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Un soir avec ma collègue Célia, partie 2

La suite de notre aventure terriblement érotique, seuls un soir dans l'entreprise... Nous allons traverser plusieurs endroits habituellement animés et bruyants pendant la journée, entièrement nus, nos corps vont se rapprocher et notre gêne va rapidement disparaître...

Proposée le 8/07/2024 par SydBarrett

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Nous sommes sortis dans le couloir pour nous diriger vers la production, et me suivant, tu as commencé à prendre quelques photos, puis tu m’as demandé de poser devant la porte de ton bureau, hélas fermée à clé. Ce que j’ai fait avec plaisir, regrettant toutefois que mon sexe n’ait pas complètement conservé la taille qu’il avait atteinte une minute plus tôt.

Un soir avec ma collègue Célia, partie 2 J’étais certain que tu étais aussi troublée que moi de nous retrouver tous les deux devant l’endroit où tu passais l’essentiel de tes journées de travail, regrettant de ne pouvoir y accéder pour y passer un moment qui, j’en suis sûr, aurait été particulièrement coquin … Nous nous sommes positionnés devant la vitre noire de ton bureau, admirant le reflet de nos corps nus. Je me suis placé dans ton dos, j’ai posé mes mains sur tes hanches, à la hauteur de ton tatouage de papillons, je les ai lentement remontées jusqu’à caresser tendrement tes seins qui se reflétaient sur la vitre, que je trouvais adorables, insistant sur les tétons durcis. Tu t’es mise à soupirer, ta joue est venue se coller contre la mienne. Ma main droite est lentement redescendue jusqu’à ta chatte, que j’ai d’abord effleurée, puis pénétrée d’un doigt jusqu’à sentir ton clito déjà humide, trahissant ton excitation. J’entendais ta respiration s’accélérer. Mon sexe avait repris de la consistance, mais lorsque ta main droite est venue l’effleurer, j’ai cru qu’il allait exploser.
C’était trop tôt ! Tu as du lire dans mes pensées en me chuchotant :
- On a le temps, fais-moi d’abord visiter …
Tu avais raison, il fallait profiter de ce moment unique qui, je le savais, ne se reproduirait jamais.
Nous nous sommes alors séparés et dirigés vers la prod, avons contourné la chaîne de fabrication, sommes passés devant le stockeur en direction des livraisons.

Tu as accéléré le rythme pour remonter l’allée, uniquement vêtue de tes tennis, offrant à ma vue ton magnifique cul musclé se contracter à chacun de tes pas. Le désir commençait à s’emparer sérieusement de moi, et ce n’est pas ce que tu as ensuite entrepris de faire qui allait calmer mes ardeurs !
Arrivés à hauteur d’une grande caisse prête à être expédiée, tu t’es allongée dessus et dans une position totalement impudique, jambes écartées, tu as commencé à te caresser en me regardant fixement, un petit sourire aux lèvres. J’ai senti le feu m’envahir, pendant que tes doigts s’activaient dans un rythme de plus en plus rapide. Tu as enfourné un doigt dans ta chatte, puis avec les autres tu as commencé à faire des allers retours.

Je ne m’attendais pas à une telle provocation venant de toi, comme si tu avais soudainement libéré toute pudeur. Jamais je n’aurais jusqu’à présent imaginé que tu aimes autant te donner du plaisir seule. Je ne ratais aucune miette de cette démonstration de sexe à l’état pur, aussi je n’ai pas pu m’empêcher de me donner moi aussi en spectacle en m’emparant de ma queue dressée à la verticale pour t’accompagner dans cette masturbation collective, chacun de nous les yeux rivés sur le sexe en action de l’autre

