Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (4)

Kamal continue à gouter du zob de Si Ali. Ensuite il a profité d'un second partenaire surprise pour sa Terma. Et enfin ses deux amants sont joints pour niquer ensemble sa Terma insatiable. Et Kamal en est enchanté.

Proposée le 12/04/2024 par DALIDA

Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Et il resta planté dans mon cul un bon moment, goutant le plaisir de ces jouissances sexuelles, à fond et moi aussi. Enfin, il sortit son zob et je me suis retourné rapidement car je désirais enfin gouter ce gros zob, le sucer et le nettoyer de ma bouche et mes lèvres. Et effectivement, il restait debout, brillant de sperme et presque vertical. Je me suis mis penché sur lui et je l’ai saisi dans ma main. Il était lourd de chair et de désir et il m’a encore fait frissonner de désir.
« ch7al zebek khchine ! wa matine ! wa 7lou ! »
(ton zob est si épais, si dur et si doux !)

Puis je l’ai totalement léché et sucé et nettoyé. J’étais toujours pencha sur lui et le sperme coulait de mon cul entre mes fesses et mes cuisses. Si Ahmed me dit de ne pas me presser car il continuait à surveiller les champs. Il se tenait bien debout mais ses mains baladeuses arrivaient à atteindre et caresser mes fesses et ma croupe. Il m dit encore une fois que j’avais une Terma formidable et douce et qu’il en avait encore envie. Je tenais son zob et je savais qu’il disait vrai car son zob restait debout et dur.

Enfin, je l’ai libéré pour aller me laver encore dans les toilettes et me vider sur le bidet. Quant je suis revenu, Si Ali n’était pas encore la et Si Ahmed était assis sir une des chaises de la grande salle, face à la sortie de la maison. Il avait encore une vue sur les champs et surveillait Si Ali. Je me suis rapproché de lui et je n’ai pas pu m’empêcher de toucher sa braguette qui était encore gonflée. Je lui dis :
« zebek mazal mwagaf ! m’tanane ! hadha 3a jib ! » (ton zob est encore debout, m’tanane ! c’est un miracle !)
et il me répondit en souriant :« la hadhi tssir ki zebi ihiss bi Terma zwana ! wa’nta 3a’ndak Terma t’habbal » ( non, cela arrive quant mon zob ressent la présence d’une belle Terma ! et toi, tu as une Terma affolante).

Son Zob était encore debout, metanane et dur. Alors, tout habillé, je me suis assis dessus. Je me suis assis sur ses cuisses et sur son zob pour le sentir contre ma Terma encore et encore. Et au bout d’un moment, Si Ahmad n’a pas résisté à la tentation. Alors il a réussi à ouvrir sa braguette pour sortir son zob et le coller contre mon fin pantalon. Je me suis ajusté pour que le zob soit juste dans le sillon de ma Terma et je me suis encore bien assis. Ainsi il me piquait l’anus et le cul et ma Terma continuait augmenta ses démangeaisons.

Et rapidement, moi aussi, je n’ai pas pu résister à la tentation et je me suis redressé un peu pour descendu mon pantalon à mi cuisses et mettre ainsi la chair du gros zob directement avec la chair chaude de ma Terma. Et ce fut l’explosion sexuelle du plaisir et des jouissances.

Et comme prévu, après quelques secousses de ma croupe, le zob a trouvé son chemin et s’est enfoncé dans mon anus et dans mon cul. Ma Terma était aux anges. Je me suis assis bien totalement et le zob s’est enfoncé en moi jusqu’aux couilles. C’était une sensation affolante avec un tel zob épais et long dans les entrailles de ma chaude Terma affamée.

Je gémissais et parfois hurlais sans retenue. Le monde devenait pour moi seulement ce gros zob que je possédais dans ma Terma. Et j’ai commencé à danser de la croupe sur lui pour me fouiller tous les coins et recoins de mes entrailles, la où mes sensations me grisaient et me donnaient des chocs de jouissances.

Nous regardions en même temps, les champs, la bas au loin, et avions peur que Si Ali n’apparaisse pendant que notre sodomie nous donnait le maximum de ses plaisirs et de ses jouissances formidables. L’interdit et le danger ajoutaient à nos jouissances. Nous retenions automatiquement nos souffles et nos halètements comme si on avait peur que quelqu’un nous écoutait, mais nous jouissions au maximum.

