Aicha et Si Bouzid se sont installés dans leurs ébats sexuels sans tenir compte de Mounir le mari cocu et faux frère de la femme. Ils l'ont oublié et il assiste en spectateur à leurs étreintes en chambre et même nus dans les rochers face à la mer. Et Mounir excité va trouver un zob pour sa Terma .
Proposée le 21/05/2024 par DALIDA
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
J’avais devant moi deux être totalement enfoncés dans les jouissances de leurs plaisirs sexuels et j’en étais jaloux et peut-être même un peu excité. La preuve, j’ai réussi à éjaculer facilement dès que j’ai vu le zob de l’homme s’enfoncer dans ma femme par derrière.
Est-ce qu’ils savaient qu’il y avait tout de même quelqu’un d’autre dans le bungalow ou bien ils m’avaient oublié dans le summum de leurs plaisirs sexuels, de leurs jouissances.
Surtout ma femme qui avait sauté cet interdit avec une vitesse déconcertante en m’oubliant totalement. Les caresses de l’homme sur sa cuisse dans le car l’avaient totalement ensorcelée et je vois devant moi, les conséquences de sa folle excitation et de ma faiblesse.
Alors que je m’essuyais difficilement le pantalon, j’entendis l’homme hurler lui aussi de jouissances. Il était arrivé au top et allait éjaculer une seconde fois. Effectivement ses soubresauts contre les reins de ma femme témoignaient des jets de sperme qu’il projetait dans les entrailles de mon épouse.
Ils restèrent ainsi un moment, et je voyais que l’homme parler ? la femme en l’obligeant rester en position, le derrière en l’air. Puis, il sortit son zob de la chatte. Il était légèrement courbé et luisant de sperme.
Il frotta son zob contre les fesses de la femme, puis avec un doigt mouillé de sperme, il essaya de lubrifier le sillon des fesses et l’anus de la femme.
Il a du essayer d’enfoncer son doigt dans l’anus de ma femme mais elle lui s’agita brutalement en lui criant des choses, donc elle refusait la sodomie. L’homme n’insista pas et lui dit qu’il ne fera que ce qu’elle acceptait, rien de plus.
Alors il se contenta de frotter son zob luisant de sperme dans le sillon des blanches fesses. Bien sur, j’étais sur qu’il le fera passer plusieurs fois par l’anus pour le sensibiliser.
Frotter son gros zob, lourd de désir et chaud d’excitation arrivera tôt ou tard ? aguicher l’anus et la Terma de la femme, ce n’était qu’une question de temps et de technique d’approche. J’arrivais presque ? comprendre ce que devait ressentir ma femme par ces attouchements sur sa Terma.
Frotter son gros zob, lourd de désir et chaud d’excitation arrivera tôt ou tard ? aguicher l’anus et la Terma de la femme, ce n’était qu’une question de temps et de technique d’approche. J’arrivais presque ? comprendre ce que devait ressentir ma femme par ces attouchements sur sa Terma.
Comme ma femme disait son refus de la sodomie, l’homme lui confirma encore une fois qu’il voulait seulement faire plaisir ? son zob en lui faisant ressentir la douceur des fesses de la femme et leur odeur affolante qui le faisait gonfler et frétiller de désir encore plus qu’avant.
Ma femme, ? ces mots, et certainement ressentant le gonflement du zob sur sa Terma, riait et exprimait son contentement de l’avoir excité encore plus, mais refusait toujours la sodomie.
A chaque passage du zob devant l’entrée de l’anus, l’homme appuyait un peu plus mais sans essayer de le forcer et il expliqua ? ma femme qu’à chaque passage, il avait de la peine ? freiner son zob dès que ce dernier sentait l’odeur enivrante de l’entrée de sa Terma.
Il expliqua ? ma femme que sa Terma était mouillée par un suc de désir qu’elle produisait et qui sortait un peu par son anus et lubrifiait son zob et l’excitait ? fond ? chaque passage.
Ma femme riait de ces mots et lui répondit qu’effectivement, sa Terma la démangeait un peu et elle voudrait bien laisser le zob la pénétrer pour la soulager, mais elle avait peur car elle n’a jamais fait cela.
L’homme n’insista pas et il dit de laisser qu’ils feront cela ? sa convenance lorsque la Terma exigera d’être soulagée. Et il retira son zob des fesses de ma femme.
