Notre jeune étudiant a maintenant a Terma endiablée et un seul zob ne lui suffit plus mais il désire plusieurs à la fois. Et ses amants se sont multipliés. Et il veut qu'on le nike de jour et de nuit sans arrêt et les candidats sont nombreux pour sa croupe ronde et sa Terma profonde et délicieuse
Proposée le 12/04/2024 par DALIDA
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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
C’est Si Kaddour qui m’a réveillé le matin, de bonheur pour m’offrir le café qu’il avait préparé. Puis il est parti rejoindre les ouvriers déjà au travail. Moi je suis d’abord allé voir le chantier et les ouvriers me jetaient des clins d’œil complices.
Nous avons été rassasiés, moi et ma Terma, hier soir. Tous les zbouba des ouvriers, gros et longs des africains et ceux des portugais certes moindres mais aussi acharnés à me niker se sont régalés sous la zriba et même dans la chambre que ma donné Si Kaddour pour la nuit.
Et j’ai passé une bonne nuit pour me reposer.
Donc j’ai laissé Si Kaddour et les ouvriers travailler pour débloquer la route et je suis allé chez mon grand père. Malgré que j’aie pris mon petit déjeuner avec Si Kaddour, la vieille Mebarka, la fille de mon grand père, m’offrit aussi un bon gueuleton que j’ai avalé rapidement et j’en ai demandé un second qui est aussi passé en vitesses dans mon estomac. On dirait que les sodomies de la nuit dernière m’ont rendu affamé. Maintenant je dois penser à ma Terma et je suis allé chez Si Ali.
Il travaillait dans ses champs et a décidé de continuer son travail malgré que, poussé par ma Terma qui me démangeait déjà, je lui ai touché et manipulé fortement son zob dans son pantalon. Il a certes rigolé et son zob s’est gonflé en partie mais son travail était plus urgent m’a-t-il dit.
Alors je suis monté vers l’autre maison de Si Ahmad, mais il était aussi au travail dans ses champs. Et malgré que je l’ai aguiché en touchant et manipulant son zob dans sa braguette pourtant un peu gonflée, il a décidé de continuer son travail et m’a promis qu’il sera prêt l’après midi. Alors je suis parti pour vadrouiller un peu dans la nature.
Et heureusement, je suis passé à coté de la bicoque de mon autre amant de la nuit passée. J’ai écarté les rideaux de son entrée et je l’ai trouvé en train de dormir. Je l’ai réveillé doucement et j’ai enlevé mon pantalon.
Puis je me suis allongé contre lui, ma croupe gonflée contre son bas ventre. Il a vite réagit et il a retiré son pantalon pour presser son zob contre ma Terma. Après quelques frottements, son zob réagissait en se gonflant et en se durcissant. Je me suis mis à genoux et j’ai saisi son zob pour le lécher, le sucer et le branler.
Rapidement il devint aussi dur que ma Terma le désirait et le gars, appelons le Zoubir, s’agenouilla derrière ma croupe. Puis il frotta encore son zob sur le sillon de mes fesses, provoquant ainsi mon anus qui palpitait déjà.
Et doucement il me pénétra le cul et s’enfonça petit à petit jusqu’aux couilles. C’était délicieux comme petit déjeuner à ma Terma. Rapidement il démarra ses vas et viens et mon plaisir m’envahit le corps et les jouissances chauffèrent mon cul.
Et ainsi, il me nika lentement mais sûrement, par de lents allers et retours de son zob au fond de ma Terma et qui provoquèrent l’accélération de mon souffle et mes halètements de désir. Parfois il s’arrêtait et repartait follement et ces chocs de plaisir me faisaient gémir longuement et même hurler de plaisir.
C’était si agréable et délicieux et pourtant son zob n’était pas aussi gros que ceux des noirs qui m’ont défoncé le cul hier soir. Mais sa technique au ralenti est efficace et le plaisir est continu dans ma Terma. Et ainsi il me nika presque une demi heure, doucement, lentement mais avec continuité et son zob restait gonflé, dur et doux en même temps.
Enfin j’ai ressenti le gonflement supplémentaire de son zob dans mes entrailles, caractéristique de l’arrivée de ses éjaculations. Et effectivement, elles arrivèrent en quatre bordées puissantes et abondantes et chacune accompagnée d’un coup violent de ses reins affolant ma Terma. Et nous crions notre bonheur ensemble, sachant que la zone était déserte.
Puis il resta collé à mon cul quelques minutes agréables et enfin il libéra ma Terma et s’allongea à coté de moi, le zob en l’air mais courbé, fatigué. Les sodomies avec Zoubir sont faibles mais follement lentes et longues et leur plaisir est aussi continu avec des jouissances insistantes et qui durent longtemps dans mes entrailles.
Je me suis levé et je suis sorti pour me vider derrière son gourbi mais du coté invisible de la route générale qui descendait ou montait vers les grandes maisons.
