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Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (10) :

kamal rassasié par les zobs des groupes africains permit aussi à un vieil africain de le niker. Ensuite il quitta la ville et retourna chez lui et chez Si Ali qui avait une nouvelle Terma à niker. Et Kamal en profita aussi pour niker la Terma de Attia ensuite offrir les deux Terma à Si Ali.

Proposée le 7/05/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Puis j’ai pris mon pantalon qui était tâché de sperme partout et je l’ai lavé sur le lavabo puis je l’ai étendu sur le fil tendu à la fenêtre de la cuisine. Soudain quelqu’un est entré dans l’appartement. Et j’ai vu que c’était un vieux noir qi semblait tout courbé par l’âge et qui me demanda en arabe :

« chkoune a’nta ? wach rak eddir h’na ? »
(qui est tu et que faits tu ici ?). et moi :
« Wa’nta chkoune ! wach dakhlak ! »
( et qui est tu toi et en quoi cela te concerne !).

Il ne répondit pas d’abord mais me regarda de haut et de bas et me sourit. Puis il me dit :
« takssal fi saroualk ! miliane zannate erijal ! »
( tu laves ton pantalon tâché du sperme des hommes ). Je n’ai pas répondu et j’ai continué à épingler mon pantalon sur le fil.

Il continua : « a’n’ta m’rate jma3a a’n ta3 part’ment ! ta3tihoum teremtek ? » ( tu es la femme des hommes de l’appartement ! tu leur donne ta Terma !).
Et moi, en le regardant aussi fixement !
« na3ame ! Teremti n’a3tiha limane n’hab ! wa zbouba n’ta3houm3ajbouni ») (en effet ! ma Terma je la donne à qui je veux ! et leurs zobs me plaisaient).

Il éclata de rire mais faible vu son âge et s’approcha de moi et me demanda un verre de café. J’avais déjà le mien en main et j’allais lui verser le sien quant il posa sa main contra ma croupe et me caressa à travers la gandourah et me dit :

« ana thani bakri ! cou’n’te sghir ! wa nike latram yassar ! yachtou zebi ! bessa7 lioum k’beret ! » ( moi aussi ! j’étais jeune ! et je nikais beaucoup les Terma ! ils aimaient mon zob ! mais aujourd’hui je suis vieux).

Je l’ai ai donné le verre de café et ma main est allé vers sa braguette. Et miracle son zob était la assez dur et lourd mais pas beaucoup gonflé. Il ricana mais j’ai sorti son zob et effectivement il était grand et lourd mais le gonflage et le désir lui manquaient. Je lui ai caressé et branlé le zob pendant que nous marchions dans le hall et petit à petit il semblait revenir à la vie. Arrivés dans la chambre je luis ai demandé de faire une expérience.

« itkassal fi srir hadha ! wou khalini n’talaha bi zebek ! » (allonges toi sur ce lit et laisses moi m’occuper de ton zob).

Il rigolait en silence et me laissa faire. Son zob était lourd et courbé sur sa cuisse mais son poids me disait qu’il devait avoir été par le passé un sacré nikeur. Et j’ai décidé de le réveiller. Et j’ai commencé à branler puis à le sucer et le lécher e tut son long. Et petit à petit le zob recommença à s’allonger et durcir.

Et bientôt in se mit debout, vertical comme les zobs des jeunes. J’ai continué à le lécher et le sucer et branler car il commençait à me plaire et ma Terma recommençait ses démangeaisons. Je lui dis :
« Teremti raha takoul fya ! trayach zebek yagdar inikni »
(ma Terma me démange ! est ce que ton zob peut me niker).

Il avança sa faible main vers ma croupe et me caressa à travers la gandourah. Alors j’ai enlevé la gandourah pour lui mon en chair ma Terma, ma croupe dodue et blanche. Et ouvrant grands ses yeux il me dit :

« ya zebi ! hadhi mahich Terma ! hadha kou’n’z ! »
( ya mon zob ! ceci n’est pas une Terma mais un trésor) et encore :

« teremtek kheir mine n’ta3 nass ili nikit houm ana ! »
(ta Terma est plus belle de celles des gens que j’ai niké) et il continue par avouer :

« raha smina ! ou baydha malssa bla zghab ! kheir mine n’ta3 lamra ! »
( elle est charnue ! et blanche et lisse sans un poil ! plus belle que celle d’une femme) et enfin il me demanda :

« hatli e’nikha ! rah zebi tanane 3liha !»
(donnes que la nike ! mon zob s’est gonflé pour elle).

