La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 17/02/2024 par Mysteriotic
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
C’est un beau câlin que l’on s’offre, Bérénice et moi, ce matin, dès notre réveil.
Nous nous sommes embrassés.
Nous nous sommes regardés.
Je l’ai embrassée sur les seins.
J’ai glissé une main entre ses jambes, et je l’ai caressée.
Elle s’est allongée, et je me suis installé entre ses jambes pour lui offrir un savoureux cunni, de bon matin.
J’en ai profité pour éveiller tous ses sens et ses instincts sensuels. Je me suis donc de nouveau occupé de ses jolis gros seins.
Elle, elle n’a pas cessé de mouiller.
Je lui ai offert un puis deux doigts à l’intérieur de son vagin gorgé, inondé de cyprine.
J’étais tellement excité, et je savais que Bérénice l’était tout autant.
Ni une ni deux, je lui ai demandée de se positionner à quatre pattes. La petite coquine cachait son jeu, me semble t-il, car elle m’a regardé comme si elle ne comprenait pas. Elle m’a souri l’instant d’après. Elle m’a embrassé goulûment, et elle m’a tourné le dos. Elle m’a présenté sans aucune pudeur son cul.
J’y suis allé tout doucement, pour commencer, avec son anus. J’y ai donné des petits coups de langue sensuels pour le titiller et pour l’éveiller au plaisir. Et de fil en aiguille, et plus elle mouillait, mes coups de langue étaient plus limpides. C’est ainsi que son anus s’est mis à se dilater. Et c’est ainsi, aussi, que ma langue a cessé de lui donner des coups et qu’elle s’est faite davantage foreuse. Je réussissais à présent à introduite ma langue dans son petit cul.
Bérénice voyait que son anus me plaisait et que j’aimais la caresser à cet endroit précis. J’ai alors su à ce moment-là qu’elle n’avait pas envie que de ma langue. Elle en voulait plus. Elle a alors sorti un tube de lubrifiant de sa table de chevet et elle m’a demandé… elle m’a supplié de l’enculer.
J’ai débouché le tube et j’en ai versé un peu entre les fesses de Bérénice. Elle, ça l’avait beaucoup amusée. Son derrière était tout mouillé. Cyprine… Salive… Lubrifiant «spécial anal»…
Caressée… Léchée… Cajolée… Câlinée… Doigtée… Pénétrée… Bérénice s’en remettait à moi et elle me laissait faire. Elle y prenait… beaucoup de plaisir.
J’ai étalé le lubrifiant tout autour de son anus en m’y prenant tout doucement, très délicatement. Le bout d’un doigt m’avait été largement suffisant.
Et à un moment donné, après de nombreux baisers et de nombreuses caresses de la langue sur son œillet, j’ai estimé, au vu de l’état de lubrification et de dilatation de ma coquine de jolie coccinelle, que le moment était venu d’insérer dans son petit cul. Ce fut le point de départ du plaisir qu’elle prenait alors que je m’occupais de sa rondelle.
Elle haletait.
Elle soupirait.
Elle gémissait.
Elle criait.
Elle hurlait.
Elle chevrotait.
Elle n’a pas caché le moins du monde le plaisir qu’elle a ressenti. Dans le même temps, ça m’a stimulé. J’avoue même que ça m’a excité de l’entendre autant pendant que mon doigt allait et venait dans son cul. Bientôt j’usais et j’abusais du lubrifiant et ce n’était plus un mais deux doigts qui coulissaient dans son orifice anal.
Andromaque… Levrette… Bérénice s’était donnée corps et âme pendant que je la sodomisais pour la toute première fois. Ça a été beau et ça a été, tout du moins à mes yeux, l’aboutissement d’un amour qui a deux ans mais qui n’en est encore qu’à ses balbutiements.
Andromaque… Levrette… Peu importent les positions qu’elle prenait pour que je l’encule, j’ai veillé à ce que ça reste du plaisir pour elle. C’est pourquoi mes allées et venues étaient lentes et douces mais jouissives. Et de fil en aiguille, plus elle était dilatée, plus j’y allais de bon cœur, dans son cul. C’était l’aboutissement d’un amour qui a deux ans mais qui n’a jamais cessé d’évoluer et qui est aujourd’hui à son apogée.