Seulement, il était gonflé et excité, alors il le dirigea vers la chatte. et l’enfonça de nouveau jusqu’aux couilles, malgré le sperme qui continuait ? suinter. Comme ? chaque fois, cet enfoncement brutal jusqu’aux couilles fit hurler la femme de jouissances dans sa chattes et elle lui cria de la défoncer encore plus. Alors, l’homme se lança dans des vas et viens accélérés et puissants.
Ensuite,, il ressortit son zob, ce qui fit hurler la femme, mais il l’enfonça de nouveau avec violence encore une fois jusqu’aux couilles.
Ce second enfoncement fit exploser la chatte de la femme qui eu un autre orgasme et avec un hurlement hystérique expulsa son suc de jouissances. J’ai eu l’impression qu’elle perdit conscience, vu le relâchement de son corps après son orgasme.
L’homme continuait ses vas et viens rageurs et accentués malgré le jus de l’orgasme féminin et les restes de son propre sperme, qui inondait encore la chatte.
J’entendais les clapotis des mouvements des deux sexes mouillés et l’homme résista encore cinq bonnes minutes avant d’atteindre encore une fois son top. J’ai vu qu’il n’éjacula que deux fois, car il devait être assez fatigué.
J’en ai assez vu, alors je me suis éclipsé dehors, juste au moment ou l’homme passant par le salon, était allé, toujours nu et le zob se balançant à droite et à gauche dans un mouvement affolant, vers la salle de bain. De l’extérieur, et juste après, j’ai vu aussi ma femme, le rejoindre mais couverte de son peignoir.
Je suis allé ensuite vadrouiller dans les environs pendant une bonne heure et je suis revenu au bungalow. L’homme n’était pas la et ma femme, en tenue normale d’intérieur, préparait des choses dans la cuisine. Elle m’a regardé fixement, mais comme je n’ai rien dit, elle a tourné la tête et a continué son travail.
Le soir, on a diné tous les trois, normalement et comme on était fatigués, eux beaucoup plus que moi, on s’est vite endormi sans autre problème. Dans mon lit j’ai toutefois, repensé ? mon attitude et ? celle de ma femme. J’arrivais sans difficulté psychologique ? comprendre l’abandon de ma femme ? cet homme qui croyait que j’étais son jeune frère.
Elle lui a dit qu’elle était veuve libre et en vacances aux thermes, accompagnée de son jeune frère. Donc, l’homme la baisait en toute liberté et ignorance de ma situation réelle.
Elle a joué le rôle qu’exigeait d’elle sa chatte, affolée par les caresses de ce mâle puissant et engagé. Et comme je ne réagissais pas assez, elle s’est totalement abandonnée aux désirs du zob et du sexe.
C’est ma faiblesse que je ne comprenais pas bien. Au début, j’avais pris leurs caresses presque pour un jeu excitant et que tout sera terminé ? notre arrivée ? Zelfana.
Mais quant j’ai vu ma femme lui répondre en lui caressant son zob, dans le car, sous la couverture, j’ai été pris dans un tourbillon d’excitation et d’étourdissement sexuels et j’ai laissé faire.
Après c’était trop tard. Et dans le bungalow, j’ai presque eu du plaisir en les observant baiser et je me suis masturbé. J’ai agi et continué ? le faire comme si ce n’était pas vraiment encore ma femme.
Impression que je ressentais encore maintenant, et j’ai accepté de jouer le rôle de jeune frère qu’elle m’a alloué. Nous allons donc continuer ainsi. On verra.
Les jours suivants, notre programme était très simple. Le matin Si Bouzid se lève le premier vers 07h, et il me réveille. Je vais dans la salle de bain pour me laver rapidement puis toujours en pyjama, je vais acheter les croissants et le pain au magasin très proche.
A mon retour Bouzid a déjà préparé le petit déjeuner et il pose le sien et celui de Aiche sur un petit plateau et il porte le tout dans leur chambre et ferme la porte. Moi, je reste dans la cuisine pour manger puis je rejoins ma chambre pour m’habiller avant de sortir et courir vers la plage.
Généralement, avant de sortir je les entends qui baisaient de beau matin dans leur chambre. J’entendais nettement leurs chuchotements et rires étouffés puis leurs gémissements et cris de plaisirs, surtout de ma femme.
