Folle de son beau-père 1

Justine fantasme sur son beau-père. Elle veut à tout prix l'emmener dans son lit, pour cela, elle use de stratagème malsain. Elle, mais en œuvre son piège

Proposée le 7/05/2024 par michelle2

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Murielle a une fille, Justine, d'un premier mariage. Depuis son divorce, elle élève sa fille seule, qui a maintenant vingt et un ans. La jeune fille poursuit des études pour être prof.
Un jour, Murielle, rencontre Marc, ils se fréquentent un long moment avant de décider de se marier. Mais depuis le premier jour, Justine fantasme sur le mari de sa maman. Chaque fois qu'elle croise son regard, elle frissonne. Ses nuits sont agitées, de multiples masturbations sont nécessaires pour assouvir ses sens en ébullitions.

Un matin, elle décide de prendre le taureau par les cornes. C'est le week-end donc pas de travail. Marc est au salon, enfoncé dans un profond fauteuil, il lit son journal. Murielle, elle, est partie faire des courses. C'est l'occasion rêvée pour Justine. Elle sort de la salle de bain, enroulée dans une serviette de bain qui est nouée juste au-dessus des seins et lui arrive à mi-cuisses. Elle entre dans le salon, monte sur une chaise et tend les bras pour prendre quelque chose sur le meuble haut qui sert de bibliothèque. Elle s'agite sans succès, la position volontairement obtenue fait que la serviette lui remonte à ras des fesses.

Marc baisse son journal, rajuste ses lunettes et écarquille les yeux. Il admire en silence les formes magnifiques de sa belle-fille, qui, en équilibre sur la pointe des pieds, cherche un truc inexistant. Enfin, en faisant une moue, elle redescend de son perchoir. Bonne comédienne, elle se gratte la tête en fronçant les sourcils. Puis en face de son beau-père, elle pose son pied sur la petite table, en faisant semblant de se grattouiller les orteils. Marc sursaute, il ravale sa salive, il est fasciné par ce qu'il voit. En posant son pied sur la table, Justine dévoile en partie son intimité.

Marc dégluti bruyamment, il ne quitte pas des yeux la fine toison soyeuse. Justine l'épie du coin de l'œil, elle sourit intérieurement, vicieusement, elle écarte encore plus sa jambe. Marc en tenant son journal le froisse tellement il le serre. Justine remarque que le pantalon de son beau-père est déformé par une grosse bosse. Elle redresse la tête et le regarde. Subitement, il baisse son journal pour cacher l'érection qui gonfle son pantalon. Justine le toise, et en souriant lui dit :

-Oh, beau-père, ce n'est pas sérieux ça, de bander devant sa belle-fille innocente !

Marc rougit comme une pivoine, il n'arrive pas à mettre un mot devant l'autre sans béguer :

-Je m'excuse, mais, mais, je ne suis pas de bois, ta posture est comme une provocation !

Justine en souriant l'apostrophe :

-Oh Marc, tu me prends pour une pute aguicheuse qui cherche un client !

Marc en serrant les poings réplique :

-Non, non, je n'ai pas dit ça, je veux juste te faire remarquer que d'où je suis, je vois ta chatte et tu en vois le résultat !


Justine ironiquement ajoute :

-Oh donc tu joues être un voyeur mon cochon, et si maman apprenait ton comportement de vice-lard !

Marc sursaute et tente de se justifier inutilement d'ailleurs, la coquine tisse sa toile :

-Mais j'y suis pour rien, c'est toi qui écartes les cuisses devant moi, et qui me provoque effrontément. Justine continue de chauffer son beau-père. Elle fait tomber sa serviette, et apparait comme venus devant Marc. Elle dit :

-Et comme ça tu vois mieux, vieux cochon pervers !

Le bougre n'a pas d'autres choix que de regarder les formes sublimes de sa belle-fille. Il dit en soufflant comme un bœuf :

-Justine, soit sage, monte t'habiller, ce n'est pas sain ce que tu fais !

Justine s'approche de Marc, elle lui relève le menton avec deux doigts, et dépose un gros baiser bruyant sur ses lèvres. Devant son nez, elle se soupèse les seins en le narguant :

-Ose dire que je ne te fais pas d'effets !


Marc se pince les lèvres, serre les dents et arrive à dire :

-Justine, tu es un monstre !


Il se lève d'un bon, l'enlace, il la serre très fort dans ses bras, elle sent contre son ventre le manche de chair qui a encore pris du volume. Elle réussit à glisser sa main entre les deux ventres et saisit la verge tendue. Elle la presse plusieurs fois au travers le pantalon. Marc se cabre en disant :

-Tu es une grosse salope Justine !

Elle cherche ses lèvres et l'embrasse fougueusement. Les langues se nouent, les salives se mêlent. Excité comme une puce, Marc agite son bassin contre celui de sa belle-fille. Elle lui dit en le regardant droit dans les yeux :

-Baise-moi, baise-moi, sinon je dis à maman que tu es un vice-lard pervers qui m'épie jusque dans la douche !

Marc la repousse et réplique :

-Mais ce n'est que des mensonges !

Justine répond en souriant :

Oui, mais maman me croira, j'ai trop envie de toi, baise-moi mon chéri, baise-moi !

Marc pousse un gros soupir et avoue :

-Moi aussi, j'ai envie de toi grosse salope, et depuis longtemps, je vais te faire grimper aux rideaux ma petite cochonne !

Mais la récréation est terminée, la voiture de Murielle se garde devant la porte. Justine a juste le temps de ramasser sa serviette et de foncer dans la salle de bain. Quant à Marc, il reprend son journal et se laisse tomber dans son fauteuil. Murielle entre souriante, il est temps de préparer le déjeuner. C'est Marc qui le prépare pendant que sa femme dresse la table. Enfin, Justine sort de la salle de bain emmitouflée dans un peignoir de bain. Sa maman lui dit :

-Vas te changer ma chérie, nous allons déjeuner !


Justine réplique :

-Je mange avant, j'irai après maman !


Sa maman hausse les épaules en dodelinant négativement la tête. Chacun prend place autour de la table, Justine se place en face de son beau-père. Pendant le repas, souvent les deux se sourient, en ajoutant quelques clins d'œil. Marc commence à faire du pied sous la table à Justine. Le coquin a retiré sa pantoufle et fait monter son pied entre les jambes de Justine qui mécaniquement les ouvre. Le coquin avance son pied entre les cuisses écartées. Ses orteils butent contre la vulve soyeuse, Marc les agite en regardant Justine. Elle se pince les lèvres, entre deux cuillerées, elle pousse un petit soupir. Les doigts malhabiles s'activent sur son clito, en le faisant gonfler terriblement, la vulve rejette un flot de cyprine. La pression est au maximum dans le corps de Justine. Soudain, elle se cabre en poussant un cri, sa jouissance est terrible. Murielle redresse la tête en regardant sa fille, qui pour se justifier dit :

-Je me suis mordue la langue, ce n'est rien !

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