J’ai fait jouir Bérénice à plusieurs reprises. Avec mes lèvres et ma langue… Avec mes doigts… Avec mon sexe… Et, pendant que je la sodomisais, je lui ai même carrément demandée sa main ! Parce que… cette première sodomie… elle m’a ouvert les yeux… Je sais désormais que c’est avec la jolie coccinelle que je veux passer le restant de mes jours. Je me suis mis à genoux et je lui ai demandé de devenir ma femme. Elle a dit oui en souriant et en versant quelques larmes de bonheur.
À présent, c’est un orgasme que je veux lui offrir comme premier cadeau pour nos fiançailles.
C’est dans la position dite du 69 que l’on prolonge nos câlins de ce matin. Bérénice me prend dans sa bouche et elle me masturbe dans le même temps. Sa bouche coulisse à merveille et ma jolie coccinelle place de temps à autre des coups de langue jouissifs sur mon gland.
Nous sommes pêle-mêle et moi, j’ai les mains fermement posées sur ses fesses généreuses et je ne les lâche pas. Je les maintiens bien écartées et je lèche son sexe qui n’en finit pas de couler. Quel… plaisir… !
Bérénice se laisse complètement aller. C’est le dénominateur commun de nos ébats, à chaque fois. Elle me fait confiance et elle se donne entièrement à moi.
Nous adorons explorer de nouveaux territoires sensuels et sexuels. Ça ne fait pas tout, bien sûr. Néanmoins, ça renforce l’amour et le désir que nous éprouvons l’un pour l’autre.
Ce matin, nous sommes bien, dans notre lit. Ça a commencé par le moment où Bérénice a ouvert ses jolis petits yeux chocolat du matin. Bérénice m’a donné envie de l’embrasser.
Qu’est-ce qu’elle peut me donner envie, cette jolie coccinelle… Rhoo !
Et là, après que nous nous soyons refaits le film de la première fois où nous avons fait l’amour, nous nous remettons à nos ébats. Nous ne nous en lassons tout simplement pas.
Nous sommes pêle-mêle, mais nous sommes si bien. Oh… oui. Bérénice est à califourchon sur moi. Que j’aime avoir son corps tout contre le mien… Ça m’émoustille.
Même s’il est moite du fait de tous les efforts qu’elle produit depuis que l’on fait l’amour ce matin, le corps de Bérénice est toujours aussi agréable au toucher. Il me met l’âme en ébullition.
Qu’est-ce qu’elle peut me donner envie, cette jolie coccinelle… Rhoo !
Je sens ses mains sur mes aines. Elles ne portent pas les traces du temps qui passe. Je sens ses seins qui se collent délicieusement sur le bas de mon ventre. J’aime qu’ils soient comme ça. Ni trop petits, ni trop gros. Un ravissant 90C.
J’ai son derrière généreux dans ma ligne de mire directe. Mes mains l’écartent. C’est un fruit parfaitement mûr. C’est un fruit juteux à souhait. Les fluides y sont divers et variés. Cyprine… Salive… Lubrifiant «spécial anal»…
J’entends distinctement la respiration de ma princesse. Elle est brève et son rythme est rapide. Quand elle inspire et expire, je sens ses seins s’en aller puis se reposer sur ma peau. Ils sont chauds. Je… les… aime.
Qu’est-ce qu’elle peut me donner envie, cette jolie coccinelle… Rhoo !
Je me fais coquin, je le lape et je le lèche, son sexe tout mouillé. Je me fais sensuel, je les prends doucement et je les caresse, ses grosses fesses. Je me fais coquin, Bérénice gémit et me supplie. Je me fais sensuel, Bérénice minaude et me charme.
- Mon joli oiseau… Continue… OH ! Ce que tu sais me rendre folle quand tu t’y mets… Encore… Encore…
Ça veut tout dire. Elle aime que je prenne soin d’elle. Elle aime que je m’occupe d’elle. Et dieu sait qu’elle jouit et se réjouit, se pâme et raffole de mes cunnis. Et me concernant… c’est ce que j’aime lui offrir, à la jolie coccinelle.
- Mon joli oiseau… Continue… T’arrêtes pas… J’aime ! Je suis toute trempée… Perdue… Tellement perdue… Encore… Encore…
Ça veut tout dire, une fois encore. Et je le vois, moi aussi, qu’elle est trempée. Je l’entends, qu’elle est perdue. Sa chatte est appétissante. Elle est saline. Un goût délicat mais agréable. Et je suis comme ça : j’aime faire l’amour à Bérénice.
