La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 17/02/2024 par Mysteriotic
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
C'est moi qui l'ai voulu. Je dois donc assumer jusqu'au bout. Je ressens le poids de Bérénice alors qu'elle est à califourchon sur moi. Elle est belle. Elle est sensuelle. Elle continue de frotter son sexe contre ma bouche, sans vergogne. C'est tellement intime. Nous ne nous disons rien. Nous n'émettons que des bruits afin de nous signifier l'un à l'autre que l'on prend du plaisir et que c'est un moment hors du temps, ce que l'on vit là.
Bérénice est un petit bout de femme. J'aime sentir le poids de son corps sur moi. Je la lèche et la relèche. Je ne m'en lasse pas. Mais alors là, pas… du… tout. J'aime tellement faire l'amour à la femme que j'aime. Je veux profiter de chaque instant que je peux passer à ses côtés.
Bérénice soupire. Bérénice gémit.
Bérénice est bien. Bérénice prend du plaisir.
Bérénice se détend. Bérénice… va jouir.
Ses boucles brunes me chatouillent. J'ai son odeur dans les narines. Son goût d'océan dans la bouche. Elle mouille beaucoup beaucoup. Je n'ai pas le souvenir qu'elle ait été autant humide, un jour. Là, son plaisir semble être vraiment intense et sa cyprine me barbouille le visage. Je ne m'en plains pas. C'est même tout le contraire.
C'est si fort.
Nous donnons une autre dimension à notre amour… ainsi qu'à notre sexualité. Ça renforce notre couple.
Je suis en train de laisser les rênes à la femme que j'aime et elle, elle est en train de se donner à moi. Qu'est-ce qu'elle est belle…
Ses soupirs et ses gémissements sonnent comme des plaintes. C'est comme si, implicitement, elle me suppliait. Elle prend beaucoup de plaisir et ces bruits… C'est sa manière de l'exprimer, ce plaisir. Ni plus, ni moins. J'en prends plein les oreilles et… pour être honnête… ça m'excite. Bérénice a beau ne plus s'occuper de moi depuis que j'ai pris les devants… je continue d'être toujours autant en érection. Je n'ai pas besoin de viagra. Bérénice est un aphrodisiaque à elle toute seule. C'est simple: quand elle porte ces parures et ces tenues… quand elle se rase, quand elle s'épile et qu'elle se maquille… quand elle m'embrasse et qu'elle me caresse… quand elle me parle et qu'elle me rassure… Je l'aime toujours aussi fort.
Ce sont de beaux jours.
Ce qu'il s'est passé hier soir, je veux, quelque part, que ça nous serve de leçon. Si elle est préoccupée, si elle a un moment de faiblesse… je veux qu'elle m'en parle: je suis là. Si je sens qu'elle est en colère, si j'ai l'impression que ça ne va pas… je veux qu'elle ne fasse pas semblant: je suis son petit ami.
Bérénice s'agite sur ma bouche. Ses mouvements sont plus frénétiques. Elle est déchaînée. Elle n'en fait qu'à sa tête. Ça me plaît. Elle donne libre cours à son instinct, elle donne libre cours à ses fantasmes.
– Mon a… mour! Tu me fais trembler comme une feuille… C'est parce que… Parce que…
Elle n'a pas le temps, pas les moyens de continuer sa phrase. Le coup de langue appuyé que je viens de lui donner les lui a fait perdre, ses moyens. Son cri est perçant. C'est un long gémissement qu'elle pousse. C'est éloquent et ça se passe de mot. Ça veut tout dire. Elle dit OUI au plaisir et elle se lâche complètement.
– Tu vas me faire… JOUIR! A… mour!
Je grogne de satisfaction parce que ça me fait un je-ne-sais-quoi que de l'entendre. Je prends un coup de chaud parce que je sais qu'elle n'en a plus pour très longtemps. Je redouble d'effort par conséquent.
Je lape son sexe inondé, comme si nos vies en dépendaient. J'aime ça. Ce sont des sensations diverses, variées et elles m'émoustillent. Ses poils pubiens me chatouillent. Ils ont beau être touffus… ils n'en sont pas moins doux. Son sexe sent bon. Il a peut-être une odeur océane… Ça n'en est pas moins une senteur délicate ET agréable. Son sexe a bon goût. Oui, peut-être qu'il a un goût de sel… sa chatte a un bon goût de chatte. Je me plais à donner du plaisir à la femme que j'aime.
