Y a pas photo, Delphine préfère Evann avec sa bite d'étalon à Léo. Et encore plus en constatant qu'il peut remettre le couvert plusieurs fois en un temps très court, l'amenant à jouir comme ça ne lui est jamais arrivé, sous le regard narquois de Lana et Ninon qui l'espionnent.
Proposée le 12/12/2024 par mlkjhg39
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 7
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Je suis loin d’être une experte de la pipe mais je me débrouille. J’arrive à enfiler la moitié de son chibre puis me retire en enserrant son membre entre mes lèvres, le sexe d’Evann est tout luisant de ma salive. Je lèche son gland, lui titille le méat du bout de ma langue, puis je reprends son gourdin au fond de ma bouche, j’essaie de l’enfoncer le plus possible jusqu’à la limite de mes possibilités à en avoir de nouveau des hauts de cœur tellement sa queue m’envahit la gorge. Je me retire de nouveau, son souffle est de plus en plus rauque, il apprécie et me supplie.
- On dirait que tu aimes, salope ? Oui c’est booon ! Oui continue, ne t’arrête surtout pas !
Suite :
Je lèche sa verge jusqu’aux bourses puis prends chaque couille dans ma bouche, je les suce comme des gros loukoums puis les pétris avant de reprendre le gland que j’essaie de planter au fond de ma gorge. Soudain, il sort sa queue de ma bouche et se branle en face de moi. Je ne bouge pas, regardant sa main s'agiter avec force sur son membre. Ses yeux sont fermés et sa lèvre inférieure tremblote, je sens qu'il va jouir. Il gémit très fort et tout son sperme me gicle en pleine figure avec violence. Un jet monstrueux sort de son méat, aussitôt suivi de trois autres tout aussi copieux avant de finir par de plus petits. J’ai le visage inondé de son sperme, des cheveux au menton et qui coule sur mes seins. Sa queue est gluante, il la branle encore pour en extraite tout le suc qu'elle contient.
-Salope de Delphine, j'ai déchargé comme un âne de te voir me sucer.
Il s'essuie le sexe puis mon visage avec ma culotte, me regarde à peine essoufflé. Ma chatte est trempée. Je croyais qu’après ça, il n’en pourrait plus, comme Léo. Mais au lieu de s’enfuir, il décide de reprendre la maîtrise des ébats. Ce fils adoptif glisse sa main vers le bas pour saisir de nouveau étroitement sa bite géante. Stupéfaite, je ne peux m’empêcher de regarder ce membre énorme pendant qu’il recommence à se masturber, lentement, gémissant quand il déplace sa main serrée sur toute la longueur surdimensionnée de son barreau de chaise hyper sensible.
Il me couche sur le lit pour me prendre à la missionnaire. J’écarte les jambes et expose ainsi ma chatte à la colonne de chair qui ne débande pas. Il m’attire à lui, me saisit les cuisses, les écarte et force sans ménagement mon vagin encore ruisselant puis m’empale sans ménagement sur son chibre sans hésitation. Mes lèvres s'écartent et se referment sur la base de l'imposant gland. Je retiens un cri lorsque son énorme bite s'enfonce en moi. Le prépuce frotte contre mes parois vaginales tellement ma chatte n’est pas habituée à telle fête, me donnant une sensation étrange mais très agréable d’être pleine. Chaque poussée du bélier étant ponctuée par un puissant grondement.
Ses coups de reins sont si longs, si intenses, qu’ils font exploser ma féminité. Je sens à nouveau les frissons d'un orgasme imminent électriser ma chatte. Soudain après quelques minutes de ce traitement, je suis prise d’une sensation que je n’ai jamais connue. Je sens mon vagin se contracter et se détendre comme si je prenais des décharges de courant alternatif, lui broyant la bite jusqu’à ce qu’il se vide dans ma chatte, puis mon corps s’arque, j’expulse l’intrus et décharge des jets de cyprine mêlés à sa semence dans les airs, comme si moi aussi j’éjaculais.