- Mon joli oiseau… Continue… J’aime ta langue… J’aime aussi quand tu utilises tes lèvres… Tu es un bon lécheur, toi… MON lécheur… AAAAH…
Ça veut tout dire, quand elle soupire et quand elle se laisse aller, Bérénice. Elle se sent bien et elle prend du plaisir. Ce sont les deux mamelles de mes caresses. Mes deux priorités. Et quand elle fait ces bruits, alors je sais qu’elle est corps et âme à moi.
Qu’est-ce qu’elle peut me donner envie, cette jolie coccinelle… Rhoo !
- Théo… Moi aussi, je te donne du plaisir… Je me cramponne à toi… et je te prends… dans ma bouche… Je te prends… et je te suce… Je te prends… et je te suce… Je vais… et je viens… Je vais… et je viens…
Je sens en effet les lèvres vanille de Bérénice aller de haut en bas et puis revenir sur leur chemin de chair et de peau. Elles sont humides, juste comme il faut. Je dois reconnaître que j’aime me faire sucer. Et Bérénice s’y prend très bien.
- Théo… Mon amour… Ça te laisse pas indifférent, je le sais… Alors je continue… Je vais… et je viens… Je vais… et je viens… Elle est bonne, ta queue… C’est ma sucette et elle est rien qu’à moi…
Qu’est-ce qu’elle peut me donner envie, cette jolie coccinelle… Rhoo !
Un petit coup de langue sur le gland… Ses lèvres qui n’entourent que le gland… Qu’est-ce qu’elle est douée… Je reporte mon attention sur ses arrières. Des léchouilles… Des coups de langue… Des succions… Du plaisir, encore du plaisir, toujours du plaisir...
- Qu'est-ce que j'aime faire l'amour avec toi, mon chat... À chaque fois, c'est toujours aussi... bon... Aaah...
Cette jolie jeune femme... Ma petite amie... Rhoo...! Quand elle pousse ces fameux soupirs, je ne réponds plus de rien alors. Elle peut me demander ce qu'elle veut... je le lui ferai.
- Tes coups de... langue! Je peux pas m'en passer, joli oiseau... Continue... T'arrêtes pas... Tu me fais tout ce que j'aime...
Bérénice se dandine au-dessus de moi et je la vois. Elle ne se refuse pas à mes caresses. C'est même tout le contraire... Elle les accepte avec grand plaisir et elle y succombe.
- J'aime que tu me la lèches, ma petite chatte.. Je mouille pour toi, Théo... Pour toi... Tu es un bon lécheur, toi... J'aime... Encore... Encore...
Elle remue ses fesses, et ce même si je continue de les prendre à pleines mains. J'aime tout particulièrement ça. Et puis... puisque Bérénice est à califourchon sur moi, pêle-mêle, pourquoi m'en priver? Même pas en rêve, ça, et je compte bien en profiter. Oh... oui. Encore et encore. Encore et toujours. Ma jolie coccinelle... et moi.
Son corps bouge, son corps remue. Je sens son corps nu, en sueur, contre le mien. Je sens ses beaux seins chauds qui se posent sur ma peau. Je sens la main de Bérénice qui se saisit délicatement de la base de mon sexe. Sa bouche coulisse le long de mon érection. Ses lèvres sont mouillées. Juste ce qu'il faut. J'aime...
- Qu'est-ce que j'aime quand tu me prends dans ta bouche, quand tu me suces... Bérénice... Tu es MA serial suceuse. Ma suceuse à moi... Continue, toi aussi... J'aime... Haaaan...
Elle doit avoir mon pénis entre ses lèvres parce que j'ai cru entendre comme un gémissement étouffé. Et juste après... un... puis deux... puis trois... puis d'autres gémissements. Mes mots salaces lui plaisent dans ce contexte. Ils la touchent. Et puis je comprends mieux... Mes mots sont salaces, ils sont spontanés. C'est ce qu'elle veut de moi lorsque l'on fait l'amour.
- Haaaan... Oui! Comme... ça! Prends-moi entre tes lèvres, Béré... nice ! Comme ça... Fais bien coulisser tes lèvres de suceuse sur ma queue... Oh... Ouui... Comme ça... Tu t'y prends si bien... Pu... tain... Continue, ma chérie...
- Hmmm... Hmmm... Hmmm...
Bérénice me suce et me pompe goulûment. Je n'y suis pas du tout insensible. Je perds la raison, je perds les pédales. Toute raison me quitte, je lâche prise. Je ne suis plus moi-même. Bérénice m'a transformé en une boule de plaisir. Elle a bel et bien conscience que je prends du plaisir. Elle le sait, la belle petite choupette. C'est ce qu'il fait qu'elle incorpore des petits coups de langue sur mon gland à son mouvement de succion.
