la vie de Peggy, Souvenir de mes premiers émois - 1

ceci est ma vie sexuel de ma jeunesse jusqu'a mes 40ans. comment un petit garçon violé par son pere ,déniésié par une prostituée, se marira et divorcera, et plus tard deviendra travesti .

Proposée le 29/01/2024 par PEGGY

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Souvenir de mes premiers émois - 1

Parfois les souvenirs remontent. Sûrement l'âge.
Puceau jusqu'à mes 20 ans, Déniaisé par une prostituée de 50 ans.
Partiellement violé par mon père vers mes 12ans, et ayant occulté cela au fond de ma mémoire jusqu'à près de 60 ans, il m'avait forcé à le sucer plusieurs fois et tenter de me sodomiser, j'avais réussi à me sauver.
J'étais un garçon solitaire, introverti, pas sur de moi avec les filles, je ne les comprenais pas. Je ne connaissais pas les codes. J'ai eu des copines, rarement des baisers, encore moins des câlins. Je n'avais pas de copain non plus.
Un jour ma sœur est venue en vacances avec une copine, je ne sais comment , je me souviens m'être branlé devant elles, elles regardaient des revues pornos sur le lit, je bandais, elles rigolaient et se moquaient, j'ai sortie ma bite et en un rien de temps , j'ai éjaculé. Par la suite dans la semaine j'ai voulu copuler avec la copine, elle n'a jamais voulu.
Même à l'armée, une fille qui aurait bien voulu, je n'ai pas pu, bloqué par son audace.
Je travaille à Paris en grande surface , je fréquente un fille, Sandrine, la fille d'une de mes collègues, une femme de 40 ans très sympa avec moi. Sandrine a 17 ans moi 20, elle est délurée, me mène en bateau, parfois me fait des bisous , pas plus.

Un jour ou je suis au centre commercial le Châtelet, je me retrouve à me promener rue st Denis, je découvre pour la première fois la prostitution et les sex-shops. Je n'osais pas entrer mais j'ai fais 10 fois la rue dans les deux sens, puis une prostituée de plus de 50 ans m'a abordée, j'ai cédé à ces avances, je lui ai dis que j'étais puceau, je suis monté avec elle, elle m'a lavé la bite, mis une capote, fait une fellation puis elle a écarté les jambes, m'a guidé et je l'ai pénétré. Voilà, je baise pour la première fois de ma vie, je n'ai pas tenu longtemps mais j'ai aimé cette sensation de moiteur, et cette éjaculation puissante, libératrice, soulageant.

Je ne sais comment aller plus loin avec Sandrine, sa mère est tendre avec moi, je ne comprends pas les signaux, je les quitte. Une autre femme dans la cinquantaine, la chef de caisse, devient elle aussi proche de moi, mais je l'ignore.
Je suis muté dans un autre magasin, une jeune caissière maghrébine,me plaît, sa mère aussi est employée du magasin et fait tout pour que je m'intéresse à elles. La jeune m'ignore, pas la mère. Mais je ne suis pas intéressé par une dame âgée.
Un soir ou je suis à attendre le train à St Lazare, je sors de la gare et arrive dans une petite rue ou travail des prostituées, n'ayant pas eu de nouvelle copulation depuis la rue st Denis, je ne résiste pas à une jolie blonde, je ne jouirais pas, impossible.
Je reviendrai dans ce cartier,un peu plus tard, mais cette fois ci, c'est une noire belle pulpeuse la cinquantaine, elle me fera bouffer son minou,une première, en 69 le nez dans sa chatte, puis je l'ai prise en levrette, j'ai déchargé ma semence en elle comme une bête.

Une nuit je traverse le bois de Boulogne en moto pour rentrer chez moi à Suresnes, une fille à un rond point traverse devant moi, je la trouve mignonne ,je fais le tour du rond point et l'aborde, je bande comme un cerf, elle m'entrâine derrière un arbre me suce et je la prends debout contre l'arbre, je lui tiens le ventre et la pénètre, je m’aperçois qu'elle a une bite, je lui demande si je peu la tenir, elle veut bien, je l'encule comme un malade, je n'ai jamais été aussi excité, je la branle tout en la prenant, avoir sa bite dans la main et la mienne dans son cul chaud, c'est une nouvelle sensation, elle se vide dans ma main et çà me déclenche mon éjaculation. C'est mon premier travesti, ce ne sera pas le dernier.

J'ai 24 ans, j'ai rencontré une fille qui deviendra ma première femme, Sophie.
Sexuellement tous va bien, je ne suis pas son premier, j'aime faire l'amour avec elle, j'explore le corps d'une femme et apprends plein de chose.
Un soir nous somme dans un train de banlieue, le wagon est vide, nous avons envie de faire l'amour, elle me suce, je vois la tête du contrôleur dans le hublot de la porte, il mate, je laisse Sophie continuer, puis je lui fais minette, et la prends, l'autre est toujours derrière la porte, je prends un pied terrible, elle aussi, quand elle joui elle couine, c'est encore plus excitant. L'affaire faite on reprend un allure innocente , le contrôleur passe, me souri, ne demande rien et disparaît.
Elle vient me voir parfois au boulot, et à ma pause il m'arrive parfois de la culbuter dans la réserve.
Un jour en été, il fait très chaud, tout le monde est habillé légèrement, un cliente qui discute souvent avec moi, la quarantaine,très tactile, arrive au magasin ,elle est en djellaba blanche , presque transparente, nue dessous , elle se pavane devant moi, elle réussi à me faire bander, Sophie arrive à ce moment là, me fait une scène de jalousie, je l'entraîne dans la réserve et quasiment je la viol, en levrette sur une palette.
C'est elle qui me fera comprendre que je plaisais « aux vielles »,qu'elles me tournaient autour. Et dire que j'en ai pas profité , quel erreur,il n'y as pas mieux que les femmes d'expérience assoiffées de sexe. L'avenir me le prouvera.

