Cette jeune femme de 27 ans aime le sexe. Sans jamais se l'avouer, elle aime se sentir soumise. Ce soir elle va tomber sur un individu qui ne prendra pas de gants avec elle. Il saura la déniaiser et réveiller la salope qui sommeil en elle depuis trop longtemps.
Proposée le 3/09/2021 par Gagglalubrique
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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
Assise un vendredi soir sur un tabouret au bar du
club de mon cousin Felipe,
buvant bière après bière, je pense à la semaine de dingue que je viens d'avoir au travail.
Médecin depuis bientôt 5 ans, j'ai enfin mon propre cabinet.
L'espace n'est pas trop grand mais ce n'est pas le plus important non plus.
Pour me faire une place de choix dans le milieu médical je dois donc travailler trois fois plus dure que les autres.
Et cette première semaine j'ai tout donné. Ricardo, mon fiancé étant absent depuis quelques jours, j'avais prévue de rentrer tout de suite après le boulot, prendre une longue douche et me coucher tôt.
Mais Felipe m'ayant convaincu, je suis venue me détendre quelques heures au bar.
Après tout je suis une jeune femme de 27 ans, et on est vendredi soir.
J'essaie donc de distraire mes esprits déjà engourdis par l'alcool.
Mes pensées dérivent sur des couples se trémoussant et se pelotant sans gêne sur la piste de danse, sur d'autres qui bavardent tout simplement. Je prend plaisir à ce petit jeu , je détaille chaque homme , essayant de deviner leur âge, leur métier, leurs défauts et je souris.
D'un coup je ressens comme un malaise dans mon dos , la sensation est si forte, si persistante, que je me retourne.
Un homme debout près de la porte d'entrée, un verre à la main me fixe du regard.
Je ne peux voir son visage à cause du noir dans lequel est plongé le coin où il se tient.
Par contre lui peut m'épier à loisir. Cet homme doit surement se dire que j'ai une mine affreuse et ma robe ne convient pas à cet endroit, mais je m'en fou. Je ne suis pas là pour draguer de toute façon et peut-être qu'il ne me calcule même pas comme je le pense.
Renonçant à voir à quoi il ressemble, je continue mon petit jeu.
Faisant comme s'il n'avait été que le fruit de mon imagination débordante.
Une heure plus tard, ne pouvant ingurgiter quoi que ce soit d'autre je décide de rentrer chez moi.
-Cousine tu m'excuses? Comme tu vois, je suis seul au bar ce soir, je ne peux donc pas te raccompagner chez toi et tu ne pourras pas conduire. Je vais donc t'appeler un taxi
-Te fais pas de souci cher cousin. Je suis loin d'être saoule tu sais. Je récupère juste mon sac dans la voiture et j'appelle moi-même le taxi, promis
-D'accord, fais gaffe à toi
Je me dirige vers le parking du club, ouvre la portière du conducteur, m'assois sur le siège pour appeler un uber comme convenu.
C'est à ce moment là que je le revois , tapis dans l'ombre.
J'ignore ce qui peut me donner la certitude que c'est le même individu, je le sais c'est tout.
Je ne sais pas quel comportement adopter. Dois-je prendre mes jambes à mon cou? Mais quelque chose chez ce type m'attire et aiguise ma curiosité.
Je ne peux toujours pas distinguer ses traits, vu l'angle où il se tient.
Il est malin le salaud! Et s'il m'agressait? Il est appuyé sur une voiture, cigarette à la main. Comment a t-il su que je prenais congé du club?
Et que ma voiture se trouvait au parking? C'est sans doute une coïncidence, mais il me fixe sans arrêt.
-Qu'est-ce que vous voulez? J'ai..... eu...... un pistolet
Il ricane. Ça devient trop flippant, je vais appeller Felipe.
Il ne répond pas. Je ferais mieux d'appeller enfin ce maudit taxi.
Le sans-visage ne va rien me faire, jamais il n'y a eu d'agression par ici et pratiquement tous les habitués du club m'identifient comme la petite cousine de Felipe.