- Mon amour... Qu'est-ce que tu me fais ! Je me sens... couler! Je me sens... ouverte... Je me sens... offerte... Je peux plus rien faire... Je peux plus y échapper, à ta langue... Elle me donne du plaisir... Elle me fait perdre la raison... Continue, mon Théo... Continue encore... Pas plus vite... Pas plus fort...
Bérénice qui dit ce qu'elle veut, comment elle aime que je la caresse, que je la lèche... Très bien. Je prends note. Elle aime la façon dont je m'y prends. Elle reste à l'écoute de ses désirs. Et elle m'en fait part, de telle sorte que je continue de lui donner du plaisir.
- Haan... Haan... Ta... langue! Qu'est-ce qu'elle est... bonne ! Oui! Oui! Oui! Mon... chéri... J'aime tes cunnis... Non! Je les adore ! Pu... tain!
Bérénice se lâche, elle aussi. Ses mots sont salaces. Et quand c'est comme ça... je n'ai pas à chercher midi à quatorze heures. Non... Ça veut dire que le plaisir qu'elle ressent... est plus fort. Qu'il est monté en intensité. Quand c'est comme ça... Bérénice ne tarde pas à jouir.
- Bérénice... Ah Béré'... Béré', Béré'... Moi j'aime quand tu me fais une pipe et surtout quand je ne m'y attends pas. J'aime quand je vais profond... dans ta gorge... Mais... mon sexe a beau te baiser, chérie... c'est toi en réalité qui me prends...
- Hmmmm...
- Oui... Bérénice... C'est toi qui me prends...
- Mon amour... C'est toi... qui me lèches... Oublie pas!
- Faisons un compromis, tu veux ? Tu me suces et tu me fais jouir. Et moi, je te lèche, je te doigte et je te fais jouir.
- Hmmm... Dis comme ça... Je ne peux qu'être d'accord, joli oiseau...
Ma réponse ne se fait pas attendre. Je saisis ses deux globes de chair fermement. Je porte ma langue à son sexe dégoulinant de mouille et de fluides divers.
J'y plonge un puis deux doigts. Je les fais aller et venir lentement puis... plus rapidement.
Je ne ménage soudainement pas Bérénice. Sa réaction ne se fait pas attendre, d'ailleurs.
Elle pousse un grand cri libérateur, comme si elle n'attendait que ça. Son corps se cambre. Ça veut tout dire...
- Mon amour... Mon amour... Oh oui ! C'est bon... C'est trop... bon! Je les aime, tes doigts en moi... T'arrêtes surtout pas... J'aime...
Bérénice remue ses grosses fesses et je sais qu'elle le fait pour que j'aie un accès des plus faciles, des meilleurs à son intimité. De cette manière, elle baise ma bouche.
- Vas-y, Bérénice... Pour moi... J'aime bien quand tu fais ça... Quand tu remues ton petit cul au-dessus de mon visage... Continue...
Pour toute réponse, elle gémit, ma jolie coccinelle. Et elle ne s'en cache pas le moins du monde. Ses gémissements me font quelque chose, ils me font encore et toujours ce je-ne-sais-quoi. Je suis ému.
- Mon a... mour! J'aime... quand tu t'occupes de moi et que tu ne penses qu'à mon plaisir... Tu fais ça si bien, mon chat... Je veux... que tu continues... Ne t'arrêtes pas...
Bérénice, au risque de me répéter, se laisse complétement aller quand je suis à ses côtés et que nous faisons l'amour. J'aime ça... Elle ne pense à rien d'autre et elle est entièrement corps et âme dans nos ébats. Elle se donne entièrement à moi et c'est juste un pur délice de le voir de mes propres yeux.
- Bérénice... Haaan... Quand tes lèvres se posent sur mon pénis tout dur et que tu me prends en bouche... Je ne réponds plus de rien... J'aime bien quand tu me fais une pipe au réveil...
Bérénice retire mon sexe de sa calanque rose et vanille le temps d'un instant. Elle pousse un gémissement qui est, une nouvelle fois, éloquent. Mes mots la font gémir de plaisir mais aussi de contentement. C'est important pour Bérénice d'entendre ces mots que je prononce. Elle se sent d'autant plus sexy ainsi.
- Mon amour... Tes... mots! Ça me donne encore plus envie de te la faire, cette fellation... Et si ça continue comme ça... je suis bien partie pour que tu jouisses... dans ma bouche... C'est peut-être ce dont j'ai envie, à présent... Hmmm...