Soudain j’ai interrompu cette parade érotique, je ne voulais pas que la soirée se termine maintenant, et je voulais absolument te donner du plaisir avec mon sexe. J’ai pris ta main pour t’aider à te relever, j’ai porté à ma bouche le doigt humide qui venait de te pénétrer, et je l’ai léché avec délice, savourant le goût de ta mouille.
Puis nous nous sommes dirigés vers la porte qui donne accès à la qualité. Nous avons traversé le bureau de JLC pour nous retrouver dans le showroom. Je suis sûr que nous avons eu tous les deux la même pensée : se trouver complètement nus dans une salle où ont lieu tant de regroupements de personnes avait vraiment quelque chose d’irréel, mais tellement excitant en même temps …
Je ne voulais pas passer devant la chambre d'eesais sans y entrer. Nous retrouver nus dans cette pièce sombre où je m’étais si souvent déshabillé pendant que tu travaillais dans ton bureau était symbolique. J’ai ouvert la lourde porte, je t’ai laissée passer, tu m’as frôlé, j’ai admiré les courbes de ton cul quand tu as monté le petit escalier métallique. J’ai refermé la porte derrière moi, et nous nous sommes retrouvés face à face, figés par le silence étouffant de cette pièce, comme si nous étions prisonniers d’un kidnappeur à dix mètres sous terre. Cette ambiance particulière nous excitait. Nous n’avons échangé aucun mot, mais je suis sûr que nous ressentions la même impression, celle d’être emmurés tous les deux, nus, seuls au monde. Nous regardions nos corps sans bouger, j’ai senti mon sexe à nouveau se durcir sous l’effet de ton regard insistant. Je m’en suis à nouveau emparé, toujours dur, j’ai soutenu ton regard et j’ai entamé un lent mouvement de va et vient. Tu m’as observé pendant quelques secondes, puis tu as fait quelques photos.

Une fois de plus j’ai interrompu à regret mon plaisir. Nous sommes ensuite ressortis et nous sommes entrés dans la salle de réunion. Après un temps d’arrêt, tu es montée sur une table et tu t’es allongée sur le côté, tournée vers moi, le regard brillant. J’ai su à ce moment que les choses sérieuses allaient commencer ...
Je me suis approché, tu as replié ta jambe libre, accoudée, ton sexe offert, m’invitant à faire ce que j’avais envie de faire depuis un bon moment. Je me suis positionné debout devant ton visage, ma main aussitôt aimantée par ton pubis entièrement lisse, vierge de tout poil, comme je l’aime, puis j’ai fait parcourir un doigt le long de ta fente pour atteindre ton petit bouton que j’ai commencé masser tendrement. Tu as poussé un petit cri. Les yeux rivés sur le mouvement de ma main, j’ai eu soudain un sursaut lorsque j’ai senti ta langue chaude effleurer la base de mon sexe dressé, pour remonter jusqu’à son extrémité, puis recommencer, comme si tu léchais une glace … Et lorsque ta bouche s’est refermée sur ma cerise et que ta langue s’est mise à jouer avec, je me suis complètement figé sur place. Le temps m’a semblé s’arrêter.
Je me suis alors fait violence pour mettre un terme à cette scène exquise, je voulais respecter le plan que j’avais prévu de suivre. Je voulais que l’acte final se produise … dans mon bureau, là où nous avions déjà eu une brève mais ô combien excitante expérience lorsque, rappelle-toi, tu étais venue un jour en jupe te poster à côté de moi et que j’avais osé explorer l’intérieur de tes cuisses sous ta jupe pour me rendre compte que tu étais nue sous ton collant.
Tu t’es remise debout, tout contre moi, les seins effleurant mon torse épilé, les yeux rivés dans les miens. J’ai été pris d’une irrésistible envie de t’embrasser, mais je devais respecter tes règles, et nous nous sommes dirigés vers le couloir, puis mon bureau.

Je me suis assis sur mon fauteuil, tu t’es positionnée face à moi, les mains appuyées en arrière sur mon bureau, les jambes légèrement écartées. Tout se présentait merveilleusement bien. Je me suis avancé, le visage à bonne hauteur, j’ai doucement pressé mes lèvres sur ton sexe en ancrant mes mains sur tes fesses. Puis j’ai goûté l’intérieur des tes lèvres intimes avec vigueur, m’enivrant du parfum de ta cyprine. Dieu que tu sentais bon ! Tu as crié, fort, provoquant en moi un bref affolement, vite étouffé en me rappelant que les lieux étaient déserts. J’ai activé ma langue de plus belle, ton corps s’est mis à onduler. Alors tu as positionné tes pieds sur mon siège, de part et d’autre de mes cuisses, offrant plus d’espace à ma langue, prenant appui sur tes mains, tu as décollé tes fesses du bureau. Tes petits gémissements accompagnaient la montée en puissance de ton plaisir, m’encourageant à explorer ta vulve humide de plus en plus profondément pendant que ma bouche se plaquait contre les lèvres parfaitement épilées de ton sexe, tentant de temps en temps une petite incursion du coté de ta région anale pour tester ta réaction à cette délicieuse exploration. J’ai eu à ce moment l’orgueil de penser que tu avais fréquenté ton esthéticienne spécialement en prévision de cette soirée, comme je l’avais moi-même fait la veille, au cas où …

