DÉCOUVERTE DU SAUNA LIBERTIN (2 de 3) – Sans discussion et sans justification !

Notre petit couple, emballé par sa première visite au sauna libertin décide d'en remettre une couche et y retourner. Ce type de club échangiste est mieux adapté à leur délires sexuels. Mais, sauront-ils y trouver la même effervescence. Voyons cette première partie intitulée: "La soirée du rejet..."

Proposée le 29/03/2024 par Nath et Mitch

Thème: Couple, passion
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman

« Comme mentionné dans notre précédent chapitre, nous avons bien aimé notre découverte du sauna libertin, le 3333 à Montréal. Nous avons par la suite participé à deux autres grandes nuits de sexe débridé avec nos amis Sophie et Louis. De longues nuits festives remplies d’orgasmes multiples, principalement pour Nathalie et Sophie.

Nous avons décidé de retourner au sauna, Nathalie et moi, un samedi soir. »

La soirée du rejet… (Première partie)!

Afin de nous préserver un peu pour cette nouvelle sortie, d’un commun accord, nous annulons notre grande messe sexy du vendredi soir, se contentant de se caresser et baiser tendrement en amoureux dans notre grand lit avant de nous laisser aller dans les bras de Morphée.

Par contre, fidèle à la tradition, je me fais réveiller par ma petite salope assise à califourchon sur mes cuisses et qui me masturbe lentement avec son joli sourire du matin. Elle finit empalée sur ma queue et prend un pied d’enfer grâce à son ondulation du bassin qui lui permet de masturber son gros clito sur mon bassin. Elle me vide également les couilles au passage. Bref, je ne m’éternise pas sur cette scène que je vous répète souvent d’histoire en histoire.

Dîner à la maison, peu alcoolisé pour tous le deux et en route pour notre trajet de 150 km vers Montréal.

XXX

Nous pénétrons dans l’établissement vers 21 heures. Nous louons cette fois une chambrette, située tout près des casiers. Nous pouvons ainsi nous déshabiller et nous installer sans être dérangés par les collants ! La chambre est minuscule?; elle ne contient qu’un grand lit double couvert de draps avec deux oreillers et une simple chaise placée au pied du lit.

Après nous être déshabillés, nous partons en exploration. À travers le sous-sol pour s’arrêter à la douche.

- Tu as envie de te faire caresser sous la douche ma petite chérie ?
- Ouiiiiiiiii, me répond-elle avec un grand sourire coquin.

Nous entrons dans la grande douche italienne vitrée et nous nous enlaçons tendrement sous l’eau. Nathalie a le dos tourné vers la grande vitre. Après une bonne pelle langoureuse, je la fais retourner face à la vitre, prends ses deux mains pour les élever en « V » et les appuyer sur la vitre pour exposer son corps magnifique à tous les voyeurs.

Je prends du savon dans mes mains et je commence à lui savonner doucement les épaules. Je passe mes mains sous ses bras et commence à lui savonner vigoureusement sa magnifique poitrine, tout en caressant le bout de ses mamelons déjà tendus. Durant tout le processus, elle se dandine sur ses jambes.

Soudainement, je sens une main se poser sur mon épaule gauche, je me tourne et aperçois Kimberly, la belle dame à l’opulente poitrine qui nous avait fait faire le tour du propriétaire lors de notre visite initiale. Elle est nue, avec une grosse poitrine mature toute ronde, un peu tombante. Ses auréoles sont larges de couleur rose avec de beaux mamelons. Elle me fixe d’un regard de braise et me chuchote à l’oreille :

- Je peux prendre votre place, monsieur, pour profiter de ce corps sublime ?

Sans lui répondre, je me place de côté et elle prend ma place en passant ses mains sous les bras de ma femme. Elle s’approche de son cou pour lui donner de tendres baisers un peu partout et d’un coup, ma femme se retourne vers elle, un peu étonnée.
Elle me fixe, me fait un sourire et enroule ses bras autour de la tête de Kimberly pour l’embrasser langoureusement durant un long moment, toujours sous le jet de la douche.