Je dansais sur son zob et l’homme me donnait aussi de temps en temps un coups de rein de désir fulgurant et ainsi, pendant plusieurs minutes, nous avons eu un plaisir et des jouissances plus formidables que les trois sodomies précédentes. Et enfin le zob éclata de plusieurs éjaculations brulantes, presque surprises mais formidablement jouissantes. Nous avons hurlé malgré le danger. Mais hélas, tout de suite après, Si Ahmad me repoussa et m’ordonna de me relever pour aller me vider et me laver. Notre ami Si Ali risquait de revenir maintenant.

Et moi, le pantalon sur mes jambes, retenu par une main, j’ai couru aux toilettes pour faire le nécessaire. Dommage, j’aurais aimé lui sucer le Zob et le nettoyer. Quant je suis revenu à la grande salle, lavé et habillé, Si Ahmed était debout au dehors de la maison. Il me signala que Si Ali était en train de revenir, la bas pas très loin.

Et quant il fut à notre niveau, Si Ali questionna mais poliment Si Ahmed de sa présence. Je m’attendais à une discussion chaude et même à une dispute ou au moins à des mots méchants de Si Ali contre Si Ahmad. Mais au contraire, il l’accueillit comme un ami intime et très proche. Et Si Ahmed répondit aussi calmement qu’il venait s’enquérir de la santé de son ami et bon voisin.

Mais Si Ali ricana et lui répondit
« Jayt tchouf thayfi chabiba ! khalaytou 3ariane fi srir wa Terma mbanja » ( tu est venu voir mon jeune invité ! je l’ai laissé nu sur le lit et la Terma gonflée offerte !).
Si Ahmed voulait protester mais Si Ali ne lui laissa pas le temps car il ajouta : « hadhiki Terma rani niketeha gb’ala7! » ( cette Terma je l’ai déjà niké tout à l’heure !)

Et il ajouta
« Hadhi Terma tachti zbouba ! hahi layk dhoug ha n’ta thani ! » ( cette Terma aime les zobs ! je te la donne pour la gouter toi aussi)

Puis Si Ali s’approcha de moi et mit sa main sur ma Terma sous mon pantalon et entra ses doigts dans mon anus. Il retira ses doigts et constata du sperme encore humide dans mon anus.
Il éclata de rire et dit à son ami :
« ana nay ! Terma 3aryana fi srir ! ma tatlg hach ! rak nikat’ha ! » ( je suis un niais ! Terma nue offerte sur le lit ! occasion à ne pas perdre ! donc tu la niké )
Et les deux compères éclatèrent ensemble de rire.

Et Si Ali m’a demandé :
« nakak sa7bi ? ch7al mine mara ?, kiri ya ka7ba ! teremtek ma tachbarach »
( il t’a niké mon ami ! combien de fois ? avoues putain ! ta Terma n’est jamais rassasiée !)
J’osais lui répondre. : « kounoute ragade ! ou Teremti 3aryana ! r’kab fawgui sa7bak ! ou nakni »
( j’étais endormi ! et ma Terma nue ! ton ami est monté sur moi ! et il m’a niké)
Et si Ali : « 3ijbik zebou ? kima n’ta3i ? »
( son zob t’a plu ? comme le mien ?)

Et moi : « Zbouba 7louwine fi thayne ! Teremti 3a jbouha ! haya nikouni fi joudj ma3a ba3adh »
( les deux zobs ont délicieux tous les deux ! Ils ont plu à ma Terma ! venez ! nikez moi tous les deux ensemble)

Et encore Si Ali dit à son ami :
« ana gha3artlou qarou ! 3arafat Teremtou ka7ba ! t’moute 3ala zob ! » (moi quant je l’ai dépucelé ! j’ai compris que sa Terma était une putain ! elle raffole des zobs)
Et vers moi « haya warina teremtek ! nikouha fi zoudj »
(allez montres nous ta Terma ! on va la niker tous les deux).

Et ils se déshabillèrent et j’en fit autant et rapidement j’étais à genoux sur le lit, gonflant ma croupe à celui qui la veut le premier. Ce fut Si Ali qui pointa son zob dans mon anus et s’y enfonça pendant que Si Ahmed me présentait son zob gonflé et dur à sucer avec plaisir.

