Folle de son beau-père 2

Marc après avoir fait du pied à sa belle-fille et l'avoir fait jouir, il se penche sur sa femme en lui demandant de venir le rejoindre dans la chambre, car il bande comme un taureau

Proposée le 7/05/2024 par michelle2

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Marc retire son pied, le bougre bande comme un taureau. Une fois le repas terminé, il se penche sur sa femme et lui murmure à l'oreille :

- J'ai envie de toi, rejoins-moi dans la chambre ma chérie !

En se levant, sa femme remarque la grosse bosse qui déforme son pantalon, elle sourit et une fois que la table est débarrassée, elle monte rejoindre son mari. Marc est sur le lit entièrement nu, il entretient son érection en se caressant la verge. Murielle, souriante, lui dit :

-Oh, tu es en forme mon chéri !

Rapidement, elle ôte ses vêtements, et monte sur le lit, elle saisit la verge tendue et commence à faire un branlage vigoureux. Marc geint en agitant son bassin. Murielle ralentit, puis décalotte totalement le gland. Elle cesse de branler et donne nombreux coups de langue sur le gland violacé. Elle en fait plusieurs fois le tour, titille le frein et lape les perles de rosées que le méat rejette. Elle ouvre la bouche et gobe la boule de chair épaisse. Elle suce, tète comme un vorace. Son mari geint comme une bête malade. La fellation porte enfin ses fruits, Marc envoie dans la bouche de la suceuse un flot ce sperme. Qu'elle avale difficilement, en déglutissant bruyamment.


Marc bascule sa femme sur le lit et lui ouvre les jambes. Il lui plaque sa bouche sur la vulve, qui est déjà bouillonnante. Les aspirations violentes font cabrer Murielle, soudain, elle pousse un gémissement, la langue de son mari vient de s'enfoncer dans son puits d'amour et en fouille chaque recoin. Elle s'accroche à lui comme une pieuvre à son rocher. Elle ne peut retenir sa cyprine qui remplit la bouche de Marc. Mais lorsqu'il lui aspire le clito, elle se cambre comme un pont en pleine tempête en poussant un long gémissement. Les succions répétées sur sa boule magique la font délirer de plaisir. Elle ressent comme une décharge électrique, lui traverser le ventre. Elle se tend comme un arc en explosant de jouissance.

Marc se redresse et prend place entre les cuisses de sa femme qui ne cesse de geindre. Il frotte sa verge gluante un court instant, contre les grandes lèvres vaginales. Il s'accroche aux hanches larges de Murielle et pousse. Une faible pression suffit pour que sa verge s'enfonce dans la gaine détrempée. Il cesse de pousser que lorsque ses bourses velues viennent au contact de la chatte brûlante. Murielle souffle comme un dragon, elle agite son bassin en donnant des coups de reins de plus en plus fort. La coquine cherche la pénétration totale, à chaque coup de reins qu'elle donne, elle pousse un gémissement.

Marc prend la relève, son mandrin voyage aisément dans la gaine en surchauffe. Sa femme ne retient pas des gémissements, elle râle comme un animal blessé. Le va-et-vient que Marc impose et très efficace, sa femme se cambre en poussant des :

-Oui, oui, encore mon chéri, ça vient, oh ouiiiiii !

Murielle explose encore une fois de jouissance. Doucement la porte de la chambre s'ouvre, c'est Justine qui passe la tête par l'ouverture. Les gémissements bruyants que poussent les deux amants l'ont rendu curieuse. Elle écarquille les yeux, en voyant la verge gorgée de sang de Marc, coulisser dans le ventre de sa maman. Elle serre les dents, la tension monte dans son corps. Elle ouvre son peignoir, sa chatte est en feu. Elle passe plusieurs fois sa main dessus, sa vulve suinte abondamment. Elle attrape son clito qui est déjà gonflé comme une grosse cerise et commence à le branler énergiquement.

Elle ne perd pas une image du spectacle que donnent les deux amants.
Sa main s'active avec rage sur son bouton d'amour, elle grimace, la coquine ne craint pas la douleur. Tout en se branlant, elle écrase fortement son clito. L'effet est immédiat, elle se cabre et jouit en se mordant la main jusqu'au sang pour ne pas Hurler. Justine ne veut pas se faire repérer.


Ses yeux jettent des éclairs, elle envie sa maman qui se fait défoncer sur le lit. Elle reprend sa masturbation, avec encore plus de rage. De sa main libre, elle enfonce un à un ses doigts dans son vagin, qui suinte comme un fruit trop mûr, puis commence ramonage terrible, ses doigts entrent et ressortent de la gaine à un rythme effréné. Elle est si excitée, que quatre doigts sont enfoncés profondément dans son cratère en éruption. Avec une ardeur incontestable, elle fait des demi-rotations avec sa main.


Soudain, sa maman pousse un hurlement. Marc vient de lui planter son engin dans le rectum, en grimaçant, Murielle dit :

-Oui, oui, mon chéri va-bien à fond, tape fort, oui, oui, oh putain comme c'est bon !

Justine grince des dents, elle s'écrase le clito, une puissante giclée est expulsée de sa chatte, sa jouissance est monstrueuse.



Son cœur bat fortement dans sa poitrine, sa respiration est rapide. Une moue affreuse déforme son visage, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle a toujours ses doigts plantés dans sa vulve, elle regarde Marc qui sodomise sa maman avec un acharnement inhabituel. De temps en temps, le bougre jette un regard vers la porte. Justine comprend qu'elle est repérée. Marc tourne la tête vers elle, et en la regardant, donne des grands coups de reins à Murielle qui gémit sous ses coups violents. Il ressort entièrement sa verge du fondement et la replonge brutalement en regardant toujours vers Justine. Sa femme, sous l'assaut brutal, se cabre, elle s'accroche aux draps en râlant comme une agonisante. Une jouissance terrible du cul la fait cabrer comme un cheval qui rue.

Justine n'en croit ses yeux, sa maman est une adepte de la sodomie. Elle se dit dès la première occasion, elle testera cet acte qui est inconnu d'elle pour le moment. Elle recule doucement et referme la porte. Elle entend comme des coups. Elle entrouvre encore une fois la porte et voit sa maman sur les genoux de son mari recevoir une fessée. Elle entend Marc lui dire :

-Tu en veux encore salope !

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