Un soir avec ma collègue Célia, partie 1

Cela fait longtemps qu'avec ma collègue Célia on joue au chat et à la souris. Récemment, notre correspondance secrète s'est enflammée. Elle se lâche de plus en plus, me provoque sans complexe en m'avouant ses fantasmes. Ce soir, nous allons vivre une expérience unique, seuls dans l'entreprise...

Proposée le 21/05/2024 par SydBarrett

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Ça faisait maintenant plusieurs mois que nous échangions tous les jours au boulot sur Dropbox, et nos discussions étaient devenues de plus en plus intimes, majoritairement sous mon impulsion. Tu n’étais pas aussi bavarde que moi sur le sujet sexe, mais tu étais loin de l’éviter, puisque régulièrement tu m’ouvrais les portes de ton jardin secret pour m’avouer de bien douces confidences, tout en me recadrant de temps en temps pour me faire comprendre qu’il n’y avait pas que le sexe dans la vie, même si tu adores le pratiquer.
Gênée au début, tu avais admis le fait que j’avais une attirance physique pour toi quand je t’avais avoué mes doux élans, mais l’idée avait fait son chemin et tu t’en amusais.
Et quand je t’avais raconté dans les détails ma première balade entièrement nu un soir dans l’entreprise déserte, j’avais décelé une certaine curiosité mêlée d’étonnement. Depuis, j’ai souvent renouvelé l’expérience, et tu t’es habituée à ce que je te raconte en détails mes petites aventures naturistes, d’abord brèves, puis de plus en plus osées, allant même jusqu’à me donner du plaisir, parfois me laissant aller à un orgasme seul. J’ai alors décidé d’agrémenter mes expériences érotiques de photos, et de te les montrer lors de nos échanges, au risque de provoquer une réaction négative de ta part, te connaissant fidèle et amoureuse. Mais ton silence m’a plutôt encouragé à continuer, et mon corps n’avait du coup plus aucun secret pour toi.

Par la suite, j’ai décelé dans tes propos que tu ne serais pas contre une petite expérience sans lendemain avec moi. Tu me provoquais en me suggérant de renouveler mes promenades naturistes et de m’en raconter les détails. Et un jour, à ma grande stupéfaction, tu m’as demandé si tu pouvais y assister...

D’un commun accord, nous avions convenu de nous retrouver un soir, seuls. Je m’étais déshabillé devant toi, et tu m’avais accompagné dans mon parcours. J’étais très excité par ta présence, même si tu étais restée habillée. Tu semblais toi-même très intéressée par la situation. Nous nous étions quittés très détendus, et le lendemain nos conversations ne tournaient plus qu’autour d’un seul sujet : notre escapade de la veille, tu m’écrivais que ça t’avait provoqué de l’effet de me suivre et de me regarder entièrement nu.
Par la suite, la surprise a été totale quand tu m’as avoué que tu aimerais vivre une nouvelle et unique expérience, cette fois nue toi aussi, et que si tout se passait comme tu l’aimerais, tu accepterais de faire tout ce que je voudrais ... sauf t’embrasser !
J’ai bien sûr immédiatement accepté, mais je suis resté sous le choc pendant plusieurs jours, tu as dû t’en rendre compte.

Il fallait que l’occasion se représente. Il s’était passé quelques semaines depuis notre premier rendez-vous coquin, je l’attendais avec impatience. Et celle-ci s’est enfin présentée : ce soir-là, il n’y aurait personne à partir de 18h00. De plus, tu étais venue au bureau en robe ce jour-là, et il m’avait semblé que tu t’étais débrouillée pour croiser souvent mon chemin, ce qui n’avait pas manqué de me faire saliver. Cerise sur le gâteau, tu étais seule quelques jours. Nous avions donc convenu que tu attendrais dans ta voiture sur le parking...

J’ai guetté fiévreusement qu’il n’y ait plus personne dans l’entreprise. Au moment propice, je t’ai envoyé un signal par texto, je suis allé me déshabiller et je me suis posté derrière la porte d’entrée, le cœur battant. Je t’ai vue arriver dans ta mignonne petite robe et tes tennis roses.
Je t’ai ouvert la porte, tu m’as gratifié d’un grand sourire en regardant fixement mon sexe qui s’était dressé en ta présence. A ma grande surprise, tu l’as effleuré de ta main, puis tu es entrée en silence, visiblement émue. Je t’ai prise par la main, et conduite dans la salle de repos. Là, tu t’es tournée de dos :
- Déshabille-moi, j’attends ça depuis ce matin …

J’ai tiré la fermeture éclair jusqu’en bas, et au fur et à mesure que ta robe glissait lentement vers le sol j’ai découvert ton dos nu, magnifique, sans soutien-gorge, puis la naissance de tes fesses et enfin la totalité de ton corps, réalisant que tu ne portais aucun sous-vêtement sous ta robe :
- Je me promène comme ça depuis ce matin, je ne t’ai rien dit, je voulais te faire la surprise !
Tu ne pouvais pas me faire plus belle surprise ! Tu t’es tournée vers moi, tu as regardé, amusée, mon sexe reprendre du volume. J’ai déposé ta robe sur une des tables rondes, puis je me suis agenouillé à tes pieds. J’ai placé mes deux mains sur tes fesses et t’ai attirée vers moi. Le contact de mes lèvres sur ton sexe, parfaitement épilé, a mis le feu dans mon ventre. J’étais dans un rêve, je n’avais pas envie de me réveiller. Je n’ai pas pu m’empêcher de goûter avec ma langue et ainsi me rendre compte avec bonheur que ton petit abricot avait connu d’autres liquides que l’eau de la douche du matin…

Après ce long baiser vaginal, tu m’as relevé, et tu as désigné ton portable :
- Ça te dérange si je prends des photos ?
- Bien sûr que non, à condition que tu ne les montre à personne, on pourrait me reconnaître avec mon tatouage !

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