Si Ali me nika rapidement car il devait attendre cela depuis un moment qu’il était aux champs. Et Il éjacula par quatre fois au moins dans mes entrailles en hurlant :
« ya zébi ! nikou Terma la7louwa ! »
(mon zob ! nikons la douce Terma).

Et il me passa à son ami qui se pointa tout de suite derrière moi. Et il enfonça son gros zob toujours superbement gonflé et dur dans mon cul sans faire attention au sperme de son ami qui suintait entre mes fesses et sur mes cuisses.
Tout à l’heure aussi il m’avait niké la seconde fois face à face alors que son sperme coulait encore de mon cul. Cela n’avait pas l’air de les gêner de baiser dans leur sperme. Mais le zob risquait de glisser sur le jus et on perdait le contact de chair contre chair. Moi je préfère vider et nettoyer d’abord.

Enfin, Si Ahmad me nika, lui aussi, férocement pendant un long moment et malgré les sodomies précédentes, il trouva suffisamment de jus dans ses couilles pour éjaculer au moins trois fois dans mes entrailles. On n’arrêtait pas de hurler en commun
« Ahhhh ! zid ! nikni bezzaf ! zid ! »
(Ahhh ! encore ! nikes moi plus fort ! encore).
Et lui ne s’en priva pas.

Ma Terma les enchantait et ensorcelait tous les deux et leurs zobs gonflaient automatiquement dès sa présence. Nous avons niké encore une seconde fois par derrière avec Si Ali et une autre face à face avec Si Ahmed.

J’ai léché et sucé longuement leurs zobs et j’ai joué avec leurs zobs ensemble plusieurs fois, goutant leur puissance et leur dureté mais aussi me grisant de la douceur et la lourdeur de leurs chairs. C’étaient vraiment des mâles virils avec leurs gros zobs mais celui de Si Ahmed était le plus formidable et le plus affolant. Puis Si Ali, fatigué de son travail aux champs et dont les forces étaient limitées s’allongea pour sommeiller un moment.

Pendant ce temps, Si Ahmed me rejoignit aux toilettes où je me nettoyais. Et debout, contre le mur, alors que j’étais encore nu, il me prit de face.

Et, mettant mes cuisses et jambes autour de ses reins il me souleva de force, avec ses mains sous ma croupe et me nika ainsi debout. Il me faisait sauter sur son zob alors que lui se tenait debout, bien arqué sur ses jambes et le zob gonflé et vertical, bien ancré à l’intérieur de ma Terma.

C’était formidable et tellement jouissif. Il me confirmait ainsi sa force physique et sa puissance. Et chose presque incroyable, il arriva à éjaculer encore et debout, dans mes entrailles en me plaquant de force le dos contre le mur et mes jambes et cuisses toujours autour de ses formidables reins.

Puis il me posa à terre et on s’est lavé et nettoyé. Sous la douche, j’ai quant même réussi a attraper son zob pour le savonner à fond et le laver de tout son long. Ce fut une épreuve formidable pour moi de toucher amplement et laver ce gros zob si dur, si long et si doux à la fois. J’étais en permanence sous la pression de ma Terma qui n’arrêtait pas de me démanger.

Un moment je lui ai tourné le dos alors que son zob était savonné. Et le zob s’est glissé presque tout seul à l’intérieur de mon anus, de ma Terma.
Et il m’a encore niké sous la douche pendant plusieurs minutes. Je hurlais de plaisir sans tenir compte de Si Ali qui devait nous écouter.

Pendant cette sodomie sous l’eau, Si Ahmad m’a donné beaucoup de plaisir et de jouissances mais je ne sais pas s’il a joui lui aussi et éjaculé dans l’eau. Il me laissait faire tout en caressant ma croupe.

Je l’ai ensuite bien astiqué et lavé tout son corps puis massé et trituré puis sucé à fond son zob et enfin je l’ai libéré à regret. Séchés et habillés nous sommes revenus à la grande salle. Si Ali dormait toujours dans sa chambre. Mes cris de plaisir sous la douche ne l’ont pas réveillé. Tant mieux.

