Mes premiers troubles d'adolescent... (Ep03) - Connaissance approfondie.

La véritable aventure sexuelle de Lilian commence maintenant. Une expérience incroyable, qui va commencer à marquer profondément ( ce n’est pas un jeu de mot... quoi que!) le jeune homme...

Proposée le 6/04/2022 par Troubles...

Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

L'atmosphère qui régnait à présent dans le salon sombre était surréaliste. J'avais l'impression étrange que mon âme avait quitter mon corps : je pouvais en effet voir la scène depuis l'autre angle de la pièce, comme un réalisateur derrière sa caméra.
Je me voyais tout proche de cette femme. Un silence intense seulement perturbé par la respiration accélérée de cette improbable partenaire qui devait avoir trois fois mon âge!
Son bras droit se tendit et sa main se posa sur le haut de ma braguette. Avec une infinie volupté, elle saisit de ses doigts longs et fins le Zip de la fermeture éclair de mon jean et fit lentement descendre le métal vers le bas. L'extrême tension exerçait par mon érection éjectait au fur et à mesure le tissu trop tendu de mon slip si bien que lorsque le Zip fut totalement baissé, mon pénis sortit totalement de ma braguette juste recouvert par le fin tissu de coton gris clair prêt à se déchirer sous la pression de mon engin tendu à l'extrême...
Elle se pencha plus près pour mieux profiter de ce spectacle immensément érotique et dit d'un air amusé :

- Mais dis moi petit vicieux, tu mouilles on dirait !

Et tout en prononçant cette phrase choquante mais tellement excitante et perverse, elle passa la pointe de l'ongle manucuré de son index sur l'endroit de mon slip trempé de mon précum, trahissant sans ambiguïté l'intensité de mon excitation.
Cette étreinte faillit me faire jouir mais en femme expérimentée, elle stoppa net juste à temps. Des spasmes trahissaient l'imminence de ma jouissance et je sentis qu'elle voulait m'apprendre à me contrôler.
Elle se recula me laissant ainsi dans cette drôle de posture, la braguette largement ouverte et mon appareil génital en tension outrageusement exposé dans sa prison de coton. Le plaisir et la douleur se mêlant alors harmonieusement...

Sans prévenir, elle souleva à peine ses fesses du fauteuil et passa ses mains sous sa jupe pour y extraire sa culotte qu'elle fit glisser jusqu'à ses chevilles dans un geste rapide et précis. Impossible pour moi de voir plus loin en haut de ses cuisses...
Elle saisit le petit tissu immaculé et le libéra du dernier rempart du bas de son corps matérialisé par ses talons aiguilles noirs. Elle se rassit au bord du fauteuil et entreprit de passer délicatement sur mon visage le linge intime. Comme poussé par mon instinct de jeune mâle en rut, je me mis à renifler intensément le précieux tissu : une odeur d'eau de parfum (celui qui m'avait tant envouté la première fois jeudi dernier...) mélangée aux puissantes effluves sucrées de son sexe monta directement dans mon cerveau comme une drogue puissante. Si elle m'en avait laissé le temps, j'aurais inspirer jusqu'à la dernière molécule de son intimité! Mais elle en décida autrement et entrepris de libérer enfin mon pénis toujours aussi tendu de mon slip. Mon énorme sexe jaillit en se dépliant violemment. cette fois ma virilité était totalement exposée et à la merci de mon hôte perverse !
Elle saisit alors sa petite culotte dans sa main droite et se mit à me masturber doucement avec. je n'en pouvais plus et malgré des efforts de concentration inédits, je ne pus m’empêcher de décharger avant la fin du troisième va-et-viens...!
Des flots de mon foutre bouillant se répandirent alors dans le précieux tissu avec un tel débit que celui-ci ne pouvait bientôt plus absorber ma semence qui se mit à dégouliner le long du bras de ma partenaire.

Je sentis soudain la main de celle-ci m'enserrer très fort le sexe et appuyer exagérément sur mon gland comme pour en faire sortir encore plus de jus !
Tout mon être était agité de violents spasmes incontrôlables. Sa main délaissait à présent mon pénis qui commençait à "dégonfler". Elle saisit sa petite culotte souillée de ma semence dans sa main gauche prenant le temps d'essuyer mon trop plein qui avait dégouliné sur son avant bras droit.

Puis, de sa main droite ainsi libre, cette perverse attrapa mes testicules devenues vulnérables après la jouissance et s'amusait à les serrer fortement entre ses doigts. Une douleur intense accompagnait cet écrasement mais très vite, à ma grande surprise, je sentis mon sexe durcir à nouveau. Car les écrasements laissèrent la place à un minutieux et savoureux malaxage de mes bourses duveteuses. Une inattendue nouvelle érection fit jaillir à nouveau de son fourreau mon gland encore tout gluant. La délicieuse garce passa aussitôt son index sur celui-ci pour bien répartir dessus les restes de mes sécrétions intimes. Son doigt ainsi lubrifié s’immisça entre mes fesses pour forcer mon intimité anale.
Mon petit œillet ne put résister longtemps à cette incroyable caresse et l'index de la mère de Michel s'enfonça entièrement dans mes fesses ! La douleur fut presque instantanément masquée par une drôle de sensation quand la perverse femme se mit à bouger en moi. Un geste tellement maitrisé qu'il me fit à nouveau "cracher" 3 petits jets de sperme épais sous le regard amuser de ma complice perverse.

Comme si tout ce que nous avions fait était dans la norme et l'ordinaire,, elle se redressa en me disant avec cette douce froideur qui commençait à m'être familière :

- Tu dois rentrer maintenant. Rhabille toi et reviens demain après les cours !


Et comme une marionnette mécanique, je m'exécuter le regard agars, la tête ( et les couilles!) vide de toute réaction et me contentant simplement de répondre un "oui Madame" à mi-voix...

(A suivre)


© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email