C'est à mon tour de gémir. Je gémis parce que les mots de Bérénice m'excitent. Au plus haut point. Et je sais qu'elle en est capable en plus, la jolie coccinelle ! Elle est parfaitement capable de me sucer jusqu'au bout, jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche. Et si c'était tout simplement ce dont j'avais envie, moi aussi, à cet instant précis ? Je redouble d'effort et de concentration. Je me consacre à Bérénice.
- Ta chatte a un bon goût de chatte, bébé. Qu'est-ce que tu peux mouiller pour moi... J'aime ça... Ma langue sur ta chatte... Ma langue sur ton clito... Qu'est-ce que j'aime ça... te lécher... Rhoo... Ma langue qui te lèche... Deux doigts en toi... C'est que du plaisir, mon cœur...
Bérénice ne contrôle plus du tout les mouvements de son corps. Elle se tient au-dessus de moi et elle se dandine. Je suis à présent ob-li-gé de prendre ses fesses fermement et de les maintenir afin d'avoir toujours un accès relativement facile à son sexe. Son sexe est tout mouillé. Son anus, lui, reste éclos suite à notre sodomie de tout à l'heure.
- Mon a... mour! Tu sais que j'aime que tu y mettes la langue, à ma petite chatte... J'aime que tu me manges, mon cœur... et pas que des yeux... Mange-moi... Bouffe-moi! Dévore-moi! Mon a... mour! Je veux que tu ne fasses qu'une bouchée de moi... Vas-y... Oui! Oui! Oui! Haaaan... C'est ça! C'est ça ! OH! Mon a... mour...
Elle se laisse aller. Elle s'abandonne. Son corps est tout à moi, ce matin. C'est ainsi que Bérénice continue de se donner entièrement à moi, là. Et je ne la ménage pas. Oh... non. Même si je sais qu'elle a dépensé beaucoup d'énergie jusqu'à présent, j'ai encore envie d'elle.
- J'aime... ton goût, ma chérie. Oh... oui. Et j'aime... que tu te mettes à mouiller... rien que quand je suis près de toi... Et... j'aime l'idée... que tu sois trempée... rien que quand tu penses à moi... Tout ça, ça me donne envie de te lécher, Bérénice... J'aime te posséder, te faire l'amour... Te... baiser... Oh... oui, jolie coccinelle. Tout ça, tout ça...
La peau de Bérénice est toute recouverte de sueur. Elle reste douce au toucher, à la caresse. J'entends ma petite amie soupirer, geindre, gémir. Pour moi, ça veut tout dire. Elle aime sentir mon corps contre le sien, en étroite étreinte. Elle aime sentir ma bouche et mes mains sur toute la surface de son épiderme. Elle jouit d'avoir mon sexe dans son vagin ou... tout récemment... dans son anus.
- Ché... ri... Continue, alors... T'arrêtes pas... Surtout... pas... T'arrêtes pas... T'en as même pas le droit ! T'as pas le droit de me laisser comme ça... Et pour ça... je te suce... je te pompe... et toi... tu vas continuer... de me lécher... et... tu sais quoi, Théo ? Tu vas le faire... jusqu'à ce que je jouisse... Je VEUX que tu aies plein de mouille sur ton visage quand tu me l'auras donné, cet orgasme... Lèche... moi...
J'ai son cul en plein sur mon visage. C'est ainsi qu'elle veut que je le lui fasse, ce cunni. Très bien...
Bérénice n'en finit pas... n'en finit plus de mouiller. De couler entre ses jambes. Et elle m'en fait profiter autant que j'en ai envie, ma pupuce. C'est aussi simple que ça : j'aime porter ma bouche à son sexe et lui donne une minette comme elle les aime. Elle, elle aime tout ça : écarter grand ses jambes, et sentir le toucher et la caresse de ma bouche, sentir les chevaux du plaisir prendre possession d'elle.
- Mon a... mour... Mon a... mour! T'en finis pas de me rendre folle... Avec toi, je sais que je peux lâcher prise... m'abandonner... Je n'ai plus qu'à penser à rien quand je suis auprès de toi, Théo... Oh... oui.
La jolie coccinelle... Mais est-ce qu'elle a seulement conscience de la portée, de l'impact, de l'effet de ces mots sur moi? Elle sait qu'elle met un peu plus d'huile sur le feu ? Hmm... J'en doute.
- Mon cœur... A... lors... Laisse-toi aller... Pense à rien... Seulement à ma langue... à mes lèvres... Toi non plus, tu en finis pas de me rendre fou... Chaque jour... À chaque moment... Continue comme ça... Je suis toujours aussi fou de toi, Béré' chérie.