Vaincue par l’effort que tu venais de faire, tu t’es complètement étendue sur mon bureau, et pour m’offrir une nouvelle invitation au plaisir interdit, tu as replié tes cuisses à la verticale en les écartant. Je les ai agrippées de mes mains, tirant vers moi pour me faire avancer vers ton fruit offert. J’ai alors entamé une nouvelle dégustation de ton clitoris, en ajoutant cette fois la complicité d’un doigt, puis d’un deuxième, et, dans une cadence de plus en plus soutenue, je t’ai faite jouir une première fois. Je l’ai su lorsque tes mains se sont agrippées au bord du bureau, et que mon bureau s’est mis à trembler sous l’effet de convulsions répétées.

Tu es restée un moment immobile, essoufflée. J’ai pensé que notre soirée allait s’arrêter là. Mais c’était sans compter sur ton envie de sexe qui ne cessait de me surprendre. Tu m’as invité à me lever, puis tu t’es mise à genoux, et tu t’es lentement penchée en avant en même temps que ta main droite s’approchait de mes testicules. Tu les as caressés avant de les saisir et de refermer ta bouche sur l’extrémité de mon pénis. Tu as commencé un lent va et vient, puis ta main s’est déplacée entre mes cuisses, j’ai senti un doigt se frayer un chemin dans ma raie avant qu’il n’atteigne mon intimité anale. Tes mouvements se sont accélérés alors que ton doigt trouvait le chemin. Je me suis penché en avant, prenant appui sur le bureau, j’ai écarté les cuisses de part et d’autre des tiennes, j’ai creusé les reins et je me suis détendu, favorisant ainsi ta coupable pénétration. Alors je me suis complètement abandonné, savourant la vue de ta magnifique chute de reins en même temps que les à-coups de ta bouche à l’assaut de mon sexe. Il ne m’a pas fallu attendre longtemps pour sentir déferler une vague de plaisir, et je n’ai cette fois pas pu me retenir d’éjaculer dans ta bouche. Ivre de bonheur, je me suis retiré de ton emprise en repoussant en douceur ta tête des deux mains. Je me sentais coupable de ne pas avoir eu la force de me retenir, mais j’ai rapidement été rassuré lorsque tu m’as regardé en souriant, du sperme à la commissure de tes lèvres prouvant que je ne venais pas de rêver… Rassuré, je t’ai présenté la corbeille à papier, et tu as recraché le fruit de mon plaisir.

Mais tu n’étais pas rassasiée, loin de là. Tu as pris la décision de monter d’un cran en intensité notre expérience. Abandonnant ma queue encore ruisselante, tu t’es remise debout en effectuant un demi tour pour me présenter ton dos et tes fesses, que tu as magnifiquement mises en valeur en prenant appui sur le bureau, jambes légèrement écartées mais pas trop, comme dans un dernier accès de pudeur. Que devais-je faire ? Je ne voulais pas briser ce silence complice qui nous habitait depuis le début de notre rendez-vous. Mais lorsque tu t’es accoudée et que tu as creusé les reins, comme une invitation, écartant encore plus les cuisses, découvrant totalement ton intimité anale, j’ai eu la révélation de ce que je devais entreprendre : pratiquer sur toi une "feuille de rose". Je ne me suis pas fait prier, moi-même très fan, et totalement confiant dans ton hygiène anale.