Et souvent ce n’est que deux heures plus tard qu’ils viennent à la plage en tenues légères. Ensuite ils se baignent et s’amusent avec les gens, surtout Aicha qui est souvent entourées d’hommes qui essayaient de la draguer vu son deux pièces serrés sur ses seins qui débordent et sur ses fesses qui débordent aussi à droite et à gauche.
Même son pubis gonflé et sa fente à la forme visible dans son minuscule maillot attiraient tous les jeunes gens et les hommes de l’entourage.
Et Si Bouzid était certes fâché mais il ne pouvait rien faire car c’est elle qui commandait. Après ils s’allongeaient sur le sable et c’est alors que son amant pouvait la caresser, sur les fesses et sur le bas ventre. Et elle aussi pouvait lui manipuler le zob sous son slip. Et Ils s’enfuyaient la bas sous les rochers pour baiser tous nus.
Ensuite ils reprenaient leur baignade et amusements avec les gens puis vers 14h ils reviennent à la maison. C’est Si Bouzid qui, généralement prépare les légers casse croute ou les déjeuner selon ce que Aicha désirait, puis ils prennent la voiture de Si Bouzid pour aller visiter les autres plages de la région ou se promener en ville.
Ils reviennent en fin d’après midi, vers 19h en ramenant avec eux de gros casse croute consistants et des fruits qu’ils déposent. Puis ils baisent dans leur chambre jusqu’à 21h environ avant de diner.
Enfin ils descendent en tenues semi légères vers la plage pour assister et participer aux fêtes et soirées dansantes organisées chaque soir au bord de la mer. Ils ne reviennent que vers 02h ou 03h du matin pour baiser encore et dormir.
Moi, généralement ils m’oublient et je me baigne loin d’eux et quant je monte à la maison, je profite un peu des casses croupes de 14h et de 20h.
Au début j’ai suivi avec attention leur planning quotidien et j’espionnais quant ils baisaient nus sous les rochers. Mais dès le troisième jour, j’ai décidé de les observer seulement de loin ou pas du tout.
Et c’est à ce moment que je me suis fais un jeune ami Aziz. Ses parents étaient en vacances et logeaient dans une maison bungalow comme nous à quelques deux cents mètres loin du notre.
Aziz est un beau jeune de mon âge, de teint très clair, presque blond et bien potelé surtout ayant une large croupe. Il était gay depuis l’enfance et actuellement, il était pris en charge par un homme nommé Sabri âgé d’une cinquantaine d’années.
Cet homme était très brun et poilu de poitrine et de cuisses et il amenait le jeune Aziz du coté des rochers pour le sodomiser en cachette. C’est là que je les ai découvert la première fois, alors que j’espionnais Aicha et Si Bouzid qui baisaient pas très loin.
L’homme Sabri m’avait vu mais il a continué à niquer la Terma de Aziz.
Et ce n’est que plus tard, dans la mer, alors que nous nous baignions ensemble qu’il m’a reconnu et l’a dit à Aziz avec lequel j’ai tout de suite sympathisé puisque j’étais moi-même gay.
Et je l’ai avoué tout de suite à Aziz et à son amant Sabri et en riant de la bonne coïncidence, nous avons continué à nous baigner ensemble.
C’est alors que Sabri commença à s’intéresser à moi et à me peloter les fesses et à m’enlacer étroitement. Je ressentais son zob gonflé dans son maillot qu’il frottait contre ma croupe et faisant rire son ami Aziz.
Ensuite, il a discuté avec Aziz et ils m’ont invité tout de suite à aller ensemble vers les rochers. Sabri m’a chuchoté que son zob avait envie de faire connaissance avec ma Terma contre laquelle il bandait fort déjà.
Et nous nous sommes caché tous les trois, dans les rochers où Sabri et nous avons enlevés nos shorts. J’ai découvert ainsi son zob et je l’ai sucé et branlé un moment. Et lui m’a caressé et léché la croupe, les fesses et mon anus. Puis il m’a bien niqué en présence de Aziz.
Son zob m’a pénétré d’abord avec quelques efforts qui m’ont fait un peu mal car cela faisait longtemps que ma Terma n’a pas bénéficié de cela, mais c’est vite passé et son zob s’est enfoncé jusqu’aux couilles.
Et ce fut merveilleux car ça fait longtemps que je n’ai pas eu ce plaisir et ces jouissances.
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