- OH!
C'est comme si elle avait crié. Ça l'a touchée, j'en suis persuadé. Quand il est question de nous deux, de notre amour, de l'Hôtel Lanjuinais, ça la met à nu. Je connais Bérénice depuis plus de deux ans maintenant. Et je sais que notre histoire... ça fait partie de son ADN.
- Mon amour... Tes mots... Comment tu es avec moi... Tu me fais fondre... Thé... o... Dès que je pense à toi, quand t'es pas là... c'est comme si tu étais là quand même... Oui... Tu fais entièrement partie de moi... Je peux pas me passer de toi. C'est juste pas possible, ça. Je peux pas.
Ah... Bérénice... Je la comprends parfaitement quand elle dit ça. Pourquoi ? Parce que je pense tout simplement la même chose. Je suis corps et âme à elle. Elle est corps et âme à moi. Ça ne s'analyse pas. Ou... peut-être que si... Je ne sais pas. Et à l'heure actuelle, dans l'état actuel des choses, c'est bête à dire mais c'est le dernier de mes soucis.
- Tu mouilles pour moi... Deux ans après notre rencontre, là-bas, dans ta ville, nos premières nuits à l'Hôtel Lanjuinais... Il y a eu Caen... Il y a eu Rouen... Rien n'a changé... Au contraire... On explore, on essaie de nouvelles choses, toi et moi... Je suis toujours aussi fou de toi.
Bérénice soupire. Bérénice se détend. Bérénice est jeune et jolie, et elle le sait. Mais quand je le lui dis, c'est tout autre chose. Elle se laisse aller, elle lâche prise.
Je tressaille. J'ai des frissons. J'ai la chair de poule. Et pour couronner le tout, je pousse un gémissement des plus éloquents. Quelque chose de chaud et d'humide recouvre mon gland. Quelque chose qui va et qui vient. De haut en bas. De bas en haut.
- Hmmm... Hmmm...
Les lèvres de Bérénice ne recouvrent que mon gland mais c'est beaucoup. Beaucoup beaucoup. Ses lèvres sont douces. Bérénice y va doucement, avec mon pénis. De toute façon, au bout de plus de deux ans de relation, elle sait ce que j'aime, elle sait quelles sont les caresses que je préfère.
- C'est ça, Bérénice... C'est ça... Continue... Ni plus vite, ni plus fort... C'est ça... J'aime... tes fellations, Béré'... Il n'y a que toi qui saches... me sucer... me faire jouir...
Je sens la calanque rose, vanille coulisser un peu plus. Elle ne se contente pas du gland. Des coups de langue malicieusement distillés sur le méat... La couronne... Le frein... Bérénice ne laisse rien au hasard et pas un millimètre carré de mon sexe n'y échappe.
- Vas-y, mon cœur... Laisse-toi aller... Donne libre cours à tes fantasmes... Moi j'aime ça...
Je sens une main qui se saisit de la base de ma tige, entre mes testicules et le reste de mon pénis. Cette main est chaude. Cette main permet à Bérénice de se guider et de ne pas avoir de difficultés pour que sa bouche aille et vienne. C'est... bon. C'est parfait. C'est tout ce que j'aime.
- C'est ça, Béré' chérie... Comme ça... Hmmmm... Haaaaan... C'est ça... Pu... tain... J'aime que tu me suces comme ça... Continue...
Les lèvres sont plus... fermes. Elles renforcent leur étreinte, leur emprise sur mon pylône de chair. Mes sens sont en ébullition. L'ouïe avec le bruit que produisent les lèvres quand elles vont et viennent... Le goût quand ma langue caresse et lèche son minou... L'odorat alors que j'ai son cul en plan très rapproché, et le lait hydratant à la vanille dont elle enduit son corps et qui me monte aussi bien dans les narines qu'au cerveau... Le toucher alors que je continue de prendre ses fesses généreuses à pleines mains... La vue parce qu'elle est au-dessus de moi et que nous nous donnons mutuellement du plaisir.
Moi non plus, je n'ai pas dit mon dernier mot et je n'en ai pas fini avec cette belle "petite" choupette. Non...
J'introduis quelques centimètres de l'un de mes doigts en elle. Je vais et je viens.
Et je fais aller et venir ma langue sur sa porte du plaisir.
Je la doigte et je la lèche simultanément. Moi aussi, je VEUX la rendre folle.
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