Puis au bout d’un moment, la plantureuse blonde cesse son baiser et s’approche de Nathalie pour lui chuchoter à l’oreille :
- Si tu savais ma belle à quel point j’ai envie de te dévorer tout rond?!
- C’est un plan qui pourrait nous intéresser, nous avons une chambre.
- Oui, mais sans ton « vieux », si tu vois ce que je veux dire…
- Tu sais ma belle, nous avons des règles et l’une d’elles stipule « jamais un sans l’autre ».
- Oui, mais tu pourrais peut-être y déroger juste pour un soir ?
- Vois-tu ma belle, la première fois que j’y ai dérogé, il m’a laissé en plan et est parti sur une croisière échangiste avec sa meilleure amie. La seconde fois, lors d’une soirée à la maison, il s’est enfermé dans la chambre avec une plantureuse blonde qu’il a fait jouir du cul, ce qui ne m’était pas encore arrivé.
- …
- Alors, sur une échelle de 1 à 10, qu’elles sont les chances, crois-tu, que j’aille m’enfermer seule avec toi ce soir dans une chambre ?
- Ça va?! Je comprends. Répond Kimberly en se retirant. Dommage…
- Dommage pour toi ma belle, tu ne sais pas la quantité d’orgasmes que tu viens de laisser passer.

Nathalie revient vers moi et me dit tout simplement :
- Elle ne voulait pas t’avoir dans les pattes…
- Je t’aime mon amour.

XXX

(Dans la tête de Mitch) - Je me sens tout drôle d’un coup, c’est la première fois que je suis rejeté par une autre personne. J’ai comme une boule dans la poitrine, ça ne m’est jamais arrivé auparavant. Bref, je garde ça pour moi et je ne crois pas utile d’en parler à Nathalie.

XXX

Nous sortons de la douche et nous allons vers le sauna sec pour se sécher un peu. Nous nous assoyons tous les deux nus sur le banc supérieur. Nathalie se tourne vers moi et me fait un tendre baiser tout en me prenant la main. Bien sûr, il y a des hommes qui nous suivent, ou plutôt Nathalie. Ils entrent, se masturbent en fixant ma belle qui ne manifeste encore une fois aucun intérêt.

Nous sortons de la douche et nous dirigeons ensuite vers la salle des couples.

À l’intérieur sur les matelas dans le coin de la pièce, il y a le gars de l’autre jour (le pas fin) qui prend sa femme en levrette. Au centre, une femme est assise appuyée contre le mur avec son mari et se masturbe en regardant un couple dont l’homme défonce littéralement une femme, couchée à plat ventre. Il la défonce avec une intensité inouïe et la dame ainsi culbutée n’arrête pas de gémir.

Nous nous plaçons sur deux chaises situées entre les deux petites tables rondes. Ma femme regarde vers le gars au fond tandis que moi je sors mon chibre et commence à me masturber en fixant la dame en face qui se masturbe. Elle doit avoir, dans la jeune quarantaine, une belle paire de seins bien ronds et me fixe soudainement du regard.

Nathalie se penche vers moi et me chuchote :
- Désolée mon chéri, elle n’est pas de ton calibre !
- Qu’est-ce que tu en sais mon amour ? lui dis-je, un peu subjugué par cette remarque.

La femme se mouille deux doigts dans la bouche, toujours en me fixant, puis reprend sa masturbation lente. Elle a un regard de braise et passe sa langue le long de ses lèvres.

Je me tourne vers Nathalie qui suit de près notre interaction et je lui dis :
- Tu vois, je pense qu’elle a envie d’un vieux pervers la dame.
Elle se penche vers mon oreille et me chuchote :
- STOP CODE ROUGE !

Je fais un sourire à la dame, me lève, prends ma serviette, l’enroule autour de mes hanches et tends la main à Nathalie afin de quitter la pièce, sans protestation et sans discussion. Dès que nous sommes sortis, je la prends dans mes bras et lui roule une pelle langoureuse.

- Je t’aime au-delà de la raison, mon amour. Tu es la femme de ma vie?; n’oublie jamais ça?!
- Tu es le plus merveilleux des hommes, mon amour.

Je la prends par la main et nous nous dirigeons vers la chambre des fantasmes.

XXX

(Dans la tête de Nathalie) – Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai une poussée soudaine de jalousie. Lui qui n’hésite pas à me partager avec des inconnus et qui y prend plaisir, moi, je viens de lui enlever sa chance de baiser avec une inconnue. En plus, je m’attends à ce qu’il critique, me fais une tête, mais non, il m’enroule, m’embrasse tendrement et me fait le plus beau des compliments.

(Dans la tête de Mitch) – Si Nathalie ne la sent pas la dame, je n’ai pas de problème avec ça. En fait, mon orgasme, si on peut appeler ça un orgasme, je l’ai eu dans ma tête. Le fait que cette femme quand même assez jeune soit intéressée à se faire culbuter par moi… À côté de l’autre poufiasse dans la douche tantôt, c’est bien assez pour moi.