Avant de partir, Si Ahmad m’a indiqué sa maison et son champs par rapport à ceux de Si Ali et m’a expliqué que lui aussi vivait pratiquement seul et que je pouvais venir passer toute mes nuits dans son lit. Promesse retenue par ma Terma pour l’avenir. Puis il est parti alors que Si Ali dormait toujours.

Alors moi aussi je suis parti vers chez moi pour me reposer de cette journée fabuleuses où j’ai été niké deux fois par Si Ali puis surtout plusieurs fois par Si Ahmad et ensuite par tous les deux et enfin par Si Ahmad sous la douche.
Le jeune étudiant bloqué de la semaine dernière n’existe plus. Maintenant mon centre de gravité c’est ma Terma.

Jusque là je ne suis intéressé seulement à ce qui touche à ma Terma donc j’ai parlé de Si Ali puis de son ami Si Ahmad. Mais je n’ai rien dit sur ma famille au bled. Nous aussi nous avons deux fermes dans la région. Une qui appartient à mon grand père Si Hamad et l’autre à son frère Si Kaddour. Tous les deux, âgés de plus de soixante dix ans travaillent encore chacun dans son petit champ comme Si Ali.

Kaddour vit seul et est dans les mêmes conditions que Si Ali. Mais Hamad, mon grand père ne vit pas seul. Il a avec lui Mebarka sa dernière fille de cinquante ans et plus et qui avait perdu son mari, qui était militaire il y dix ans et qui vit donc depuis lors avec mon grand père pour faire l’entretien de la maison et la cuisine.

C’est pourquoi, après avoir quitté la maison de Si Ali ou mes deux amants m’ont niké plusieurs fois, je suis allé passer la nuit chez mon grand père. La tante Mebarka nous avait préparé le diner classique de la région et ensuite je me suis couché. Mon grand père se couche assez tard car il a un vieux poste radio et il aime écouter les infos et histoires tard dans la nuit. Par contre Mebarka se couche dès qu’elle a fini la vaisselle.

Cela fait cinq jours que je suis au bled et ma Terma a été dépucelée puis initiée aux sodomies hier par Si Ali et aujourd’hui par Si Ahmad et encore Si Ali. J’ai passé une bonne nuit car ma Terma avait été satisfaite la veille par les deux hommes.

Le lendemain je suis allé chez Si Ali pour passer une partie de la journée avec lui. Je compte me faire niker par lui au moins deux fois dans la journée. Je l’ai laissé travailler à ses champs toute la matinée et pendant ce temps moi j’ai dormi et j’ai un peu flâné. Et il est rentré à 14h. Nous avons mangé ensemble puis il s’est déshabillé et s’est allongé nu sur le lit et m’a appelé à en faire autant.

Et cinq minutes plus tard il était derrière moi, pointant son zob sur ma croupe nue. Rapidement il trouva mon anus et plongea son zob. Son zob s’enfonça jusqu’aux couilles dans ma Terma et accroché à mes hanches, Si Ali commença à me niker vigoureusement.

Il me nika pendant une demi heure environ et éjacula dans mes entrailles. Il m’a donné, comme d’habitude beaucoup de plaisir et de jouissances et je lui ai sucé, branlé et nettoyé le zob avec ma bouche. Puis je me suis vidé le cul aux toilettes et me sui lavé. On s’est amusé un moment sur le lit. Il me tripotait les fesses et le cul et parfois es seins et il m’a même sucé une partie de mes fesses et mon anus.

Moi j’ai joué avec son zob et j’ai réussi à le faire bander de nouveau vers 15h et il m’a alors niké encore une fois par derrière. Si Ali n’aimait pas niker en face contrairement à Si Ahmad qui nikait par devant ou par derrière, assis ou debout ou couché, qu’importe, l’essentiel c’est que son zob soit au font de ma Terma.

Puis on s’est douché et surprise, Si Ali est venu me laver le corps. Et moi j’ai lavé aussi son corps et surtout son zob qui a encore gonflé sous la douche. Alors j’ai mis du savon plein son zob et dans mes fesses et mon anus et je lui ai tourné le dos.

Et ainsi, il a poussé son zob dans mon cul et m’a niké une troisième fois et il a même éjacule, un peu certes mais il a éjaculé et l’ai fini par le laver complètement. Et vers18h je l’ai quitté pour descendre vers la maison de grand père, la Terma en partie satisfaite. Je réserve la nuit à Si Ahmad chez lui.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email