Zoubir a bien placé son gourbi avec une entrée tournée vers les routes pour qu’il ait, lui, une vue de la région et l’arrière bien protégé et bien caché de toutes les parties de la zone. Ensuite je suis rentré et il était toujours allongé sur le dos.
Son zob m’a fait pitié et le l’ai saisi et englouti pour le sucer et le lécher au maximum. Il me laissait faire mais cela le faisait un peu gémir parfois et sa main, automatiquement s’est placée sur ma croupe que j’avais orientée vers lui. Et après plusieurs minutes de ce traitement son zob se regonfla, s’allongea et durcit à point.
Et j’en ai profité tout de suite. Je me suis assis sur ses cuisses, en lui tournant le dos et de ma main, j’ai réussi à enfoncer son zob dans mon anus, dans ma Terma. Et me positionnant correctement, j’ai commencé à osciller de la croupe et à danser sur son zob.
Il avait ma croupe charnue et lisse devant lui et il tenait mes hanches de ses mains. Parfois, ses doigts s’égaraient vers le sillon de mes fesses et vers mon anus complètement éclaté et ouvert par son zob. Il m’a demandé de lui donner mon anus car il voulait voir ses doigts le pénétrer et le branler. Cela semblait lui faire plaisir. Et je me suis redressé un peu pour libérer son zob.
Aussitôt j’ai ressenti un doigt puis deux qui pénétraient mon anus et qui commençaient à le branler doucement. Mais son plaisir ne dura pas longtemps. Car il saisit son zob et l’enfonça lui-même dans mon anus.
Et moi je me suis assis complètement pour que son zob s’enfonce jusqu’aux couilles. Et j’ai recommencé à danser sur son zob. Mais rapidement j’ai ressenti le gonflement supplémentaire de son zob. Et très vite, trois éjaculations explosèrent son zob et remplirent mes entrailles. Il me donna un coup de reins violent à chaque fois et nous hurlions en phase.
Mais son sperme débordait de mon anus et s’étalait sur mes fesses et son bas ventre et comme je n’aimais pas beaucoup cela, j’ai vite libéré son zob et je suis allé, encore une fois me vider dehors. Puis je suis revenu et il m’a tendu sa fameuse grande serviette pour m’essuyer.
Ensuite, je me suis retourné et couché dos sur sa paillasse, je lui ai demandé s’il avait encore de l’énergie pour me niker face à face. Et il m’a dit de lui sucer le zob et c’était à lui de me répondre. Et j’ai essayé en saisissant son zob et j’ai recommencé à le lécher, le sucer en long et en large et le branler vigoureusement.
Au bout d’un moment son zob réagissait et mon ami commençait à souffler fort et à haleter e désir. Il était à point. Et il s’est redressé pendant que moi je me suis allongé dos sur la paillasse. Et tout de suite, j’ai levé mes jambes et mes cuisses qu’il à poussé sur ses épaules et il m’a soulevé un peu la croupe pour avoir mon anus direct face à son zob gonflé et frétillant.
Et il le poussa de la main pour me pénétrer l’anus. Puis il donna un petit coup de reins et son zob, aidé du sperme qui restait un peu dans mon cul, s’enfonça rapidement jusqu’aux couilles. Et mon ami Zoubir recommença ses vas et viens mais vigoureux et accélérés dans cette position de face à face. Il a compris ce que désirait ma Terma dans cette position et son zob semblait être à la hauteur du défi que je lui avait lancé. Il me dit :
« Teremtek da’ i mene ’khouna wa 7ouwa ! » ( ta Terma est toujours chaude et délicieuse !).
et moi dans un ricanement complice de contentement :
« rah zebek sakha’n ha ! ag3arha ! d’zid 7lawat’ha » ( c’est ton zob qui l’a chauffée ! défonces la ! elle sera encore mieux délicieuse).
Et il accéléra encore plus et son souffle s’accéléra et son ahanement « han ! han ! » devint bruyant. Ce n’est que maintenant que Zoubir a atteint sa vitesses de croisière en plaisir sexuel. Moi aussi, il a réussi à me communiquer son désir et je hurlais de plaisir et je soufflais et ahanais aussi fort que lui.
Et au bout d’un nouveau quart d’heure, ses couilles se sont remplies et ses éjaculations arrivèrent. Trois bordées abondantes et chaudes dans mon cul et qui nous ont fait hurler ensemble. Ce jour là, Zoubir a été à la hauteur de ma Terma.
Ensuite il se retira de mon cul et je suis sorti pour me vider dehors à l’air libre puis je me suis essuyé le cul et les fesses polluées avec la grande serviette qu’il m’avait tendu. Lui aussi s’est lavé légèrement et s’est essuyé puis il s’est recouché. Je savais qu’il préfère la nuit pour préparer son gouter et sortir profiter de l’air frais. Alors je suis parti en direction du chantier de Si Kaddour pas très loin plus bas.
Il était déjà 11h et les deux équipes vont bientôt faire une pause syndicale de 13h à 14h pour se reposer et prendre leur casse croute qu’ils avaient préparés le matin avec le petit déjeuner. Je voulais profiter si possible de cette pause pour offrir moi aussi un gueuleton de zob à ma Terma.