Et quand ma langue s’est doucement insérée au centre de ta rosette, et que tu t’es laissée faire, j’ai su que j’avais deviné juste. Je l’ai goûtée un long moment, parfois tendrement, parfois sauvagement, tentant de la pénétrer, tout en insérant mon pouce profondément à l’intérieur de ton vagin et en te doigtant le clito de mon index, pendant que ton corps se contorsionnait de plaisir. Ma langue allait et venait depuis ton sexe jusqu’à la naissance de la raie des fesses, m’attardant toujours au passage sur ton fruit interdit, mon autre pouce prenant de temps en temps le relais pour une légère et douce pénétration anale, à chaque fois de plus en plus insistante. Et quand tu as pris appui avec ton genou gauche sur le bureau, creusant encore plus les reins, offrant un meilleur accès à mon exploration buccale, et que ta respiration ponctuée de petits cris de plaisir s’est accélérée, j’ai su que je devais continuer le plus longtemps possible. Mais au bout de longues minutes consacrées à cette somptueuse toilette intime, vaincu par la fatigue, je t’ai abandonnée pour mieux initier une autre expérience : je me suis levé à mon tour pour caler mes mains sur tes hanches, t’empêchant de modifier ta posture tellement impudique. Et comme si tu lisais dans mes pensées, comme si ce n’était pas notre première expérience, ta main droite s’est emparée de mon sexe qui n’avait pas connu de repos depuis une éternité. Tu l’as caressé longuement, puis tu l’as dirigé entre tes fesses jusqu’à ce que l’extrémité de mon sexe entre en contact avec ta rosette humide de ma salive. Je ne savais pas si je devais en forcer l’entrée, de peur de te faire mal. Mais j’avais tout prévu : j’ai ouvert le tiroir du bureau pour en récupérer une fiole d’huile lubrifiante. Aussitôt mon sexe badigeonné, je me suis remis en position pour cette fois augmenter la pression et vaincre la résistance de tes muscles anals en une pénétration que j’ai voulue la plus douce possible. J’ai regardé ma queue, dure comme du bois, lentement progresser en toi puis disparaître, plaquant mon pubis contre tes muscles fessiers afin de parfaire cette exploration illicite, comme si je venais d’introduire en toi un capteur enregistrant toutes tes émotions sexuelles. Dès lors, ne connaissant pas tes habitudes, je suis resté passivement logé à l’intérieur de toi, dans cet écrin doux et brûlant, désireux de m’occuper maintenant de ta chatte. Bien calé en toi, j’ai commencé à masser de mon doigt encore huilé ton clito pendant qu’un autre doigt venait poursuivre une longue pénétration.

Ton genou a délaissé le bureau, tu t’es retrouvée sur tes deux pieds de façon à ce que ton corps épouse le mien, favorisant ainsi l’activité de mes doigts. Tu m’avais un jour, dans nos conversations, appris que tu aimais la pénétration vaginale par derrière, et que la pénétration anale te plaisait de temps en temps. Je me suis dit à cet instant que je respectais le cahier des charges, du moins j’ai eu l’impression de le respecter lorsque, après de longues minutes, nos corps soudés, tu as à nouveau atteint l’orgasme en poussant des gémissements de plaisir.

Nous sommes restés longtemps figés, n’osant rompre le silence, attendant que le calme regagne ton corps, toujours unis par mon sexe tellement dur que j’aurais pu te soulever et te faire décoller du sol d’un coup de reins.
Hélas l’heure tournait, il fallait faire attention à programmer l’alarme pas trop tard et mettre un terme à notre duo. Ce moment unique, délicieux, devait prendre fin.
Je me suis lentement et tendrement retiré de toi, tu es restée un instant essoufflée, transpirante. Tu t’es redressée et m’a regardé, les cheveux un peu en bataille, le front perlant de sueur. Je t’ai souri, et nous avons quitté mon bureau pour aller récupérer tes vêtements.
Tu m’as laissé t’enfiler ta robe, encore tout émoustillé à la pensée que tu ne portais rien dessous depuis le début de cette journée. Je me suis accroupi et j’ai soulevé le tissu, découvrant ton sexe humide que j’ai longuement léché une dernière fois, pour en garder le goût le plus longtemps possible. Nous nous sommes dirigés vers la porte d’entrée que j’ai ouverte pour te laisser passer, et comme si tu avais voulu en profiter aussi, tu m'as attiré contre toi et déposé un tendre baiser sur mes lèvres, sans omettre d'y glisser ta langue humide, faisant voler en éclat notre pacte. Je suis sorti dehors, encore nu, le sexe tendu vers le ciel, pour te regarder t’éloigner. Avant de disparaitre dans la pénombre, tu t’es retournée et tu m’as souri. Alors j’ai eu un pincement au cœur, je savais que je venais de vivre un magnifique moment de complicité avec toi, qu’il ne se reproduirait peut être pas, et dont il ne me resterait que de doux souvenirs et quelques photos que, j’espère, tu me posterais un jour.

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