Non seulement le jeune Kamal va jouir des zob de Si Ali et de son nouvel amant Si Ahmad mais il va trouver un troisième nikeur de sa Terma en pleine nature. Et ils vont profiter pour satisfaire les appétits de la Terma insatiable de Kamal.
Proposée le 12/04/2024 par DALIDA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Vers 22h après avoir diné je me suis couché puis j’ai mis du linge dans mon lit comme si j’y étais couché. Puis, dans l’obscurité, j’ai pris le chemin repéré le jour pour rejoindre la maison de Si Ahmad. Je me suis un perdu mais j’ai rencontré un homme en chemin et à ma demande il m’a guidé vers la maison de Si Ahmad. Il m’attendait allongé nu dans sa chambre. Vite dénudé, je l’ai rejoins sur son lit et rapidement il me positionna et se mit derrière moi. Et vite son zob trouva l e chemin de mon anus et de ma Terma.
Si Ahmad me nika une première fois pendant au moins un quart d’heure e éjacula dans mon cul. Puis, comme à son habitude, sans attendre il me retourna et me nika une deuxième fois face à face pendant autant de temps et éjacula dans mes entrailles. Il m’a donné beaucoup de plaisir et de jouissances et je criais mon bonheur et hurlait parfois, personne ne pourrait nous entendre.
Ensuite il m’a demandé de ne pas me laver mais de garder son sperme dans mon cul, mes fesses et mes cuisses. Cela me gênait beaucoup mais j’ai été obligé d’accepter. Nous avons mangé un moment car il m’avait attendu pour diner. Puis je suis allé laver la vaisselle comme si j’étais sa femme. C’est lui qui me la demandait.
Alors , nu il est venu se coller à mon dos et à ma croupe, aussi nus et offertes à son zob. Et debout, il m'a encore niké devant la vaisselle que je n’avais pas fini de laver et il a encore éjaculé. Ensuite, il m’a laissé laver la vaisselle et je l’a i rejoins dans sa chambre.
Et nus sur son lit nous avons joué avec nos sexes. Moi je suçais et branlais son zob et lui me léchait et caressait et malaxait ma croupe et mes fesses sans oublier mes seins qu’il aime gouter les bouts avec ses lèvres.
Ensuite son zob debout et dur est passé derrière moi et m’a encore niké pendant plus d’un quart d’heure et il a éjaculé dans mon cul. Enfin, on s’est couché après nous être lavés et nettoyés.
Vers 2h du matin j’ai ressentis des frottis sur ma Terma et cela m’a réveillé. C’était Si Ahmad qui avait encore envie de ma Terma. Son zob était debout comme d’habitude, gonflé et prêt. Il s’est allongé dos sur le lit et m’a demandé de monter sur son zob et danser comme j’en avais l’habitude.
Alors je me suis sur ses cuisses et j’ai enfoncé son zob dans ma Terma et j’ai commencé à danser sur son zob. Il m’a donné beaucoup de plaisir et de jouissances et lui il criait et parfois hurlait ses jouissances. Enfin son top arriva et son zob lâcha ses éjaculations chaudes et abondantes. Puis il se recoucha sans se lever pour se laver. Moi par contre je suis allé me vider le cul de son sperme et je me sui lavé et nettoyé avant de reprendre le lit.
Mais je n’arrivais plus à m’endormir et vers 4h j’ai décidé de partir et retourné chez moi. Je suis sorti de la maison mais il faisait nuit et sombre mais j’ai reconnu mon chemin grâce au gars qui m’avait guidé. Au bout de quelques minutes sur mon chemin j’ai rencontré de nouveau le gars qui m’avait aidé tout à l’heure. Il fumait une cigarette et je me suis assis à ses cotés pour passer un peu de temps.
Il m’a montré une bicoque pas très loin et m’a dit que c’était la qu’il logeait seul. Et la nuit, il préférait sortir et passer la nuit dehors. Il m’a dit qu’il nous avait entendus hurler notre plaisir à moi et à Si Ahmad. Il savait donc que j’étais chez Ahmad pour lui offrir ma Terma.
Le gars me l’a dit crument :
« nakak wala naktou ? »
(il t’a niké ou c’est toi qui l’a niké ?).
Ainsi Si Ahmad donnait parfois lui aussi sa Terma à niker. Une vérité bonne à savoir.
Je n’ai pas osé mentir au gars :
« ana 3ataitou Teremti inikni »
(c’est moi qui lui a donné ma Terma pour me niker).
Et le gars ajouta :
« chaba3 lak Teremtek wala la ? »
(il t’a rassasié la Terma ou pas ). Et moi :
« nouss nouss ! mazalate Teremti takoul fya »
( moiié moitié ! ma Terma continue à me démanger) .