Normalement ils prenaient leur pause au niveau même du chantier sans s’éloigner. Mais je me suis positionné au niveau de la zriba où ils dormaient la nuit et dans un endroit où ils pouvaient me voir de leur chantier. Et j’ai attendu.
Et à midi Si Kaddour arrêta le chantier et se dirigea vers sa maison car lui, il prenait sa pause dans sa grande salle à l’abri du soleil. Et les travailleurs s’assirent par terre sur le chantier pour retirer leur casse croute et manger. Mis ils m’avaient vus et j’ai fais un signe de la main disant de me rejoindre vite sous la zriba et je suis rentré dedans.
Deux minutes plus tard, deux travailleurs de couleurs m’ont rejoint sous la zriba. Ils tenaient certes leurs casse croute mais ils étaient venus à mon appel.
J’ai immédiatement descendu mon pantalon et pris position à genoux, offrant ainsi ma croupe et ma Terma. Aussitôt l’un d’eux descendit son pantalon m’offrant ainsi son gros zob et il s’agenouilla derrière moi.
« hati teremtek ya qa7ba ! hati » (donnes ta Terma putain ! donnes) m’a-t-il dit et il poussa son zob dans mon cul rapidement et l’enfonça jusqu’aux couilles.
Puis il démarra une série vigoureuse de vas et viens de son zob dans mes entrailles. C’était un délice de recevoir de tel zob dans ma Terma. C’était un autre gabarit que le zob de Zoubir. Sa grosseur, sa longueur et sa puissance amenèrent tout de suite leur plaisir et jouissances à mon corps et ma Terma. Je gémissais et lui recommençait à manger son casse croute tout en me nikant fort.
Ma Terma n’a pas eu le temps de refroidir depuis mes sodomies de tout à l’heure et j’étais sur qu’un peu de sperme était encore à l’intérieur. Ce qui facilitait les glissements du zob dans mon cul. Et en dix minutes ses vas et viens amenèrent leurs éjaculations qui me remplirent les entrailles.
Et il passa ma Terma à son copain. Moi je n’ai pas changé de position et le sperme coulait entre mes fesses et mes cuisses.
Le second noir qui se branlait tout en mangeant son casse croute, passa tout de suite derrière moi et de son autre main, il enfonça son zob gonflé dans mon cul. Il grommelait en nikant et en mangeant sans s’arrêter.
Pour moi c’était la continuité des deux zobs identiques, gros et puissants et ma Terma noyée dans le sperme recevait ce second cadeau en vibrant par ses jouissances. Il ne tarda pas et rapidement ses éjaculations arrivèrent.
Puis ils s’essuyèrent rapidement, et remirent leurs pantalons. Puis, ils sortirent de la zriba et rejoignirent le chantier tout en finissant de manger. Moi aussi je me suis accroupi et j’ai vidé mon cul.
Soudain une troisième personne entra dans la zriba. C’était le dernier noir qui venait prendre sa part de ma Terma.
Je me suis repositionné et comme il avait fini de manger, il tenait son zob debout, vertical et prêt à niker. Et derrière moi il s’agenouilla et plongea dans mon cul. Il enfonça son zob jusqu’aux couilles et commença à me niker en force avec des vas et viens presque violents et saccadés.
Il soufflait fort et grommelait quelque chose que je n’ai pas compris. Mais il me travailla rapidement la Terma et ses éjaculations arrivèrent en force par quatre jets puissants. Puis il s’essuya rapidement, remonta son pantalon et sortit vers le chantier.
Je me suis encore accroupi pour me vider le cul et ensuite m’essuyer avec leurs draps qui étaient éparpillés. C’était pratiquement la fin de la pause et je suis sorti juste au moment où Si Kaddour se dirigeait vers le chantier.
Ensuite je suis descendu vers les maisons du bas et les ouvriers noirs ont agité leurs bras en rigolant ensemble et bruyamment. Si Kaddour ne savait pas pourquoi mais du bras levé vers moi il ajouta son salut à ceux des ouvriers de couleur.
Ses ouvriers de couleurs ont passé leur pause de midi avec leurs zobs dans ma Terma.
Et en effet, ma Terma a été enchanté avec ces trois sodomies rapides mais avec des zobs de gros calibres. Elle a été aussi remplie à fond et à ras bord, avec leurs spermes chauds et abondants.
Heureux de ce début d’après midi avec cinq sodomies pleines je pouvais aller passer le temps, deux ou trois fois selon ses possibilités, avec la petite bite de Si Ali jusqu’au soir.
Et le soir, j’rais passer ma nuit dans le lit de Si Ahmad et son zob avec trois ou quatre sodomies dans ma Terma.
Et si ça ne suffisait pas, je reviendrais en pleine nuit chez zoubir et terminer ma nuit chez les ouvriers du chantier. De belles perspectives pour un jeune étudiant à la Terma endiablée.
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