Lana et Ninon dévergondent leur-beau-père pour pouvoir continuer à se faire baiser par son fils, Evann. Le piège se referme quand Delphine fait semblant de le surprendre et exige de se venger avec son beau-fils. C'est là que Robert découvre la supercherie, mais surtout qu'il a trouvé son maître.
Proposée le 27/12/2024 par mlkjhg39
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Thème: Vengeance
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 11
Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.
Lana met sa main sur mon sexe, serrant mon gourdin énorme déjà tout dur, qu’elle n’arrive pas à enserrer complètement. ça ne fait que multiplier son excitation et elle commence à le branler doucement. Elle veut maintenant s’occuper de ma queue avec sa bouche. Elle saisit mon gland entre ses lèvres et essaie d'en faire entrer le plus possible, il est si gros pour sa minuscule bouche qu’elle a de la difficulté à l’avaler mais persévère. Elle commence à me sucer. S’interrompant pour commenter :
-Qu’elle est grosse ta queue ! Comme celle de... J’adore la sucer ! Et celle là, j’arrive pratiquement au bout…Hhhhmmm !...
Suite :
Elle ouvre très grand la bouche pour prendre un maximum de mon membre et je suis étonné de sa performance. Elle reprend :
-J’ai toujours aimé sucer une queue, mais les grosses m’excitent encore plus. J’adore la faire durcir dans ma bouche et la sentir m’étouffer par son diamètre si exceptionnel, pensant au moment où je vais la sentir s’enfoncer dans ma grotte. J’en suis encore plus excitée !
Ta bite est tellement grosse et dure que j’ai envie de me frotter la chatte dessus.
Lana sort ma teub de sa bouche, rampe pour se mettre à califourchon sur mon gourdin, et commence à se frotter la vulve dessus. Ses lèvres vaginales, toutes écartées et trempées, glissent toutes seules sur toute la longueur de mon mandrin comme sur une rampe de lancement.
-Hhhhuuummm ! Que c’est bon ! … J’adore me frotter sur ta grosse bite ! Empoigne mes fesses, écarte-les pour m’ouvrir encore plus. Aaahhh ! Quel beau-père vicieux ! ...Putain, que c’est bon de sentir une grosse bite sur sa fente !
Je n’en peux plus, mais elle encore moins. Elle plante mon gros pieu dans sa chatte en grognant de plaisir et je suis étonné avec quelle facilité elle y arrive. Je n’en reviens de découvrir une chatte si étroite qui épouse ma pine sans laisser aucun jeu, et pourtant elle se jette dessus et commence à se baiser toute seule à grands coups de reins sur mon énorme bite. Arrivant à coller sa vulve sur mon bas-ventre.
-Aaahhh ! Ooouuuiii ! Quel pied ! Quel bonheur de ne plus faire attention et de pouvoir prendre toute ta grosse queue dans ma moule, Ooouuuiii !
Mais à qui me compare-t-elle encore ? Qui c’est cet homme à qui elles font allusions sans arrêt ? Mais cette question est secondaire pour l’instant, car ma pine broyée dans cet étau trop serrée se rappelle à moi. Mon deuxième chargement de sperme jaillit hors de ma bite. Elle doit bien le sentir gicler et se répandre, inondant l’intérieur étroit de sa chatte, inondant son utérus avec un chargement chaud et apaisant de crème liquide. Elle relâche alors ses muscles épuisés autour de ma lance juteuse, se retire de ma pine et serrant son périnée pour se vider complètement la chatte de ma laitance.
Je suis complètement vidé et les deux belles petites salopes se blottissent dans mes bras, leur tête sur mes épaules et une main sur mon sexe définitivement hors service pour un bon bout de temps.
-Dommage, murmure Ninon, Il assure, mais…
-Oui, reprend Lana, Il prend la deuxième marche du podium. Pas mal pour un vieux.
Je m’apprête à réagir à leur propose quand soudain…
-Oh !!! Quel horreur ! Robert ! Qu’as-tu fait ? Mes filles ! Tu as sauté mes filles ! Je ne te suffis-pas ?
Et elle se met à pleurer, consoler par son fils et le mien. Je remets vite mon slip de bain et me précipite vers elle.
-Ce n’est-pas ce que tu crois, c’est elles qui…
-Et en plus, tu veux rejeter la faute sur elles, mes amours innocentes. Qu’est-ce qu’on va devenir ? Ah vous les hommes, pas un pour rattraper l’autre !
-Mais mon amour, je lance, j’ai commis une énorme faute, comment je pourrais me faire pardonner ?
-Comment ? S’emporte-t-elle. Comment ? Je ne vois qu’une seule solution, et si ton fils est d’accord, bien sûr. Tu m’as trompée avec mes filles, je vais te tromper, avec ton accord, avec ton fils Evann !