XXX

Nous entrons dans la chambre des fantasmes. Il y a quelques couples assis çà et là sur les matelas et plusieurs hommes seuls. Nous nous assoyons sur le banc situé en face de la grande table de massage au centre de la pièce.
Nathalie est assise à ma gauche au bout du banc, et défait sa serviette. Rapidement, un homme vient s’asseoir à ma droite.

De l’autre côté de la table de massage, un peu de biais, il y a un homme très bandé qui se masturbe en fixant Nathalie du regard. Je me penche vers elle et lui dis :

- Regarde à droite de l’autre côté, il y a un gars qui se masturbe pour toi…
- Tu veux que je l’allume un peu ?
- Bien oui, on est ici pour s’amuser…

Je passe mes mains sur la chatte de Nathalie et elles déjà bien mouillée. Je me retire?; elle regarde l’homme et glisse ses doigts dans sa chatte avec sa main droite. Elle porte sa main gauche sur son sein pour titiller et étirer son mamelon. Elle fixe le gars droit dans les yeux et passe sa langue le long de ses lèvres.

- Regarde, le gars se masturbe toujours, mais je pense qu’il vient vers toi…
- Hummmm, me dit-elle en me faisant un sourire complice.

Lentement, le gars arrive et continue à se masturber directement devant elle. Il est très bandé, mais son chibre reste dans la moyenne masculine, ni petit ni gros. Elle se mord la lèvre en lui jetant un regard de braise et ce dernier s’accroupit devant elle.

Il semble subjugué par la grosseur de son clito qui est tendu au maximum. Nathalie écarte ses jambes de chaque côté du gars et les appuie sur la table de massage tout près. Elle a la chatte complètement ouverte.

Elle me jette un coup d’œil, me fait un sourire, se tourne vers le gars et lui dit :
- Masturbe-moi avec tes doigts.

Le gars la fixe du regard et fait pénétrer deux doigts dans sa chatte. J’imagine que ses doigts sont repliés vers le haut parce que Nathalie émet de lourds gémissements. Il accélère la cadence et Nathalie gémit de plus en plus, de petits jets de cyprine coulent de sa chatte.

Du coin de l’œil, elle aperçoit un autre homme sur sa gauche vêtu d’un boxer très moulant et qui affiche une matraque vraiment hors norme. La bête doit mesurer dans les 20cm et le tour un peu plus gros que moi. Tandis qu’elle continue de se faire masturber par l’homme accroupi devant elle, elle tend sa main gauche vers l’inconnu qui s’approche. Elle saisit alors son sexe dans sa main gauche et le presse fermement. Elle le caresse vigoureusement en fixant le regard de l’homme.

Il se penche vers elle alors qu’elle repose ses deux jambes au sol, tout en repoussant son bienfaiteur du devant. Elle s’approche et l'inconnu lui roule une pelle d’enfer. Puis, elle descend la petite culotte du gars vers le sol et le gros monstre tendu lui apparaît directement sous son nez.

Elle le prend de sa main droite, fait quelques bonnes léchées sur son gland, passe sa langue tout le long de la hampe. Elle lui fait une masturbation lente de sa main droite et le prend dans sa bouche pour le sucer comme une morte de faim, toujours en fixant l'inconnu droit dans les yeux.

Au bout d’un moment, elle se lève (dos à moi), enroule sa main gauche autour du cou de l’inconnu et l’approche pour lui rouler une autre pelle torride. Elle continue de masturber la matraque de sa main droite.

Le gars interrompt le baiser et s’approche de son oreille pour lui dire :
- Tu as envie de te faire défoncer par une grosse bite ma belle ?
- J’en bave, tu n’as même pas idée.
- Alors, viens de coucher sur le matelas de l’autre côté.

Ma belle s’en va avec le gars de l’autre côté et se couche sur le dos, jambes bien écartées en fixant l’inconnu pendant qu’il prépare un condom.

À ce moment, c’est comme si je n’existais plus. Pas un seul regard, pas de sourire, toute notre complicité a soudainement disparu. Sans dire un mot, je me lève, replace ma serviette autour de mes hanches et me dirige vers la porte, sans lui jeter un seul regard. Je sors de la pièce. Je suis tétanisé.

Pendant que Nathalie fixe le gars du regard, elle me voit quitter la pièce sans la regarder. Elle crie :
- MERDE, MERDE, MERDE !

