Premiers émois

On était seuls tous les deux dans la maison de campagne de ses parents, pour fêter nos dix-sept ans. Et ce qui devait arriver arriva, et pour notre plus grand bonheur: nous avons fait l'amour, entre garçons ...

Proposée le 1/11/2024 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

Un jour, un garçon m'apprit ce que je savais depuis toujours, follement attiré que j'étais attiré par les garçons: que j'étais gay, et à quel point je l'étais.

C'était un camarade de classe, beau comme un dieu. Parfois je rêvais de lui, de son corps, de ses fesses, de tout ce que me laissaient parfois mieux deviner de son anatomie les cours de gym.

On avait 17 ans. Ses parents nous ont laissé leur maison de campagne le temps d'un week-end. Que demander de mieux? À nous de nous débrouiller. Et de partager le même lit, c'était prévu comme ça.

Le soir, après le dîner, il prit sa douche, après moi, puis me rejoignit dans la chambre. C'est alors que le festín a commencé, quand il est entré tout nu dans la chambre, la bite à l'air, et avec comme un début d'érection. Il faut dire qu'il semblait exhiber son membre avec une certaine fierté, comme pour me mettre en appétit. Et c'est vrai qu'il avait une belle queue. Sa queue me rendait fou.

C'est que ce spectacle était loin de me laisser indifférent, je bandais ferme. Un nouveau terrain de jeux s'offrait à nous, j'étais partant. Je l'aurais bien sucé, mais chaque chose en son temps.

Il vint donc se coucher. On parla de choses et d'autres, mine de rien. Mais je savais bien que, sous les draps, sa queue était encore tendue, désirante, avide de jouir ou d'être soulagée par une main complice et amie, la mienne par exemple. Ou ma bouche friande de son sexe. Ça tombait bien, cette nuit à la campagne, ce désir fou qui nous attirait l'un vers l'autre dans la nuit qui nous enveloppait. Je le voulais, lui. Je voulais le faire jouir. L'embrasser à pleine bouche, humer ses aisselles, taquiner ses seins et ses têtons, flatter sa croupe, lécher sa queue, ses couilles, son petit trou. Bref, l'aimer, lui faire l'amour.

L'amitié qui nous liait nous poussa à nous rapprocher l'un de l'autre, physiquement, charnellement. De confidences en soupirs nous en vînmes aus tendres caresses, innocentes et sensuelles. Force nous fut de constater que nous bandions l'un contre l'autre. D'où un surcroît d'excitation.

C'est depuis ce moment que, dans les saunas réservés aux hommes qu'attirent les hommes, j'aime bien enlacer un mec, pour que nos queues frétillent l'une contre l'autre. Et en même temps on se palpe les fesses, et on bande encore plus. Puis on s'éclate, soit dans une cabine soit devant tout le monde, c'est assez excitant aussi de se donner en spectacle quand on se fait prendre par derrière, en levrette, au vu et au su de tout le monde.

Tenaillés par le désir, nous nous sommes rapprochés dans la pénombre. Nous nous sommes embrassés et caressés partout. Ses cuisses chaudes ont enserré mon sexe. Puis nous nous sommes frottés l'un contre l'autre. Nos sexes se touchaient, s'épousaient, ne se quittaient que pour mieux se retrouver.

La chatte de la maison miaula dans la cuisine. Se doutait-elle de quelque chose?

Nous avons fait l'amour entre garçons, et nos deux corps resteront enlacés pour l'éternité.

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