Un jour sans fin (2 - L'arrivée)

Cette journée sans fin débuta dans mon salon, avec ma femme et prit fin des heures plus tard dans la maison de mon meilleur ami. Sept évènements, en sept chapitres pour ce jour d'été très intense. Nous arrivons chez Agathe et Paul.. PS : chaque histoire pourrait se lire individuellement.

Proposée le 26/10/2024 par Clem_D_Arcy

Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Les 40 kilomètres qui nous séparaient de chez Agathe et Paul furent longs, très longs. J’étais obnubilé par l’entrejambe de ma femme.
Savoir que Charlotte portait pour la première fois un string sous sa robe et ne pas pouvoir en profiter, me frustrait énormément. De plus, les alternances de lumières sur son haut blanc révélaient le bleu ciel de ses broderies de son soutien-gorge et les taches brunâtres de ses tétons. Il me semble que je pouvais aussi voir le relief de son piercing sur son téton.
D’habitude, elle ne portait que des soutiens-gorge coqués ne laissant rien apparaître. Elle voulait certainement se jouer de moi et faire monter l’excitation. Je dois avouer que c’était réussi, mais l’idée que mon meilleur ami puisse se rincer l'œil éveillait en moi, de forts sentiments négatifs. Bref, j’étais jaloux comme un pou.

Malgré cela, j’avais quand même tenté quelques approches tactiles sur l’autoroute.

Je t’ai dit non ! Tu attends ce soir.
Tu comptes changer ton tee-shirt au moins ?
Tu m’emmerdes, je n’ai que celui-là !

Fichu caractère Andalous...

Après une heure de route, nous arrivâmes chez Paul et Agathe.
Une jolie maison à la campagne entourée de vignes et de champs.
Fait rare, cela faisait un an que je ne les avais pas vus. Nos plannings respectifs nous avaient contraint de décaler nos retrouvailles à chaque fois.

Paul sortit nous accueillir.
Il avait grossi et pris un coup de vieux. Une chevelure grisonnante et une bedaine qui venait se déposer sur le dessus de son maillot faisaient leurs apparitions.
Agathe apparue à son tour. Elle était vêtue d’un bikini blanc qui mettait en avant les fines courbes de son corps. À chaque fois que je la vois, j’ai comme l’impression qu’elle est intemporelle. Je lui ai toujours connu ce même corps sec et ses courbes fines. Toujours ce même visage léger et ce regard rieur. Malgré ses deux accouchements, rien n’a bougé. Agathe le doit au cyclisme qu’elle pratique toujours malgré l’arrêt de la compétition. Cette pratique lui confère de magnifiques jambes et des abdos sculptés. Je remarquais tout de suite sa nouvelle coupe de cheveux et lui fit savoir. Un carré blond avec une couette en bataille tombant sur le dessus de sa tête. Cela la rajeunissait magnifiquement et lui donnait des airs d'adolescente.
À côté de Paul, le contraste de leurs corps était saisissant.
Je ne pus me retenir de le chambrer.

- La bouffe est bonne mon Polo?
- Héhé ! Je fais des réserves !
- Amaya et Louis ne sont pas là ?
- Tu connais Amaya, elle ne vous a pas attendu ! Elle est déjà dans la piscine. Son frère est chez les grands-parents.

Une fois entrés et les discussions de retrouvailles passées, je partis dans la salle de bain pour enfiler mon slip de bain.
Alors que je me déshabillais, l’excitation revenait en moi.
M'avait-elle quitté ? Non. Pas le moins du monde. Elle s’était même réveillée après avoir vu le maillot d’Agathe moulant ses petites fesses lorsque nous entrions dans la maison.
Je me posais sur le rebord des toilettes et saisissais ma verge. Je la sentais se durcir entre mes doigts. Elle grandissait au fur et à mesure de mes caresses. De lents va-et-vient en variant la pression. Mon regard se perdait dans le vague. Les souvenirs défilaient. Les grosses mamelles de ma femme dans cette lingerie bleu ciel. Imaginer ses gros tétons exploser dans la dentelle et vouloir les mordre. Bouffer ses tétines et son piercing. J’avais des pulsions animales. Je voulais la pénétrer de façon bestiale. Jouer de mes doigts avec son string et sa rondelle. L’avoir en levrette, string sur le côté et l’enculer comme un dingue. Par moments, je me surprenais à imaginer Agathe nue. Serrer ses petites fesses dans mes mains. Toucher sa peau de pêche. Mais une nouvelle vue aussitôt chassa ces images de moi. Je pris aussi conscience que je commençais à fantasmer la femme de mon meilleur ami et ne savais pas quoi faire de cela.