Il bégayait presque et tremblait de tout son corps. Ce la doit faire plusieurs années qu’il n’a pas eu un tel désir, une telle émotion sexuelle et je lui ai dit de rester allongé. Son zob était bien debout et je ressentais très dur capable de me défoncer le cul. Alors je me suis déplacé pour m’assoir sur ses maigres cuisses et son bas ventre et j’ai saisi son zob.

Puis je l’ai guidé et enfoncé dans mon anus. Il a poussé avec ses reins. Il n’a pas oublié l’habitude de ses baises d chattes et de ses sodomies de Terma. Et son zob s’enfonça en moi jusqu’aux couilles.

Puis je lui ai dis de me laisser faire et c’est moi qui allait ma Terma avec l’aide de son zob et il ricanait de plaisir. Et j’ai dansé sur son zob mais doucement pour ne pas lui faire mal. J’avais juste besoin de son zob qui était heureusement dur et bien debout et vertical. Il me remplissait la Terma exactement comme les autres jeunes mais je faisais attention de ne pas trop remuer la croupe.

Et c’est ainsi qu’il m’a niké par ma volonté pendant presque une longue demi heure car c’est moi qui ralentissait quant je l’entendais s’essouffler. Je stoppais même et reprenait juste après. Son zob ne faiblissait pas mais l’homme lui faiblissait et haletait trop fort. Un moment je me suis arrêté de longues minutes et je me suis couché un peu sur sa poitrine blanchiment velue et j’ai embrassé sa peau, ses seins et il souriait et reprenait son souffle. Puis je reprenais ma danse.

Un moment j’ai pensé m’arrêter complètement, après tout j’avais réussi à réveiller son zob et son désir et il m’a bien pénétré la Terma et m’a niké. Il a senti ce que je pensais et m’a murmuré de continuer. Et j’ai continué et quelques minutes plus tard, ses mains se sont agrippées à mes hanches. Je savais que le désir sexuel était en train de remplir ses couilles. Alors, je me suis dégagé doucement puis j’ai repris son zob dans mon cul.

Mais maintenant je lui tournais le dos et offrais à ses yeux ma croupe large, ronde et blanche et que je secouais en dansant sur son zob qu’il voyait coulisser par toute sa grosseur dans mon anus. Je devinais ce qu’il voyait et ce qu’il ressentait et ses couilles se remplissaient de plaisir.

Et enfin il arriva au top qu’il avait oublié depuis des années. Son zob cracha trois éjaculations de sperme chaud qu’il accompagna par d trois faibles coups de reins et des « han ! han » fatigués mais heureux. Puis il se tomba sur le lit complètement épuisé et essoufflé. Je retirais doucement ma Terma de son zob qui recommençait à faiblir et se courber sur son bas ventre. Il avait fermé les yeux et son cœur battait la chamade mais il vivait des instants merveilleux.

Ensuite je suis allé me laver et me vider du peu de son sperme spécifique vu son âge et j’ai repris un peu de café. Comme il était déjà midi trente et plus, j’ai trouvé mon pantalon qui avait sécha, alors je me suis rhabillé complètement. Le vieux s’était réveillé de son merveilleux rêve et m’a rejoint dans le hall.

Il m’a remercié et m’a dit qu’il n’oubliera jamais cette nikée et la vue de ma Terma quant elle était face à lui et que son zob glissait dans mon anus. Je savais que cette image allait rester des années dans sa mémoire. Pis on est sorti tous les deux de la chambre puis du bâtiment.

J’ai pris, à pieds la direction de la montagne et une demi heure plus tard j’étais hors de la ville en pleine campagne mais il faisait beau, ni chaud ni trop froid pur un mois de décembre. Et encore quelque kilomètres et enfin un camion qui remontait vers la montagne s’arrêta à mon niveau.

J’ai dis que j’étais le petit fis de Si Hamad et le chauffeur me monta à coté de lui. Et encore une demi heure ou plus, arrivés au croisement de la zone des fermes je suis descendu pour continuer à pieds et encore un quart d’heure et j’étais à la maison.

Mebarka me dit que mon oncle m’avait cherché en vain. Quelqu’un lui a dit que j’étais peut être en ville pour me promener. Et une heure après quant il est revenu à la maison je lui ai confirmé ma sortir en ville et ma bonne santé.