– Mon a… mour! Je te… préviens! Si tu continues comme ça… je ne répondrai de rien au moment où je jouirai…
Le message de Bérénice est on-ne-peut-plus clair: elle sent bien le plaisir monter crescendo en elle et là, c'est de plus en plus intense. Je la connais de mieux en mieux, la belle petite choupette… Elle dit OUI au plaisir et elle se laisse aller. Elle ne pense à rien.
Je veux la regarder.
Je veux observer son regard..
Je veux savoir ce qu'il veut dire.
Bérénice pousse des petits bruits aigus, un peu comme si elle était un petit animal frêle que l'on aurait blessé. Mais… Mais, je ne dois pas me méprendre. Non… J'ai bel et bien injecté le poison du plaisir dans son corps et là, ce plaisir continue, depuis tout à l'heure, de prendre possession d'elle. Je suis tellement fier d'avoir rencontré cette femme. Je suis l'homme le plus heureux de la planète quand je lui tiens la main et que nous nous promenons.
Je pense à ça.
Je me concentre sur ce sentiment qui m'envahit et qui me prend au corps.
Je VEUX faire jouir Bérénice.
J'ose lever les yeux et planter mes prunelles dans le regard de MA jolie coccinelle. Elle a les yeux fermés. Je VEUX m'attarder… J'ai beau avoir mes mouvements restreints… Je suis en pleine possession de ma vue et dès lors, j'en jouis allégrement. Je mate Bérénice, je la passe aux rayons X. Ses traits ont beau être tirés et elle est fatiguée… ça ne m'empêche pas de fondre pour elle et de la trouver tout simplement ravissante. Je tombe pour elle.
Je veux la faire jouir.
Je désire qu'elle jouisse.
J'ai envie de goûter au fruit de sa jouissance.
Si elle jouit de nouveau, elle me comblera de joie. C'est aussi simple que ça. Et, à ce que j'entends, à ce que je sens… si je continue dans cette voie… c'est fort probable que ça arrive incessamment sous peu. Advienne que pourra…
– Bérénice… Continue… Ton sexe sent bon… Ta chatte a bon goût… Ton clito est tout dur… J'aime tout ça… Je t'aime, princesse. Remue… Voi… là… Comme… ça… Pour moi…
D'accord… Je plaide coupable, Madame la juge, Messieurs et Mesdames les jurés… Je viens de bouger un tout petit peu la tête, histoire de parler à la jolie coccinelle.
– Ne parle plus, mon chat… Fais… Lèche-moi…
C'est l’hôpital qui se moque de la charité! Et dire qu'à la base, j'ai fait ça pour qu'elle oublie tout… Là, elle y prend goût et c'est elle qui me dit de me taire… et de faire… Très bien. Alea jacta est, alors…
Sa peau est humide et ma langue glisse à merveille. De l'entrée de son vagin à son clitoris… Ses petites et grandes lèvres… Son méat…
Elle est tout sauf insensible à ces caresses diverses et variées.
Bérénice dit OUI au plaisir et c'est tout ce qu'il m'importe.
– Mon amour… Que tu m'aies demandée de me placer comme ça, sur toi, et de faire abstraction de tout… Tu as raison… Je cogite trop, parfois…
– Peut-être devrais-tu te détendre et lâcher du lest, une fois de temps en temps… Et surtout… surtout… Ne garde pas tout pour toi, Béré'. Je t'en prie.
Le temps d'un échange, je desserre l'étreinte de son minou et de ma bouche. Je lui parle. Ce n'est pas du sexe pour du sexe. Ça va bien au-delà. Au regard de la soirée d'hier, j'ai besoin de savoir ce qu'il y a dans la tête de la femme dont je suis fou amoureux. J'aime sonder son cœur. Je veux m'occuper d'elle ET me préoccuper pour elle. Je l'aime.
La faire jouir, ce serait… ce sera le meilleur que je puisse faire. Nous mettrons fin à ce beau réveil en beauté. Et c'est bel et bien mon intention.
Ni une, ni deux, je me remets à l'ouvrage. Mais… Cependant… Il y a quelque chose que j'aimerais essayer… encore… ce matin, avec Bérénice. Je me ravise dès lors.
– Jolie coccinelle… MA jolie coccinelle… Ça m'émoustille que tu sois comme ça sur moi… J'ai… d'autres projets… pour toi, princesse… Similaires et pourtant… encore plus… émoustillants…
Bérénice baisse la tête dans ma direction. Elle me regarde. Il y a de l'incompréhension dans ses yeux. C'est comme tout à l'heure, quand elle était allongée sur le dos et que je la léchais déjà. Je lui avais demandée de se caresser les seins. Elle disait déjà OUI au plaisir et elle n'avait pas compris pourquoi j'avais marqué une pause dans la minette que je lui faisais.