Dans mes pensées, mon regard s'était posé sur la panière à linge.
Je crus distinguer un tissu en dentelle beige qui était posé sur le dessus. C’était une culotte. Je la pris dans mes mains. Elle était sale. Il y avait des traces à l’intérieur. Les pertes avaient pris la forme des lèvres de la propriétaire. Quelques traits blancs entremêlés d’un peu de jaunâtre comme figés dans le temps.
Je l’examinais et la reniflais. À qui était-elle ? À Agathe ? Hmmm. Ou à sa fille Amaya ? Non un peu trop jeune. Ce mélange de soie et dentelle ne pouvait être portée que par une femme plus mûre. Mon sexe était prêt à exploser.
Je m’imaginais Agathe la porter une journée entière et me branlais à vive allure. Les douces odeurs de sécrétions mêlées à l’interdit que je franchissais m'excitaient comme jamais. Je reniflais la partie usée, mordillais le petit nœud de devant... Entre la frustration causée par Charlotte à la maison et cette culotte brodée de papillons, s’en était trop. Je tournais la culotte dans tous les sens. Le tulle sur le devant et sur le derrière me laissait imaginer que l’on pouvait y voir par transparence le départ de la fente ou la raie des fesses. Il y avait sur le devant, entre les broderies de fleurs, quelques trous. Que laisseraient-ils apparaître ? Une peau lisse ou une belle toison ? Les deux possibilités me plaisaient tant. Je me voyais bouffer, lécher tout ce tissu.

Tout d’un coup, la poignée de porte s’abaissa. La porte s'entrouvrit. Une silhouette apparue avant que la porte ne se referme aussitôt. D’un geste quasi-instinctif, je bondis pour tourner le verrou.
Qui était-ce ?
Je fus refroidi instantanément. La honte !
Quel con, j’avais oublié de la verrouiller.
Si c’était Paul qui m’avait vu ou bien sa femme ? Ou pire, Charlotte, ma femme ou Amaya ? J’étais dans la merde.
Il me fallait trouver une excuse très rapidement. Mon cerveau était en ébullition. Que dire ? Très vite, je compris qu’il n’y avait aucune excuse à trouver. Comment voulez-vous justifier face à quelqu’un qui vous a trouvé en pleine masturbation avec une culotte dans la bouche ?

Après cinq bonnes minutes à être paniqué à l’idée de sortir. La poignée de porte s’abaissa de nouveau.

- Bon, qu’est-ce que tu fous Doudou ?
- La voix de Charlotte me tétanisa de peur !
- Je sors, je sors !

Je pris mon courage à deux mains et sortis péniblement de la salle de bain. J’étais foutu, il fallait se résigner. Mais en passant devant ma femme, elle ne me montra aucun agacement.
J’essayais de déchiffrer quelques signes sur son visage mais rien. Ce n’était pas elle car ma femme est très expressive. Pour le meilleur et pour le pire...
Il ne me restait qu'à affronter les autres.
D’un pas vif, je partis en direction de la piscine où je croisais Paul, Charlotte et Amaya. À ma grande surprise, leur comportement était tout à fait normal. Charlotte lisait paisiblement sur un transat pendant que Paul et Amaya jouaient dans l’eau.
Il n’y avait donc pas d’esclandres.
J’étais à la fois soulagé mais déstabilisé de la situation.
Je me jetais dans l’eau et me joignais à la partie de volley-ball en cours.

Dans toutes ces personnes, quelqu’un m’avait surpris. Mais qui ?

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