-Mais que t’arrive-t-il, belle maman ?
-Je ne sais pas, ça ne m’est jamais arriver de connaître ça, c’était, c’était irréel, je n’avais plus aucun contrôle sur mon corps, jamais ne n’ai connu ça.
Nous nous détendons après cette folle chevauchée, couchés côte à côte, je le caresse d’une main délicate. Il fait de même, découvrant mes seins aux pointes tendues par le plaisir. Il les masse doucement et m’embrasse le cou. Je le félicite :
-Tu as des pectoraux magnifiques, et de beaux abdominaux, et quelle putain de bite tu as ! Je n’en n’ai jamais vu d’aussi belle, mon petit étalon d’amour !
Mais quand, joignant le geste à la parole, je porte ma main sur l’objet de mon délire, je suis effrayée car elle a de nouveau retrouvé toute sa splendeur, retrouvant les dimensions équines de mon joli poney !
-Tu es bonne pour un troisième round, Delphine ? Tu te souviens de ce qu’on dit tes filles sur moi ? Allez ! Mets-toi à quatre pattes que je puisse donner toute la gomme…
Je ne suis plus que son esclave sexuelle, sans plus aucune velléité de lui refuser quoi que ce soit. Je me tourne devant lui, me penche en avant, il écarte mes fesses pour admirer mon petit trou du cul et ma chatte poilue. Il me regarde, me touche le clito du pouce. Je recommence à mouiller très fort, j’ai la minette poisseuse. Je m’attends à une nouvelle intromission, mais non. Il me bouffe le cul.
Je me libère une main pour frotter ma vulve avec mes doigts en gémissant de plaisir. Mes râles augmentent au fur et à mesure que je me branle et que sa langue explore mon trou du cul, sI c’est son prochain objectif, je vais souffrir car je suis pratiquement vierge de ce côté-là.
Soudain, Un raclement attire mon attention vers la porte, ce léger bruit me fait tourner la tête et je surprends mes deux filles adoptives accroupies, une main entre les cuisses et l’autre se caressant la poitrine. Depuis quand sont-elles là ? Ça ne sert à rien de nier car il y a fort à parier qu’elles sont à l’origine de ce traquenard. Mais mon attention est détournée par Evann.
-Tu te sens bien, prête pour la suite ?
Je hoche de la tête en guise de oui. Il a mis ses mains sur mes hanches et frotte sa bite sur ma vulve, cherchant l’ouverture, et me pourfend d’une seule poussée jusqu’à ce que la tête de son missile explose le fin fond de ma grotte. Je dois me tenir où je peux pour résister à ses ruades d’âne. Il entre et sort quand soudain, plus rien… Quelque chose appuie sur mon œillet, insiste encore et encore jusqu’à ce que son gland arrive à ses fins.
-Arrête petit con !!! Tu t’es trompé de trou !!!
Mais rien n’y fait, son gourdin s’enfonce de plus en plus jusqu’à ce que ses couilles viennent frapper sur ma vulve. C’est apocalyptique, les derniers jours avant la fin du monde… Comment a-t-il pu faire rentrer son énorme cheville dans ma petite mortaise ? Je crie, je hurle, je me débats mais ça n’a que pour résultat de me retrouver encadrer par mes filles qui me bâillonnent puis me tritures les seins, qui me pincent douloureusement mes tétons.
-Putain ! Arrête de crier et profite de ta chance, tu vas réveiller Léo ! Nous, on a attendu plus d’un mois avant de savourer sa teub dans notre cul. Et toi, tu fais la fine bouche alors que tu as eu droit à la totale dès la première fois.
-Ne me dis pas que ce n’est pas agréable, continue Ninon, on va peut-être attendre un peu avant de te faire une double, avec Léo, peut-être, je suis sûre qu’il ne serait pas contre… Après ta bouche, il découvrira un autre aspect de sa mère, hein Lana ?