– J'aime t'avoir comme ça, Béré'… Et là, je veux que tu lâches totalement prise et que tu te donnes à moi… Tu es… d'accord?
– Mon amour…
Mes mots la touchent. Leur tonalité douce la rassurent.
Ils lui font un je-ne-sais-quoi.
Ça fait qu'elle se met encore un peu plus à nu.
C'est palpable.
Il n'y a pas de tension éprouvante dans l'air entre nous. Et pourtant, c'est palpable, c'est électrique. Je sens comme des décharges électriques en moi et ça me donne la chair de poule. À mon avis, ce doit être la même chose pour Bérénice. Elle tremble. Je parviens à percevoir ça alors que mes mains sont encore et toujours posées sur ses flancs.
– Avance-toi… un petit peu, jolie coccinelle… Comme si tu montrais sans aucune pudeur ton petit cul… Je veux y avoir accès comme je l'entends. Tu m'entends, princesse?
– Ou… Oui…
Sa voix est haletante. Mes mots la bouleversent. Ils lui font de l'effet. Je suis persuadé, aussi… qu'ils l'excitent.
Bérénice soupire.
Bérénice gémit.
Bérénice… me supplie.
Elle me laisse de nouveau prendre le dessus, ce qui est paradoxal compte tenu de nos positions respectives. Mais elle a confiance en moi. Elle sait que c'est avec douceur et tendresse que je lui donne des baisers, que je lui fais des caresses et que je lui accorde des égards. Ce n'est que du plaisir…
De là où je suis, allongé sur le dos, il me semble que ma coquine de petite amie me chevauche un peu plus encore. Elle me regarde, la tête baissée dans ma direction. Je la regarde, les yeux levés au ciel, rivés sur elle. Nous ne nous disons pas un mot. Nous nous en passons. C'est peut-être insensé, mais je m'en fiche: j'arrive à décrypter ce que me dit Bérénice par le biais de ses yeux. Et là… ce qu'elle me dit… c'est qu'elle est à nu, qu'elle m'aime et qu'elle a confiance en moi. C'est qu'elle me désire, qu'elle est excitée par ce que j'ai l'intention de lui faire bien qu'elle ne le sache pas encore, et qu'elle a follement envie de moi.
– Mon amour… Quand tu me regardes comme ça et que je suis sur toi… C'est fou mais… tu me fais me sentir sexy… Je…
– Tu ES sexy, Bérénice. Quand est-ce que tu vas donc en prendre conscience? Quand est-ce que ça va rentrer dans ta p'tite tête?
– Joli oiseau…
Tu les vois, mes yeux sur toi. Tu sais pertinemment que je ne peux tout simplement les détacher de toi, mes yeux.
– Mon amour… Embrasse-moi…
Elle me parle et elle jette sur moi ses petits yeux du matin. Ils sont chocolat, ils sont attendrissants. Je fonds pour elle. Je tombe pour elle. L'émotion me prend au corps et dès lors, les dégâts sont perpétrés. Ça me conforte dans l'idée de faire ce que j'ai envie de lui faire. Ça non plus, nous ne l'avons jamais essayé jusqu'à aujourd'hui… Encore une première!
– Bérénice… Profite… Savoure autant que tu le peux… Jouis. Ce n'est que du plaisir… Je te le promets, ma jolie. D'ac… cord?
Je n'ai pas de réponse immédiate. Alors, je continue de maintenir le contact visuel avec ma chérie. Et je ne lâcherai pas le morceau tant qu'elle ne m'aura rien dit, noir sur blanc. Je me le promets.
J'observe Bérénice. Je suis… curieux. Je suis attentif à ses paroles. À ses faits et gestes. Aux sons qu'elle émet. À ses regards. Oui. Je ne la lâche pas d'une semelle. Mais c'est parce que seul son consentement… ou… son refus sont la clé de tout. Ça, c'est important pour moi.
Je la passe aux rayons X. Elle a les yeux fermés. Elle a les traits du visage tirés, ce qui signifie qu'elle est fatiguée. Ses lèvres sont entrouvertes et ainsi, je peux l'entendre respirer. Ses seins tressautent. Les tétons en sont allongés. Ils doivent être particulièrement tendus… Sa peau est reluisante de sueur. Elle est… belle.
