Un jour sans fin (1)

Cette journée sans fin débuta dans mon salon, avec ma femme et prit fin des heures plus tard dans la maison de mon meilleur ami. Sept évènements, en sept chapitres pour ce jour d'été très intense.

Proposée le 16/09/2024 par Clem_D_Arcy

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Je débute ici ma toute première histoire que j'ai pris le temps d'écrire durant l'été. C'est à la fois excitant et vertigineux. J'ai hâte de lire vos retours.


Chapitre 1 : Le départ.

En ce début d'après-midi du 8 août, la canicule envahissait notre appartement.
Avec ma femme, Charlotte, nous crevions littéralement de chaud devant la télé. En pleine suffocation, me vint une idée : “si nous allions rendre visite à Paul et Agathe?” Ça faisait un an que nous ne les avions pas vus et je suis le parrain de leur fille aînée, Amaya. En plus, ils ont une belle piscine..
Ils habitent a la campagne, à peu près à 40km de chez nous. Le trajet se fait facilement par l’autoroute.

Paul est mon meilleur ami depuis l’enfance et nos rapports ne se sont jamais ternis. Nous avons fait les 400 coups ensemble, c’est un immense déconneur. Je suis ravi que notre amitié ait traversé toutes ces années. Sa femme, Agathe, est adorable. Mon entente avec elle fut immédiate. Nous avons le même humour et la même façon de penser. Il est rare que nous ne tombions pas d'accord sur un sujet. C'est une intellectuelle mais pas que, elle est une ancienne cycliste semi-professionnelle ce qui la différencie en bien des points avec ma femme.
Physiquement déjà.
Charlotte a une longue chevelure brune ébène, les yeux noir ténébreux et le teint bronzé. Elle n’est pas très grande mais de très belles rondeurs forment son corps.
Agathe est élancée, avec des petites fesses et des petits seins. Elle a des mèches blondes naturelles toutes bouclées et des yeux bleus pétillants.
Leurs façons d'être aussi sont très différentes.
Charlotte a un franc parlé et un côté sauvage qui lui va si bien. Elle est indépendante avec un caractère bien trempé qui lui vient de ses origines andalouses et populaires. Agathe, de son côté, est originaire d’un milieu très bourgeois. Elle a grandi à Versailles avant de venir s'installer dans notre région et de rencontrer Paul. Cette femme a une classe naturelle, beaucoup de douceur et de retenue. Je dirai sans me tromper qu’elles se complètent parfaitement et que nous avons beaucoup de chance avec Paul. Charlotte me libère de mon côté cérébral et Agathe apaise la fougue de Paul.

Je me lançais donc à les appeler. Ils nous attendaient avec grand plaisir, nous proposant même de rester dîner le soir. Parfait, il fallait se mettre en route!
Charlotte proposait de nous habiller directement et de prendre les maillots dans un sac. J’optais donc pour un pantalon en lin léger blanc cassé, et une chemise beige pour supporter la chaleur. A mon grand regret, mon short de bain était au linge sale. Il ne me restait qu’un pauvre slip dans un placard. Le ridicule ne tue pas mais je savais qu’un bon chambrage m'attendrait chez Paul..
Je préparais toutes les affaires, choisissais les bouteilles de vin puis attendais Charlotte, comme à l’habitude, assis sur une chaise de la cuisine.
Elle sortit de la salle de bain et apparu dans une belle jupe bleue d’été et un tee-shirt à manche longue noir.

- Tu vas crever de chaud avec ce haut en noir!
- Je sais mais c’est ma nouvelle jupe et j’ai rien d’autre à mettre d’autre.

Normalement je laissais tomber car il m’était impossible de lui faire changer d’avis mais là, quand même. Et puis je n’avais pas envie de l’entendre se plaindre toute la journée de la chaleur. Oui, Charlotte peut se plaindre beaucoup..

- Mais enfin.. La température ne va pas tomber d’ici cette nuit, tu n’as pas un autre haut plus clair ou à manches courtes?
- Oh tu me fais chier! J’ai rien d’autre.