Ensuite comme il état plus que 14h je suis monté vers la maison de Si Ali. J’avais l’intention de reprendre mon plan d'avant-hier et me faire niker l*par Si Ali l’après midi puis la nuit par Si Ahmad et peut être par le philosophe Zoubir vers la fin de la nuit dans sa bicoque.

J’ai trouvé Si Ali en train de surveiller le travail d’un maçon qui réparait le toit e la maison. Il me salua puis demanda au maçon s’il avait fini de descendre prendre un café. L’homme descendait à reculons grâce à une échelle contre le mur. Quant il fut presque en bas Si Ali l’aida en mettant ses mains pleinement sur la croupe de l’homme.

Et quant il fut en bas, les mains de Si Ali restèrent collées et appuyées au cul de l’homme. Alors seulement j’ai remarqué que ce n’était pas un homme mais un jeune homme au visage jeune et joufflu et que son derrière était effectivement assez développé pour que Si Ali lui mette la main à la Terma. C’était donc une nouvelle Terma à la disposition du zob de Si Ali en plus de la mienne déjà vieille.

Il était un peu moins jeune que moi et devait avoir entre 18 et 20 ans seulement. Une chair fraiche et une Terma souple et pratiquement vierge.

Mon regard vers le derrière du jeune était assez éloquent pour échappé à la vigilance de Si Ali et quant nous sommes assis pour prendre des café l s’approcha de moi et me dit :

« a’n’ta f’hamate ! Terma hadhi li zob ! idha 3ajabtak nikha ! »
(tu as compris ! c’est une Terma pour zob ! si tu veux nikes la).

Puis nous avons bu le café et pendant que Si Ali retournait à la maison, j’ai fais quelques pas avec le jeune qui se nommait Attia et qui stagiaire maçon en vacances d’hiver comme moi.

Petit à petit et sans le vouloir on s’est retrouvé du coté des WC de la maison d Si Ali et je ai dis que c’était la que le vieux m’avait dépucelé et niké et de là j’ai commencé dans les plaisirs de ma Terma.

Il m’a dit que Si Ali l’avait trouvé dans les WC et le cul nu et il a réussi à le dépuceler et à le niker et à partir de ce jour il le nikait chaque soir avant d’aller chez lui. Il me dit que le travail n’était qu’une excuse pour qu’il vienne sans attirer l’attention des siens et permettre à Si Ali de le niker une ou deux fois avant de partir chez lui. La ferme de ses parents n’était pas très loin juste derrière celle de Si Ahmad qu’il ne connaissait pas.

Je l’ai fais entrer dans les WC et j’ai descendu mon pantalon pour lui montrer mon zob et il m’a sucé maladroitement. Il n’avait pas encore cette habitude puis je lui ai fais descendre son pantalon et je l’ai niké debout contre le mur comme l’avait fait pour moi Si Ali.

Il avait une très jolie Terma assez développée et nette et souple, soyeuse. Et un anus pas encore assez ouvert mais mon zob l’a facilement pénétré et s’est enfoncé dans sa Terma jusqu’à mes couilles.

J’ai remarqué un œil dans un des trous du mur mais j’ai négligé.
Et quant j’ai eu mon plaisir j’ai éjaculé par trois fois dans sa Terma. Il m’a tendu un grand mouchoir qu’il avait avec lui. C’était Si Ali qui lui avait apprit cette bonne habitude.

Ensuite, je me suis placé face au mur dans la même position que je l’ai niké et je lui ai demandé de me niker lui aussi. Il était étonné mais j’ai dis qu’il devait à faire et à faire du plaisir à sa Terma mais aussi à son zob le cas échéant. Son zob était mou et non gonflé. Alors je l’ai léché, sucé et branlé fortement pendant un moment et je lui est demandé de me caresser la croupe et de mettre ses doigts dans mon anus pour qu’il apprenne.

Et il a fait exactement ce que je lui recommandais et son zob s’est relevé et s’est gonflé rapidement et quant il fut assez dur j’ai repris la pause contre le mur. Et il m’a niké petit à petit et son zob s’est bien regonflé encore dans ma Terma.

Pendant qu’il me nikait j’ai remarqué le même œil qui nous observait dans le trou du mur mais je n’ai rien dis.