En parlant de sueur… Une coulée descend le long de son corps et elle atterrit sur ma peau. Elle est tiède. La sueur de Bérénice sur mon épiderme… Ça me fait un… je-ne-sais-quoi.
Je la tiens dans mes bras. Je suis ému par le spectacle et la vue émoustillants qu'elle m'offre. Elle est belle, ma jolie coccinelle. Il n'y a aucun doute dans mon esprit. Maintenant… c'est de Bérénice dont il s'agit là. C'est à la pupuce de décider. Oui.
– Mon amour… Je… veux! Je sais pas ce que tu as encore comme idée dans la tête… Je… Ne me dis rien…
– Je… pense que tu vas aimer, princesse…
– Tré… sor…
Elle a beau être fatiguée… Ça ne l'empêche pas de conserver ce grain de voix doux, caressant qu'elle peut avoir quand c'est intime, palpable entre nous.
Je ne la quitte pas des yeux. J'attendrai le temps qu'il faudra mais j'aurai Bérénice à l'usure. Je ne lâcherai pas son regard tant que ses yeux ne se seront pas rouverts. C'est comme ça.
Quand… soudain…
Ses petits yeux s’entrouvrent.
Ils sont brillants.
Sur ses lèvres se dessine un sourire.
Je lui souris en retour.
Mes deux mains sont sur son corps et je l'étreins.
Elle pousse un sanglot. Un petit sanglot, certes. Mais c'est un sanglot éloquent.
Elle hoche la tête. C'est le feu vert qu'elle m'adresse.
– Pupuce… Oublie dé-fi-ni-tive-ment tes petites contrariétés sans importance… Donne-toi à moi… Comme… ça… En… core… Voi… là… Ne bouge plus…
Son sexe et ma bouche ne font de nouveau plus qu'un. Mais cette fois… mes mains sont libres.
J'empoigne ses fesses et je la lèche… sans modération...
Les seins de Bérénice sont mis en valeur avec la position qu'elle vient d'adopter. Ses deux pommes lourdes sont mises en évidence et elles s'agitent au moindre de ses mouvements. Elles se balancent sans arrêt, comme les cloches d'une église, d'une basilique ou d'une cathédrale. Bérénice a pratiquement la tête collée au mur et son corps flirte avec la tête en fer forgé du lit.
J'ai sa croupe en gros plan et la vue est émoustillante. À mes yeux, elle n'est pas obscène. Elle est juste… coquine? Cochonne? J'aime… le zoom maximum que cette configuration m'offre: Bérénice m'est offerte à l'extrême.
Je ne la vois pas. Je veux dire… Nous ne sommes plus les yeux dans les yeux. Et pourtant… Je parviens à l'entendre distinctement. Son souffle est court, il est bruyant. C'est comme si elle était une petite créature fragile que l'on aurait blessée et que l'on traquerait. Elle est à bout de souffle, Bérénice… mais elle continue de dire OUI au plaisir.
– C'est ça, ma belle… C'est ça. Tu es idéalement placée… C'est précisément comme ça que je te veux, Bérénice… Ne… bouge… pas.
Bérénice glousse.
Et puis l'instant d'après, elle gémit.
Mes mots l'excitent et ce, au même titre que mes intentions. Il font, mis bout-à-bout, qu'elle est pantelante. Un coup d’œil rapide à sa vulve, et je le vois. Ses lèvres sont écartées et elles sont reluisantes de fluides divers et variés. Cyprine… Salive… Lubrifiant… Je vois sa touffe pubienne de poils. Je vois son clitoris tout dur, gorgé de sang. Je vois, en levant un peu les yeux, son anus, lui aussi très humide. Je réalise que si Bérénice est à bout de souffle et qu'elle est fatiguée à ce point, c'est parce que je ne l'ai pas épargnée et que, tout compte fait, je ne lui ai pas laissée de répit. Oh… du répit, du repos… elle en aura. Mais tant qu'elle n'aura pas tout donné… Oui… J'ai bel et bien l'intention de la faire jouir, encore une fois.
Je pose mes mains, avec délicatesse, sur ses fesses généreuses. Ainsi, je caresse Bérénice et je la rassure. Je la mets en confiance avant que je ne passe véritablement à l'attaque. Ce sont des gestes qu'elle apprécie venant de moi et c'est précisément pour ça que je les fais. Je veux qu'elle se laisse aller et qu'elle se détende au maximum. Plus elle est relâchée, plus j'ai une facilité déconcertante à la caresser comme je l'entends. Plus elle lâche prise, plus les sensations ressenties doivent être intenses. C'est l'expérience que je tire de nos deux ans de couple… et des nombreuses fois où nous avons fait l'amour. Et là, je sais que c'est ce qu'il faut que je fasse.