Si elles savaient… La douleur s’est un peu atténuée et je connais une autre façon de trouver du plaisir, pas aussi désagréable que je le craignais, surtout que mes filles s’ingénient à me faire monter encore dans les tours en se servant de leurs mains sur toutes les parties de mon corps, et de leur bouche pour embrasser la mienne. Je ne me contrôle plus, je ne sais plus où je suis, ce que je fais. Une nouvelle fois, un orgasme monstrueux me saisit, La main de Lana pratiquement enchâssée dans mon vagin n’arrête-pas de nouveaux déferlements liquides. Mes draps seront à changer car je pisse des flots de cyprine.
-Bordel de merde Lana ! S’exclame Ninon. Maman est une femme-fontaine, je n’en reviens pas…
-J’ai déjà vu ça dans les films pornos, mais jamais en vrai, la coupe Lana, Comment elle peut mouiller comme ça ? C’est incroyable… Elle cachait bien son jeu, une vraie salope !
Je suis morte de honte, de fatigue et de plaisir. Jamais un homme avant Evann n’a réussi un tel exploit, et je doute qu’il y en ait d’autre. Ils me laissent enfin dans ma béatitude. Ai-je vraiment connu l’extase ? J’en douterais si ma chatte et mon cul ne baillaient pas encore après le passage de ce convoi exceptionnel… C’est horrible mais il va falloir dorénavant que je me batte avec mes filles pour partager les faveurs de ce poney avec une bite d’étalon reproducteur.
Léo :
Je ne sais pas ce qui se passe mais ma mère me bat froid. Après plusieurs passages nocturnes dans sa chambre, maintenant je me fais jeter comme un malpropre. Qu’ai-je fait de mal ? Et en plus, mes sœurs qui avant préféraient être avec moi pour bien faire comprendre à Evann qu’il était une pièce rapportée, ont complètement changé d’attitude. Je vois bien leur manège quand elles croient que je ne suis pas là, elles roucoulent à qui mieux-mieux autour de lui. Et il se comporte comme en pays conquis, comme un noble accordant ses faveurs à la valetaille. Je soupçonne même maman de lui faire les yeux doux. J’ai remarqué aussi une transformation dans leurs tenues qui montrent plus qu’elles ne devraient. Je suis sûr que ces deux salopes ne mettent plus de culottes, et pour ce qui est du haut, elles se baladent maintenant autour de notre petite piscine en topless. Bien sûr, je profite du spectacle mais je ne suis pas le seul vu la bosse du slip de bain d’Evann. Mais comment fait-il pour être en éternelle érection vu la déformation de son maillot. Enfin, je constate qu’il est aussi bien foutu que moi de ce côté-là, ni plus ni moins…
J’ai réussi ce soir à m’introduire dans la chambre de ma mère adoptive et je m’assieds à côté d’elle, endormie. Je commence à me déshabiller. D’un geste prompt, je mets ma main sur sa bouche pour qu’elle ne crie-pas et dégrafe ma braguette pour qu’elle aperçoive mon sexe gonflé qui jaillit de mon pantalon. Ma main écarte doucement son slip et d’une étreinte plus appuyée, je glisse mon gland contre la vulve maternelle. Je m’introduits en elle sans coup-férir sous ses protestations.
-Léo, tu te crois vraiment en terrain conquis et te conduis comme le pire des goujats. Mais tu mérites de recevoir une bonne leçon !
Je ne tiens aucun compte de ses récriminations et la baise comme un fou et suis presque sur le point de jouir tout de suite, quand soudain j’entends une voix, Je cesse aussitôt de baiser ma mère et regarde vers la porte. Evann est là, debout, complètement nu…
-Salut les tourtereaux ! Je suis ici depuis le début, je vous observe et ma bite est dure comme un roc !
A suivre…
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
belle photo bien explicite, mais il est capable de bien pire dans ses vidéos
Posté le 13/12/2024
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