Puis il m’a tenu les hanches et a éjaculé pat trois fois dans mes entrailles. Il riait comme un enfant et je l’imitais parce que l’ambiance était propice. Puis je me suis essuyé avec son grand mouchoir qu’il ma encore tendu. Et puis on a remonté nos pantalons et on est sorti des WC.

On a trouvé dehors Si Ali qui riait à pleine gorge et se tapait le ventre. Le jeune était étonné mais moi j’avais tout de suite l’œil et compris ce qui se passait depuis le début. Si Ali avait un fort et malin plaisir pour espionner par le trou du mur. Il y trouvait un plaisir presque sexuel.

Il nous dit que lorsque j’ai amené le jeune Attia vers les WC, il avait deviné que j’allais le niqué mais il ne pensait pas que je lui ferais aussi l’expérience de me niker lui aussi. Et c’était cela qui le faisait tordre de rire. Il était content de moi, son élève. Et nous sommes retournés vers la maison. Il nous dit

« dhourk rah zebi houwa rah tanane 3likoum fi zouj ! yalah enikoum fi zouj ! »
(maintenant mon zob s’est gonflé tanane sur vous tous les deux ! allons je vais vous niker tous les deux).

Et dix minutes plus tard on était tous les deux, Attia et moi, nus et à genoux sur le lit de Si Ali qui s’est pointé derrière nous, le gros zob à la main. Et c’est vers la Terma du jeune qu’il commença et y enfonça son zob qui fit crier de plaisir, je pense, le jeune Attia. Et il commença ses vas et viens, les mains sur les hanches du jeune.

Il le nika un bon moment puis il dégagea son zob. Il était gonflé à fond et brillait de suc de la jeune Terma. Et il le plongea dans ma Terma où il s’enfonça en vitesse jusqu’aux couilles. Et il continua ses vas et viens. Et après un moment, il sortit son zob de ma Terma et l’enfonça de nouveau dans celle de Attia et y fit une dizaine de vas et viens puis il sortit son zob et le plongea dans ma Terma pour aussi quelques vas et viens.

Enfin il s’enfonça dans la Terma du jeune et resta plus longtemps et enfin son plaisir arriva et il éjacula par quatre fois en hurlant sa joie. Et il garda son zob à l’intérieur du cul du jeune. Et après quelques minutes, il sortit son zob et il s’allongea sur le lit et me demanda de monter sur lui. J’avais compris et je me suis assis sur ses cuisses en lui tournant le dos.

Et saisissant son zob j’ai cherché mon anus pour l’y introduire et j’ai poussé pour que le zob s‘enfonce totalement dans ma Terma. Et j’ai commencé ma danse de la croupe et de la Terma sur le zob de Si Ali. Et le jeune regardait et Si Ali lui dit de bien observer et d’apprendre.

Et j’ai ainsi niké le zob de Si Ali avec ma Terma pendant un bon quart d’heure avant que lui me signale l’arrivée de son plaisir. Mais il m’a dit de continuer et j’ai accéléré ma cadence et ma danse. Et soudain son zob éclata par trois ou quatre éjaculation puissantes et abondantes pour remplir mes entrailles. Je restais collé au bas ventre du vieux mais le sperme trouvait toujours le moyen et le chemin pour s’échapper de mon anus et polluer mes fesses et mes cuisses et le bas ventre de Si Ali.

Puis je me suis redressé et Si Ali nous a demandé d’aller nous vider et de nous laver comme il faut. Contrairement à Si Ahmad qui aimait niker dans son sperme et rester ainsi sans se laver. Si Ali était à cheval sur ce point et après chaque nikée il faut se laver. J’ai remarqué que les africains en ville ne se lavaient pratiquement pas après une sodomie et continuait à niker dans leur sperme ou celui de leurs copains.

Moi je préfère me vider et me laver chaque fois, ma Terma se sentait mieux après car elle aura au contact de sa douce chair interne la chair chaude et directe u zob et ces contacts sont plus sexuels.

Il était environ 18h et moi je devais monter vers Si Ahmad et le jeune devait retourner chez ses parents.
A prochaine fois je l’amènerais plus tôt chez Si Ahmad et puis chez Zoubir où il fera ces deux autres expériences. Et plus tard, je pourrais lui faire un voyage de deux jours et nuits en ville et nous irons chez les africains. De belles perspectives pour moi et le jeune Attia.

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