir de la vue de mes gros seins hypersensibles qu’il prend dans ses mains pour les pétrir. Il en titille les pointes et je décolle en me faisant mettre. Je monte et descend sur lui à une cadence d’enfer. Quel mec putain ! Quelle endurance !
-Bordel Evann ! J’ai ressenti la même chose qu’à mon dépucelage, tu sais ! Il faut dire que ton gros suppositoire n’est-pas pour la première venue.
« Lana »
Vu le bruit que j’entends dans la chambre de Ninon, je me doute de ce qu’il s’y passe. Il faut vraiment que je vois ça. J’allume mon Smartphone et pousse doucement la porte pour ne pas faire de bruit. Ninon est assise sur Evann, les cuisses écartées, les yeux fermés. Ma première vision est son cul bien bombé, avec deux globes fantastiques sans un poil. Ses deux muscles se tendent et se détendent au fur et à mesure où elle se pénètre sur l’obélisque dressé.
Son corps est luisant de sueur. Evann la prend comme un fou, faisant entrer et sortir à un rythme incroyable et avec forts coups de reins sa grosse queue de la chatte de Ninon. De la chatte ? Non !!! Je réalise soudain qu’il la sodomise. Les miroirs de la chambre ne sont pas là pour rien et me renvoient cette copulation hors-norme. Comment peut-elle absorber entre ses fesses cette formidable trique ? Je peux voir chaque détail de leurs deux corps emmêlés. Je filme la scène, excitée comme une puce en me rapprochant. Ninon tourne la tête et me voit. Je lui fais signe de continuer et me rapproche d’eux, zoomant sur ce sexe qui disparait entièrement dans son fondement avant de réapparaitre presque complètement. Elle doit salement dérouiller mais on dirait qu’elle adore ça.
Evann la tourne sur le côté et son énorme bite s’active de plus en plus. On dirait que ma présence le motive de plus en plus.
Je tourne autour du lit, filmant chaque détail, confirmant que ce jeune mâle est superbe. Des abdominaux et des pectoraux saillants, des biceps qui roulent sous les coups de l’effort. Ninon semble grimper aux rideaux avec lui. Je suis jalouse, j’ai envie aussi d’en profiter. Elle s’agite, se crispe, sentant monter en elle une énième jouissance, je n’en doute pas. Du coup, son sphincter doit se contracter sur la bite de d’Evann, qui lui aussi a une respiration sifflante. Ils poussent tous les deux des cris de bête qui m’excitent encore pus.
Et comme dans une chorégraphie bien huilée, ils jouissent tous les deux en même temps. Il ralentit ses coups de queue jusqu’à s’arrêter complètement, la serre dans ses bras tendus, il faut dire qu’il vient de la faire jouir comme cela ne lui était pas arrivé auparavant, du cul !!!
Après trois minutes de répit, je m’approche du couple et Ninon me susurre :
- Viens, approche-toi et caresse moi les seins, participe avec moi, je t’aime ma sœur, je suis tellement fière de prendre du plaisir devant toi avec cette bite qui m’a rempli le ventre et le cul. Je suis sûre que tu adoreras si tu arrives à accepter son engin. Il n’a joui que trois fois et est encore bon pour le service. Il faut que tu en profites tant qu’il ne rebande-pas à fond, ça sera plus facile.
Je reviens à la réalité, vais-je oser ? Je dirige une main vers sa poitrine et l’autre vers son cul, Evann est si proche que sa queue partiellement débandée n’est qu’à quelques centimètres de ma main, c'est lui que je regarde maintenant. Il a pris beaucoup d’assurance, notre ancien puceau ! Son organe frétille déjà.
Tout ça n’échappe-pas à Ninon et elle me fait remarquer :
-Tu vois, il te fait envie, tu n'arrêtes pas de mater son matériel, tu ne peux pas le laisser comme ça !
-Par vengeance, je pince les mamelons de Ninon qui m’engueule. Je change d’objectif, mes lèvres effleurent le gland, réalisant que si je vais jusqu’au bout, il va forcer bientôt mon anus. Je prends sa bite, suce le sperme qui suinte encore, pompe en aspirant la semence restée à l’intérieur. Sa bite se réveille encore, il m’avoue :
-Tes fesses me plaisent, j’ai envie de te goûter par ton petit trou.
-Oui, je suis intéressée, mais je n’ai jamais fait ça avec une queue si massive, je vais déguster.
-Tu es prête à te faire enculer, comme ta salope de sœur ?
A suivre…
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