Il a réfléchi un peu et :
« ana zebi thani yachti Terma »
(moi aussi mon zob aime Terma)
Et il m’a proposé : « aroua7 a3tini Teremtek ! nikak wa n’chaba3 Teremtek ! fi l’gourbi n’ta3i »
(allez viens ! donnes moi ta Terma ! je vais te niker et rassasier ta Terma ! dans mon gourbi)
Et il m’amena dans son gourbi où il n’y avait qu’un lit d’une place et quelque meubles parterre. J’ai enlevé mon pantalon et la croupe nue, je me suis agenouillé sur son lit. Il enleva lui aussi son pantalon et me montra son zob pas encore debout.
Il m’a demandé de le sucer et de le branler et c’est ce que j’ai fais pendant une dizaine de minutes. Et le zob s’est redressé, tanane et se gonfla et il est devenu dur à point.
Alors il se mit derrière moi, pointa son zob sur mon anus et s’enfonça au fond de mon cul, jusqu’aux couilles avec un cri de désir :
« Ahhhh ! Terma ch7al s’khouna wa 7louwa ! »
(Ahhhh ! Terma si chaude et délicieuse).
Ma Terma ayant trouvé encore un amant était semblait satisfaite et m’envoyait ses vibrations de jouissances.
Le gars était heureux de cette occasion inéspérée :
« ya zébi ! Terma kima hadhi ! kifah talgouha ! tasstahal eneik e’da’ym»
( mon zob ! une telle Terma ! comment ils l’ont laissée ! elle mérite neik permanent).
Et en rigolant bruyamment :
« azha ya zebi ! azha ! hadha cado jak fi leil ! nike Terma la7louwa ! nikeha ! »
( réjouit toi ô mon zob ! réjouit toi ! c’est un cadeau de la nuit ! nike la Terma délicieuse nikes la !).
Et il fonça avec les vigoureux vas et viens de son zob dans mon cul offert. Et Tout en me bombardant de ses coups de reins, il soufflait et haletait fort et criait presque :
« Tahib nikak hakdha wala wagafi ? »
(tu veux que je te nike ainsi ou debout ?)
et moi : « nikni hakadha dhorka ! mine barad nikni wagafi »
( nikes moi ainsi maintenant ! et nikes moi debout ensuite !).
Il rigolait encore plus, très content de l’occasion offerte cette nuit..
Et c’est ainsi qu’il me nika bagari, à genoux, pendant un bon quart d’heure en gémissant et criant parfois et m’amenant à hurler avec lui quant ses coups de reins sont explosifs dans mon cul.
Et enfin, il arriva à son désir et son zob éjacula abondamment dans mes entrailles.
Ma Terma a eu sa part de jouissances et de plaisir. Puis on s’est levé et sans nous laver, on est passé à la sodomie debout. Alors je me suis appuyé sur le mur de son gourbi et j’ai écarté mes jambes et cuisses et ouvert mon cul d’où s’écoulait son sperme sur mes fesses et mes cuisses.
Et Il se colla à mon dos et à ma croupe. Il me tenait les hanches et guida son zob vers mon anus. Je me suis penché un peu pour bien lui offrir mon anus et il réussit ainsi à faire pénétrer son zob dans mon cul.
Puis il l’enfonça totalement jusqu’aux couilles avec un « han ! » bruyant et joyeux de victoire.
Et cet enfoncement brutal m’a aussi fait hurler
« Ahhh ! ya Teremti ! hadha zob wagafi ! i7alak kamel ! diz ya sahbi ! diz zebek fi qari ! »
( Ahhh ! ma Terma ! voila le zob wagafi ! il va t’ouvrir complètement ! pousses ya mon ami : pousses ton zob dans mon cul).
Le gars, en pleine euphorie sexuelle, et au milieu de ses halètement affolé arriva à me souffler :
« tachti nike wagafi wala bagari ? »
(tu prèfère niker debout ou à genoux ?)
et moi : « ana inikouni kifkif ! bagari wala wagafi wala 7ata zob yadkoulni tahat clawya »
( moi on me nike kif kif ! à genoux, debout et le zob qui me pénétre sous mes couilles)
et j’ajoute :« al mouhim ! Teremti tazha ou tachba3 bi neik »
( l’essentiel ! c’est que ma Terma est heureuse et rassasiée de neik) .
Tout en accélérant les vas et viens de son zob dans ma Terma, le gars ajouta sa sentence :
« ithene Teremtek qa7bate izbouba »
( donc ta Terma est la putain des zobs). Et moi :
« sadakat ya bou zob ! Teremti qa7ba ! wa qari ma7loul li zbouba ! nikeni wa s’koute"
( tu as raison ô bou zob ! ma terma est une putain ! et mon cul est ouvert à tous les zobs ! nikes moi et tait toi ).
Et enfin, il arriva à son top une seconde fois et éjacula dans mes entrailles avec puissance et abondance. Puis il se retira de mon cul et s’assit sur son lit sans se laver. Moi aussi je me suis assis à coté de lui et je me suis penché sur son zob encore humide et brillant de sperme.
Et j’ai commencé à le sucer, à le lécher et à le branler. Ce n’est que j’en avais réellement envie mais c’est automatique chez moi, un zob en dehors d’une Terma ne doit pas rester inactif. Donc on doit le réveiller, le sucer et le branler pour l’action suivante.