Il jette le mégot de cigarette et s'approche dangereusement de ma voiture.
Je suis comme pétrifiée, et à mesure qu'il s'approche mon pouls s'accélère.
Arrivé à une certaine distance il s'arrête net, le salaud veut que son visage reste caché parait-il
-Venez par ici gentille dame.
Seigneur, sa voix est autoritaire, avec une note de sensualité. Mais quel culot!
Pourtant je dépose le téléphone et sors de la voiture. Jamais je n'ai eue ce comportement ou ce genre de réaction face à un homme.
Quand j'arrive à sa hauteur, il m'embrasse à pleine bouche sans détour et me plaque contre le mur . Il me lâche un moment comme s'il veut me laisser l'occasion de m'enfuir.
Bien-sûr je n'ai pas le cran de le faire. La seule chose sur quoi j'arrive à rester concentrer c'est son odeur. Il recommence à m'embrasser avec passion et je répond sans hésiter á ses baisers, les yeux fermés en plus.
Son eau de parfum certainement un "golden challenge" me met dans tous mes états.
Je reconnais l'odeur du parfum car c'est le préféré de mon fiancé.
Jamais je ne m'étais comporter comme ça avec un homme et surtout je n'ai jamais ressenti ça.
Pas même dans les bras de mon futur mari et amant. C'est complètement dingue.
Il me pelote les seins, mon excitation monte d'un cran.
Je me fais agresser, et au lieu d'appeler à l'aider je fond dans les bras de mon assaillant. Il continue de m'embrasser passionnément comme si nos vies en dépend.
Il fait courir ses mains partout sur mon corps. Je me sens à la fois dégoûtée et excitée par cette situation, mon con est déjà inondé.
Soudain il s'agenouille, soulève ma robe et déchire sans vergogne ma culotte.
J'ai un hoquet de surprise, ce qui ne m'empêche pas de mouiller encore plus.
Il commence à me doigter sauvagement et passe sa langue sur mon bouton d'or.
Je couine, me tord, relève un pied pour lui donner plus accès à mon con.
Sa langue ne me laisse guère de répit, il aspire mon pauvre petit bouton avec force et voracité, tout en me doigtant.
Mes cris deviennent presque des hurlements. Il me met deux doigts en plus, gobe mon clitoris comme un morceau de viande.
Je ne tiendrai plus, il le sent et accélère son doigtage. J'en deviens folle, je commence à délirer, je parle sans savoir vraiment ce que je dis.
Et c'est là que l'orgasme vient, terrible, comme une tempête meurtrière.
Mon assaillant continu de me torturer avec sa langue quelques secondes qui me semblent une éternité. Enfin il se relève, me donne ses doigts à sucer, m'embrasse avec passion, se frotte contre moi.
J'ai l'impression d'être encore plus exciter qu'avant. Mais que m'arrive t-il? Qui est cet individu? Il me dit à l'oreille
-On se reverra ma jolie
- Non, je vous en prie
Voilà que je le supplie maintenant de me prendre, quelle honte! Mais ceci me dépasse. Il se détache de moi sans crier gare et me lance en ricanant
- Je te retrouverai ma jolie, c'était sympa
Avant que je ne réplique quoi que ce soit, il disparait dans la nuit.
Je suis excitée, en rage contre lui, contre moi. Comment j'ai pu me laisser faire?
L'effet de l'alcool s'est dissipé entre temps. Plus la peine de trouver un taxi. Je
prend le volant, vingt minutes plus tard je me gare devant l'immeuble de mon apart, je fulmine encore de l'intérieur. La nuit va être longue et le week-end un enfer.
À suivre.........
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Commentaires de l'histoire :
Sexy J
Pas mal mais j'aimerais que ça aille plus loin Plus explicite et plus dominant.
Posté le 7/02/2022
Caramélie
Cette histoire est tellement excitante ! Danger frustration tout y est...
Posté le 1/12/2021
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