Enfin, Justine se laisse aller en caressant le corps bien en chair de sa maman. C'est l'occasion que son beau-père attendait, il prend Justine devant sa maman, et la fait jouir
Proposée le 7/05/2024 par michelle2
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La maman répond :
-Oh mon chéri, c'est trop bon, tu sais que j'adore la fessée, touche ma chatte comme elle mouille !
Marc donne encore quelques tapes violentes sur les fesses de la demandeuse. Puis lui demande :
-Je me demande si ta fille est aussi salope que toi !
Murielle se redresse en fronçant les sourcils et répond :
-Mais mon chéri, pourquoi tu me parles de ma fille, et que tu me demandes ça !
Marc lui dit en faisant un large sourire :
-Je me la mettrai bien sur le gland, tu as vu le cul qu'elle a, c'est un, pousse au viol !
Sa femme sursaute et réplique :
-Alors comme ça tu coucherais avec ma fille mon salaud, et là, tu penses à elle avoue cochon !
Justine serre les poings, elle écoute la discution avec intérêt. Marc en riant répond :
-On ne peut rien te cacher ma salope !
Murielle en rajoute une couche en riant :
-Ça ne veut pas dire qu'elle voudrait de ta queue !
Soudain, Justine qui n'y tient plus ouvre entièrement la porte. Sa maman sursaute, elle tente de cacher son corps nu avec ses mains en disant :
-Mais Justine, tu nous espionnes maintenant !
Justine prend une grande aspiration, et en regardant sa maman répond :
-Je veux baiser avec ton mari, je veux qu'il m'encule comme il te l'a fait et qu'il me fouette le cul avec ses mains, je veux qu'il me fasse jouir autant que toi !
Sa maman reste sans voix un bon moment, quant à Marc, le coquin sourit en regardant à tour de rôle les deux femmes. Justine s'avance vers le lit ou sa maman vient de se faire défoncer, elle ouvre son peignoir et le fait tomber au sol.
Sa maman la regarde, ses yeux parcourent le corps nu de sa fille, cela faisait des années qu'elle ne l'avait vu nue. Marc, toujours la verge tendue, dit :
-Bien venue au club Justine, je suis sûr que ta maman voudra bien me partager avec toi, n'est-ce pas ma chérie !
Murielle se cabre, elle se pince les lèvres, anxieuse, demande :
-Ne me dites pas qu'il y a quelque chose entre vous !
C'est sa fille, en s'essayant sur le bord du lit, qui lui raconte tout de A à Z !
Murielle pâlit, elle se sent, trahit par l'homme de sa vie et sa propre fille. Ses yeux s'emplissent de larmes, sa fille la prend dans ses bras en la serrant très fort et lui dit :
-Je te demande pardon maman, mais je suis folle de ton mari, je ne pense qu'à lui, mes nuits sont un enfer, je deviens folle !
Sa maman en reniflant fortement pose sa joue contre la sienne, Justine sent le souffle chaud de sa maman sur son cou, elle soupire profondément en lui déposant un baiser mouillé sur l'épaule. La main de Murielle glisse doucement sur le dos de sa fille. La douce caresse fait frémir Justine. Qui, à son tour, avec ses deux mains, caresse les hanches de sa maman en leur faisant faire l'ascenseur. Qu'est-ce qui se passe dans la tête des deux femmes, Dieu seul le sait. La main de Murielle descend jusqu'au fessier, et avec une douceur extrême le frotte délicatement.
Plusieurs fois, la main glisse sur les courbes quasi parfaites, sans jamais entrer à l'intérieur. Justine commence à fondre, dans les bras de sa maman, elle se fait câline. Jamais les deux femmes n'ont ressenti une telle attirance autre que de l'amour platonique, l'une envers l'autre. Les soupirs que les deux femmes poussent sont révélateurs.
Marc assiste sans broncher, il sait qu'il se passe quelque chose de profond entre elles. Il ne sait s'il doit s'en réjouir ou non, il se pose la question. Il s'imagine des choses folles, que les deux femmes le repoussent, ou ce qui est plus excitant, l'invitent à se joindre à elles. Il laisse aller son imagination, mêlée ses fantasmes, qui peu à peu lui font dresser le mât. Les deux femmes sont toujours enlacées. Lentement, Justine bascule sa maman sur le lit, ses mains moites se mettent à lui caresser le corps. Murielle ferme les yeux, prend,-t-elle, conscience de ce qui se passe réellement. Le doute affleure Marc qui ne cesse de contempler le couple qui agit comme des amants.
La main frôle les lobes mammaires, en fait le tour plusieurs fois avant de les caresser avec douceur. La maman pâme, elle est dans un autre monde. Justine se fait plus audacieuse, elle commence à presser doucement à tour de rôle les seins. Rapidement, les masses de chairs se raffermissent. Les bouts se dressent au centre des aréoles grenelées en prenant du volume.
Marc reste émerveillé devant ce spectacle, Justine se met à quatre pattes et se penche sur sa maman, pour lui aspirer un mamelon. Celle-ci, surprise, se cabre fortement en poussant un :
-Non ma chérie, il ne faut pas !
Mais Justine ne l'écoute pas, ce sont ses pulsions qui la commandent. Elle suce et tète avec de plus en plus d'ardeur. Sa maman geint fortement en grimaçant. La bouche vorace de sa fille la fait délirer :
-Non, non ma chérie, je suis ta maman, il ne faut pas, c'est mal !
Mais elle ne la repousse pas. Marc monte sur le lit et commence à caresser la croupe qui se dandine devant ses yeux. Il frotte son membre contre le puits débordant de cyprine de Justine, et lentement l'enfonce. La jeune fille se cabre, lâche le mamelon et en crie :
-Oui, oui mon chéri, prends-moi, oh comme c'est bon,
oui baise-moi fort mon chéri !
La queue gorgée de sang se met à voyager dans le ventre de Justine qui pâme de bonheur. Depuis le temps que la coquine voulait se faire prendre par son beau-père et bien, c'est chose faite. La bite puissante entre et ressort du temple en feu en prenant de la vitesse. Murielle se sent délaissée, elle regarde avec envie, le pieu voyager dans le ventre de sa fille. Justine est tellement excitée, qu'elle jouit rapidement, la jouissance fulgurante la fait gémir comme une bête blessée.
Elle se laisse tomber sur le lit en entrainant son amant. Marc bien accroché à sa proie continue de la défoncer. Il serre les dents, grogne comme un fauve et enfin, en se raidissant, remplit le ventre de Justine. Il se retire et regarde sa femme, elle ne lui dit pas un mot, elle regarde sa queue gluante qui laisse échapper quelques gouttes de semence sur le lit. Marc avance sa queue près de la bouche de sa femme. Murielle prend une grande aspiration et une fois qu'elle a décalottée le gland, elle le gobe. La première succion et puissante, il se cabre en grognant fortement, les suivantes le sont moins, mais elles sont très efficaces.
La bouche de sa femme fait des merveilles sur le gland frétillant. Sa fille regard en écarquillant les yeux, sa maman téter le gland large et épais. Soudain Murielle recrache le membre et le présente à la bouche de sa fille qui sans se poser de question le gobe. Il s'avère que la fille est aussi vorace que la maman, elle fait, elle aussi, gémir Marc. Elle aime tellement son beau-père qu'elle est prête à tout accepter pour lui.
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