Fait rare, elle partit dans son dressing en soufflant. Bataille gagnée pour cette fois. Elle en sortit quelques instants plus tard avec un débardeur blanc à la place du haut noir. Il mettait en valeur ses gros seins bien lourds et était légèrement transparent.
Quelle fut ma surprise lorsque je vis au travers du tissu, un soutien gorge que je ne connaissais pas. Tout en avançant vers elle, je lui demandai si c’était également nouveau.
Elle acquiesça.
Il était suffisamment transparent pour laisser apparaître quelques broderies claires et surtout, les taches brunâtres de ses tétons avec deux boules blanches côté droit. Oui, Charlotte a le téton gauche percé et c’est très sexy!
Je sentis des électrochocs dans mon bas ventre et le sang affluer dans mon entrejambe. Le fait d’avoir découvert la surprise l’a rendait excitée. Je le voyais dans son regard rempli de flammes. Il me fallait tout découvrir et tant pis si nous serions en retard. Je me lève de ma chaise et m’avance vers elle.

- Non pas maintenant Doudou, on va être en retard!

Elle ne me repousse pas. Je passe ma main sur son tee shirt puis la monte jusqu'au-dessous de son sein droit. Je sens les baleines de son soutif. Je peux aussi sentir tout le poids du sein qui pèse dessus.
Mon pouce remonte pour caresser les reliefs des broderies et effleurer son piercing. C’est beau. Je me mets à l’embrasser à pleine bouche. Sa langue vient au contact de la mienne.
Son téton épais se durcit au contact de mes phalanges. J’attrape à pleine main sa mamelle bien lourde. Mon autre main parcourt ses fesses au travers du tissu de sa jupe, ne trouvant rien que le contact de sa peau.
Est elle nue sous sa robe?
Sa respiration, haletante, se fait ressentir dans mon cou. Son entrejambe se frotte sur ma cuisse. Je me sens à l’étroit dans mon caleçon, prêt à exploser. D’un geste rapide, je lui retire son tee shirt.
Apparaissent devant moi, ses deux gros obus que je connais si bien, retenus dans une dentelle bleu ciel exquise et quasi transparente. Je ne peux m'empêcher d’embrasser les quelques fleurs brodées puis de mordiller ses gros tétons qui pointent au travers. Je joue avec son piercing. Sa tétine toute dure pourrait déchirer la dentelle fine.
Sa main, attrape mon paquet avec vigueur. Elle le serre puis le relâche par intermittence.
Je descends mes baisers, parcourant la petite couche de graisse sur son ventre bronzé. Je suis à genoux devant elle. Mes mains descendent à ses chevilles puis remontent le long de ses jambes douces jusqu’à atteindre le plis de ses fesses.
Rien que de la peau, lisse.
Elle est nue. Je m’engouffre dans son entrejambe et je sens un bout de tissu.
Elle qui ne porte que des culottes, aurait-elle mis un string?
Pour la première fois?
De toute évidence, oui.
J’ai envie d’exploser. Mes doigts dans son sillon parcourent la ficelle de haut en bas. Je sens sa rondelle de part et d’autre, puis le tissus humide contre son sexe bouillant. Lorsque j’effleure le devant, je sens des broderies aussi. A coup sûr c’est un ensemble. Je ne peux me retenir, je sors mon sexe tout gonflé et commence à me branler devant elle, sur mes genous. Mon autre main vient attraper le bas de sa jupe pour la soulever et m’engouffrer à l’intérieur. Je veux voir ce string et le bouffer.
Sa main me stoppe d’un coup net. Et dans un souffle d’excitation :

- On a pas le temps, ils nous attendent!

Je fais abstraction de cette phrase et décide de repartir à l’assaut.
Elle m’arrête une deuxième fois.

- Stop! C’est non! on prendra le temps au retour.

Bataille perdue. Elle se dégagea de moi, remit son débardeur, prit le sac d'affaires et sortit dans le couloir.
Je rangeai péniblement mon sexe dans mon pantalon après avoir décidé de retirer mon caleçon pour plus de places. Un soupçon de jalousie mélangé à la frustration s'immiscait en moi.

- Tu ne vas quand même pas garder ce haut transparent?

Pas de réponse. Elle était déjà partie à la voiture.
Cette journée commençait très fort…

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