Et effectivement, au bout de quelques minutes, son zob se réveilla et se regonfla puis il devint aussi dur et à point pour une nouvelle sodomie à ne pas perdre pour ma Terma.
Alors, je me suis levé puis je me suis assis sur ses cuisses et j’ai réussi à enfoncer son zob dans mon cul et je me suis assis totalement.
Son zob s’enfonça en moi jusqu’aux couilles et j’étais bien rempli dans cette position.
Et le gars qui souriait me dit :
« Terma bissa7 3ataya ! tachti zob fi qarha ! siz ya sahbi ! achta7 fog zebi ! achtah bi Teremtek la7louwa ! »
( une Terma vraiment putain ! elle adore le zob sans son cul ! continues mon ami ! danses sur mon zob ! danses avec ta Terma délicieuse !)
Oui je dansais sur son zob et ma Terma était enchantée. Oui elle était une putain et moi un « 3atay zouk » (donneur de son cul). Les jouissances qui m’inondaient maintenant la Terma et tout le corps méritaient bien cette danse.
Et le zob est fait pour cela. Plus il est dur et gonflé donc « matanane » et plus sera le plaisir de la sodomie et des jouissances. Et tout en dansant sur ce zob, je hurlais mon plaisir et mes jouissances
et je criais :
« Ahhhh ! 7louwa enayka ! 7louwa ! zob fi qari m’tine wa 7hlou !"
(Ahhh ! délicieuse nayka ! le zob dans mon cul est dur et délicieux !)
Et encore :
"!idagdag fya mine dakhal ! habalni ! nikni bezzf ya rajal !"
( il me fricote de l’intérieur ! il m’affole ! nikes moi fort ô homme !)
Et encore:
"nikni wa ga3arli qari ! matkhafach ! qari wassa3 ! wa 3attay li zbouba »
( nikes moi et défonces moi le cul ! ne craint rien ! mon cul est large ! et donneur aux zobs !)
J’étais en pleine euphorie avec ce gros zob dans ma Terma et le gars me regardait, étonné mais heureux de cette occasion nocturne.
J’ai continué à osciller follement de la croupe pour branler le zob dans ma Terma et les jouissances revinrent aussitôt dans mon cul. C’était aussi agréable que si j’étais dans le lit de Si Ali ou Si Ahmad.
Je ressentais bien la totalité du zob, dans sa longueur et son épaisseur dans mes entrailles et c’était merveilleusement jouissif.
Et je hurlais de bonheur et de jouissances. Niker la nuit dans ce gourbi, pratiquement en pleine nature, c’est merveilleux.
Être ouvert du cul et dans mes fantaisies dans ces conditions me donnaient une liberté sans mesure. C’était comme quant j’étais dans le WC la première fois mais maintenant je goutais mieux le zob dans ma Terma.
Le gars me tenait les hanches et parfois il aidait à mes mouvements de rotations de ma croupe sur son zob. Nous gémissions et haletons en commun, en phase et il me dit :
« ya qa7ba ! tachti neyk ! ma tachab3ich mine zob »
( putain ! tu aimes niker ! tu n’est jamais rassasié du zob).
Et encore :
« ya qa7ba ! n’jiblak rab3a wala khamssa zbouba ! inikouk wa yagou3rou lak Teremtek ! »
( putain ! je t’amènes quatre ou cinq zobs inikouk ! et vont te défoncer la Terma ! »
Malgré les jouissances dans ma Terma sosu ma croupe je suis arrivé à réfléchir et j’ai dit :
« Y sa7bi ! zbouda li 3a’ndi dhorka ! yakfouni ! »
( mon ami ! les zobs que j’ai me suffisent).
Et l’arrivée du plaisir nous empêcha de continuer. Il me plaqua contre ses cuisses et j’ai ressenti son zob qui gonflait encore et soudain il pulsa en puissance ses éjaculations dans mes entrailles, dans cette position assise.
J’ai laissé faire car malgré la gêne, c’était très jouissif. Et quant il s’est calmé, je me suis relevé et le sperme coulait de mon cul et barbouillait mes fesses et mes cuisses.
L’homme essaya gentiment de m’essuyer avec son grand mouchoir et sa serviette mais j’ai refusé. Et j’ai remis mon pantalon malgré la pollution qui allait s’y installer par les tâches de sperme..
Il était près de six heure et il commençait à faire jour. Alors je suis parti du coté de la maison de Si Ali. Et dans sa maison qui était vide car l’homme était déjà aux champs, je me suis déshabillé et j’ai pris une bonne douche chaude pour me laver complètement.
Ensuite, je me suis séché et j’ai mis un vieux peignoir trouvé dans la salle de bain. Puis j’ai lavé tous mes vêtements, pas seulement mon pantalon et je les ai étendu dehors sur le fil à linges de Si Ali et enfin, un peu fatigué, je suis allé me coucher dans son lit.
Je savais qu’il ne viendra me voir pour me niker encore, que vers 14 ou 15h, j’ai donc le temps de me reposer.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email