Je hume son odeur. Je suis à l'écoute de ses moindres bruits, avec attention. J'observe, à la manière d'un amateur d'art, la pâleur et l'humidité de sa peau, la générosité de son fessier ou bien encore la beauté abondante de sa toison. Oh… oui. Je suis et je reste aux aguets. Ce sont des choses qui ne me laissent pas indifférent.
La jeune femme n'est plus en mesure de me voir. Et pourtant… C'est avec des yeux amoureux que je me délecte d'elle. C'est avec une langue avide que je la lèche… jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. C'est avec des lèvres affamées que je m'empare de sa peau et que je la suçote… pour des plaisirs divers et variés.
Elle a beaucoup donné ce matin, déjà. J'en ai conscience. Mais je n'en ai pas encore fini. Non. Je suis persuadé que Bérénice a encore un peu d'énergie à dépenser… et qu'un orgasme de plus ne lui fera pas de mal.
Je prends ses fesses à pleines mains et je m'arrime ainsi à ma petite amie. La tête plongée entre ses cuisses et la langue tirée, je m'attelle à la tâche. Je prends toujours autant mon pied, je dois dire… La chatte de Bérénice est tellement bonne… Je ne m'en lasse pas.
Je suis, une fois encore, limité dans mes gestes. Néanmoins, devoir repasser et me réhabituer à des mouvements de base, à des caresses simples, certes, mais efficaces et… jouissives, ça ne me fait pas de mal non plus. Là, ce sont mes mains et ma bouche. Son corps et son sexe.
Bérénice halète. Elle fait beaucoup de bruit. Ce bruit remplit notre chambre. Il remplit aussi mes oreilles. Ce n'est pas désagréable. Non. C'est un aphrodisiaque et ça m'excite. Ça fait que j'ai envie de prolonger ces caresses-là. La même pression, le même rythme… Et… mon petit doigt me dit… que la jolie coccinelle ne va plus tarder à jouir, une nouvelle fois…
– Mon a… mour!
Sa voix résonne dans la pièce, à plein volume. Il ne devrait pas avoir de limite sonore quand il est question de sexe. Les architectes, en conséquence, devraient revoir leurs plans et ainsi repenser le concept d'isolation phonique. Ah je ne sais pas ce qu'ils peuvent faire et ce n'est pas mon domaine! Je suis guide touristique, moi!
Et là, je suis le petit ami, l'amant attentionné, passionné qui est aux petits soins de la femme qu'il aime et à qui il fait l'amour.
Ma langue caresse la fente ouverte, juteuse à souhait. De haut en bas. De bas en haut. Ce qu'elle touche est doux et chaud à la fois. Ça a un goût délicat mais agréable. C'est délicieux, je reconnais. L'intimité de la situation l'est tout autant, délicieuse. Ma seule pensée est de donner autant de plaisir que possible à Bérénice. Je sais que mon membre est particulièrement en verve parce que la position et l'intimité m'excitent. Cependant… c'est tout pour Béré'. Rien que pour Béré'.
Les minutes continuent de défiler et mine de rien, la journée s'égrène, petit à petit… Je n'en tiens pas compte. Non.
C'est d'une émoustillante jeune femme répondant au joli prénom de Bérénice dont je tiens compte.
Ses fesses remuent.
Elles enserrent ma tête.
Elles sont généreuses et douces, roses et humides à la fois.
La peau de Bérénice est d'un rose plus foncé au niveau de son sexe. Ses poils, d'un noir obscur, se démarquent, eux aussi, dans ce tableau, digne héritier de "L'Origine du monde" de Gustave Courbet. Je tire la langue et je la tends vers la peau. Je lèche la eau comme si je goûtais à un fruit gorgé de bon nectar. Je m'en délecte sans modération.
Cette étendue de peau dessine, si l'on y prête attention, une poire… à l'envers. Le clitoris est la queue du fruit intime. Bérénice est le fruit de mon désir. Je la mange et je la touche avec appétit. Mon palpitant pulse à mille à l'heure.
Entendre Bérénice gémir, crier à pleins poumons, comme une sauvageonne me fait un je-ne-sais-quoi.
Ma langue sur sa vulve…
Mes doigts sur son clitoris…
Réaction.
J'ai touché le point sensible.
Je vais m'y attarder…
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