-Mais tu n’y penses-pas, Delphine. Déjà il ne voudra jamais, et ensuite, c’est encore plus… encore plus… Que…
-C’est d’accord pour moi, Annonce alors Evann. C’est le seul moyen de rééquilibrer les choses, et autant commencer tout de suite avant que je ne change d’avis.
Il prend alors la main de ma femme et la mène au salon, se vautre sur le divan et ordonne à Delphine.
-Exécute ta vengeance, je ferai tout ce que tu voudras.
Je croyais que Delphine reviendrait sur ses intentions mais que nenni. Elle s’approche de lui, lui fait lever les bras pour retirer son tee-shirt puis s’attaque au bouton et à la fermeture-éclair de son pantalon.
-Mais Delphine…
Elle tourne la tête vers moi et si ses yeux avaient été des rayons laser, je serais mort sur le coup. Il se soulève pour permettre à ma femme de lui retirer complètement son futal. Elle commence alors à lui caresser l’entrejambe à travers son slip. Elle n’arrivera jamais à le faire bander, surtout devant nous tous car toute la famille recomposée profite de ce navrant spectacle. Il est trop prude. Mais je me trompe salement…
Je vois la bosse faite dans son slip par son sexe prendre de l’ampleur, de plus en plus d’ampleur, tant et si bien que l’élastique s’écarte de son corps pour laisser passer la tête mafflue de son gland à peine sorti de la gangue de son prépuce. Malgré la situation, je suis fier de voir que mon fils tient de moi de ce côté-là. Delphine alors remonte la main pour abaisser son slip et saisit la verge filiale qui sous cette sollicitation continue encore à croitre, arrivant à cacher son nombril à ma vue. Elle décide alors de lui retirer complètement ce dernier rempart de tissu et je découvre enfin l’entièreté de la teub de mon fils. Elle est largement aussi massive que la mienne, mais doit bien faire au moins cinq centimètres de plus que la mienne.
Un doute me saisit alors. Me revient en tête toutes les allusions de ces deux petites pestes. Je comprends mieux alors. Avant de s’occuper de moi, elles ont dû dessaler mon fils.
Bien sûr, je fulmine contre elles, mais je suis pris dans la nasse qu’elles m’ont tendue. Comment maintenant les réprimander alors que j’ai moi aussi profité d’elles ? Je sais que je suis bien monté et mes aventures d’un jour le prouvent, vu les commentaires de mes conquêtes. Mais là !!! Je suis battu à plate couture par mon fils, par mon fils et son braquemard hors-norme. Mais assure-t-il au lit ? Tient-il sur la distance ?
Je sais que ma femme adore me sucer, elle a une merveilleuse technique qu’elle emploie sans vergogne sur Evann. A ma grande surprise, il résiste à sa langue avide, à ses lèvres gourmandes, à ses mains qui branlent la colonne de chair ou caressent ses bourses.
Il se crispe sans rien dire mais Delphine, en fine mouche, sait qu’il est prêt à cueillir.
Elle sort le sabre de sa bouche et l’astique pour le faire reluire. Evann ne peut plus tenir et ouvre les vannes. On dirait le barrage des « grandes gorges » en Chine. Des jets monstrueux se succèdent avant de crépir le sol sur plus d’un mètre ! Chapeau bas mon fils- Je dois reconnaître qu’il est un sacré numéro.
Mais la suite me met sur le cul. Lana, toujours à poil, se jette sur son jonc massif toujours tendu comme un arc et reprend là où Delphine s’est arrêtée. Evann n’a pas le temps de débander qu’une autre bouche nettoie son engin des dernières traces de sperme et que ses mains s’activent sur la hampe géante que ses doigts ne peuvent cercler. Elle a moins d’expérience que sa mère mais en moins de dix minutes, elle arrive elle aussi à provoquer chez mon fils un deuxième flot de semence, toutefois un peu moins granuleux que le précédent. Il promet, mon fils !
Je croyais avoir bu le verre jusqu’à la lie mais que nenni… Lana regarde Ninon et lui passe « le témoin » qui a à peine baissé la tête, le ranime pour obtenir la consistance désirée et comme les précédentes, s’escrime pour avoir elle aussi son tribu séminal. Je crains bien qu’elle soit déçue, la pauvre…
Mais Evann n’est pas de cet avis. Ninon se donne corps et âme, c’est le cas de le dire, sur le braquemard d’Evann qui remet le couvert en moins de quinze minutes. Comme Delphine et Lana, elle libère de ses lèvres au moment fatidique la lance qui une troisième fois crache sa gourme à faire pâlir encore pas mal d’hommes.
Ces trois salopes m’ont écœuré, pas une pour rattraper l’autre, et chacune a tout fait pour que je n’en manque pas une miette. Je vais pour partir, écœuré, quand Delphine me retient par le bras.
-Attends, ce n’est pas fini !
A suivre…
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