À partir de ce jour, je vis mieux certains signes de ces dames, j'ai rarement cédé, j'avais une copine avec qui je prenais toujours mon pied, mais parfois, des mères de familles toujours pulpeuses, m'ont attiré dans leurs filets. Leurs expériences m'ont apporté beaucoup, certaines voulaient se faire sodomiser, pour rendre encore plus cocu leur mari qui n'avait pas le droit de passer par Là .
Puis j'ai changé de boite, j'ai sympathisé avec une de mes nouvelles collègue Angel que je présente à Sophie, elles deviennent copines, mais elle à un gros défaut , elle super canon, eurasienne, j'ai droit à des scènes , alors que tout conte fait, elle ne m’intéresse pas. En revanche , il y a un mec ouvertement homo, qui me fait du rentre dedans, je ne cède pas, lui non plu ne m'intéresse pas, je suis persuadé d'être hétéro. J'ai eu tord j'aurais du, il m'aurait fait découvrir des horizons que j'ai visité bien plus tard.

Avec Sophie, nous passons une étape, celle du mariage, puis une maison, on veut des gosses.
Entre temps j'ai changé de métier, je suis électricien, puis dans le câblage réseau, je suis souvent en déplacement, on ne peut avoir d’enfants, çà se dégrade entre nous. Moins de sexe, moins d'amour, on décide de divorcé. la maison est en vente, elle a trouvé un appartement pour elle à 5kms, je l'aide à déménager, à chaque retour de déplacement, je passe la voire , et alors qu'il ne se passait plus rien entre nous, je la baise à chaque fois.


Je trouve un appartement à Paris, elle m'aide à déménager, je la vois moins souvent,par conte, je fréquente assidûment les travesties, il y en a une que je vois régulièrement, Claire, jolie, gentille, intelligente, pas vénale, ce n'est pas une prostituée bien qu'elle tapine, mais uniquement pour le sexe.
Nous sympathisons, souvent nous allons chez elle, c'est une femme sensuelle, elle porte de belles lingeries, cela m'excite beaucoup, elle le vois.
Un soir elle me donne un string à porter pour lui faire l'amour, un autre soir elle me met des bas et une culotte, puis une nuisette.
Maintenant elle veut que j'en porte à chaque fois que je viens, j’achète ma propre lingerie, je me sens de plus en plus fille avec elle. Je m'épile, c'est plus jolie.
Puis un soir, j'étais déjà en lingerie,elle me glisse des prothèses dans le sous tif, m'enfile une de ses robes, me maquille, me met une perruque, des escarpins, me fait marcher devant son miroir, je suis belle, je m'adore comme cela, je viens de découvrir l'autre moi.
Elle m'embrasse, me caresse, me dit des mots d'amour auquel je répond.
Elle m'allonge sur son lit, me fait sucer son clito que je n'avais jamais vue aussi gros et raide, j'avais juste l'habitude de le branler en la prenant.
Pour la première fois j'ai une bite dans la bouche, et j'aime cela, elle se met en 69 sur moi, retrousse ma robe, sort ma queue de mon string, et me suce aussi, j’essaie de faire comme elle, aussi bien, puis elle accélère ses mouvements, elle me baise la bouche, je suis au bord de la jouissance, elle aussi. Elle se dégage, s'allonge sur moi, m'embrasse .
– « ce soir tu seras ma femme » me dit elle.
Elle me retire la robe, me fait mettre à plat ventre, écarte mes fesses et lèche ma rondelle, c'est bon, je le lui dis, elle est douce, sa langue joue avec mon trou d'amour, je sens son doigt s'appuyer dessus, de plus en plus fort, elle crache dessus, je m'ouvre à elle, elle ne force pas, le bout du doigt joue dans mon sphincter, me l'assouplie, puis elle progresse doucement,prenant son temps, je gémis de plaisir, elle lèche mes fesses les mordilles, le doigt est en entier en moi, elle commence des petits vas et viens, sort re-rentre me faisant protester quand elle sort, crier quand elle rentre, j'ai maintenant deux doigts en moi, et je m'ouvre toujours plus, j'en veux plus, c'est doigts tapent sur ma prostate, je sens mon pré cum couler.
- « claire ma chérie, prends moi »
je la supplie de me baiser, de me féconder, je suis sa chose.
Elle retire ses doigts me laissant vide, mais elle est de nouveau sur moi, son vit sur ma rosette, elle l'appuie, je m'ouvre, l'absorbe, je n'ai pas mal, elle m'a bien préparée, je la sens prendre possession de moi, en douceur, lentement, au plus profond de moi.
– « c'est bien ma chérie, tu es à moi, tu m'appartiens, tu es ma femme, je te voulais depuis si longtemps. »
- « oui chérie, je suis à toi, baise moi comme une putain. »
Elle commence ses vas et viens, me laboure, me viol, sort de moi, me retourne sur le dos, lève mes jambes sur ses épaules et me possède à nouveau, elle me baise comme une femme, une putain,sa putain !
Je n'ai plus de limite, mon clito coule sans interruption, je suis prête à éclater, j'ai la chatte en feu, elle tape de plus en plus fort, de plus en plus vite, elle explose en moi, je sens son sperme chaud, me tapisser mon intérieur, c'est bon, je ne veux pas que cela s’arrête, c'est mon tour d'exploser, mon anneau se contracte sur sa verge, décuplant mon plaisir, mon foutre se répand en grands jets sur mon ventre, les premiers atteignent mon visage, ma bouche. Je cri de bonheur, de cette jouissance qui me ravage, me fait pleurer, je sombre dans une douce torpeur.

à suivre

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