Elle se lève d’un coup, va récupérer sa serviette sur le banc et sort de la pièce en courant.
En se tournant, vers sa droite, elle me voit marcher lentement vers la douche. Elle s’amène rapidement dans mon dos et me dit :

- Chéri, chéri, chéri arrête s’il te plaît. Je m’excuse, je m’excuse, ARRÊTE !
- Qu’est-ce qui se passe ? vous avez déjà fini ? lui dis-je en me tournant vers elle.
- Non, je t’ai oublié un instant, j’étais dans une bulle, je m’excuse tellement, j’en suis tellement désolée, je me sens comme si je t’avais trompé, je m’en veux tellement, me dit-elle en se mettant à pleurer à chaudes larmes.
- …
- Je suis sans mot mon chéri.
Son regard est d’une telle tristesse, ses yeux coulent comme des robinets. Je ne me souviens pas l’avoir vu aussi triste depuis que nous sommes ensemble.
- Tu sais mon amour, lui dis-je, ton plaisir a toujours été mon plaisir, pourvu qu’il y ait toujours cette complicité entre nous. Déjà que je me suis senti comme un rien que rien dans la douche ce soir avec Kimberly, c’est comme si tu en avais rajouté une grosse couche par-dessus.
- Non, non, non, me dit-elle en pleurant à chaudes larmes, je m’excuse, je m’excuse, je ne veux pas ça. Je suis tellement désolée mon amour, crois-moi.
- …
- Puis en plus, je t’ai fait une crise de jalousie et je t’ai empêché de prendre du plaisir avec une autre… En guise de réponse, tu m’as pris dans tes bras et tu m’as dit que tu m’aimais au-delà de la raison. Je me sens tellement moche que tu n’as même pas idée.
- …
— En plus, tu aurais pu simplement me dire "CODE ROUGE STOP" et tout aurait immédiatement cessé. Je t’assure?! Je t’aime plus que tout au monde, mon amour. Dis-le-moi?que tu m'aimes encore! J’ai besoin de l’entendre.
- Bien oui, tu le sais, tu es vraiment la femme de ma vie et tu le resteras pour toujours. Oublie ça, c’est peut-être juste une mauvaise soirée dans le système.
- Ah non, crois-moi, j’en resterai marquée pour un bon bout de temps. C’est comme si je venais de faire une grosse tache dans mon dossier.

Je la prends dans mes bras et l’embrasse tendrement.

Au bout d’un moment, je me recule et lui demande :
- Qu’est-ce que tu veux faire maintenant ? Veux-tu qu’on retourne tout simplement à la maison ?
- Non, j’ai besoin de réconfort, j’ai besoin de me sentir comme ta petite princesse. Je veux faire l’amour avec toi, pas me faire baiser, faire l’amour.
- D’accord, dans la chambre ?
- Non dans la salle des couples.
- Alors, allons-y.

Je la prends par la main et l’entraîne avec moi vers la chambre des couples.

XXX

(Dans la tête de Nathalie) – Je m’en veux tellement. C’est sûr que la matraque de l'inconnu m’a fait baver, je la voulais en moi, je voulais qu’il me défonce, mais comment puis-je être aussi débile pour un simple délire ? Je suis si triste à l’intérieur de moi, j’en ai oublié ma complicité avec mon mari et pour moi, cette complicité est aussi importante que l’amour. Il faut que je mette un frein à ces délires car il n’y a que deux options : soit qu’il me laisse tomber, soit qu’on devienne un couple ouvert et qu’on parte chacun de notre côté baiser avec qui l’on veut et quand on veut… Je suis sûrement la grande perdante dans ces deux options. Le connaissant, il finira par rencontrer quelqu’un avec qui il tombera en amour. Je me souviens que Chloé m’avait dit qu’il était moins une lorsqu’elle était intervenue dans ma chambre alors qu’il baisait par vengeance avec Gloria. Ils étaient assis en tailleur face à face, s’embrassaient langoureusement, il y avait de l’amour dans l’air. Lui-même m’a dit qu’il était déçu parce qu’il n’avait pas baisé, il avait fait l’amour. Bref, j’ai besoin d’être attentive parce qu’il veut uniquement mon bien et, surtout, mon plaisir. Je souhaite juste qu’il m’aime autant, sinon, je ne m’en remettrai pas… Depuis que nous nous sommes lancés dans ce jeu de luxure, je n’arrête pas d’être imbécile, je me tape de bonnes leçons de vie les unes après les autres. Est-ce qu’on ne va pas trop vite ?
Comment va se dérouler le reste de cette soirée… c’est à suivre.

XXX

La suite de ce récit sera publiée prochainement.

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